Je rappelle le principe de la sélection : chaque membre du staff MDCU vous donne son avis sur les sorties qu'il a déjà lues, que ce soit en VO ou dans une précédente édition VF. L'absence d'un album ou d'un magazine ne signifie pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu.
Auteurs : Slott, Stegman, Camuncoli, Ramos
Le Docteur Octopus a vaincu Spider-Man et a pris sa place. Il est convaincu que de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités, mais il pense surtout qu'il est un meilleur Spider-Man que Peter Parker : il lui est … supérieur !
(Contient les épisodes US Superior Spider-Man 1-10, précédemment publiés dans les albums MARVEL NOW : SUPERIOR SPIDER-MAN 1-2)
Incontestablement ce que Slott a fait de meilleur sur Spider-Man. C'était audacieux de remplacer Parker par Octavius et le résultat dépasse toutes les attentes. Ca restera un classique dont on reparlera pendant des années. C'est drôle, passionnant, surprenant, malin. Slott a son meilleur avec des dessinateurs de choc.
Du très très bon, n'hésitez pas ! De bons dessins, une bonne histoire, du bon Spider-Man, que demander de plus ? Slott gère son histoire comme il se doit et c'est un régal.
Comme toujours les intégrales des aventures classiques de Spider-Man sont à possèdent par les fans, mais aussi pas ceux qui chercheraient à découvrir le début du héros.
Le run de Tom DeFalco et Ron Frenz fleure bon le charme suranné du Marvel old school. Ce tome contient notamment le mémorable affrontement entre Spidey et Firelord. Malgré le déséquilibre des forces flagrant, Parker luttera jusqu'au bout. En quelques pages, les auteurs résument l'essentiel de ce qui fait de Spider-Man un héros. Un morceau d'anthologie pour les amateurs des eighties.
Auteurs : DeFalco, Frenz
Après avoir affronté le Super-Bouffon, Spider-Man va devoir faire face à un autre adversaire tout aussi puissant : Firelord, le nouveau héraut de Galactus !
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 260-271 et Annual 19, précédemment publiés dans les revues STRANGE 200-206 et 3 inédits)
Comme toujours les intégrales des aventures classiques de Spider-Man sont à possèdent par les fans, mais aussi pas ceux qui chercheraient à découvrir le début du héros.
Le run de Tom DeFalco et Ron Frenz fleure bon le charme suranné du Marvel old school. Ce tome contient notamment le mémorable affrontement entre Spidey et Firelord. Malgré le déséquilibre des forces flagrant, Parker luttera jusqu'au bout. En quelques pages, les auteurs résument l'essentiel de ce qui fait de Spider-Man un héros. Un morceau d'anthologie pour les amateurs des eighties.
Un début un peu poussif, mais Remender se rattrape dans les numéros suivants. L'auteur nous livre une histoire plutôt intéressante qui risque de promettre par la suite, rajoutez à cela les magnifiques dessins d'Opena, et vous avez là un bon titre inde à découvrir. Le tout pour 10 euros.
Le Maître des Murmures étend son emprise sur le royaume de Zhal, promettant à quiconque l'écoutera d'exaucer son voeu le plus cher en échange d'un accès total à ses yeux et à ses oreilles. Refusant ce marché de dupe, transformant les victimes du tyran en véritables espions à sa solde, Zeb Osidis s'exila il y a des années, contraignant son clan à errer sur les terres inhospitalières de Zhal. À la mort de Zeb le patriarche, rattrapé par les assassins royaux, il revient désormais à Adam d'honorer la promesse faite à son père de ne jamais céder aux avances du Maître des Murmures. Devant la misère de la famille dont il a désormais la charge, sera-t-il seulement capable de résister ?
Un début un peu poussif, mais Remender se rattrape dans les numéros suivants. L'auteur nous livre une histoire plutôt intéressante qui risque de promettre par la suite, rajoutez à cela les magnifiques dessins d'Opena, et vous avez là un bon titre inde à découvrir. Le tout pour 10 euros.
Hawkeye is right. Encore meilleure que la première, la saison 2 enfonce définitivement le clou. Millar joue et s'acharne sur ses personnages. La géopolotique américaine y est plus attaquée que jamais. On se demande à chaque page jusqu'où le scénariste va oser aller. Et il va aller très loin, même s'il retombe quand même sur ses pattes. Un chef-d'oeuvre visuel grâce à un Brian Hitch au sommet de sa forme, un condensé de talent et d'audace, un traitement mature des super-héros, une caractérisation sans concession des personnages... Le XXIe siècle a assurément ici une de ses BD les plus marquantes. Et écoutez Hawkeye. Si vous croisez un titre Ultimates écrit après celui-là, ne l'ouvrez pas, ne le lisez pas. Restez sur la perfection de la saison 2.
Must read. Must have. Must ce vous voulez mais lisez-moi ça si ce n'est pas encore fait.
Auteurs : Millar, Hitch
Le S.H.I.E.L.D. a créé les Ultimates, un groupe de super-héros chargé de défendre les États-Unis des attaques de surhommes. Mais l'un des membres est un traître qui s'est infiltré dans le groupe pour les détruire de l'intérieur.
(Contient les épisodes US Ultimates 2 1-13 et Annual 1, précédemment publiés dans les albums MARVEL DELUXE : ULTIMATES 2-3)
Hawkeye is right. Encore meilleure que la première, la saison 2 enfonce définitivement le clou. Millar joue et s'acharne sur ses personnages. La géopolotique américaine y est plus attaquée que jamais. On se demande à chaque page jusqu'où le scénariste va oser aller. Et il va aller très loin, même s'il retombe quand même sur ses pattes. Un chef-d'oeuvre visuel grâce à un Brian Hitch au sommet de sa forme, un condensé de talent et d'audace, un traitement mature des super-héros, une caractérisation sans concession des personnages... Le XXIe siècle a assurément ici une de ses BD les plus marquantes. Et écoutez Hawkeye. Si vous croisez un titre Ultimates écrit après celui-là, ne l'ouvrez pas, ne le lisez pas. Restez sur la perfection de la saison 2.
Must read. Must have. Must ce vous voulez mais lisez-moi ça si ce n'est pas encore fait.
Vous avez là l'opportunité de soutenir une bonne cause, avec un livre servi par une belle brochette d'artistes. Ne vous privez donc pas. Après, il faut être honnête, comme pour toute anthologie de ce type, il y a à boire et à manger, avec une qualité très irrégulière selon les équipes artistiques. Les auteurs ont chacun peu de place pour développer leurs idées. La concision permet à certains de donner le meilleur d'eux-même et ils parviennent à nous émouvoir en quelques cases. D'autres n'ont hélas pas le même talent. Le tout reste quand même une lecture forte avec suffisamment de très belles histoires qui méritent le détour. Enfin, félicitons Bliss qui, une fois encore, se distingue par la qualité de son travail. En effet, l'édition française propose du contenu exclusif par des auteurs de talent. Même si vous avez l'édition américaine, il vous faut celle-ci.
15 € (tous les bénéfices seront reversés à des associations LGBT)
Le 12 juin 2016 à Orlando, en Floride, 49 personnes furent assassinées en raison de leur identité sexuelle. Aujourd’hui, le monde des comics se réunit pour soutenir les survivants et honorer la mémoire des victimes de l’attentat du Pulse.
Auteur(e)s et artistes du monde entier, inspirés par cet événement tragique, livrent dans ce recueil des histoires inédites. Ils y expriment leur tristesse et leur compassion, leur frustration et leur espoir. En rendant hommage aux victimes, aux survivants et à leur famille, ils transmettent un message universel de paix et de tolérance.
Initié par l’auteur Marc Andreyko et l’éditeur IDW Publishing, avec l’aide de DC Comics, LOVE IS LOVE inclut également de nombreux personnages bien connus du monde des comics, comme Supergirl, Batman, Le Spirit de Will Eisner, Southern Bastards, Batwoman, Kevin Keller d’Archie Comics, Harley Quinn, et bien d’autres…
Plus de 200 scénaristes, dessinateurs, coloristes et lettreurs ont participé à ce recueil, dont de très grands noms du comics et d’ailleurs. Parmi eux :
Phil Jimenez, Cat Staggs, Steve Orlando, Gail SImone, Paul Dini, Brian Bendis, Mark Millar, Jim Lee, Sason Aaaron, Jay Edidin, G Willow Wilson, Mike Carey, P. Craig Russell, Patton Oswalt, Brad Meltzer, Paul Jenkins? David Lafuente, Marguerite Bennett, et beaucoup, beaucoup d’autres.
L’édition Bliss Comics sera enrichie par des histoires inédites, écrites et illustrées par des artistes français, dont : Marguerite Sauvage, Vincent Dedienne, Julie Maroh, Phil Briones, JL Mast, Richard Isanove, Katchoo Scarletinred, Lanna Souvanny, Sweeney Boo…
Le but de ce projet est entièrement caritatif. Tous les bénéfices tirés des ventes de ce livre seront distribués à deux association LGBT, l’une américaine, et l’autre française.
L’édition américaine a récolté depuis janvier 2017 plus de 170 000 dollars et a atteint sa cinquième réimpression.
La tuerie perpétrée dans le club Pulse, à Orlando, est l’attentat homophobe le plus meurtrier de l’histoire des Etats-Unis.
Love is Love est lauréat de l’Esiner Award 2017 (les « Oscars » des comics) de la meilleur anthologie.
Vous avez là l'opportunité de soutenir une bonne cause, avec un livre servi par une belle brochette d'artistes. Ne vous privez donc pas. Après, il faut être honnête, comme pour toute anthologie de ce type, il y a à boire et à manger, avec une qualité très irrégulière selon les équipes artistiques. Les auteurs ont chacun peu de place pour développer leurs idées. La concision permet à certains de donner le meilleur d'eux-même et ils parviennent à nous émouvoir en quelques cases. D'autres n'ont hélas pas le même talent. Le tout reste quand même une lecture forte avec suffisamment de très belles histoires qui méritent le détour. Enfin, félicitons Bliss qui, une fois encore, se distingue par la qualité de son travail. En effet, l'édition française propose du contenu exclusif par des auteurs de talent. Même si vous avez l'édition américaine, il vous faut celle-ci.
Impossible pour moi de vous parler de l'édition spéciale puisque je ne l'ai pas vue mais la Cour des Hiboux est une réussite. En lançant un concept fort, Snyder impose sa marque et livre un récit qui restera. La suite ne sera pas à la hauteur mais cette histoire mérite toute votre attention car elle apporte un nouveau pan à la mythologie de Gotham et de nouveaux et redoutables ennemis à Batman. Le récit est écrit avec intelligence et alterne suspense, rebondissements et action. Les dessins de Capullo sont irréprochables. Une réussite.
On en a parler et reparler cet excellent arc qui signe les débuts de Scotte Snyder et Greg Capullo sur le série principale Batman. C'est à lire absolument pour tous les amateurs du personnage et voici une nouvelle occasion de le faire !
À l'occasion de ses 5 ans, Urban Comics publie en novembre 5 albums qui ont marqué son évolution depuis 2012. Ces 5 albums anniversaire bénéficieront d'un très grand format cartonné, d'un papier de qualité supérieure, d'un ex-libris et de nombreux contenus inédits. Tirage limité à 2 500 exemplaires. Après une longue période d'absence, Bruce Wayne est de retour sous le masque de Batman, à la poursuite d'un mystérieux assassin aux allures de hibou, et dont la prochaine cible n'est autre que... Bruce Wayne. Plus il progresse dans son enquête, plus le Chevalier Noir rassemble d'éléments sur les motivations de son ennemi. Il découvre alors une sombre vérité mêlant la famille Wayne aux fondations troubles de Gotham City. Contenu : Absolute Batman: The Court of Owls
Impossible pour moi de vous parler de l'édition spéciale puisque je ne l'ai pas vue mais la Cour des Hiboux est une réussite. En lançant un concept fort, Snyder impose sa marque et livre un récit qui restera. La suite ne sera pas à la hauteur mais cette histoire mérite toute votre attention car elle apporte un nouveau pan à la mythologie de Gotham et de nouveaux et redoutables ennemis à Batman. Le récit est écrit avec intelligence et alterne suspense, rebondissements et action. Les dessins de Capullo sont irréprochables. Une réussite.
On en a parler et reparler cet excellent arc qui signe les débuts de Scotte Snyder et Greg Capullo sur le série principale Batman. C'est à lire absolument pour tous les amateurs du personnage et voici une nouvelle occasion de le faire !
Le chef-d'oeuvre absolu du comic-book de super-héros. Tout le monde en a au moins entendu parler et il est impossible de ne pas le recommander. L'édition d'Urban promet d'être magnifique : toujours l'indispensable traduction de Manchette, un grand format et un papier de qualité et des bonus inédits. Inédits ? Là, j'attends de voir car les dernières éditions étaient déjà très complètes en matière de bonus. Dans tous les cas, un beau cadeau que l'on souhaite trouver aux piers du sapin.
Je mets 5 étoiles pour ceux qui n'auraient pas encore forcément compris que Watchmen est une lecture indispensable pour tout fan de comic books. C'est l'une des grandes oeuvres de référence qui a marqué l'histoire et une étape obligatoire. Et ne me sors pas que tu as vu le film à la place, ce n'est pas une excuse, ça n'a rien à voir ! Et tu t'en rendras vite compte.
À l'occasion de ses 5 ans, Urban Comics publie en novembre 5 albums qui ont marqué son évolution depuis 2012. Ces 5 albums anniversaire bénéficieront d'un très grand format cartonné, d'un papier de qualité supérieure, d'un ex-libris et de nombreux contenus inédits. Tirage limité à 2 500 exemplaires.Quand le Comédien, justicier costumé à la solde du gouvernement américain, est retrouvé assassiné en bas de son immeuble, c'est à l'un de ses anciens partenaires de lutte contre le crime, le vigilant Rorschach, de venger son meurtre. Rapidement, son enquête rassemble les héros d'autrefois : le Hibou, aventurier aujourd'hui bedonnant, Ozymandias, l'homme le plus intelligent du monde, et le couple formé par le Spectre Soyeux et Dr Manhattan, être surpuissant au service des États-Unis. Le complot qui les lie ravive souvenirs et tensions, et pourrait bien pousser le monde au bord de l'abîme.
Le chef-d'oeuvre absolu du comic-book de super-héros. Tout le monde en a au moins entendu parler et il est impossible de ne pas le recommander. L'édition d'Urban promet d'être magnifique : toujours l'indispensable traduction de Manchette, un grand format et un papier de qualité et des bonus inédits. Inédits ? Là, j'attends de voir car les dernières éditions étaient déjà très complètes en matière de bonus. Dans tous les cas, un beau cadeau que l'on souhaite trouver aux piers du sapin.
Je mets 5 étoiles pour ceux qui n'auraient pas encore forcément compris que Watchmen est une lecture indispensable pour tout fan de comic books. C'est l'une des grandes oeuvres de référence qui a marqué l'histoire et une étape obligatoire. Et ne me sors pas que tu as vu le film à la place, ce n'est pas une excuse, ça n'a rien à voir ! Et tu t'en rendras vite compte.
Si Geoff Johns a commencé sa reprise de la Justice League par une intro ras du front, il achève son parcours par un chef-d'oeuvre inattendu, épique et grandiose. Johns ressuscite la mythologie Kirbyienne des New Gods et la donne toute la dimension qu'elle mérite. Le ton est sombre, apocalyptique, et les enjeux planétaires. Et que dire des planches de Jason Fabok, si ce n'est qu'elles sont parfaites. Un sommet, même si les récits annexes sont dispensables.
Une belle occasion d'avoir tous les numéros réunis de ce gros arc de la série Justice League des NEW 52, et sûrement le meilleur travail de Johns sur cette période. On y retrouve tous les éléments et personnages qui ont fait la grandeur de la saga du 4ème monde de Kirby, avec par dessus le marché la présence de l'anti-monitor, on ne pas faire plus grandiose et apocalyptique. On n'atteint tout de même pas la qualité d'écriture et de narration des sagas dont s'inspire Johns, et le scénariste a comme souvent tendance à en faire un peu trop et tomber dans la surenchère. On reste tout de même face à un blockbuster, avec les quelques défauts que cela peut impliquer. Les dessins de Jason Fabok sont, eux, absolument superbes et valent presque le détour à eux seuls.
À l'occasion de ses 5 ans, Urban Comics publie en novembre 5 albums qui ont marqué son évolution depuis 2012. Ces 5 albums anniversaire bénéficieront d'un très grand format cartonné, d'un papier de qualité supérieure, d'un ex-libris et de nombreux contenus inédits. Tirage limité à 2 500 exemplaires.La bataille qui couvait depuis des années a enfin commencé : Darkseid contre l'Anti-Monitor ! Poursuivi à travers toutes les dimensions par cette entité cosmique, le tyran d'Apokolips dresse ses troupes les plus acharnées afin de le protéger de ses assauts. C'est une fois de plus à la Ligue de Justice de protéger la Terre de ce malfaisant extraterrestre, mais leurs enveloppes humaines suffiront-elles à affronter des Néo-Dieux ?Contenu : Justice League : The Darkseid War Saga Omnibus (Justice League #40-50 + FCBD Divergence + Justice League Darkseid War Special + JUSTICE LEAGUE DARKSEID WAR BATMAN #1, JUSTICE LEAGUE DARKSEID WAR FLASH #1, JUSTICE LEAGUE DARKSEID WAR GREEN LANTERN #1, JUSTICE LEAGUE DARKSEID WAR LEX LUTHOR #1, JUSTICE LEAGUE DARKSEID WAR SHAZAM #1, JUSTICE LEAGUE DARKSEID WAR SUPERMAN #1).
Si Geoff Johns a commencé sa reprise de la Justice League par une intro ras du front, il achève son parcours par un chef-d'oeuvre inattendu, épique et grandiose. Johns ressuscite la mythologie Kirbyienne des New Gods et la donne toute la dimension qu'elle mérite. Le ton est sombre, apocalyptique, et les enjeux planétaires. Et que dire des planches de Jason Fabok, si ce n'est qu'elles sont parfaites. Un sommet, même si les récits annexes sont dispensables.
Une belle occasion d'avoir tous les numéros réunis de ce gros arc de la série Justice League des NEW 52, et sûrement le meilleur travail de Johns sur cette période. On y retrouve tous les éléments et personnages qui ont fait la grandeur de la saga du 4ème monde de Kirby, avec par dessus le marché la présence de l'anti-monitor, on ne pas faire plus grandiose et apocalyptique. On n'atteint tout de même pas la qualité d'écriture et de narration des sagas dont s'inspire Johns, et le scénariste a comme souvent tendance à en faire un peu trop et tomber dans la surenchère. On reste tout de même face à un blockbuster, avec les quelques défauts que cela peut impliquer. Les dessins de Jason Fabok sont, eux, absolument superbes et valent presque le détour à eux seuls.
Un comic book qui pour moi sort un peu de nul part mais une très belle surprise et un très bon choix de la part d'Urban. Fabio Moon nous parle de la vie et de la mort et de l'amour et de l'amitié et de tout ce qui fait la vie d'un être humain à travers le personnage de Bras à différents âges et périodes de sa vie. L'écriture est belle et intelligente, profonde et pleine de poésie. Il y a une ambiance de folie dans ce titre avec des dessins et des couleurs justes magnifiques, des paysages et des décors de toute beauté. Tourner les pages de cette histoire fait voyager et rêver, rire et pleurer, et nous fait vraiment aimer ces personnages plus attachants les uns que les autres. Et ça nous amène aussi à réfléchir sur la vie, sa beauté et sa dimension éphémère. Un portrait de la vie elle-même, époustouflant de beauté et de profondeur. Voilà ce qui vous attend dans ces pages. Si vous voulez lire autre chose que du super-héroïque ou du fantastique et faire voyager votre esprit, c'est la lecture qu'il vous faut !
Si vous n'avez jamais entendu parler de cette BD, sachez que Daytripper est l'oeuvre de deux frères brésiliens : Fabio Moon et Gabriel Ba, et qu'il vous faut absolument le lire. Contrairement à bien des récits intimistes, ici point d'ennui, de lourdeur ou de difficulté d'accès. Tout en finesse et en sensibilité, les auteurs nous livrent une réflexion sur la vie et la mort, ou comment la dernière donne un sens à la première. Et pour cela, ils proposent un concept original et diablement efficace : tel Kenny dans South Park, le protagoniste Bras, aspirant écrivain et rédacteur de rubriques chronologiques, meurt à chaque épisode pour réapparaître comme si de rien n'était dans l'épisode suivant, à une autre période de sa vie. Moon et Ba aurait pu se contenter de livrer des tranches de vie. Mais les conclure toutes par la mort du personnage donnent à chacune d'elle une puissance inattendue. Profondément émouvant, Daytripper saura toucher chacun d'entre vous sur des thèmes qui lui sont chers. On n'avait rien vu d'aussi marquant depuis la série télé Six Feet Under.
À l'occasion de ses 5 ans, Urban Comics publie en novembre 5 albums qui ont marqué son évolution depuis 2012. Ces 5 albums anniversaire bénéficieront d'un très grand format cartonné, d'un papier de qualité supérieure, d'un ex-libris et de nombreux contenus inédits. Tirage limité à 2 500 exemplaires. Les mille et une vies d'un aspirant écrivain... et ses mille et une morts. Brás de Oliva Domingos, fils du célèbre écrivain brésilien, passe ses journées à chroniquer les morts de ses contemporains pour le grand quotidien de Sao Paulo... et ses nuits à rêver que sa vie commence enfin. Mais remarque-t-on seulement le jour où notre vie débute vraiment ? Serait-ce à 21 ans, lorsque l'on rencontre la fille de ses rêves ? Ou au crépuscule de sa vie...Contenu : Daytripper Deluxe Edition
Un comic book qui pour moi sort un peu de nul part mais une très belle surprise et un très bon choix de la part d'Urban. Fabio Moon nous parle de la vie et de la mort et de l'amour et de l'amitié et de tout ce qui fait la vie d'un être humain à travers le personnage de Bras à différents âges et périodes de sa vie. L'écriture est belle et intelligente, profonde et pleine de poésie. Il y a une ambiance de folie dans ce titre avec des dessins et des couleurs justes magnifiques, des paysages et des décors de toute beauté. Tourner les pages de cette histoire fait voyager et rêver, rire et pleurer, et nous fait vraiment aimer ces personnages plus attachants les uns que les autres. Et ça nous amène aussi à réfléchir sur la vie, sa beauté et sa dimension éphémère. Un portrait de la vie elle-même, époustouflant de beauté et de profondeur. Voilà ce qui vous attend dans ces pages. Si vous voulez lire autre chose que du super-héroïque ou du fantastique et faire voyager votre esprit, c'est la lecture qu'il vous faut !
Si vous n'avez jamais entendu parler de cette BD, sachez que Daytripper est l'oeuvre de deux frères brésiliens : Fabio Moon et Gabriel Ba, et qu'il vous faut absolument le lire. Contrairement à bien des récits intimistes, ici point d'ennui, de lourdeur ou de difficulté d'accès. Tout en finesse et en sensibilité, les auteurs nous livrent une réflexion sur la vie et la mort, ou comment la dernière donne un sens à la première. Et pour cela, ils proposent un concept original et diablement efficace : tel Kenny dans South Park, le protagoniste Bras, aspirant écrivain et rédacteur de rubriques chronologiques, meurt à chaque épisode pour réapparaître comme si de rien n'était dans l'épisode suivant, à une autre période de sa vie. Moon et Ba aurait pu se contenter de livrer des tranches de vie. Mais les conclure toutes par la mort du personnage donnent à chacune d'elle une puissance inattendue. Profondément émouvant, Daytripper saura toucher chacun d'entre vous sur des thèmes qui lui sont chers. On n'avait rien vu d'aussi marquant depuis la série télé Six Feet Under.
Panini bat un record avec ce magazine : l'éditeur change de formule dès le numéro 2. Mais n'allez pas leur reprocher, il s'agit d'une excellente nouvelle. Nous avons là un excellent rapport qualité-quantité-prix avec 152 pages de bonnes séries pour moins de 6 euros. Eh oui ma brave dame, tout est bon dans cette revue. En plus, à part la saga Thanos qui a commencé au numéro précédent, il ne s'agit que de débuts d'arc ou d'histoire indépendante. Bref, un parfait point d'entrée. Commençons par les Gardiens : première bonne nouvelle, Bendis est parti !!!! Oui, mais ça ne nous dit pas si le titre est bon. Duggan prend les commandes, donc on peut s'attendre à un minimum de qualité. Et, en effet, s'il conserve le ton humoristique qui colle au titre depuis le film, il commence par une ellipse temporelle qui a laissé plusieurs membres de l'équipe dans une situation nouvelle sans que l'on sache comment ils en sont arrivés là. A ces mystères s'ajoutent une bonne caractérisation des héros et une intrigue qui exploite agréablement l'univers cosmique de Marvel. Duggan doit encore faire ses preuves car tout cela mérite d'être approfondi mais on est déjà dans une matière plus dense que ce que proposait Bendis. Après 6 très bons numéros, Thanos souffre ici du départ de Deodato Jr, même si son rempaçant n'est pas manchot. L'intrigue avance peu mais Lemire parvient à nous montrer le calvaire et la déchéance de Thanos au point qu'on en arrive à compatir à son sort. Encore un bon épisode. Passons maintenant à l'annual de Star-Lord. Pour ceux qui n'aurait pas lu la série, pas d'inquiétude, c'est un récit indépendant. Chip Zdarsky balance son héros dans un contexte western de l'espace. Ca pourrait être terriblement déjà-vu s'il n'y ajoutait pas un twist qui rend l'épisode acceptable. Enfin, terminons par la mini-série Nova qui a le bon goût de réunir les deux porteurs du titre. Sam Alexander est toujours aussi drôle et attachant tandis que Richer Rider, tout droit sorti du Cancerverse, porte en lui une noirceur qui contraste avec l'insouciance de son cadet. Une mini-série intrigante dont on a hâte de lire la suite.
La toute nouvelle série consacrée aux Gardiens de la Galaxie signée par Gerry Duggan et Aaron Kuder et la mini-série Nova de Jeff Loveness et Ramon K. Perez rejoignent le sommaire du magazine aux côtés de Thanos de Jeff Lemire et Mike Deodato Jr. Un récit complet sur Star-Lord complète le programme !
(Contient les épisodes US FCBD 2017 : Guardians of the Galaxy, All-New Guardians of the Galaxy 1-2, Thanos 7, Nova 1-2, Star-Lord (2017) Annual 1)
Panini bat un record avec ce magazine : l'éditeur change de formule dès le numéro 2. Mais n'allez pas leur reprocher, il s'agit d'une excellente nouvelle. Nous avons là un excellent rapport qualité-quantité-prix avec 152 pages de bonnes séries pour moins de 6 euros. Eh oui ma brave dame, tout est bon dans cette revue. En plus, à part la saga Thanos qui a commencé au numéro précédent, il ne s'agit que de débuts d'arc ou d'histoire indépendante. Bref, un parfait point d'entrée. Commençons par les Gardiens : première bonne nouvelle, Bendis est parti !!!! Oui, mais ça ne nous dit pas si le titre est bon. Duggan prend les commandes, donc on peut s'attendre à un minimum de qualité. Et, en effet, s'il conserve le ton humoristique qui colle au titre depuis le film, il commence par une ellipse temporelle qui a laissé plusieurs membres de l'équipe dans une situation nouvelle sans que l'on sache comment ils en sont arrivés là. A ces mystères s'ajoutent une bonne caractérisation des héros et une intrigue qui exploite agréablement l'univers cosmique de Marvel. Duggan doit encore faire ses preuves car tout cela mérite d'être approfondi mais on est déjà dans une matière plus dense que ce que proposait Bendis. Après 6 très bons numéros, Thanos souffre ici du départ de Deodato Jr, même si son rempaçant n'est pas manchot. L'intrigue avance peu mais Lemire parvient à nous montrer le calvaire et la déchéance de Thanos au point qu'on en arrive à compatir à son sort. Encore un bon épisode. Passons maintenant à l'annual de Star-Lord. Pour ceux qui n'aurait pas lu la série, pas d'inquiétude, c'est un récit indépendant. Chip Zdarsky balance son héros dans un contexte western de l'espace. Ca pourrait être terriblement déjà-vu s'il n'y ajoutait pas un twist qui rend l'épisode acceptable. Enfin, terminons par la mini-série Nova qui a le bon goût de réunir les deux porteurs du titre. Sam Alexander est toujours aussi drôle et attachant tandis que Richer Rider, tout droit sorti du Cancerverse, porte en lui une noirceur qui contraste avec l'insouciance de son cadet. Une mini-série intrigante dont on a hâte de lire la suite.
Entouré d'une équipe artistique de talent, Aaron explore de nouvelles pistes pour le Canadien ou donne un coup de frais sur des poncifs (Logan au Japon). On ne s'ennuie pas une seconde et c'est sans doute ce qu'on a vu de mieux comme run sur Wolverine depuis un moment, à défaut d'être inoubliable.
Auteurs : Aaron, Guedes, Acuna, Garney
Dans ce deuxième tome consacré aux aventures de Wolverine signées Jason Aaron, nous aurons l'occasion d'observer les multiples facettes du mutant griffu. De l'Enfer jusqu'au Japon, contre les X-Men, Mystique ou le Samouraï d'Argent, Wolverine trace sa route à coups de griffes.
(Contient les épisodes US Wolverine : The Road to Hell 1 et Wolverine (2010) 1-20 et 300-304, précédemment publiés dans les revues WOLVERINE (V1) 209, WOLVERINE (V2) 1-12 et WOLVERINE (V3) 2-9)
Entouré d'une équipe artistique de talent, Aaron explore de nouvelles pistes pour le Canadien ou donne un coup de frais sur des poncifs (Logan au Japon). On ne s'ennuie pas une seconde et c'est sans doute ce qu'on a vu de mieux comme run sur Wolverine depuis un moment, à défaut d'être inoubliable.
C'est pas un des tomes indispensables sur le géant vert. La 1ère saga avec le Shield est plutôt sympa, surtout quand c'est Leinil Yu aux dessins, sauf que la suite faite par Walter Simonson en 2013, ça pique les yeux. Mais le point faible de ce numéro est qu'aucune de ces histoires ne va laisser une trace indélébile dans les mémoires. À réserver aux fans du perso.
Mark Waid relance le personnage de Hulk en 2012 lors de Marvel NOW! et vous retrouvez ici une réédition en Deluxe de cette série. Ce ne sera pas un run qui marquera les esprits mais qui pour autant restera plutôt bon, avec un approche intéressante du personnage dans un nouveau status-quo en tant qu'agent du SHIELD. Bruce Banner reprend le dessus sur Hulk et est remis au centre des intrigues avec notamment un accent sur la facette scientifique du personnage. Waid se fait simplement plaisir sur cette série et ça se ressent, il se lance dans des histoires assez funs où il incorpore les univers d'autres personnages de Marvel. Il ira même jusquà revisiter la création du personnage dans un arc assez dingue, mais ça ce sera pour le tome 2 ! En tout cas, avec Yu et Simonson au dessin, on est bien servi à ce niveau ! Si vous aimez Hulk, aucune raison d'hésiter.
Auteurs : Waid, Yu Simonson
Hulk est doté d'une force démesurée tandis que Bruce Banner est l'un des hommes les plus intelligents de la planète. Unis, ces deux êtres sont indestructibles ! Désormais agent au service du S.H.I.E.L.D., Hulk est investi de sa première mission : neutraliser l'Homme Pentatronique ainsi que le redoutable Attuma. Mais Banner va découvrir que l'organisation dirigée par Maria Hill dissimule de lourds secrets...
(Contient les épisodes US Indestructible Hulk 1-10, précédemment publiés dans les albums MARVEL NOW : HULK 1-2)
C'est pas un des tomes indispensables sur le géant vert. La 1ère saga avec le Shield est plutôt sympa, surtout quand c'est Leinil Yu aux dessins, sauf que la suite faite par Walter Simonson en 2013, ça pique les yeux. Mais le point faible de ce numéro est qu'aucune de ces histoires ne va laisser une trace indélébile dans les mémoires. À réserver aux fans du perso.
Mark Waid relance le personnage de Hulk en 2012 lors de Marvel NOW! et vous retrouvez ici une réédition en Deluxe de cette série. Ce ne sera pas un run qui marquera les esprits mais qui pour autant restera plutôt bon, avec un approche intéressante du personnage dans un nouveau status-quo en tant qu'agent du SHIELD. Bruce Banner reprend le dessus sur Hulk et est remis au centre des intrigues avec notamment un accent sur la facette scientifique du personnage. Waid se fait simplement plaisir sur cette série et ça se ressent, il se lance dans des histoires assez funs où il incorpore les univers d'autres personnages de Marvel. Il ira même jusquà revisiter la création du personnage dans un arc assez dingue, mais ça ce sera pour le tome 2 ! En tout cas, avec Yu et Simonson au dessin, on est bien servi à ce niveau ! Si vous aimez Hulk, aucune raison d'hésiter.
Du tout bon ce tome "hors-série" de Street Fighter mettant en scène l'un des antagonistes les plus connus de la série : Akuma. Avec un style de dessin vraiment très appréciable et une histoire plaisante bien que "facile", on peut qu'apprécier de voir l'ennemi le némésis de Ryu couché sur papier et en couleurs, s'il vous plaît !
Il est le combattant le plus craint au monde, celui dont on ose à peine murmurer le nom. Akuma, le maître du poing, un homme consumé par une rage démoniaque, le Satsui no Hado incarné. Mais il n'en fut pas toujours ainsi... Découvrez les origines inédites de l'assassin de Gouken, père adoptif et maître du légendaire Ryu.Contenu : Street Fighter Origins : Akuma
Du tout bon ce tome "hors-série" de Street Fighter mettant en scène l'un des antagonistes les plus connus de la série : Akuma. Avec un style de dessin vraiment très appréciable et une histoire plaisante bien que "facile", on peut qu'apprécier de voir l'ennemi le némésis de Ryu couché sur papier et en couleurs, s'il vous plaît !
Deux très bons numéros de Captain America, dans lesquels les pièces du puzzle Secret Empire continuent à se mettre en place, les flashbacks sont utiles et intéressants et on a enfin le tant attendu affrontement entre Steve et le Red Skull.
Alors que Riri Williams essaie de devenir une meilleure héroïne (en armure), Steve Rogers continue de bâtir son “empire secret” dans l'ombre, alors même que son meilleur ami Sam Wilson ne se doute de rien ! Plus de nouveaux épisodes de Captain Marvel et Thor. Par Bendis, Caselli, Spencer, Saiz, Pina, Guinaldo, Aaron et Dauterman, entre autres.
(Contient les épisodes US Invincible Iron Man 5, Captain America : Steve Rogers 14-15, Mighty Thor 17,Captain America : Sam Wilson 18, Mighty Captain Marvel 3)
Deux très bons numéros de Captain America, dans lesquels les pièces du puzzle Secret Empire continuent à se mettre en place, les flashbacks sont utiles et intéressants et on a enfin le tant attendu affrontement entre Steve et le Red Skull.
Spencer sort des sentiers battus pour Sam en ré accentuant le côté politique qui accompagne Captain America tout en faisant un parallèle avec ce qui se passe actuellement aux USA. C'est sympathique. De plus les dessins d'Acuna aident à s'immerger dans l'histoire et surprise, un dessinateur français Paul Renaud est aussi de la partie et s'en sort très bien. à voir si vous voulez vous laisser tenter par cette nouvelle version de Cap.
Auteurs : Spencer, Acuna
Sam Wilson n'est plus le Faucon, il incarne désormais Captain America. Ses prises de position enflamment les réseaux sociaux et l'opinion publique américaine, au point que pour certains, le héros ne mérite pas de porter le bouclier... Le début de la saga qui va culminer avec Secret Empire.
(Contient les épisodes US Captain America : Sam Wilson (2016) 1-6, précédemment publiés dans les revues ALL-NEW IRON MAN & AVENGERS 1-6)
Spencer sort des sentiers battus pour Sam en ré accentuant le côté politique qui accompagne Captain America tout en faisant un parallèle avec ce qui se passe actuellement aux USA. C'est sympathique. De plus les dessins d'Acuna aident à s'immerger dans l'histoire et surprise, un dessinateur français Paul Renaud est aussi de la partie et s'en sort très bien. à voir si vous voulez vous laisser tenter par cette nouvelle version de Cap.
Cela fait désormais quelques années que Deadpool jouit d'une série régulière dont la qualité est constante. Les intrigues sont renouvelées, la partie régulière est adaptée aux aventures loufoques du mercenaire disert, et une des intrigues au long cours suivent nous donnent envie de revenir chaque mois. Un bon petit titre qui répond parfaitement aux attentes.
Auteurs : Duggan, Hawthorne, Koblish
Deadpool a essayé de créer une franchise mais il a été trahi. Il existe cependant d'autres versions de Deadpool : Massacre (le Deadpool mexicain) ou Deadpool 2099. Cette Deadpool réserve d'ailleurs bien des surprises…
(Contient les épisodes US Deadpool (2016) 6, 7(I) 8-11 et Deadpool :Masacre, précédemment publiés dans les revues ALL-NEW DEADPOOL 2-5)
Cela fait désormais quelques années que Deadpool jouit d'une série régulière dont la qualité est constante. Les intrigues sont renouvelées, la partie régulière est adaptée aux aventures loufoques du mercenaire disert, et une des intrigues au long cours suivent nous donnent envie de revenir chaque mois. Un bon petit titre qui répond parfaitement aux attentes.
Contacté par Amanda Waller pour extraire le Psycho-Pirate de la prison de Santa Prisca, Batman doit former son propre « Escadron Suicide » composé de ses anciens ennemis, dont une très intime : Catwoman. Mais, au-delà de la méfiance envers ses alliés de circonstance, le Chevalier Noir sait que son plus grand défi se trouve sur l'île, dirigée par le seul homme qui soit parvenu à le briser : Bane.Contenu : Batman Vol.2: I am Suicide (#9-15)
Morrison tient toujours la barre de cette version 100 % action et 100 % all-star de la league. LE run qui a fait de la JLA le blockbuster que la série méritait d'être. On ne souffle pas, les menaces se succèdent et ne laissent pas de place à l'intime. Ici, seules comptent les icônes héroïques et les menaces qu'elles affrontent. Du Morrison accessible et en forme, un peu moins fou que sur ces séries pour public plus mature. A noter que ce tome contient des épisodes complètement inédits en français, Semic ayant dû arrêter la publication en cours de route.
La Terre a une nouvelle fois désespérément besoin des héros de la Ligue de Justice. En Floride, Wonder Woman, Steel et Huntress ont découvert un Amazo, un androïde aussi puissant que dangereux, puisqu'il est capable de reproduire les pouvoirs de chacun des membres de l'équipe. Une fois le groupe au complet, Superman, Batman, Flash, Green Lantern, Aquaman, Zauriel et le Limier Martien unissent leurs forces pour contrer cette nouvelle menace... mais de l'aide ne serait pas de trop, car des êtres tout droit venus de la cinquième dimension débarquent sur Terre ! Contenu : JLA #27-41
Morrison tient toujours la barre de cette version 100 % action et 100 % all-star de la league. LE run qui a fait de la JLA le blockbuster que la série méritait d'être. On ne souffle pas, les menaces se succèdent et ne laissent pas de place à l'intime. Ici, seules comptent les icônes héroïques et les menaces qu'elles affrontent. Du Morrison accessible et en forme, un peu moins fou que sur ces séries pour public plus mature. A noter que ce tome contient des épisodes complètement inédits en français, Semic ayant dû arrêter la publication en cours de route.
Dessinateur, scénariste, coloriste : Enrico Marini
Quel lien secret Batman et le Joker partagent-ils avec une jeune fille mystérieuse ? Kidnappée par le Joker, le Chevalier noir doit plonger dans les profondeurs de Gotham City et s'engager dans une course contre la montre pour la retrouver. Les enjeux sont importants, et pour Batman, c'est personnel !
Sean Murphy en solo sur une histoire assez dingue qui mêle de nombreuses idées que l'artiste avait en tête. C'est du coup un peu brouillon et rapide par moment mais l'ensemble reste très original et assez passionnant. Servi, évidemment, par de merveilleux dessins en noir et blanc. Une très bonne histoire dans laquelle se plonger.
À l'occasion de ses 5 ans, Urban Comics publie en novembre 5 albums qui ont marqué son évolution depuis 2012. Ces 5 albums anniversaire bénéficieront d'un très grand format cartonné, d'un papier de qualité supérieure, d'un ex-libris et de nombreux contenus inédits. Tirage limité à 2 500 exemplaires.Dans un futur proche, la maison de production OPHIS tient le sujet de son prochain programme de télé-réalité : filmer la vie de Jésus Christ. Recréé génétiquement à partir des traces ADN du suaire de Turin, le clone du Messie grandit sous le regard avide des caméras et d'une Amérique subjuguée par ce qu'elle pense être la Seconde Venue du Christ. Quelques années plus tard, l'expérience tourne court lorsque l'adolescent entre en révolte totale contre le système et devient le prophète d'une autre Amérique.Contenu : Punk Rock Jesus Deluxe Edition
Sean Murphy en solo sur une histoire assez dingue qui mêle de nombreuses idées que l'artiste avait en tête. C'est du coup un peu brouillon et rapide par moment mais l'ensemble reste très original et assez passionnant. Servi, évidemment, par de merveilleux dessins en noir et blanc. Une très bonne histoire dans laquelle se plonger.
Fin du crossover (et du mariage ?) de Deadpool dans ce numéro. Malgré le balet des équipes artistiques, le tout se laisse lire avec une certaine continuité. Le premier écueil des crossovers est évité. Pas le second, hélas. L'histoire s'étale en ffet sur un peu plus de chapitres que nécessaire et perd en puissance et en intérêt. Quand ça ne tourne pas au ridicule (d'accord, on est dans un titre Deadpool mais quand même). Heureusement, le retour du scénariste Duggan sur la conclusion sauve la mise et arrachera quelques sourires même aux grincheux dans mon genre.
Ne manquez surtout pas ce numéro car il contient la conclusion du crossover Jusqu'à ce que la mort… ! C'est l'heure de la confrontation finale entre Wade, Shiklah et Dracula, dans quatre épisodes signés Duggan, Espin, Corin, Koblish, Hastings et Coello.
(Contient les épisodes US Deadpool (2016) 29, Spider-Man/Deadpool 16, Deadpool & Mercs for Money 9-10)
Fin du crossover (et du mariage ?) de Deadpool dans ce numéro. Malgré le balet des équipes artistiques, le tout se laisse lire avec une certaine continuité. Le premier écueil des crossovers est évité. Pas le second, hélas. L'histoire s'étale en ffet sur un peu plus de chapitres que nécessaire et perd en puissance et en intérêt. Quand ça ne tourne pas au ridicule (d'accord, on est dans un titre Deadpool mais quand même). Heureusement, le retour du scénariste Duggan sur la conclusion sauve la mise et arrachera quelques sourires même aux grincheux dans mon genre.
Entre l'épilogue de Clone Conspiracy et le début d'une nouvelle saga, ce numéro est riche en contenu. La fin de la saga des clones façon Slott se révèle particulièrement sombre. On avait pas vu ça depuis le passage de Straczynski sur le personnage. Sauf qu'ici, Slott en fait des tonnes pour faire culpabiliser Parker et la sauce prend mal. On est presque ravi de passer à autre chose. Et ça tombe bien, le scénariste nous plonge sans transition dans une nouvelle saga impliquant Osborn. Alors qu'on aurait pu s'attendre à un numéro de transition calme et introspectif, ou un arc mineur et plus léger, le scénariste ne fait pas dans la demi-mesure et consacre un épisode double rempli d'action pour ouvrir cette nouvelle aventure. C'est relativement efficace et permet de revenir progressivement à une ambiance moins sinistre. Mais la surprise vient de la partie graphique assurée par l'excellent Immonem. Comme à son habitude, le dessinateur fait encore évoluer son style. C'est superbe mais on pourra regretter qu'il privilégie les effets à la lisibilité. En tout cas, Spidey est entre de bonnes mains avec lui. La revue s'achève avec la suite du crossover entre les deux insupportables Spider-ados, Miles et Gwen. Et il ne s'y passe rien. Bendis se moque du monde et se contente de nous faire patienter jusqu'au prochain numéro. Vivement la fin de ce crossover.
Du côté de Peter Parker, nous découvrirons l'épilogue de La Conspiration des Clones et le début d'une nouvelle saga illustrée par Stuart Immonen où le héros va affronter l'un de ses pires ennemis. Du côté de Miles Morales, le crossover avec Spider-Gwen continue !
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man 25 (I), Spider-Man (2016) 13, Spider-Man : The Clone Conspiracy Omega 1)
Entre l'épilogue de Clone Conspiracy et le début d'une nouvelle saga, ce numéro est riche en contenu. La fin de la saga des clones façon Slott se révèle particulièrement sombre. On avait pas vu ça depuis le passage de Straczynski sur le personnage. Sauf qu'ici, Slott en fait des tonnes pour faire culpabiliser Parker et la sauce prend mal. On est presque ravi de passer à autre chose. Et ça tombe bien, le scénariste nous plonge sans transition dans une nouvelle saga impliquant Osborn. Alors qu'on aurait pu s'attendre à un numéro de transition calme et introspectif, ou un arc mineur et plus léger, le scénariste ne fait pas dans la demi-mesure et consacre un épisode double rempli d'action pour ouvrir cette nouvelle aventure. C'est relativement efficace et permet de revenir progressivement à une ambiance moins sinistre. Mais la surprise vient de la partie graphique assurée par l'excellent Immonem. Comme à son habitude, le dessinateur fait encore évoluer son style. C'est superbe mais on pourra regretter qu'il privilégie les effets à la lisibilité. En tout cas, Spidey est entre de bonnes mains avec lui. La revue s'achève avec la suite du crossover entre les deux insupportables Spider-ados, Miles et Gwen. Et il ne s'y passe rien. Bendis se moque du monde et se contente de nous faire patienter jusqu'au prochain numéro. Vivement la fin de ce crossover.
Justice League continue avec un scénario qui commençait bien mais qui tourne encore au risuqe d'apocalypse. Action Comics présente l'arc qui est le plus faible pour l'instant. L'arc de FLash face à l'Ombre est bien plus intéressant, et Hal Jordan face à Brainiac est une bonne idée. Bref, un mag en demi-teinte.
Luthor accusé ! La Ligue de Justice fait face à un virus informatique capable d’infester tout leur équipement, y compris l’anneau de Green Lantern, par Bryan HITCH et Neil EDWARDS. À Metropolis, deux êtres venus d’ailleurs s’en prennent à celui qu’ils considèrent comme un futur despote, et font face à Superman et à Lex Luthor, par Dan JURGENS et Tyler KIRKHAM. À Central City, Barry Allen, alias Flash, et son jeune apprenti Wally West, le nouveau Kid Flash, affrontent l’Ombre, par Joshua WILLIAMSON, Felipe WATANABE et Davide GIANFELICE. Et dans l’espace, le Corps des Green Lantern affronte la menace de Brainiac, par Robert VENDITTI, Rafa SANDOVAL et Ed BENES.
(Contient les épisodes US JUSTICE LEAGUE #9 et #10, ACTION COMICS #967 et #968, THE FLASH #11 et #12, HAL JORDAN AND THE GREEN LANTERN CORPS #9 et #10)
Justice League continue avec un scénario qui commençait bien mais qui tourne encore au risuqe d'apocalypse. Action Comics présente l'arc qui est le plus faible pour l'instant. L'arc de FLash face à l'Ombre est bien plus intéressant, et Hal Jordan face à Brainiac est une bonne idée. Bref, un mag en demi-teinte.
CE numéro lance l'évent Justice League vs Suicide Squad, et le début est plutôt sympa même si on a du combat idiot entre les deux équipes, mais le titre annonce la couleur, et on a de bons dessinateurs qui livrent de belles planches. Le numéro de Justice League est un bon ajout. Pour le reste, Harley Quinn est toujours au ras des paquerettes et Deathstroke reste solide.
Après avoir sauvé le pénitencier de Belle Reve d’une vague de folie contagieuse et avoir accueilli Killer Frost dans ses rangs (par Rob WILLIAMS, Jim LEE et Giuseppe CAMUNCOLI), la Suicide Squad doit affronter la Ligue de Justice, alors que Batman souhaite mettre un terme aux agissements d’Amanda Waller, par Joshua WILLIAMSON, Jason FABOK et Tony S. DANIEL. Leur confrontation dissimule un plan ourdi par un autre homme de l’ombre, dont les ramifications sont expliquées par Tim SEELEY et Christian DUCE. De son côté, Harley Quinn doit faire face au retour d’un homme qu’elle espérait ne jamais revoir, par Jimmy PALMIOTTI, Amanda CONNER et Brandon PETERSON, tandis que Deathstroke fait face à Superman avant d’être jeté en prison, par Christopher PRIEST, Larry HAMA, Carlo PAGULAYAN et Cary NORD.
(Contient les épisodes US SUICIDE SQUAD #8, JUSTICE LEAGUE vs SUICIDE SQUAD #1 et #2, JUSTICE LEAGUE #12, HARLEY QUINN #9, DEATHSTROKE #8 et #9)
CE numéro lance l'évent Justice League vs Suicide Squad, et le début est plutôt sympa même si on a du combat idiot entre les deux équipes, mais le titre annonce la couleur, et on a de bons dessinateurs qui livrent de belles planches. Le numéro de Justice League est un bon ajout. Pour le reste, Harley Quinn est toujours au ras des paquerettes et Deathstroke reste solide.
Trois bonnes séries qui arrivent à mettre en avant la personnalités de chaque mutants, surtout celle de Jean Grey qui bénéficie ici de sa toute première série solo. Pour moi n'ayant jamais apprécié le personnage plus que ça, j'ai été surprise de voir que le scénariste arrivait à la rendre intéressante.
Nouvelle revue avec trois nouvelles séries X. A quoi devons-nous nous attendre ? Une fois encore, Marvel ressasse de vieilles intrigues. Commençons par Jean Grey. Devinez quoi ? Elle va être confronté au Phénix ! Mais si ma brave dame. Comme c'est inattendu. Ah, j'oubliais, c'est une adolescente incomprise face à des adultes qui ne la prennent pas au sérieux. Quelle originalité. Rassurez-vous, aucun dessinateur de talent ne gaspille ses pinceaux sur ce navet. On aura droit à un travail sans intérêt. Suivant : Weapon X. Oui, encore un titre évoquant Weapon X, avec une équipe composée de gros durs façon X-Force. La bonne surprise, c'est que Greg Land a cessé de faire des planches copiées sur les couvertures de magazines féminins ou érotiques. Il semble s'être remis au dessin. C'est donc un peu moins tape-à-l'oeil mais plus authentique. Le scénario ne propose rien d'original (on a l'impression d'avoir déjà lu ça dix fois) mais la narration est efficace et donne envie de poursuivre la lecture. Une série B plaisante et agréable à lire. Terminons avec Generation X. Oui, encore un concept ressassé 50 fois. Hélas, cette mouture ne fait pas honneur aux premiers épisodes de la première série, ni à Wolverine and the X-Men dont elle semble s'inspirer. Encore une fois, RessurXion se contente d'une copie sans imagination.
Je partais avec un certain a priori concernant la série Jean Grey, et j'ai été assez agréablement surpris ! On ne retrouve pas ici la jeune Jean chiantos à souhait qu'on nous servait jusqu'à maintenant! Je n'irai pas jusqu'à dire qu'elle est redevenu top, mais il y a un net progrès à souligner, et j'ai envie de voir où cette série nous mène.
Du côté Weapon X, c'est bien d'avoir trois numéros, car le premier me laissait un peu neutre : pas déçu mais pas emballé non plus. Le second m'a mieux amorcé et le troisième était bon sur la lancée! C'est peut être que les choses se mettent lentement en place, on voit beaucoup trop pour dire trop peu. Mais après ce démarrage poussif, c'est plutôt intéressant, ça ne révolutionne peut être pas, mais ça cherche à revenir sur ce qu'on a pu aimer autour de "l'arme X".
Génération X est, pour moi, un note plus amère pour conclure ce magasine. Si le fond m'a évoqué l'idée du Wolverine & the X-Men, ces deux premiers numéros sont également poussifs et J'ai trouvé les dessins vraiment passables par endroit (et par personnage ?). C'est cependant un plaisir de revoir Quire au milieu de ces anciens camarades de classe. Par contre, je continue de me demander ce que Jubilé fait là. C'est un personnage qui a perdu pas mal de l'aura qu'elle a pu avoir je trouve, et qui au fil du temps me parait assez inintéressant (et elle fait partie de mauvais dessins à mon goût).
Trois nouvelles séries au sommaire de cette nouvelle revue mutante : les jeunes X-Men sont à l'honneur avec Jean Grey et Generation X, tandis que Logan et Dents de Sabre sont au casting de Weapon X. Par Hopeless, Pak, Land, Strain, Pinna et Ibanez.
(Contient les épisodes US Jean Grey 1-2, Weapon X 1-3, Generation X 1-2)
Trois bonnes séries qui arrivent à mettre en avant la personnalités de chaque mutants, surtout celle de Jean Grey qui bénéficie ici de sa toute première série solo. Pour moi n'ayant jamais apprécié le personnage plus que ça, j'ai été surprise de voir que le scénariste arrivait à la rendre intéressante.
Nouvelle revue avec trois nouvelles séries X. A quoi devons-nous nous attendre ? Une fois encore, Marvel ressasse de vieilles intrigues. Commençons par Jean Grey. Devinez quoi ? Elle va être confronté au Phénix ! Mais si ma brave dame. Comme c'est inattendu. Ah, j'oubliais, c'est une adolescente incomprise face à des adultes qui ne la prennent pas au sérieux. Quelle originalité. Rassurez-vous, aucun dessinateur de talent ne gaspille ses pinceaux sur ce navet. On aura droit à un travail sans intérêt. Suivant : Weapon X. Oui, encore un titre évoquant Weapon X, avec une équipe composée de gros durs façon X-Force. La bonne surprise, c'est que Greg Land a cessé de faire des planches copiées sur les couvertures de magazines féminins ou érotiques. Il semble s'être remis au dessin. C'est donc un peu moins tape-à-l'oeil mais plus authentique. Le scénario ne propose rien d'original (on a l'impression d'avoir déjà lu ça dix fois) mais la narration est efficace et donne envie de poursuivre la lecture. Une série B plaisante et agréable à lire. Terminons avec Generation X. Oui, encore un concept ressassé 50 fois. Hélas, cette mouture ne fait pas honneur aux premiers épisodes de la première série, ni à Wolverine and the X-Men dont elle semble s'inspirer. Encore une fois, RessurXion se contente d'une copie sans imagination.
Je partais avec un certain a priori concernant la série Jean Grey, et j'ai été assez agréablement surpris ! On ne retrouve pas ici la jeune Jean chiantos à souhait qu'on nous servait jusqu'à maintenant! Je n'irai pas jusqu'à dire qu'elle est redevenu top, mais il y a un net progrès à souligner, et j'ai envie de voir où cette série nous mène.
Du côté Weapon X, c'est bien d'avoir trois numéros, car le premier me laissait un peu neutre : pas déçu mais pas emballé non plus. Le second m'a mieux amorcé et le troisième était bon sur la lancée! C'est peut être que les choses se mettent lentement en place, on voit beaucoup trop pour dire trop peu. Mais après ce démarrage poussif, c'est plutôt intéressant, ça ne révolutionne peut être pas, mais ça cherche à revenir sur ce qu'on a pu aimer autour de "l'arme X".
Génération X est, pour moi, un note plus amère pour conclure ce magasine. Si le fond m'a évoqué l'idée du Wolverine & the X-Men, ces deux premiers numéros sont également poussifs et J'ai trouvé les dessins vraiment passables par endroit (et par personnage ?). C'est cependant un plaisir de revoir Quire au milieu de ces anciens camarades de classe. Par contre, je continue de me demander ce que Jubilé fait là. C'est un personnage qui a perdu pas mal de l'aura qu'elle a pu avoir je trouve, et qui au fil du temps me parait assez inintéressant (et elle fait partie de mauvais dessins à mon goût).
Le kiosque vaut le coup rien que pour les titres Gold et Blue. Old Man Logan reste tout de même sympathique sans pour autant casser la barraque.
Les X-Men Gold affrontent la nouvelle Confrérie des Mauvais Mutants dans un combat arbitré par Guggenheim, tandis que les X-Men Blue poursuivent leurs aventures sous l’impulsion de Bunn, Molina et Height. Plus Old Man Logan (Lemire/Nguyen) et l'arrivée de Wolverine dans une saga imaginée par Taylor et Kirk. (Contient les épisodes US X-Men Gold 2-3, X-Men Blue 2-3, Old Man Logan 21, All-New Wolverine 19)
Le kiosque vaut le coup rien que pour les titres Gold et Blue. Old Man Logan reste tout de même sympathique sans pour autant casser la barraque.
Nouvelle revue sur les mutants avec les très bonnes séries X-Men Blue et X-Men Gold qui signent le renouveau des différentes équipes. C'est très bien écrit et cela rend enfin justice aux X-Men.
Après une chute continue de la qualité depuis 10 ans, les X-Men avaient touché le fond avec Jeff Lemire. L'ère ResurrXion qui commence ici porte-t-elle bien son nom ? Hélas, non. Quand une série est au plus bas, la tentation est forte de revenir aux sources. La formule marche parfois (Geoff Johns est passé maître en la matière), parfois non. Ici, si nous avons bien un retour à la formule de l'âge d'or des X-Men, c'est la version Canada Dry que l'on nous sert (si vous ne comprenez pas la référence, c'est que je suis vraiment trop vieux). L'opération sauvetage permet d'enrayer la chute de la Maison X mais ne retrouve pas la magie qui en faisait son charme, même si l'idée de placer Kitty à la tête de l'école est une excellente initiative.Quant à la partie artistique, elle n'aide vraiment pas à remonter le niveau. Au mieux, c'est fade. Passé le numéro introductif de la nouvelle ère (X-Men Prime), on découvre que les 5 X-Men jeunes n'ont rien de neuf à raconter, hormis la révélation finale difficile à avaler. L'équipe d'X-Men adultes menée par Kitty ne cache pas qu'elle s'inspire des années Claremont, allant jusqu'à en piller tous les poncifs. Mais la copie n'égale en rien l'original. Reste Old Man Logan qui se lit sans déplaisir mais qui n'atteint pas les sommets de ses débuts. Verdict : un relaunch raté. Dommage.
Une nouvelle ère commence pour les X-Men avec deux nouvelles équipes, la Blue et la Gold. Qui en seront les membres ? Vous le découvrirez après le prologue X-Men Prime. Par Guggenheim, Bunn, Molina, Buffagni et Syaf. Retrouvez aussi Old Man Logan dans une saga complète en deux volets signés Lemire et Andrade.
(Contient les épisodes US X-Men Prime 1, X-Men Gold 1, X-Men Blue 1, Old Man Logan 19-20)
Nouvelle revue sur les mutants avec les très bonnes séries X-Men Blue et X-Men Gold qui signent le renouveau des différentes équipes. C'est très bien écrit et cela rend enfin justice aux X-Men.
Après une chute continue de la qualité depuis 10 ans, les X-Men avaient touché le fond avec Jeff Lemire. L'ère ResurrXion qui commence ici porte-t-elle bien son nom ? Hélas, non. Quand une série est au plus bas, la tentation est forte de revenir aux sources. La formule marche parfois (Geoff Johns est passé maître en la matière), parfois non. Ici, si nous avons bien un retour à la formule de l'âge d'or des X-Men, c'est la version Canada Dry que l'on nous sert (si vous ne comprenez pas la référence, c'est que je suis vraiment trop vieux). L'opération sauvetage permet d'enrayer la chute de la Maison X mais ne retrouve pas la magie qui en faisait son charme, même si l'idée de placer Kitty à la tête de l'école est une excellente initiative.Quant à la partie artistique, elle n'aide vraiment pas à remonter le niveau. Au mieux, c'est fade. Passé le numéro introductif de la nouvelle ère (X-Men Prime), on découvre que les 5 X-Men jeunes n'ont rien de neuf à raconter, hormis la révélation finale difficile à avaler. L'équipe d'X-Men adultes menée par Kitty ne cache pas qu'elle s'inspire des années Claremont, allant jusqu'à en piller tous les poncifs. Mais la copie n'égale en rien l'original. Reste Old Man Logan qui se lit sans déplaisir mais qui n'atteint pas les sommets de ses débuts. Verdict : un relaunch raté. Dommage.
Au risque de contredire l'ami Hawkeye, Laura n'est pas et ne sera jamais Wolverine. Certes, le titre a le goût d'une série Wolverine mais pas vraiment celui des grandes heures. Non, franchement, on peut aisément oublier Laura et ses clones. Le récit est bien rythmé et peut être prenant par moment mais l'intrigue n'a guère d'intérêt et la caractérisation manque de profondeur. Un titre d'action distrayant mais superficiel. Dispensable.
Une des meilleures séries à retenir du dernier relaunch en date de Marvel. On se retrouve avec un histoire de clones, mais c'est très bien traité par Tom Taylor et la partie graphique est pas mal. On se demande juste pourquoi avoir forcé Laura à prendre le titre de Wolverine
Super ! Un véritable régal pour les yeux et un scénario à la "Wolverine" comme on les aime: de l'action, des expériences génétiques, du drame. On peut quand même dire que ça fait plaisir de voir Laura comme ça dans cette série. Ce personnage a quand même fait un sacré bout de chemin depuis sa 1ère apparition. À lire.
Auteurs : Taylor, Lopez
Reprenant le costume de Logan, Laura veut faire honneur à sa mémoire. Mais des clones de la jeune femme font leur apparition et le passé de l'héroïne vient hanter la nouvelle Wolverine.
(Contient les épisodes US All-New Wolverine (2016) 1-6, précédemment publiés dans les revues ALL-NEW WOLVERINE & X-MEN 1-5)
Au risque de contredire l'ami Hawkeye, Laura n'est pas et ne sera jamais Wolverine. Certes, le titre a le goût d'une série Wolverine mais pas vraiment celui des grandes heures. Non, franchement, on peut aisément oublier Laura et ses clones. Le récit est bien rythmé et peut être prenant par moment mais l'intrigue n'a guère d'intérêt et la caractérisation manque de profondeur. Un titre d'action distrayant mais superficiel. Dispensable.
Une des meilleures séries à retenir du dernier relaunch en date de Marvel. On se retrouve avec un histoire de clones, mais c'est très bien traité par Tom Taylor et la partie graphique est pas mal. On se demande juste pourquoi avoir forcé Laura à prendre le titre de Wolverine
Super ! Un véritable régal pour les yeux et un scénario à la "Wolverine" comme on les aime: de l'action, des expériences génétiques, du drame. On peut quand même dire que ça fait plaisir de voir Laura comme ça dans cette série. Ce personnage a quand même fait un sacré bout de chemin depuis sa 1ère apparition. À lire.
On est dans le creux de la vague, le ventre mou de la série. Ce n'est pas mauvais mais pas passionnant. Parker riche n'arrive pas à être attachant, ni même intéressant. C'est une bonne idée de montrer que Peter peut réussir mais, outre le fait que cela remet en cause le concept même du personnage, c'est traité avec superficialité. Sans gros event pour la soutenir, cette série ronronne trop.
C'est tout le contraire d'Afa pour moi, ce tome est le meilleur avant la dégringolade qui suit. En effet, Slott sait encore où il va et continue de mettre en avant le nouveau Parker. C'est efficace et les dessins de Camuncoli aident bien. Dommage que la suite baisse en qualité.
Auteurs : Slott, Buffagni, Camuncoli
Mister Négative a recruté la Cape et l’Épée, Spider-Man va donc devoir affronter trois adversaires pour le prix d'un, au milieu de Shanghai ! Pendant ce temps, un autre ennemi prépare son plan à l'insu du Tisseur.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (2015) 6-11 , précédemment publiés dans les revues ALL-NEW SPIDER-MAN 4-7)
On est dans le creux de la vague, le ventre mou de la série. Ce n'est pas mauvais mais pas passionnant. Parker riche n'arrive pas à être attachant, ni même intéressant. C'est une bonne idée de montrer que Peter peut réussir mais, outre le fait que cela remet en cause le concept même du personnage, c'est traité avec superficialité. Sans gros event pour la soutenir, cette série ronronne trop.
C'est tout le contraire d'Afa pour moi, ce tome est le meilleur avant la dégringolade qui suit. En effet, Slott sait encore où il va et continue de mettre en avant le nouveau Parker. C'est efficace et les dessins de Camuncoli aident bien. Dommage que la suite baisse en qualité.
Les Avengers commencent à devenir de plus en plus intéressants et sont désormais mis en images par une brochette de stars : Perez, Buscema et Byrne, excusez du peu. Et le meilleur est à venir dans les tomes suivants.
Auteurs : Conway, Shooter, Pérez, Buscema, Byrne
Le redoutable Ultron, futur époux de Jocaste, souhaite pour cadeau de mariage la mort des Avengers. Dans ce volume reprenant l'intégralité des épisodes de 1977, les plus grand héros de la Terre vont également affronter Attuma, Graviton et le Moissonneur. Enfin, retrouvez l'équipe avec Captain Marvel et Spider-Man face à Thanos !
(Contient les épisodes US Avengers (1963) 155-166 et Annual 7 et Marvel Two-In-One Annual 2, précédemment publiés dans les revues VENGEUR (Arédit) 6-7 et dans les albums MARVEL VINTAGE : AVENGERS – LA PROMISE D'ULTRON et MARVEL ANTHOLOGIE : NOUS SOMMES LES AVENGERS)
Les Avengers commencent à devenir de plus en plus intéressants et sont désormais mis en images par une brochette de stars : Perez, Buscema et Byrne, excusez du peu. Et le meilleur est à venir dans les tomes suivants.
Scénariste : Joshua Williamson
Dessinateur : Mike Henderson
La Nailbiter a disparu ! Et il semble qu’un nouveau serial killer sème la terreur à Atlanta. Ce nouveau tueur pourrait-il être la clé pour élucider les mystères obscurs de Buckaroo ? Finch et Crane vont-ils devoir vendre leur âme au diable pour le découvrir ?
Nailbiter, le thriller de Joshua Williamson et Mike Henderson salué par la critique et le public se poursuit, de plus en plus malsain, de plus en plus sanglant ! Comme ses personnages, vous n’en sortirez pas indemnes…
Auteurs : Gillen, Larroca
Après la destruction de la première Étoile de la Mort, Dark Vador est le seul survivant de la plus grande défaite de l'Empire Galactique. Comment le Seigneur Noir des Sith recouvrera-t-il sa puissance ?
(Contient les épisodes US Darth Vader (2015) 1-25 et Annual 1, Star Wars (2015) 13-14 et Star Wars : Vader Down 1, précédemment publiés dans les albums 100% STAR WARS : DARK VADOR 1-4 et VADOR ABATTU)
Une série sympathique entre deux têtes brûlées. Les fans des deux héros ou de l'un d'eux devraient y trouver leur compte.
Pourquoi sortir cette mini-série dans ce format alors qu'elle est sorti il y a peu en kiosque ? Je ne comprend pas le choix de Panini surtout qu'elle n'avait rien d'extraordinaire. Chercher plutot le Marvle Universe où ça a été publié à l'origine et economisez 9€
Auteurs : Seeley, Bondoc
Thanos déteste Deadpool mais il a pourtant besoin de lui pour sauver sa bien-aimée, la Mort. C'est parti pour une aventure surprenante par le plus inattendu des duos !
(Contient les épisodes US Deadpool vs Thanos 1-4, publiés précédemment dans la revue MARVEL UNIVERSE HORS SERIE 1)
Une série sympathique entre deux têtes brûlées. Les fans des deux héros ou de l'un d'eux devraient y trouver leur compte.
Pourquoi sortir cette mini-série dans ce format alors qu'elle est sorti il y a peu en kiosque ? Je ne comprend pas le choix de Panini surtout qu'elle n'avait rien d'extraordinaire. Chercher plutot le Marvle Universe où ça a été publié à l'origine et economisez 9€
Désolé, j'ai beau avoir essayé, cette lecture fut d'un ennui terrible. Après avoir lu X-Force par Remender et Opena, on peut difficilement supporter cet ersatz indigeste qui fut d'ailleurs aussitôt oublié après sa publication. Une réédition en librairie était-elle nécessaire ?
Vraiment très particulière cette version d'X-Force, un peu difficile à suivre par moments, totalement hors sujet à d'autres et pourtant quelques éclairs de génie passent au travers avec quelques excellents numéros et idées. Difficile tout de même de se faire un avis global positif tellement la lecture est hétérogène et loin d'être facilement accessible. Peut-être qu'une lecture d'ensemble laissera un meilleure empreinte dans la mémoires des lecteurs, d'autant qu'il y a quand même ce qu'il faut en développement des personnages et retournements de situations. Tout le monde n'adhérera pas aux dessins non plus, c'est là aussi particulier et assez hétérogène mais insuffle une certaine ambiance à la série. Il faut vraiment essayer pour se faire une idée !
Auteurs : Spurrier, He-Kim, Eng Huat
Tous les peuples du monde sont secrètement protégés par des surhumains : les États-Unis ont les Secret Avengers, le Royaume-Uni le MI13 et les mutants peuvent compter sur X-Force. Cette équipe, dirigée par Cable, est composée de tueurs, de psychopathes et d’espions. Avec Psylocke, Fantomex, le Docteur Némesis ou Marrow à ses côtés, Nathan Summers est prêt à tout pour sauver les siens.
(Contient les épisodes US X-Force (2014) 1-15, précédemment publiés dans les revues X-MEN (V4) 18-23 et X-MEN HS 4)
Désolé, j'ai beau avoir essayé, cette lecture fut d'un ennui terrible. Après avoir lu X-Force par Remender et Opena, on peut difficilement supporter cet ersatz indigeste qui fut d'ailleurs aussitôt oublié après sa publication. Une réédition en librairie était-elle nécessaire ?
Vraiment très particulière cette version d'X-Force, un peu difficile à suivre par moments, totalement hors sujet à d'autres et pourtant quelques éclairs de génie passent au travers avec quelques excellents numéros et idées. Difficile tout de même de se faire un avis global positif tellement la lecture est hétérogène et loin d'être facilement accessible. Peut-être qu'une lecture d'ensemble laissera un meilleure empreinte dans la mémoires des lecteurs, d'autant qu'il y a quand même ce qu'il faut en développement des personnages et retournements de situations. Tout le monde n'adhérera pas aux dessins non plus, c'est là aussi particulier et assez hétérogène mais insuffle une certaine ambiance à la série. Il faut vraiment essayer pour se faire une idée !
Après l'arc Year One, voici l'autre facette de ce Rebirth de Wonder Woman, puisque l'on sait que les numéros alternaient entre la période présente et passé. On est donc désormais dans le présent et Greg Rucka s'attaque à la grosse intrigue qu'il lance dans le numéro spécial Rebirth (présent ici) autour du mystère de Themyscira et des différentes origines de Diana. C'est malheureusement nettement moins convaincant que Year One, la narration est très lente, le contexte choisi pour l'intrigue n'est pas du tout passionnant et on apprend très peu de choses pour le moment. Seul le traitement du personnage de Barbara Minerva, qui fait écho à Year One, est intéressant et reste l'un des points forts de la série. Liam Sharp est assez époustouflant sur les décors et offre une vraie belle ambiance à cette série, c'est par contre moins bon sur les personnages et les émotions. L'intrigue décollera et sera un peu plus intéressante dans sa deuxième partie, mais sur ce tome, on reste sur notre faim.
Déesse de la Guerre, fille de Zeus, reine des Amazones... Diana de Themyscira est tout ça à la fois. Mais le retour de son ennemie de toujours, Cheetah, et celui de son ancien amant, Steve Trevor, jettent un doute sur la réalité de son passé. Et si l'Île du Paradis cachait en son sein un véritable enfer pour Wonder Woman ?Contenu : WONDER WOMAN : The Lies (#1, #3, #5, #7, #9, #11 + WONDER WOMAN: REBIRTH)
Après l'arc Year One, voici l'autre facette de ce Rebirth de Wonder Woman, puisque l'on sait que les numéros alternaient entre la période présente et passé. On est donc désormais dans le présent et Greg Rucka s'attaque à la grosse intrigue qu'il lance dans le numéro spécial Rebirth (présent ici) autour du mystère de Themyscira et des différentes origines de Diana. C'est malheureusement nettement moins convaincant que Year One, la narration est très lente, le contexte choisi pour l'intrigue n'est pas du tout passionnant et on apprend très peu de choses pour le moment. Seul le traitement du personnage de Barbara Minerva, qui fait écho à Year One, est intéressant et reste l'un des points forts de la série. Liam Sharp est assez époustouflant sur les décors et offre une vraie belle ambiance à cette série, c'est par contre moins bon sur les personnages et les émotions. L'intrigue décollera et sera un peu plus intéressante dans sa deuxième partie, mais sur ce tome, on reste sur notre faim.
Meme s'il nous fait le coup de l'anneau spécial qui ressemble étrangement à l'anneau de White Lantern, Sam Humphries arrive à rendre les protagonistes intéressants à suivre et l'intrigue qu'il développe est prenant mais s'étale un peu trop. On peut regretter l'inconstance de l'équipe artistique vu qu'on se retrouve avec 3 ou 4 dessinateurs différents pour 8 numéros.
Un anneau pour les contrôler tous ! Les deux nouvelles recrues terriennes du Corps des Green Lantern, à savoir Jessica Cruz et Simon Baz, ont été assignés au poste de défenseurs de la Terre par Hal Jordan. Leur première mission, face à Atrocitus, a été couronnée de succès, permettant aux jeunes gens d’acquérir confiance et expérience. Mais l’arrivée de Rami, un Gardien de l’Univers exilé et détenteur d’un anneau de pouvoir d’un nouveau genre, va changer la donne. La bague permet de canaliser toutes les énergies du spectre émotionnel, et attire la convoitise d’un mystérieux manipulateur, un ennemi des Gardiens que tout le monde croyait mort depuis longtemps. Une seconde mission frénétique racontée par Sam HUMPHRIES, Ronan CLIQUET, Ed BENES, Robson ROCHA et Eduardo PANSICA.
(Contient les épisodes US GREEN LANTERNS #7 à #14)
Meme s'il nous fait le coup de l'anneau spécial qui ressemble étrangement à l'anneau de White Lantern, Sam Humphries arrive à rendre les protagonistes intéressants à suivre et l'intrigue qu'il développe est prenant mais s'étale un peu trop. On peut regretter l'inconstance de l'équipe artistique vu qu'on se retrouve avec 3 ou 4 dessinateurs différents pour 8 numéros.
Passez votre chemin sur cette série, on a là deux arcs dont un ou on ne voit pas d'ennemi et juste la Ligue terrifiée et l'autre ou un virus informatique devient une énorme menace. Hitch fait dans la surenchère mais le fait très mal. Peut être qu'une lecture en tome sauve un peu la chose, mais son schéma d'arc est toujours le même et ça finit par se voir. Et même les dessinateurs ne semblent pas croire en ce qu'ils dessinent tant ils ne sont pas à leur meilleur niveau.
Il existe des forces capables de manipuler l'esprit et de nous confronter à nos pires angoisses. Et quand celles-ci s'attaquent à la plus grande équipe de super-héros, c'est la Terre entière qui est en danger, poussant les membres de la Ligue de Justice à s'en prendre les uns aux autres. Seuls des héros entraînés à contrôler leur peur pourront en venir à bout... Jessica Cruz et Simon Baz, les deux novices de l'équipe, parviendront-ils à repousser cette nouvelle menace ?
Contenu : Justice League Vol.2: Outbreak (#6-11)
Passez votre chemin sur cette série, on a là deux arcs dont un ou on ne voit pas d'ennemi et juste la Ligue terrifiée et l'autre ou un virus informatique devient une énorme menace. Hitch fait dans la surenchère mais le fait très mal. Peut être qu'une lecture en tome sauve un peu la chose, mais son schéma d'arc est toujours le même et ça finit par se voir. Et même les dessinateurs ne semblent pas croire en ce qu'ils dessinent tant ils ne sont pas à leur meilleur niveau.
Bendis qui n'en fait qu'à sa tête et ça donne un event bâclé en plus de ne pas respecter la continuité. Merci Marvel pour avoir autorisé ça.
Non. Hormis quelques bons dialogues et confrontations à la Bendis, vous ne trouverez rien d'autre dans cet event totalement raté. Il n'a d'ailleurs aucune raison d'être et ne trouvera jamais vraiment de justification quant à son existence, malgré tous les efforts du scénariste. Quelques bonnes idées sont pourtant perdues dans le tas mais toujours très mal exploitées, pour faire un gros FLOP monumental à la fin. Les dessins de David Marquez sont très bons par contre, il y a toujours ça à sauver. Et ne vous fiez surtout pas au nom, ça n'a rien à voir avec Civil War premier du nom. Lisez autre chose, ce sera forcément mieux.
Auteurs : Bendis, Marquez
Ulysse, un nouvel inhumain fait son apparition. Il possède le don d'annoncer les catastrophes qui vont se produire. Pour Captain Marvel, suivre ses indications permettrait de sauver des vies. À l’opposé, Iron Man estime qu'il est dangereux de chercher à maîtriser le futur. Des questions se posent alors : doit-on sacrifier la liberté à la sécurité ? Peut-on enfermer des coupables avant qu'ils aient commis les crimes dont ils sont accusés ? Cette divergence d’opinion entraîne les super-héros Marvel dans une nouvelle guerre civile. (Contient les épisodes US Civil War II 0-8, Free Comic Book Day : Civil War II 1, Civil wAr II : the Fallen 1, Civil War II : The accused 1, précédemment publiés dans l'album MARVEL ABSOLUTE : CIVIL WAR II)
Bendis qui n'en fait qu'à sa tête et ça donne un event bâclé en plus de ne pas respecter la continuité. Merci Marvel pour avoir autorisé ça.
Non. Hormis quelques bons dialogues et confrontations à la Bendis, vous ne trouverez rien d'autre dans cet event totalement raté. Il n'a d'ailleurs aucune raison d'être et ne trouvera jamais vraiment de justification quant à son existence, malgré tous les efforts du scénariste. Quelques bonnes idées sont pourtant perdues dans le tas mais toujours très mal exploitées, pour faire un gros FLOP monumental à la fin. Les dessins de David Marquez sont très bons par contre, il y a toujours ça à sauver. Et ne vous fiez surtout pas au nom, ça n'a rien à voir avec Civil War premier du nom. Lisez autre chose, ce sera forcément mieux.
![[Sorties Comics] Vendredi 26 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Oulah ! Gros soucis sur la page :D
Pas très lisible, et il m'a fallu rusé pour arrivé dans la zone de commentaire pour le remonter (au cas où).
Doit y avoir des balises qui ont sauté peut être ? (j'ai pas été fouiller le code la page, je vous le laisse :D )
Je veux bien un screen :) car j'ai aucun souci de mon côté ^^' !
Je confirme... problème d'affichage et peu importe l'explorateur internet...
Argh, le type de bug que je déteste ... pas visible pour un admin ... c'est bon c'est corrigé ! Merci à vous deux comme d'hab' maintenant ! :)
^^
En tout cas, ça fait cool maintenant, le petit déroulé de section, c'est sympa.
Juste un truc, c'est quand on ouvre une secion, ça ferme les autres, mais ça ne repositionne pas la page sur le début de la section, et quand on a une longue section comme la première, en cliquant sur la suivante, on se retrouve en bas de page, et faut remonter du coup
En effet, pas pratique, je vais regarder ça.
Serait-il possible d'ajouter la date de sortie des différents comics de cette page ?
C'est fait !
Ok merci
Perso je n'aime pas du tout cette nouvelle présentation de la sélec. Je préférerais avoir la possibilité de voir tous les comics de la sélec comme avant plutôt que de ne voir qu'une catégorie à la fois. Surtout quand les catégories n'ont pas la même taille, il faut toujours que je remonte la page pour voir le début à chaque changement de catégorie
Oui je suis d'accord, une fois la catégorie terminée, on est basculé tout en bas de page c'est hyper désagréable!
Remettez nous la lecture totale sur une page c'était parfait...
Ah et sur smartphone (Iphone 6 Plus, avec Chrome) c'est illisible... :(
Mais bravo à l'équipe de la MDCU Team (et au webmaster) pour leur boulot, je passe pour un ronchon mais "j'adore ce que vous faites" quand même :)
Oui je suis d'accord, une fois la catégorie terminée, on est basculé tout en bas de page c'est hyper désagréable!
C'est simplement parce que c'est un bug qui doit être corrigé.
Je n'ai aucun souci sous iphone + chrome concernant la lisibilité. Hormis le bug hyper casse couille qui nous fait rester en bas qui va être corrigé.
Je préfère me concentrer sur la réouverture VO + petites fonctions commentaire avant de rebasculer sur l'affichage de la select'. Mais oui je vous ai lu et prend en compte vos retours. Juste que ici tout est dev' à la main, sur mon temps libre, c'est pas un CMS tout prêt. Ça me prend donc un peu de temps pour être partout et nulle part à la fois.
Tiens, en voulant revenir sur la page, je me suis rendu compte qu'il n'y a plus le petit accès rapide depuis le menu vers les sélections mensuelles, c'est voulu ?
Oui on est entrain de repasser dessus pour voir si tout est propre. Et retravailler l’affichage.
![[VF] Sélection MDCU de novembre 2017](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_26234_vf-selection-mdcu-de-novembre-2017.png)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (2)
AfA Staff MDCU
il y a 7 ans
Incontestablement ce que Slott a fait de meilleur sur Spider-Man. C'était audacieux de remplacer Parker par Octavius et le résultat dépasse toutes les attentes. Ca restera un classique dont on reparlera pendant des années. C'est drôle, passionnant, surprenant, malin. Slott a son meilleur avec des dessinateurs de choc.
Cyrille Staff MDCU
il y a 7 ans
Du très très bon, n'hésitez pas ! De bons dessins, une bonne histoire, du bon Spider-Man, que demander de plus ? Slott gère son histoire comme il se doit et c'est un régal.