Une menace sans précédent pèse sur l'univers DC. Superman, Wonder Woman, Starfire - tous sont impuissants face aux velléités de Necrostar d'anéantir toute vie sur Terre. Alors que des millions de personnes sont transformées en créatures déchaînées, le seul héros qui peut sauver le monde est... Beast Boy. Avec Nightwing, Raven, Cyborg et les Titans à ses côtés, Garfield Logan parviendra-t-il à combattre un mal ancien ? Que fera Amanda Waller pour profiter de la situation ? Rien ne sera plus jamais pareil, car la Terre est sur le point de devenir... Beast World.
Contenu vo : Titans: Beast World #1 + Titans: Beast World - Waller Rising #1 + Titans: Beast World #2 + Titans: Beast World Tour - Gotham #1 + Nightwing #109 (backup) + Titans: Beast World #3 + Titans #6-7 + Titans: Beast World #4 + Nightwing #110 + Titans: Beast World #5 + Titans: Beast World Tour - Star City #1 + Titans: Beast World #6 + Titans #8
Première partie de l'event Beast World. Je n'ai pas tout lu, puisque je n'ai pas lu les Beast World Tour, mais c'est un event très correct, avec de beaux dessins d'Ivan Reis. Les enjeux sont intéressants, et auront des conséquences pour la suite. Mais surtout, c'est la première grosse menace qu'affrontent les Titans depuis qu'ils remplacent la Justice League. La différence de réaction est plutôt bien faite, et le tout s'incrit bien dans la continuité de cette idée.
Nouvel event DC et premier de la part de Tom Taylor nous arrive avec ce deuxième tome. Un event bien classique dans son scénario, mais bien construit pour le coup et agréable à lire avec quelques surprises. L’histoire est bien rythmée, même si certains tics de l’auteur comme sa narration sont un peu lourds à lire. L’aspect épique de l’event met bien en avant les Titans comme remplaçant à la JL même si on a du mal à croire aux conséquences durables de l’event.
Le point fort pour les dessins, c’est quand Ivan Reis dessine l’event, il reste toujours un excellent dessinateur, c'est juste dommage qu’il ne soit là que pour 3 numéros et demi. Les remplaçants font pâle figure, même s’ils ne sont pas mauvais.
Il faut dire que sans Ivan Reis au dessin, le titre perdrait un peu de sa superbe et son côté épique de la mise en scène. Bon dieu que c'est beau !!! L'histoire reste intéressante et prenante, au début... Elle traine finalement en longueur pour pas grand chose, je trouve... Quelques rebondissements (parfois prévisibles) réhaussent néanmoins notre attention de lecteur. L'intrigue reste manichéenne, peu novatrice dans sa construction et ses enjeux.
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