Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties de mai qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Frank Miller
Elektra est morte, pourtant elle hante Daredevil dans son sommeil. Le héros va chercher la vérité dans un récit épique écrit et illustré par Frank Miller, et réédité ici dans un format à couper le souffle ! Contient les épisodes US Elektra Lives Again, précédemment publiés dans MARVEL ICONS : ELEKTRA.
Un vrai bijou, que l'on avait retrouvé dans le volume Icons consacré au personnage. Est-ce que ce numéro mérite une édition individuelle de grande qualité ? Sans doute. Est-ce que vous le voulez dans votre collection ? À vous de voir !
Un chef-d'œuvre de Frank Miller, au sommet de son art, magnifiquement colorisé. C'est enfin rendre justice à ces planches sublimes que de les proposer dans ce format immense et sur du beau papier. Cette histoire n'avait pas eu une édition digne de ce nom est France depuis sa première publication aux Éditions USA. Une injustice est réparée.
Retombez en enfance et jetez-vous sur cette réédition des deux premières mini-série du magicien d'Oz. Les dessins cartoony de Skottie Young sont une merveille pour cette univers. Et vu le prix, autant sauter le pas, vous ne le regretterez pas.
Une merveille, un délice qui régalera aussi bien les adultes que les enfants, les passionnés des romans originels que les béotiens. Un monde fantastique magnifiquement mise en images et qui se dévore.
Eric Shanower, Skottie Young
L'adaptation des romans de Frank L. Baum par Eric Shanower et Skottie Young est à faire découvrir à tous les lecteurs, en particulier les plus jeunes ! Cet album contient deux maxi-séries complètes à un prix absolument dingue. Contient les épisodes US The Wonderful Wizard of Oz (2009) 1-8 et The Marvelous Land of Oz (2010) 1-8, précédemment publiés dans LE MAGICIEN D'OZ et LE MERVEILLEUX PAYS D'OZ.
Retombez en enfance et jetez-vous sur cette réédition des deux premières mini-série du magicien d'Oz. Les dessins cartoony de Skottie Young sont une merveille pour cette univers. Et vu le prix, autant sauter le pas, vous ne le regretterez pas.
Une merveille, un délice qui régalera aussi bien les adultes que les enfants, les passionnés des romans originels que les béotiens. Un monde fantastique magnifiquement mise en images et qui se dévore.
Un titre très connu de l'univers de Spider-Man et qui a déjà été édité plusieurs fois en France. Pour les retardataires qui apprécient Spider-Man, c'est à lire !
Une des meilleures et des plus sombres histoires de Spider-Man. Avec toutes ces rééditions, y a-t-il quelqu'un qui ne l'a pas déjà ?
Vous aimez Spider-Man et vous n'avez pas encore lu cette histoire ? Panini vous donne une nouvelle chance de réparer cette erreur. Un des meilleurs récits complets de Spidey.
J.M. DeMatteis, Mike Zeck
Pour sa dernière sortie, Kraven le Chasseur ne désire qu'une chose : la tête de Spider-Man sur son tableau de chasse ! Une saga essentielle du Tisseur qui va pousser Peter Parker dans ses derniers retranchements. Contient les épisodes US Web of Spider-Man (1985) 31-32, Amazing Spider-Man (1963) 293-294 et Spectacular Spider-Man (1976) 131-132, précédemment publiés dans SPIDER-MAN : L'INTÉGRALE 1987-1988.
Un titre très connu de l'univers de Spider-Man et qui a déjà été édité plusieurs fois en France. Pour les retardataires qui apprécient Spider-Man, c'est à lire !
Une des meilleures et des plus sombres histoires de Spider-Man. Avec toutes ces rééditions, y a-t-il quelqu'un qui ne l'a pas déjà ?
Vous aimez Spider-Man et vous n'avez pas encore lu cette histoire ? Panini vous donne une nouvelle chance de réparer cette erreur. Un des meilleurs récits complets de Spidey.
Un event Marvel qui aura marqué les esprits à l'époque et qui, aujourd'hui encore, est une référence.
Pour le coup, l'appellation "must-have" n'est pas exagérée.
Un évent qui a marqué son temps et le monde des mutants pendant un long moment. Une très bonne histoire signée Brian Michael Bendis quand il savait encore écrire, de superbes dessins d'Olivier Coipel, que demander de plus ? Jetez-vous dessus!
L'époque où les events Marvel annuels avaient encore un vrai intérêt et un vrai impact sur l'univers. Bendis signe l'une de ses histoires les plus appréciées chez Marvel et Olivier Coipel assure au dessin. C'est effectivement un "must-have".
Je suis lassé des univers alternatif mais il faut reconnaître que cet event, historique à plus d'un titre, est une réussite. Il marque l'ambition de la nouvelle équipe éditoriale de révolutionner. l'univers Marvel. L'event qui a convaincu Marvel de faire des crossovers à foison.
La bonne époque des évènements Marvel ! Cette histoire a marqué durablement l'univers des mutants, et a impliqué tous les autres héros. C'est devenu culte avec le temps, comme Civil War, et c'est mérité.
Brian Michael Bendis, Olivier Coipel
L'une des sagas les plus importantes des X-Men. La Sorcière Rouge, poussée à bout, recrée un monde où les mutants dominent la planète. Mais certains héros gardent un souvenir du "monde d'avant"…
(Contient les épisodes US House of M (2005) 1-8, précédemment publiés dans MARVEL SELECT : HOUSE OF M)
Un event Marvel qui aura marqué les esprits à l'époque et qui, aujourd'hui encore, est une référence.
Pour le coup, l'appellation "must-have" n'est pas exagérée.
Un évent qui a marqué son temps et le monde des mutants pendant un long moment. Une très bonne histoire signée Brian Michael Bendis quand il savait encore écrire, de superbes dessins d'Olivier Coipel, que demander de plus ? Jetez-vous dessus!
L'époque où les events Marvel annuels avaient encore un vrai intérêt et un vrai impact sur l'univers. Bendis signe l'une de ses histoires les plus appréciées chez Marvel et Olivier Coipel assure au dessin. C'est effectivement un "must-have".
Je suis lassé des univers alternatif mais il faut reconnaître que cet event, historique à plus d'un titre, est une réussite. Il marque l'ambition de la nouvelle équipe éditoriale de révolutionner. l'univers Marvel. L'event qui a convaincu Marvel de faire des crossovers à foison.
La bonne époque des évènements Marvel ! Cette histoire a marqué durablement l'univers des mutants, et a impliqué tous les autres héros. C'est devenu culte avec le temps, comme Civil War, et c'est mérité.
Suite de l'excellente surprise de 2019, on continue dans la même veine avec ce mélange d'univers de Kaijus et du milieu carcéral qui marche toujours autant. Accompagné d'un très bon scénario remplis d'événements surprenants et de moments durs, notamment la première partie d'une rare violence où certaines intrigues du 1er tome arrivent à leurs conclusions. La seconde partie s'éloigne de ces événements pour une intrigue plus tranquille et un peu plus humoristique, mais toujours en lien avec les différentes intrigues tissées par l'auteur. C'est sans oublier le dessin au style cartoon qui contraste avec la violence du titre qui est toujours une franche réussite.
La guerre des gangs fait à nouveau rage sur l’île-prison de Kaijumax ! Alors que le jeune Whoofy hérite de l’empire de son père, Singe-Baleine, c’est le contrôle du trafic d’uranium qui est en jeu ! Pendant ce temps, le Dr Zhang, la médecin de la prison, va découvrir une aile jamais vue de Kaijumax : le prison pour femme. Après avoir commis l’irréparable sur son compagnon abusif, elle se joint au concert carcéral d’accros à l’uranium, d’arnaqueuses, d’horreurs lovecraftiennes et de métaphores de l’oppression systémique de l’état.
Contient Kaijumax Saison 3 #1-6 et Saison 4 #1-6.
Suite de l'excellente surprise de 2019, on continue dans la même veine avec ce mélange d'univers de Kaijus et du milieu carcéral qui marche toujours autant. Accompagné d'un très bon scénario remplis d'événements surprenants et de moments durs, notamment la première partie d'une rare violence où certaines intrigues du 1er tome arrivent à leurs conclusions. La seconde partie s'éloigne de ces événements pour une intrigue plus tranquille et un peu plus humoristique, mais toujours en lien avec les différentes intrigues tissées par l'auteur. C'est sans oublier le dessin au style cartoon qui contraste avec la violence du titre qui est toujours une franche réussite.
Fin du très long run de Williamson qui nous sert un final en apothéose. L'auteur se fait plaisir en faisant intervenir toute la mythologie de Flash, nous proposant des moments épiques, une Flash-Family enfin (presque) restorée et met un terme à la longue rivalité entre Flash et son Némésis. On pourra reprocher quelques facilités dans la résolution de certains moments et un Barry un peu schizophrène par moment. Pour les dessins, on a des styles très hétéroclites. S'ils n'ont pas tous un style dynamique pour représenter les effets de vitesse, ça reste des dessins de très bonne fracture notamment avec Rafa Sandoval.
Conclusion du run de Joshua Williamson qui termine son épopée sur le titre avec la confrontation tant attendue entre Flash et son némésis Reverse-Flash. On a du beau monde avec le retour de pas mal de personnages issus de la Flash Family et qui avaient été laissé de côté depuis un très long moment. On a quelques facilités mais une superbe conclusion à ce long run. C'est juste dommage qu'il y ait autant de dessinateurs différents pour cet ultime tome.
Flash a vaincu Paradox grâce à l'aide de son ennemi de toujours : le Néga-Flash ! Ce dernier, qui a échappé plusieurs fois à la mort, a cependant juré de ruiner la vie du Bolide Écarlate. Et pour ce faire, le criminel réunit autour de lui une équipe de super-vilains taillée sur mesure : la Légion de Zoom. Face à cette nouvelle alliance réunissant certains de ses pires adversaires, Flash sera bientôt rejoint par de nombreux héros partageant ses pouvoirs et son sens de la justice, pour une ultime bataille entre le Bien et le Mal !
Contenu vo : Flash #756-762 + #750 (back-up)
Fin du très long run de Williamson qui nous sert un final en apothéose. L'auteur se fait plaisir en faisant intervenir toute la mythologie de Flash, nous proposant des moments épiques, une Flash-Family enfin (presque) restorée et met un terme à la longue rivalité entre Flash et son Némésis. On pourra reprocher quelques facilités dans la résolution de certains moments et un Barry un peu schizophrène par moment. Pour les dessins, on a des styles très hétéroclites. S'ils n'ont pas tous un style dynamique pour représenter les effets de vitesse, ça reste des dessins de très bonne fracture notamment avec Rafa Sandoval.
Conclusion du run de Joshua Williamson qui termine son épopée sur le titre avec la confrontation tant attendue entre Flash et son némésis Reverse-Flash. On a du beau monde avec le retour de pas mal de personnages issus de la Flash Family et qui avaient été laissé de côté depuis un très long moment. On a quelques facilités mais une superbe conclusion à ce long run. C'est juste dommage qu'il y ait autant de dessinateurs différents pour cet ultime tome.
A la base, McFarlane avait prévu de raconter l'histoire de plusieurs Spawn, et pas uniquement d'Al Simmons. Il réalise donc ici un de ses plans en introduisant Jim Downing. Et finalement, l'intérêt est renouvelé. La série tournait un peu en rond, mais là, grâce aux nouveaux personnages et aux nouveaux mystères, l'histoire intéresse. Le dessin sombre et réaliste offre une nouvelle atmosphère. Bref, un renouvellement réussi pour Spawn, même si ce n'est pas le dernier...
Une nouvelle ère s'ouvre pour le HellSpawn. Exit Al Simmons au profit de Jim Downing, nouvel hôte du rejeton des Enfers. Une nouvelle équipe artistique arrive et entraine Spawn vers de nouveaux sommets.
Al Simmons n'est plus, mais le symbiote de Spawn a trouvé un nouveau porteur : Jim Downing. Anciennement connu sous le nom de "Patient 47", Jim s'est réveillé dans un hôpital de New York, sans aucun souvenir de sa vie passée. Aidé par Sara, son infirmière, et Mark, un journaliste opportuniste, il cherche à comprendre la nature des pouvoirs qu'il développe depuis son réveil.
A la base, McFarlane avait prévu de raconter l'histoire de plusieurs Spawn, et pas uniquement d'Al Simmons. Il réalise donc ici un de ses plans en introduisant Jim Downing. Et finalement, l'intérêt est renouvelé. La série tournait un peu en rond, mais là, grâce aux nouveaux personnages et aux nouveaux mystères, l'histoire intéresse. Le dessin sombre et réaliste offre une nouvelle atmosphère. Bref, un renouvellement réussi pour Spawn, même si ce n'est pas le dernier...
Dernier tome pour Death Metal et sans doute le meilleur, on a es deux derniers numéros qui vont amener des changements pour l'univers DC, on garde quand même la formule de la baston généralisée et les héros qui ont l'air totalement dépassés. On retrouve aussi dans ce tome, les derniers one-shots et certainement les meilleurs avec notamment ce que les héros estiment être leur dernière nuit et un one-shot centré sur personnage mis en avant pendant cet event. Bref, si vous êtes arrivés jusqu'ici de toutes façons, vous n'allez pas passer ce dernier tome.
Dernier tome de ce long event qui contient 2 des meilleurs tie-in de l'event. L'un d'entre eux remplit son rôle de raconter les derniers moments de l'univers DC tel qu'on le connaît, et l'autre permet de conclure le destin d'un personnage. Pour le reste des numéros, on reste dans la même ambiance que les numéros précédents avec un sous-texte et un amour pour le DCU toujours agréable à lire. Même si toutes les touches d'humour ne fonctionnent pas ou l'aspect over-the-top finit par fatiguer au bout d'un moment. Comme pour les précédents numéros, on a énormément de dessinateurs qui comporte du très bons comme du moins bon. L'event se conclut bien et permet de fermer la parenthèse ouverte avec l'ère Rebirth pour lancer une nouvelle ère dont on pourra voir les prémices avec Future State en septembre.
Conclusion de ce gros event qui va mener à la prochaine ère de l'univers DC. Les one-shots, si moins importants pour l'histoire principale, sont toujours très intéressants et de grande qualité. Ils auront parfois été même plus passionnants que la série principale. Concernant la conclusion de Death Metal, on est dans la même veine que le reste de l'event. De très bonnes idées, beaucoup de références géniales, des scènes très épiques et un bon niveau d'écriture. Mais on y retrouve aussi ses quelques défauts et éléments gênants, comme la surenchère permanente, et cette ambiance folle et décalée qui ne plaira pas à tout le monde (mais si vous êtes arrivés jusque-là, ça ne devrait plus être souci). La conclusion s'avère sans grande surprise, mais les derniers moments sont tout de même prenants, même si un peu expédiés à mon goût. On sent que ce Death Metal est censé lancer la suite, mais en même temps on ne sait pas trop où on va, alors on donne juste ce qu'il faut et pas beaucoup plus.
Malgré les agissements de Lex Luthor, Lobo et de la Ligue de Nightwing, le plan de la Trinité – Superman, Batman et Wonder Woman- pour contrer Perpetua a échoué. Désormais, le Darkest Knight possède l'énergie d'anti-crise à même de remodeler l'existence en Multivers qui rit. Pour les héros : il ne reste plus qu'une issue : restaurer toutes les continuités passées ou périr.
Dernier tome pour Death Metal et sans doute le meilleur, on a es deux derniers numéros qui vont amener des changements pour l'univers DC, on garde quand même la formule de la baston généralisée et les héros qui ont l'air totalement dépassés. On retrouve aussi dans ce tome, les derniers one-shots et certainement les meilleurs avec notamment ce que les héros estiment être leur dernière nuit et un one-shot centré sur personnage mis en avant pendant cet event. Bref, si vous êtes arrivés jusqu'ici de toutes façons, vous n'allez pas passer ce dernier tome.
Dernier tome de ce long event qui contient 2 des meilleurs tie-in de l'event. L'un d'entre eux remplit son rôle de raconter les derniers moments de l'univers DC tel qu'on le connaît, et l'autre permet de conclure le destin d'un personnage. Pour le reste des numéros, on reste dans la même ambiance que les numéros précédents avec un sous-texte et un amour pour le DCU toujours agréable à lire. Même si toutes les touches d'humour ne fonctionnent pas ou l'aspect over-the-top finit par fatiguer au bout d'un moment. Comme pour les précédents numéros, on a énormément de dessinateurs qui comporte du très bons comme du moins bon. L'event se conclut bien et permet de fermer la parenthèse ouverte avec l'ère Rebirth pour lancer une nouvelle ère dont on pourra voir les prémices avec Future State en septembre.
Conclusion de ce gros event qui va mener à la prochaine ère de l'univers DC. Les one-shots, si moins importants pour l'histoire principale, sont toujours très intéressants et de grande qualité. Ils auront parfois été même plus passionnants que la série principale. Concernant la conclusion de Death Metal, on est dans la même veine que le reste de l'event. De très bonnes idées, beaucoup de références géniales, des scènes très épiques et un bon niveau d'écriture. Mais on y retrouve aussi ses quelques défauts et éléments gênants, comme la surenchère permanente, et cette ambiance folle et décalée qui ne plaira pas à tout le monde (mais si vous êtes arrivés jusque-là, ça ne devrait plus être souci). La conclusion s'avère sans grande surprise, mais les derniers moments sont tout de même prenants, même si un peu expédiés à mon goût. On sent que ce Death Metal est censé lancer la suite, mais en même temps on ne sait pas trop où on va, alors on donne juste ce qu'il faut et pas beaucoup plus.
Petit regain de qualité dans l'event, après la médiocrité des derniers numéros. Le ryhtme est bon, les relations entre les personnages fonctionnent et si ça reste toujours un peu trop bavard, c'est moins barbant. L'intrigue avance toujours doucement mais les différents pions se mettent en place pour le final. Il reste quand même des retournements assez artificiels et on regrettera que les enjeux de l'histoire, aussi énormes soient-ils sur le papier, n'aient pas été rendus plus intéressants par Slott et Ewing. Parce que si la lecture reste sympathique, on se moque toujours autant de ce que s'y passe, et on a du mal à vraiment se passionner pour cette histoire dans l'ensemble.
Al Ewing, Dan Slott, Valerio Schiti, …
Au Wakanda ou dans l'espace, les Avengers et les Fantastiques sont sur le point de perdre sur tous les fronts. D'autant qu'un Avenger est mort mais que ses alliés ne le savent pas encore ! Et toute la lumière est faite sur le parcours du Spadassin. Contient les épisodes US Empyre (2020) 4-5, Lords of Empyre: Swordsman, Empyre: Captain America 2-3 et Empyre: Avengers 2, inédits.
Petit regain de qualité dans l'event, après la médiocrité des derniers numéros. Le ryhtme est bon, les relations entre les personnages fonctionnent et si ça reste toujours un peu trop bavard, c'est moins barbant. L'intrigue avance toujours doucement mais les différents pions se mettent en place pour le final. Il reste quand même des retournements assez artificiels et on regrettera que les enjeux de l'histoire, aussi énormes soient-ils sur le papier, n'aient pas été rendus plus intéressants par Slott et Ewing. Parce que si la lecture reste sympathique, on se moque toujours autant de ce que s'y passe, et on a du mal à vraiment se passionner pour cette histoire dans l'ensemble.
Un crossover tout ce qu'il y a de plus classique. Si les prémices pouvaient être intéressantes, on est dans un déroulé bête et méchant d'un crossover classique avec son lot d'actions, de rencontres entre personnages ... Ça reste agréable à lire, mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus marquant et d'important vu que les conséquences se sont assez vite effacé. À part une qui aura son importance pour les années à venir. Pour les dessins, on a beaucoup de styles différents avec de très bons dessinateurs, mais ils ne s'associent pas toujours bien et ils ne sont pas toujours au meilleur de leurs niveaux. Bref, pas le comics le plus vital de ce mois, mais si vous suivez les séries Gardiens de la Galaxie et All New X-men, mieux vaut acheter ce tome pour compléter votre collection et pour ne pas être perdu pour la suite.
Ce n'est jamais évident d'avoir un crossover sur autant de séries, la qualité peut difficilement être homogène sur l'ensemble. Ça n'en reste pas moins une histoire sympathique à lire, qui contient de jolis moments, même si comme souvent les prémices sont meilleurs que la conclusion. Ça ne fera pas tâche du tout dans vos collections des X-Men et Gardiens par Bendis.
Bendis essaie de faire une nouvelle saga cosmique marquante pour nos héros en faisant un cross-over mais l'effet est loupé, comme le sera son run sur les X-Men ou celui sur les Gardiens de la Galaxie. Ça se laisse lire sans déplaisir mais il n'en restera pas grand-chose.
Brian Michael Bendis, Sam Humphries, Valerio Schiti, Paco Medina…
Peter Quill et Kitty Pryde ont dérobé le Vortex Noir… grosse erreur ! Voici leurs deux équipes engagées dans une course contre la montre : la moitié de la galaxie est à leurs trousses ! Contient les épisodes US Guardians of the Galaxy / X-Men: The Black Vortex Alpha et Omega, Guardians of the Galaxy (2013) 24-25, Legendary Star-Lord (2014) 9-11, All-New X-Men (2013) 38-39, Nova (2013) 28, Cyclops (2014) 12 et Captain Marvel (2014) 14, précédemment publiés dans MARVEL NOW! : GARDIENS DE LA GALAXIE / X-MEN – LE VORTEX NOIR 1-2.
Un crossover tout ce qu'il y a de plus classique. Si les prémices pouvaient être intéressantes, on est dans un déroulé bête et méchant d'un crossover classique avec son lot d'actions, de rencontres entre personnages ... Ça reste agréable à lire, mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus marquant et d'important vu que les conséquences se sont assez vite effacé. À part une qui aura son importance pour les années à venir. Pour les dessins, on a beaucoup de styles différents avec de très bons dessinateurs, mais ils ne s'associent pas toujours bien et ils ne sont pas toujours au meilleur de leurs niveaux. Bref, pas le comics le plus vital de ce mois, mais si vous suivez les séries Gardiens de la Galaxie et All New X-men, mieux vaut acheter ce tome pour compléter votre collection et pour ne pas être perdu pour la suite.
Ce n'est jamais évident d'avoir un crossover sur autant de séries, la qualité peut difficilement être homogène sur l'ensemble. Ça n'en reste pas moins une histoire sympathique à lire, qui contient de jolis moments, même si comme souvent les prémices sont meilleurs que la conclusion. Ça ne fera pas tâche du tout dans vos collections des X-Men et Gardiens par Bendis.
Bendis essaie de faire une nouvelle saga cosmique marquante pour nos héros en faisant un cross-over mais l'effet est loupé, comme le sera son run sur les X-Men ou celui sur les Gardiens de la Galaxie. Ça se laisse lire sans déplaisir mais il n'en restera pas grand-chose.
Shadow of the Batgirl est à l'image des autres récits complet de Urban Link consacré à Harley Quinn, Catwoman, Best Boy, Black Canary et Raven. On découvre de nouvelles origines faite pour les nouveaux lecteurs mais pas que. En effet, si vous appréciez ces personnages vous trouverez rafraichissants de les voir sous un nouveau jour, c'est-à-dire dans leur adolecence pour la grande majorité. Ici, les auteurs ont décidé de nous conter leur versions des premiers pas de Cassandra Cain et non de Barbara Gordon. Un pari intéressant qui s'avère assez plaisant, et surtout bien conté, au final.
Difficile de balayer d'un revers de main tout ce qui nous a été enseigné depuis l'enfance. C'est pourtant l'épreuve difficile à laquelle va devoir se confronter Cassandra Cain, fille d'assassin formée depuis son plus jeune âge à embrasser la même voie que son père. Mutique depuis sa dernière mission, la jeune femme fuit, se renferme sur elle-même et s'interroge sur le sens qu'elle souhaite désormais donner à sa vie. Une petite voix dans sa tête lui répète qu'elle ne sera jamais quelqu'un de bien - à l'image de l'héroïne Batgirl, qu'elle admire tant, mais que personne n'a vu depuis plusieurs années. Fort heureusement, certaines rencontres peuvent tout changer. Grâce à deux femmes de caractère, courageuses et indépendantes qui la prennent sous leurs ailes, le destin de Cassandra ne sera plus jamais le même.
Shadow of the Batgirl est à l'image des autres récits complet de Urban Link consacré à Harley Quinn, Catwoman, Best Boy, Black Canary et Raven. On découvre de nouvelles origines faite pour les nouveaux lecteurs mais pas que. En effet, si vous appréciez ces personnages vous trouverez rafraichissants de les voir sous un nouveau jour, c'est-à-dire dans leur adolecence pour la grande majorité. Ici, les auteurs ont décidé de nous conter leur versions des premiers pas de Cassandra Cain et non de Barbara Gordon. Un pari intéressant qui s'avère assez plaisant, et surtout bien conté, au final.
Un tome important pour l'arrivée d'un événement qui aura des répercussions sur le personnage. La naissance de sa fille permet de changer la dynamique du titre, mais malheureusement, ça ne dure pas longtemps. On retourne dans les intrigues politiques d'Atlantis, avec le retour d'Orm même si sympathique fait déjà-vu dans son utilisation. L'intrigue se fait sans trop de surprise, malgré quelques idées de Deconnick pour l'Atlantis pertinente, mais pas sûr qu'elles soient réutilisées. Néanmoins, l'autrice arrive à donner une fin satisfaisante et cohérente pour le parcours du personnage depuis l'ère Rebirth. Les dessins restent de qualité avec un style franco-belge qui lui va bien.
Ayant retrouvé la mémoire, Aquaman a renoué avec Mera. Enceinte, la reine accouche d'une petite fille. Mais la naissance de cette héritière royale attise toutes les convoitises. Ocean Master, le propre frère d'Arthur Curry, fait son grand retour, tandis que Black Manta songe à se venger depuis sa récente défaite. Plus que jamais, le sort de l'Atlantide est suspendu au destin de la famille royale, et Aquaman aura besoin de l'aide de tous ses alliés afin d'assurer la pérennité de son royaume.
Contenu vo : Aquaman #56-65
Un tome important pour l'arrivée d'un événement qui aura des répercussions sur le personnage. La naissance de sa fille permet de changer la dynamique du titre, mais malheureusement, ça ne dure pas longtemps. On retourne dans les intrigues politiques d'Atlantis, avec le retour d'Orm même si sympathique fait déjà-vu dans son utilisation. L'intrigue se fait sans trop de surprise, malgré quelques idées de Deconnick pour l'Atlantis pertinente, mais pas sûr qu'elles soient réutilisées. Néanmoins, l'autrice arrive à donner une fin satisfaisante et cohérente pour le parcours du personnage depuis l'ère Rebirth. Les dessins restent de qualité avec un style franco-belge qui lui va bien.
Le tome le plus faible de la série, surtout à cause du changement de scénariste. Pourtant, ça reste dans les thèmes qu'a lancés Cates et ça traite des conséquences du tome 2, mais c'est juste moins bien intéressant à suivre et l'aspect tie-in n'est pas des plus passionnants. Pour les dessins ça reste plutôt bon malgré une qualité qui baisse vers la fin, même si on tombe un peu dans les travers qu'a pu connaître Venom avec des designs digne de Venomized. Enfin le one-shot plaira au fan de Maniac et continue a mettre en place la menace de Carnage pour la suite.
Cates étant absent de ce volume, vous pouvez faire l'impasse sur ces numéros si votre objectif n'est de lire que son run. Cependant, l'équipe artistique intérimaire ne démérite pas et exécute un travail honnête dans la continuité des épisodes précédents.
Comme l'a dit Uraphire, c'est sûrement le tome le moins intéressant de la série. Eddie Brock est pris dans la tourmente War of the Realms et cela offre des épisodes sympathiques qui restent dans la continuité du run de Donny Cates. Mais nul doute qu'il s'agissait d'une pause pour que le scénariste prépare son gros événement qui arrivera peu de temps après.
Cullen Bunn, Iban Coello, Alberto Albuquerque, Joshua Cassara
Venom est pris dans la tourmente War of the Realms, au point de devenir l'arme de Malekith, l'Elfe Noir à la conquête de la Terre ! En plus, les prémisses de l'événement Absolute Carnage. Contient les épisodes US Venom (2018) 13-15 et Web of Venom: Funeral Pyre, précédemment publiés dans VENOM (2020) 1-3.
Le tome le plus faible de la série, surtout à cause du changement de scénariste. Pourtant, ça reste dans les thèmes qu'a lancés Cates et ça traite des conséquences du tome 2, mais c'est juste moins bien intéressant à suivre et l'aspect tie-in n'est pas des plus passionnants. Pour les dessins ça reste plutôt bon malgré une qualité qui baisse vers la fin, même si on tombe un peu dans les travers qu'a pu connaître Venom avec des designs digne de Venomized. Enfin le one-shot plaira au fan de Maniac et continue a mettre en place la menace de Carnage pour la suite.
Cates étant absent de ce volume, vous pouvez faire l'impasse sur ces numéros si votre objectif n'est de lire que son run. Cependant, l'équipe artistique intérimaire ne démérite pas et exécute un travail honnête dans la continuité des épisodes précédents.
Comme l'a dit Uraphire, c'est sûrement le tome le moins intéressant de la série. Eddie Brock est pris dans la tourmente War of the Realms et cela offre des épisodes sympathiques qui restent dans la continuité du run de Donny Cates. Mais nul doute qu'il s'agissait d'une pause pour que le scénariste prépare son gros événement qui arrivera peu de temps après.
Une série qui continue de monter en puissance avec un tome 3 qui est toujours lié, plus ou moins directement, au passé / à l'entourage d'Invincible. Si vous n'aviez pas aimé jusque-là, il y a quand même peu de chance qu ece tome 3 vous fasse changer d'avis.
Pour ceux qui avaient apprécié les deux premiers tomes, ce n'est pas avec ce tome 3 que vous serez déçus.
Le cadre étant posé et la série bien installé, Kirkman s'amuse avec sa création et son enthousiasme est communicatif. La série s'affirme et développe un ton frais, un rythme dynamique et des personnages attachants. Un tome réussi.
Retrouvez la meilleure série de Super-Héros, créée par Robert Kirkman (Walking Dead) au format Prestige, dont chaque volume regroupe deux tomes de la collection classique.
Ce 3e recueil reprend les albums 5 & 6 de la série classique. Mark Grayson y poursuit son expérience en tant que super-héros. Retrouvez Invincible opposé au méchant Angstrom Levy, ses retrouvailles avec son père séparé et la bataille sanglante avec les Viltrumites.
Une série qui continue de monter en puissance avec un tome 3 qui est toujours lié, plus ou moins directement, au passé / à l'entourage d'Invincible. Si vous n'aviez pas aimé jusque-là, il y a quand même peu de chance qu ece tome 3 vous fasse changer d'avis.
Pour ceux qui avaient apprécié les deux premiers tomes, ce n'est pas avec ce tome 3 que vous serez déçus.
Le cadre étant posé et la série bien installé, Kirkman s'amuse avec sa création et son enthousiasme est communicatif. La série s'affirme et développe un ton frais, un rythme dynamique et des personnages attachants. Un tome réussi.
Dernier volume pour rattraper l'édition simple avant le retour de numéros inédits ! Il s'agit de l'entièreté du second cycle, qui continue d'être passionnant et de grande qualité. Scott Snyder se sert toujours de sa série pour aborder l'histoire de l'amérique en fonction des périodes qu'il choisit. Les enjeux et la portée sont encore plus grands, et c'est toujours un plaisir de retrouver les personnages de Pearl Jones et Skinner Sweet. Le volume contient également les deux anthologies, présentant de petites histoires se déroulant dans l'univers, par diverses équipes artistiques. Et c'est plutôt chouette !
1960, Kansas. La crainte d'une guerre nucléaire plane sur une société en pleine mutation. Les manifestations se multiplient, la tension est palpable, et dans l'ombre, à l'insu de tous, les vampires poursuivent leur expansion. Qu'est-il advenu de Pearl Jones depuis la disparition de son mari Henry ? Et de Skinner Sweet, le premier vampire américain ? Le Mal ancestral qui rôde saura-t-il les réunir à nouveau ?
Contenu vo : American Vampire Second Cycle #1-11 + American Vampire Anthology #1-2
Dernier volume pour rattraper l'édition simple avant le retour de numéros inédits ! Il s'agit de l'entièreté du second cycle, qui continue d'être passionnant et de grande qualité. Scott Snyder se sert toujours de sa série pour aborder l'histoire de l'amérique en fonction des périodes qu'il choisit. Les enjeux et la portée sont encore plus grands, et c'est toujours un plaisir de retrouver les personnages de Pearl Jones et Skinner Sweet. Le volume contient également les deux anthologies, présentant de petites histoires se déroulant dans l'univers, par diverses équipes artistiques. Et c'est plutôt chouette !
Depuis le temps que les fans la réclamaient, voici enfin Excalibur, la série X la plus loufoque, avec un Claremont en grande forme et un D'avis qui atteint ici la consécration. Un classique.
Chris Claremont, Alan Davis, Ron Lim, Marshall Rogers
Nouvelle INTÉGRALE pour une série culte ! Les X-Men étant présumés morts, Diablo, Kitty Pryde, Captain Britain, Meggan et d'autres forment une nouvelle équipe basée en Angleterre et affrontent des menaces de plus en plus déjantées ! Contient les épisodes US Excalibur: The Sword is Drawn et Excalibur (1988) 1-11, précédemment publiés dans X-MEN CLASSIC 2, 6 et Titans 137-138.
Depuis le temps que les fans la réclamaient, voici enfin Excalibur, la série X la plus loufoque, avec un Claremont en grande forme et un D'avis qui atteint ici la consécration. Un classique.
Beaucoup d'épisodes historiques mais il ne s'agit pas pour autant que de chefs-d'oeuvre. La narration a évidemment vieilli mais pour des oeuvres qui ont presque 50 ans, ça reste facilement accessible. C'est une sélection intéressante pour ceux qui veulent lire quels moments-clés de Marvel à moindre coût.
Nouveau tome de notre trimestriel consacré cette fois aux plus grands événements de l'année 1973. La mort de Gwen Stacy, la première apparition de Thanos, l'affrontement entre Avengers et Défenseurs et les premiers pas de Blade sont au programme… entre autres. Et toujours une superbe couverture d'Alex Ross ! Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 121-122, Iron Man (1968) 55, Captain Marvel (1968) 29, Defenders (1972) 10, Avengers (1963) 118, Ghost Rider (1973) 1, Tomb of Dracula (1972) 10 et Vampire Tales (1973) 2 (Satana), précédemment publiés dans SPIDER-MAN : L'INTÉGRALE 1973, JE SUIS THANOS, BEST OF MARVEL : CAPTAIN MARVEL, DEFENDERS : L'INTÉGRALE 1973, GHOST RIDER : L'INTÉGRALE 1972-1974, MARVEL OMNIBUS : TOMB OF DRACULA 1 et inédit.
Beaucoup d'épisodes historiques mais il ne s'agit pas pour autant que de chefs-d'oeuvre. La narration a évidemment vieilli mais pour des oeuvres qui ont presque 50 ans, ça reste facilement accessible. C'est une sélection intéressante pour ceux qui veulent lire quels moments-clés de Marvel à moindre coût.
Tournant historique de la série Amazing Spider-Man, ce volume marque la fin d'une époque : Stan Lee passe la main de ses différents titres à d'autres auteurs, l'innocence des comics meurt avec Gwen Stacy et le Silver Age laisse la place à une époque plus sombre.
Stan Lee, Gerry Conway, John Romita Jr, Paul Smith, …
Nouvelle édition pour cette Intégrale qui contient non seulement les déchirants épisodes de la mort de Gwen Stacy, mais aussi un affrontement épique entre Spider-Man et Hulk ! Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 116-127.
Tournant historique de la série Amazing Spider-Man, ce volume marque la fin d'une époque : Stan Lee passe la main de ses différents titres à d'autres auteurs, l'innocence des comics meurt avec Gwen Stacy et le Silver Age laisse la place à une époque plus sombre.
Période de transition entre le procès de Magneto et le Massacre des mutants, Claremont nous propose des épisodes courts et indépendants qui lui permettent d'explorer la personnalité de ses personnages. Pas de saga interplanétaire mais du très bon X-Men avec plusieurs moments clés.
Auteurs : Chris Claremont, John Romita Jr, Paul Smith, …
Voici une nouvelle édition très attendue d'une Intégrale dont les moments forts sont un voyage en Terre Sauvage, la menace du Beyonder qui plane sur la Terre… et un terrible duel entre Cyclope et Tornade pour savoir qui sera le chef de l'équipe ! Contient les épisodes US Uncanny X-Men 201-208.
Période de transition entre le procès de Magneto et le Massacre des mutants, Claremont nous propose des épisodes courts et indépendants qui lui permettent d'explorer la personnalité de ses personnages. Pas de saga interplanétaire mais du très bon X-Men avec plusieurs moments clés.
Le retour en grâce de Venom ! Un très bon arc, parfaitement exécuté, qui donne envie de relire le personnage et de s'intéresser à nouveau à lui.
Le début du meilleur run jamais écrit sur le personnage. S'il ne vous a jamais intéressé avant, donnez-lui quand même sa chance ici. À ce prix-là, ce serait dommage d'hésiter.
Avec ce tome, Donny Cates bouscule la mythologie de Venom et en fait l'une des séries les plus haletantes de la Maison des Idées. Ce premier arc chamboule tout et contient les prémices d'un excellent run qui aura tenu toutes ses promesses.
Je ne pensais pas qu'une série Venom puisse être aussi bien. Venom est le genre de personnage qui arrivait rarement à passionner en solo, malgré un run intéressant de Remender. Mais Cates a vraiment su apporter une nouvelle dimension à cet anti-héros. Le début d'un excellent run !
Donny Cates, Ryan Stegman
Voici réunis Eddie Brock et le symbiote qui lui donne les pouvoirs de Venom ! Ils vont découvrir l'existence de Knull, le dieu des symbiotes, et Venom va devoir mener le combat le plus difficile de sa vie avec l'aide de Miles Morales, contre une menace millénaire qui pourrait ébranler l'univers Marvel. Contient les épisodes US Venom (2018) 1-6, précédemment publiés dans 100% MARVEL : VENOM 1.
Le retour en grâce de Venom ! Un très bon arc, parfaitement exécuté, qui donne envie de relire le personnage et de s'intéresser à nouveau à lui.
Le début du meilleur run jamais écrit sur le personnage. S'il ne vous a jamais intéressé avant, donnez-lui quand même sa chance ici. À ce prix-là, ce serait dommage d'hésiter.
Avec ce tome, Donny Cates bouscule la mythologie de Venom et en fait l'une des séries les plus haletantes de la Maison des Idées. Ce premier arc chamboule tout et contient les prémices d'un excellent run qui aura tenu toutes ses promesses.
Je ne pensais pas qu'une série Venom puisse être aussi bien. Venom est le genre de personnage qui arrivait rarement à passionner en solo, malgré un run intéressant de Remender. Mais Cates a vraiment su apporter une nouvelle dimension à cet anti-héros. Le début d'un excellent run !
Daredevil Jaune est un récit que l'on peut découvrir aussi bien en tant que novice que lecteur assidu. Le duo Loeb et Sale offre une histoire inédite de Matt Murdock de qualité où l'on a le plaisir de le découvrir sous toutes ses facettes, principalement celle qui fait de lui un être humain ayant ses défauts et ses qualités. L'Homme sans peur se révèle être un justicier qui peut commettre des erreurs, les subir mais qui arrive toujours à remonter la pente. À ce prix il serait idiot de ne pas tenter la lecture.
Le duo Loeb-Sale était à son sommet sur les récits "colorés" qu'ils ont signé chez Marvel. Une plongée dans l'âme d'une époque qui vous épatera par la beauté des planches de Tim Sale et par la nostalgie qui s'en dégage. À ne pas rater.
Jeff Loeb, Tim Sale
Le duo Jeph Loeb / Tim Sale clôture la collection MARVEL PRINTEMPS comme il l'a ouverte, avec les premiers pas d'un des plus grands héros de l'univers Marvel : le justicier aveugle nommé Daredevil.
Daredevil Jaune est un récit que l'on peut découvrir aussi bien en tant que novice que lecteur assidu. Le duo Loeb et Sale offre une histoire inédite de Matt Murdock de qualité où l'on a le plaisir de le découvrir sous toutes ses facettes, principalement celle qui fait de lui un être humain ayant ses défauts et ses qualités. L'Homme sans peur se révèle être un justicier qui peut commettre des erreurs, les subir mais qui arrive toujours à remonter la pente. À ce prix il serait idiot de ne pas tenter la lecture.
Le duo Loeb-Sale était à son sommet sur les récits "colorés" qu'ils ont signé chez Marvel. Une plongée dans l'âme d'une époque qui vous épatera par la beauté des planches de Tim Sale et par la nostalgie qui s'en dégage. À ne pas rater.
Une approche un peu plus horrifique et assez captivante pour Hulk. Le premier arc de l'une des meilleures séries de ces derniers temps chez Marvel.
Début du run d'Ewing et Bennett qui ont fait l'unanimité avec leur réinvention horrifique du personnage. C'est moderne, choquant, ancré dans la continuité mais accessible aux néophytes et cela a un bon goût de vieux film d'horreur. Foncez !
Al Ewing s'empare du personnage et fait de cette série un incontournable de Marvel depuis quelques années. Ce premier arc plonge Hulk dans une situation qui tournera rapidement à l'horreur avec des concepts dont seul Ewing a le secret.
Hulk est un personnage passionnant tant il a eu le droit à des relectures. Et cette version est l'une des toutes meilleures, avec un penchant vers l'horreur rappelant les vieux comics. Peut-être la série la plus passionnante du Marvel actuel, à lire !
Al Ewing, Joe Bennett
Hulk est mort. Hawkeye lui a tiré une flèche dans la tête lors du crossover Civil War 2 pour éviter un énième carnage de Hulk. Alors, pourquoi Banner erre-t-il à travers les États-Unis ? Pourquoi son terrible alter ego apparaît-il à la nuit tombée, semant l'horreur derrière lui ? Il faudra bien accepter la terrible vérité : malgré tous les efforts de Banner pour débarrasser le monde du Géant Vert, Hulk est immortel. Contient les épisodes US Immortal Hulk (2018) 1-5, précédemment publiés dans 100% MARVEL : IMMORTAL HULK 1.
Une approche un peu plus horrifique et assez captivante pour Hulk. Le premier arc de l'une des meilleures séries de ces derniers temps chez Marvel.
Début du run d'Ewing et Bennett qui ont fait l'unanimité avec leur réinvention horrifique du personnage. C'est moderne, choquant, ancré dans la continuité mais accessible aux néophytes et cela a un bon goût de vieux film d'horreur. Foncez !
Al Ewing s'empare du personnage et fait de cette série un incontournable de Marvel depuis quelques années. Ce premier arc plonge Hulk dans une situation qui tournera rapidement à l'horreur avec des concepts dont seul Ewing a le secret.
Hulk est un personnage passionnant tant il a eu le droit à des relectures. Et cette version est l'une des toutes meilleures, avec un penchant vers l'horreur rappelant les vieux comics. Peut-être la série la plus passionnante du Marvel actuel, à lire !
Une arrivée tonitruante de Donny Cates chez Marvel qui propose un récit complet dans cet arc qui plonge Thanos dans un futur où le Titan fou a triomphé. Le scénariste propose des concepts bien perchés comme il aime tant et la partie graphique de Geoff Shaw est sublime. Alors foncez et ne ratez pas les débuts du Cosmic Ghost Rider !
Donny Cates, Geoff Shaw I 144 pages, 5,99 €
Thanos voyage dans le futur où il découvre un monde dans lequel il a remporté la victoire sur les héros de la Terre, sur Galactus, sur l'univers ! Mais le Thanos âgé et victorieux qu'il rencontre est à la fois sa plus grande gloire et sa plus grande honte. Quelle en est la raison ? Que vient faire le Silver Surfer dans cette histoire ? Et qui est le Ghost Rider cosmique ? Contient les épisodes US Thanos (2017) 13-18, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : THANOS 2.
Une arrivée tonitruante de Donny Cates chez Marvel qui propose un récit complet dans cet arc qui plonge Thanos dans un futur où le Titan fou a triomphé. Le scénariste propose des concepts bien perchés comme il aime tant et la partie graphique de Geoff Shaw est sublime. Alors foncez et ne ratez pas les débuts du Cosmic Ghost Rider !
La première série qui introduit Lady Thor. C'est tout à fait excellent et d'une beauté sans nom.
Du très, très bon, mais ce titre a plus d'impact si l'on a lu auparavant le début du run de Jason Aaron.
Aaron, Dauterman, Molina
Thor n'est plus digne de son marteau Mjolnir et une nouvelle héroïne a pris le relais. Mais qui est-elle ? Découvrez tout sur ce personnage qui apparaîtra au cinéma dans Thor : Love & Thunder ! Contient les épisodes US Thor (2014) 1-8, précédemment publiés dans MARVEL NOW! : MIGHTY THOR 1-2.
La première série qui introduit Lady Thor. C'est tout à fait excellent et d'une beauté sans nom.
Du très, très bon, mais ce titre a plus d'impact si l'on a lu auparavant le début du run de Jason Aaron.
Une approche plus intimiste du personnage de Carol Danvers. Très rafraichissant et totalement accessible.
Margaret Stohl, Carlos Pacheco
Atteinte de crises d'angoisse, Carol Danvers retourne au village dans lequel elle a grandi. C'est le début d'une aventure incroyable qui va lui faire découvrir la vérité sur ses origines. Une saga essentielle de Captain Marvel. Contient les épisodes US Life of Captain Marvel (2018) 1-5, précédemment publiés dans 100% MARVEL : LA VIE DE CAPTAIN MARVEL.
Une approche plus intimiste du personnage de Carol Danvers. Très rafraichissant et totalement accessible.
Une excellente série, très innovante et ingénieuse en termes de mise en scène et de storytelling. L'une des séries aux accents les plus indés que nous ait proposé Marvel.
Inattendue, cette série au ton urbain novateur, réaliste et léger a rencontré un vif succès critique. Et le trop rare David Aja signe des planches parfaites. Vivement recommandé.
Matt Fraction, David Aja
La fantastique série de Matt Fraction et David Aja a reçu bien des récompenses et a très certainement inspiré en partie la série Hawkeye à découvrir cette année sur Disney+… Découvrez comment tout a commencé ! Contient les épisodes US Hawkeye (2012) 1-5, précédemment publiés dans MARVEL ICONS : HAWKEYE.
Une excellente série, très innovante et ingénieuse en termes de mise en scène et de storytelling. L'une des séries aux accents les plus indés que nous ait proposé Marvel.
Inattendue, cette série au ton urbain novateur, réaliste et léger a rencontré un vif succès critique. Et le trop rare David Aja signe des planches parfaites. Vivement recommandé.
La première aventure des Ultimates reste une bonne lecture. Ca date peut-être un peu mais c'est bien écrit et bien dessiné. On retrouve les héros que l'on connait mais avec pas mal de différences. On suit donc la création de cette équipe que l'on a du mal à voir fonctionner. C'est un des meilleurs récits pour se plonger dans l'univers Marvel (comme toute la gamme Ultimate) ou pour découvrir des univers alternatifs.
Les débuts des Avengers version Ultimate. Une excellente série qui modernise intelligemment les personnages et n'a pas froid aux yeux pour s'attaquer à des thématiques sensibles. C'est du Millar, alors ce n'est pas toujours subtil, mais c'est impactant et c'est un titre qui a fait date. Un vrai blockbuster américain de qualité avec des dessins dingues de Bryan Hitch.
Peut-être LE titre de super-héros des années 2000. Millar à son meilleur réinvente les Avengers avec un Bryan Hitch exceptionnel. Une oeuvre provocatrice et très cinématographique qui a pavé la voie aux films Marvel. Indispensable.
Culte ! Une actualisation cynique mais lucide des Avengers. Si le scénario dépoussière les héros, les dessins nous offre une ambiance blockbuster de ciné impressionnate. Bref, c'est excellent et c'est à lire !
Mark Millar, Bryan Hitch
Quand Mark Millar réinvente les Avengers pour le XXIème siècle, cela donne… les Ultimates, une équipe de super-héros aux ordres du S.H.I.E.L.D. et formée d'individualités peu adeptes du travail en groupe ! Contient les épisodes US Ultimates (2002) 1-6, précédemment publiés dans MARVEL ICONS : ULTIMATES.
La première aventure des Ultimates reste une bonne lecture. Ca date peut-être un peu mais c'est bien écrit et bien dessiné. On retrouve les héros que l'on connait mais avec pas mal de différences. On suit donc la création de cette équipe que l'on a du mal à voir fonctionner. C'est un des meilleurs récits pour se plonger dans l'univers Marvel (comme toute la gamme Ultimate) ou pour découvrir des univers alternatifs.
Les débuts des Avengers version Ultimate. Une excellente série qui modernise intelligemment les personnages et n'a pas froid aux yeux pour s'attaquer à des thématiques sensibles. C'est du Millar, alors ce n'est pas toujours subtil, mais c'est impactant et c'est un titre qui a fait date. Un vrai blockbuster américain de qualité avec des dessins dingues de Bryan Hitch.
Peut-être LE titre de super-héros des années 2000. Millar à son meilleur réinvente les Avengers avec un Bryan Hitch exceptionnel. Une oeuvre provocatrice et très cinématographique qui a pavé la voie aux films Marvel. Indispensable.
Culte ! Une actualisation cynique mais lucide des Avengers. Si le scénario dépoussière les héros, les dessins nous offre une ambiance blockbuster de ciné impressionnate. Bref, c'est excellent et c'est à lire !
Un titre surprenant, bien loin des aventures habituelles de Logan. Des auteurs de qualité ont enfin raconté les origines de Wolverine. Historique, même si on reste très en dessous du Weapon X de Barry Windsor Smith.
L'histoire est maintenant culte, puisqu'on nous montrait pour la première fois les origines de Wolverine, une époque qui a été effacée de sa mémoire. L'histoire est assez inattendue, a son lot de surprise, mais laisse un peu sur sa faim. Mais les dessins sont très bons, et c'est à un récit à lire absolument si on s'intéresse au personnage.
Paul Jenkins, Andy Kubert
Découvrez pour la première fois les premiers pas de celui qui deviendra Wolverine, le plus féroce des mutants. Se pourrait-il qu'il ait une origine des plus modestes ? À quand remonte l'enfance de Logan ? Tous les secrets entourant le pilier des X-Men vous sont dévoilés de la plus surprenante des façons. Contient les épisodes US Origin (2001) 1-6, précédemment publiés dans MARVEL SELECT : WOLVERINE – LES ORIGINES.
Un titre surprenant, bien loin des aventures habituelles de Logan. Des auteurs de qualité ont enfin raconté les origines de Wolverine. Historique, même si on reste très en dessous du Weapon X de Barry Windsor Smith.
L'histoire est maintenant culte, puisqu'on nous montrait pour la première fois les origines de Wolverine, une époque qui a été effacée de sa mémoire. L'histoire est assez inattendue, a son lot de surprise, mais laisse un peu sur sa faim. Mais les dessins sont très bons, et c'est à un récit à lire absolument si on s'intéresse au personnage.
Spider-Man Bleu est un récit marquant où l'on plonge dans le passé de Peter Parker, qu'il raconte à Gwen Stacy sur cassette (ouais l'ancêtre du DC vous savez). Bien que morte, Gwen reste un pilier de la psyché de Peter mais aussi de Spider-Man, puisqu'il ne peut s'empêcher de se sentir coupable de sa mort. Bien que amoureux, heureux et en couple avec Mary Jane il ne peut s'empêcher d'avoir ses moments dédiés à Gwen. Mary Jane est aussi très présente dans le récit puisqu'elle représente le happy end de Peter, et un grand support émotionel. De humain à héros déchu il n'y a qu'un pas, mais la lumière et la main tendue par les êtres qui nous aiment peuvent facilement nous remettre sur le bon chemin.
Le duo Loeb et Sale continuent d'explorer le passé des héros Matière et de ressusciter la beauté d'une époque. La couleur blue est associée au blues que les auteurs s'emploient à nous faire ressentir à la lecture de ces pages. Il serait dommage de passer à côté à ce prix-là.
Jeph Loeb, Tim Sale
C'est la Saint-Valentin et Spider-Man est d'humeur maussade ("he's feeling blue", dit-on en anglais). Même s'il est heureux aux côtés de Mary Jane, le souvenir de la mort de Gwen Stacy continue de le hanter. Il s’enregistre alors, faisant le récit de la rencontre entre Peter Parker et Gwen. Il raconte leur amour naissant, les vilains affrontés durant cette période et le jour de la mort de l’être aimé. Contient les épisodes US Spider-Man: Blue (2002) 1-6, précédemment publiés dans MARVEL ICONS : DAREDEVIL / SPIDER-MAN / HULK.
Spider-Man Bleu est un récit marquant où l'on plonge dans le passé de Peter Parker, qu'il raconte à Gwen Stacy sur cassette (ouais l'ancêtre du DC vous savez). Bien que morte, Gwen reste un pilier de la psyché de Peter mais aussi de Spider-Man, puisqu'il ne peut s'empêcher de se sentir coupable de sa mort. Bien que amoureux, heureux et en couple avec Mary Jane il ne peut s'empêcher d'avoir ses moments dédiés à Gwen. Mary Jane est aussi très présente dans le récit puisqu'elle représente le happy end de Peter, et un grand support émotionel. De humain à héros déchu il n'y a qu'un pas, mais la lumière et la main tendue par les êtres qui nous aiment peuvent facilement nous remettre sur le bon chemin.
Le duo Loeb et Sale continuent d'explorer le passé des héros Matière et de ressusciter la beauté d'une époque. La couleur blue est associée au blues que les auteurs s'emploient à nous faire ressentir à la lecture de ces pages. Il serait dommage de passer à côté à ce prix-là.
![[Sorties Comics] Vendredi 12 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
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![[VF] Sélection MDCU de mai 2021](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_35427_vf-selection-mdcu-de-mai-2021_1619343981.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (2)
Julien Staff MDCU
il y a 3 ans
Un vrai bijou, que l'on avait retrouvé dans le volume Icons consacré au personnage. Est-ce que ce numéro mérite une édition individuelle de grande qualité ? Sans doute. Est-ce que vous le voulez dans votre collection ? À vous de voir !
AfA Staff MDCU
il y a 3 ans
Un chef-d'œuvre de Frank Miller, au sommet de son art, magnifiquement colorisé. C'est enfin rendre justice à ces planches sublimes que de les proposer dans ce format immense et sur du beau papier. Cette histoire n'avait pas eu une édition digne de ce nom est France depuis sa première publication aux Éditions USA. Une injustice est réparée.