Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Alan Moore, Kevin O'Neill
À l'aube du vingtième siècle, Campion Bond, des services secrets britanniques, réunit des individus marginaux dont les incroyables talents peuvent s'avérer utiles : Allan Quatermain, Mina Murray, le capitaine Nemo, le Dr. Henry Jekyll et Edward Hyde ainsi qu'Hawley Griffin, l'Homme Invisible ! Une édition compilant les deux premiers volumes de La Ligue dans un volume souple à petit prix.
(Contient les épisodes US The League of Extraordinary Gentlemen (1999) 1-6 et The League of Extraordinary Gentlemen (2002) 1-6, nouvelle édition)
Un grand classique du fantastique et l'un des chefs-d'oeuvre d'Alan Moore. Une nouvelle intégrale à ce prix-là, ça ne se refuse pas.
Ne vous laissez avoir par le film, le comics est EXCELLENT.
Le top départ du run de Geoff Johns sur Green Lantern ou le top départ de ce qui se fait de mieux en Green Lantern, tout simplement. Cela a été édité plusieurs fois alors attention avant de vous jeter dessus. Vérifiez bien qu'il n'est pas dans votre bibliothèque. S'il n'y est pas, allez-y, c'est une très TRES bonne lecture.
Les rééditions dans le format Paperback continuent avec le début du run de Geoff Johns sur Green Lantern. L'auteur fait revenir Hal Jordan, et repart sur de nouvelles bases. C'est vraiment très bon, avec d'excellents dessins. A lire !
Réédition de l'excellent run de Geoff Johns sur Green Lantern, qui ne devrait jamais jamais ne plus être disponible. Si la mini-série Green Lantern Rebirth, qui amène rle etour de Hal Jordan, vous semble un peu confuse et difficile à lire, ne vous arrêtez pas à ça et continuez avec le début de la série régulière, qui reprend vraiment les bases à zéro et ne fera que monter en intensité et en intérêt. Un must-have chez DC.
Après des années d'errance, le capitaine de l'US Air Force, Hal Jordan, reprend son rôle de Green Lantern, justicier intergalactique. Il est temps pour lui de renouer avec son entourage. Et si certains héros, comme Green Arrow, apprécient de le retrouver, d'autres, comme Batman, restent méfiants vis-à-vis de cette forte tête, d'autant qu'entre-temps, les pires ennemis de Green Lantern sortent de l'ombre : les Traqueurs, Hector Hammond, le Requin, ou l'effroyable Black Hand.
Green Lantern Rebirth #1-6, Green Lantern #1-13, Green Lantern Secret Files Origins 2005, soit l’équivalent de la première intégrale GEOFF JOHNS PRÉSENTE GREEN LANTERN publiée en 2016
Le top départ du run de Geoff Johns sur Green Lantern ou le top départ de ce qui se fait de mieux en Green Lantern, tout simplement. Cela a été édité plusieurs fois alors attention avant de vous jeter dessus. Vérifiez bien qu'il n'est pas dans votre bibliothèque. S'il n'y est pas, allez-y, c'est une très TRES bonne lecture.
Les rééditions dans le format Paperback continuent avec le début du run de Geoff Johns sur Green Lantern. L'auteur fait revenir Hal Jordan, et repart sur de nouvelles bases. C'est vraiment très bon, avec d'excellents dessins. A lire !
Réédition de l'excellent run de Geoff Johns sur Green Lantern, qui ne devrait jamais jamais ne plus être disponible. Si la mini-série Green Lantern Rebirth, qui amène rle etour de Hal Jordan, vous semble un peu confuse et difficile à lire, ne vous arrêtez pas à ça et continuez avec le début de la série régulière, qui reprend vraiment les bases à zéro et ne fera que monter en intensité et en intérêt. Un must-have chez DC.
Le scénario ne fait pas dans la finesse, mais ce n'est pas l'intérêt de ce récit. Non, l'intérêt, c'est l'action, et le rythme effréné. Romita Jr est en forme ici, et met tout son talent de découpage au service d'une narration très dynamique. Bref, ça se lit très bien, très vite, c'est accrocheur, et à ce prix-là, ça ne se refuse pas. Une lecture parfaite pour les vacances !
Mark Millar, John Romita Jr
Wolverine croise la route d’un super-vilain qu’il n’a jamais affronté, Gorgone. Alors que ce dernier réussit à le tuer, Logan est ressuscité par la Main. Mais l’organisation criminelle lui lave le cerveau et l’envoie à l’assaut de super-héros dans le but de tous les massacrer.
(Contient les épisodes US Wolverine (2003) 20-32, précédemment publiés dans MARVEL MUST-HAVE : WOLVERINE – ENNEMI D'ÉTAT)
Le scénario ne fait pas dans la finesse, mais ce n'est pas l'intérêt de ce récit. Non, l'intérêt, c'est l'action, et le rythme effréné. Romita Jr est en forme ici, et met tout son talent de découpage au service d'une narration très dynamique. Bref, ça se lit très bien, très vite, c'est accrocheur, et à ce prix-là, ça ne se refuse pas. Une lecture parfaite pour les vacances !
Ne vous attendez pas à une suite à The Authority, ou un titre à grande échelle dans le genre, Tom King a beau s'attaquer au personnage de Jenny Sparks, il continue à faire du Tom King ! C'est un quasi-huit clos dans un bar, avec beaucoup de dialogues et un rythme assez lent. L'intrigue est au final assez surprenante, voire déroutante. Mais qu'est-ce que c'est bien ! Toujours aussi rudement bien écrit, avec une tension constante et des moments super épiques. Et le dessin de Jeff Spokes est vraiment au top, il réussit à faire des choses vraiment sympa alors que ça ne bouge pas forcément beaucoup. Moi j'adhère toujours.
Qu'est-ce que quatre étrangers peuvent bien avoir à voir avec le destin du monde ? Alors que Captain Atom, héros de longue date de DC, devient hors-la-loi et menace de détruire la planète qu'il avait juré de protéger, une seule personne semble pouvoir l'arrêter : Jenny Sparks, leader de The Authority, chargée de maintenir tous les héros dans le droit chemin, quel qu'en soit le prix. Sans hésiter, l'esprit du 20e siècle fonce au combat et n'abandonnera pas tant que le travail ne sera pas terminé...
Contenu vo : Jenny Sparks (2024) #1-7
Ne vous attendez pas à une suite à The Authority, ou un titre à grande échelle dans le genre, Tom King a beau s'attaquer au personnage de Jenny Sparks, il continue à faire du Tom King ! C'est un quasi-huit clos dans un bar, avec beaucoup de dialogues et un rythme assez lent. L'intrigue est au final assez surprenante, voire déroutante. Mais qu'est-ce que c'est bien ! Toujours aussi rudement bien écrit, avec une tension constante et des moments super épiques. Et le dessin de Jeff Spokes est vraiment au top, il réussit à faire des choses vraiment sympa alors que ça ne bouge pas forcément beaucoup. Moi j'adhère toujours.
Un très bon numéro qui fait un peu redescendre la pression après un tome 6 assez explosif. Mais rassurez-vous, tout va très vite partir, une fois encore, dans tous les sens. Cela sera aussi l'occasion de mettre en avant la meilleure cover de la série selon moi (celle du tome 12 de l'ancienne édition).
Dans un monde où le Shedder a été éliminé, il appartient désormais au clan Splinter de veiller à la paix sur New York. Mais la trêve signée avec le clan Foot peut-elle réellement durer alors que Kitsune a ses propres ambitions, quitte à défier Oroku Karai ? Les Tortues vont aller au-devant de nouvelles rencontres, parfois amicales, parfois beaucoup moins.
Dans cette septième intégrale de la série Tortues Ninja, Tom Waltz entame la seconde moitié de son run iconique, accompagné d’artistes talentueux tels que Mateus Santolouco, Dave Wachter et Michael Dialynas. Le volume regroupe les tomes 10 à 12 (les numéros 51 à 64) de la précédente édition au sein de 350 pages d’action explosive pour ce qui reste l’une des meilleures séries de « super-héros » modernes.
Un très bon numéro qui fait un peu redescendre la pression après un tome 6 assez explosif. Mais rassurez-vous, tout va très vite partir, une fois encore, dans tous les sens. Cela sera aussi l'occasion de mettre en avant la meilleure cover de la série selon moi (celle du tome 12 de l'ancienne édition).
Un bon titre post-apocalyptique, qui dénote franchement avec ce que Johns fait dans son univers Unnamed. Un peu plus d'action, un peu plus de lâché prise. Si le pitch de départ est plutôt intriguant et assez original, la construction de l'histoire et son déroulement, eux, restent plutôt assez classique, mais pas moins efficaces. Et surtout, on retrouve Jason Fabok au dessin, et rien que ça c'est déjà un argument suffisant pour tenter ce titre.
Au 24e siècle, Rook est un homme piégé sur une planète artificielle qui a sombré dans le chaos. Sa population animale, autrefois contrôlée par les autorités, est désormais régulée par des hors-la-loi. Les plus riches se sont échappés tandis que les autres doivent chercher un moyen de fuir. Mais Rook s'interroge : Ce monde vaut-il la peine qu'on se batte pour lui ?
Un bon titre post-apocalyptique, qui dénote franchement avec ce que Johns fait dans son univers Unnamed. Un peu plus d'action, un peu plus de lâché prise. Si le pitch de départ est plutôt intriguant et assez original, la construction de l'histoire et son déroulement, eux, restent plutôt assez classique, mais pas moins efficaces. Et surtout, on retrouve Jason Fabok au dessin, et rien que ça c'est déjà un argument suffisant pour tenter ce titre.
Un immense classique de l'univers de Batman que l'on a de cesse de conseiller. Si vous ne l'avez pas encore, c'est peut-être l'occasion ?
Batman Silence, c'est du comics blockbuster : un scénario prétexte pour du grand spectacle visuel. L'histoire permet de faire se succéder une grande partie de la galerie de personnages de l'univers Batman, le dessin est beau bien qu'un peu trop aseptisé. Bref un très bon moment de lecture, mais pas parfait.
Devenu un classique dans l'univers de Batman, c'est surtout une histoire très accessible, qui fait apparaître toute la galerie de personnages de l'univers de Batman et qui se lit avec beaucoup de plaisir. Mais ce qu'on en retient vraiment, c'est surtout l'un des meilleurs travaux d'un Jim Lee au sommet de son art. Réédition attendue avant la sortie de la suite.
Batman se retrouve assailli par tous ses ennemis, lorsqu'un mystérieux personnage qui dissimule son visage sous des bandelettes apparaît. Son nom ? Silence. Son but ? Harceler le justicier jusqu'à lui faire perdre raison. Catwoman saura-t-elle lui apporter l'aide et le réconfort dont il a cruellement besoin ?
Contenu vo : Batman: Hush 20th Anniversary edition
Un immense classique de l'univers de Batman que l'on a de cesse de conseiller. Si vous ne l'avez pas encore, c'est peut-être l'occasion ?
Batman Silence, c'est du comics blockbuster : un scénario prétexte pour du grand spectacle visuel. L'histoire permet de faire se succéder une grande partie de la galerie de personnages de l'univers Batman, le dessin est beau bien qu'un peu trop aseptisé. Bref un très bon moment de lecture, mais pas parfait.
Devenu un classique dans l'univers de Batman, c'est surtout une histoire très accessible, qui fait apparaître toute la galerie de personnages de l'univers de Batman et qui se lit avec beaucoup de plaisir. Mais ce qu'on en retient vraiment, c'est surtout l'un des meilleurs travaux d'un Jim Lee au sommet de son art. Réédition attendue avant la sortie de la suite.
Sans être aussi bon que Spider-Man: L'Histoire d'une Vie, ce titre explore en détail l'horreur cosmique que représente une menace comme Galactus, et comment la vie continue malgré tout. Un titre bien sympathique qui a le mérite d'être un peu atypique dans la mythologie des 4 Fantastiques.
Mark Russell, Sean Izaakse
Lors d’un accident spatial, Reed Richards obtient des super-pouvoirs, mais a une vision terrifiante : une menace potentiellement mortelle se dirige lentement mais sûrement vers la Terre. Avec les autres Fantastiques, il tente d’avertir le monde du danger qui approche.
(Contient les épisodes US Fantastic Four: Life Story (2021) 1-6, précédemment publiés dans MARVEL PRESTIGE : FANTASTIC FOUR – L'HISTOIRE D'UNE VIE)
Sans être aussi bon que Spider-Man: L'Histoire d'une Vie, ce titre explore en détail l'horreur cosmique que représente une menace comme Galactus, et comment la vie continue malgré tout. Un titre bien sympathique qui a le mérite d'être un peu atypique dans la mythologie des 4 Fantastiques.
Urban ose enfin sortir The Boy Wonder, une mini-série signée Juni Ba qui sous couvert d'un fil rouge au sein de la série permet de mettre chacun des Robin en avant dans chaque chapitre. Le procédé est original pour une conclusion pleine d'action. Graphiquement, le style de Juni Ba est surprenant au premier abord mais on s'y fait très vite et on se laisse prendre dans le récit.
Un joli titre du sénégalais Juni Ba, raconté comme un conte des milles et une nuits, abordant tous les Robin différents au cours des années. C'est graphiquement très original et super agréable à lire, avec une vraie patte graphique, comme il l'a déjà prouvé par le passé. Si vous voulez lire quelque chose de frais et d'un peu différent dans l'univers de Batman, c'est le titre du mois.
Le jeune Damian Wayne a été élevé pour devenir l'héritier de la redoutable Ligue des Assassins – et ainsi marcher dans les pas de sa mère, Talia, et de la Tête de Démon elle-même, son grand-père Ra's al Ghul. Mais lorsque son père, Batman, le récupère, le jeune Robin découvre alors qu'il n'est qu'un « prince » parmi d'autres, précédé dans ce rôle par ses « frères » Nightwing, Red Hood et Red Robin... Lorsque Le Chevalier Noir est contraint de quitter la ville pour une affaire urgente et qu'une vague d'enlèvements survient à Gotham, Damian n'a d'autre choix que de se battre aux côtés de ses frères adoptifs et, ce faisant, à apprendre ce que le costume de Robin signifie vraiment !
Contenu vo : The Boy Wonder (#1-5)
Urban ose enfin sortir The Boy Wonder, une mini-série signée Juni Ba qui sous couvert d'un fil rouge au sein de la série permet de mettre chacun des Robin en avant dans chaque chapitre. Le procédé est original pour une conclusion pleine d'action. Graphiquement, le style de Juni Ba est surprenant au premier abord mais on s'y fait très vite et on se laisse prendre dans le récit.
Un joli titre du sénégalais Juni Ba, raconté comme un conte des milles et une nuits, abordant tous les Robin différents au cours des années. C'est graphiquement très original et super agréable à lire, avec une vraie patte graphique, comme il l'a déjà prouvé par le passé. Si vous voulez lire quelque chose de frais et d'un peu différent dans l'univers de Batman, c'est le titre du mois.
Fin de la période débutée dans le tome 2. Un volume avec les meilleures histoires de cette période. Les personnages gagnent en intérêt, avec des destins inattendu pour certains, pour nous proposer un récit épique et tragique qui installe des éléments qui seront repris dans les œuvres suivantes de l’univers Legends. Les dessins ont toujours ce style old-school qui ne plaira pas à tout le monde, mais avec quelques fulgurances dans certaines pages.
Tom Veitch, Kevin J. Anderson, Chris Gossett, Dario Carrasco Jr…
Exar Kun vole l'holocron de son maître afin d'engranger des connaissances Sith et prend le Chevalier Jedi Ulic Qel-Droma comme apprenti. Alors que tous deux s’engagent sur une voie ténébreuse qui menace de les corrompre, seule la Jedi Nomi Sunrider est en mesure les sauver.
(Contient les épisodes US Star Wars: Tales of the Jedi – Dark Lords of the Sith (1994) 1-6, Star Wars: Tales of the Jedi – The Sith War (1995) 1-6, Star Wars: Tales of the Jedi – Redemption (1998) 1-5, Star Wars: Tales of the Jedi (1999) 23 et Dark Horse Comics (1992) 7-9, précédemment publiés dans Star Wars : La Légende des Jedi 4-6 et inédits)
Fin de la période débutée dans le tome 2. Un volume avec les meilleures histoires de cette période. Les personnages gagnent en intérêt, avec des destins inattendu pour certains, pour nous proposer un récit épique et tragique qui installe des éléments qui seront repris dans les œuvres suivantes de l’univers Legends. Les dessins ont toujours ce style old-school qui ne plaira pas à tout le monde, mais avec quelques fulgurances dans certaines pages.
Une série limitée qui fait office prequel à l'excellente série animée du même nom et sortie en début d'année. Le titre est pas mal et remet en avant des "vieux de la vieille" comme les enforcers. C'est plutôt cool.
Christos Gage, Eric Gapstur
Mordu par une mystérieuse araignée devant son lycée, le jeune Peter Parker devient Spider-Man et veille sur les habitants de New-York. Il se fait repérer par Norman Osborn qui décide de le prendre sous son aile. Ce qu’il s’est passé entre ces événements décisifs n’avait jusqu’ici jamais été révélé…
(Contient les épisodes US Friendly Neighborhood Spider-Man (2025) 1-5, inédits)
Une série limitée qui fait office prequel à l'excellente série animée du même nom et sortie en début d'année. Le titre est pas mal et remet en avant des "vieux de la vieille" comme les enforcers. C'est plutôt cool.
Un troisième tome qui fait office de transition avant le grand final. L’auteur développe les différentes factions avec des avancées qui rebattent les cartes à chaque page jusqu’à la page finale qui ramène un personnage attendu. Les personnages sont toujours intéressants à suivre avec de la nuance inattendue par moment, même parmi les méchants. Les dessins de Jorge Corano continuent à être bons avec un style détaillé qui fonctionne pour dépeindre ces robots géants.
Après les terribles événements des tomes précédents, la Terre et ses protecteurs mécaniques, les Autobots, pansent leurs blessures. De leur côté, les Decepticons préparent un plan plus diabolique que jamais maintenant que Starscream est hors d’état de nuire… Mais peut-on se débarrasser aussi facilement du digne successeur de Megatron ? Robert KIRKMAN et sa maison d’édition Skybound créent un précédent historique en choisissant Urban Comics comme partenaire de leur nouvel univers partagé : l’Energon Universe ! Avec la création de cet univers, le scénariste réalise un rêve d’enfant : créer un univers partagé cohérent et (enfin) passionnant entre Transformers et G.I. Joe, ses deux licences de jouets préférées.
Un troisième tome qui fait office de transition avant le grand final. L’auteur développe les différentes factions avec des avancées qui rebattent les cartes à chaque page jusqu’à la page finale qui ramène un personnage attendu. Les personnages sont toujours intéressants à suivre avec de la nuance inattendue par moment, même parmi les méchants. Les dessins de Jorge Corano continuent à être bons avec un style détaillé qui fonctionne pour dépeindre ces robots géants.
Nouvelle série régulière pour l’Energon Universe consacré aux G.I. Joe. L’auteur nous propose un titre d'action très efficace et divertissant à lire. On se plaît à suivre les deux groupes (quoique un peu plus les méchants) avec quelques cliffhangers bien réussis qui donnent envie de lire la suite.
La grosse réussite de ce tome, ce sont les dessins de Tom Reilly qui sont superbes pour représenter les scènes d'action.
Suite à l'arrivée des Autobots et des Decepticons sur Terre, la mystérieuse organisation Cobra monte en puissance et inquiète les autorités. Conrad Hauser, nom de code : Duke, dirige une équipe de forces spéciales connue sous le nom de G.I. Joe pour tenter d’endiguer la menace... mais face à l’énigmatique Cobra Commander qui s’apprête à libérer le pouvoir de l’Energon sur le monde, qui peut bien faire un escadron de gros bras nouvellement formé ?
Contenu vo : G.I. Joe #1-6
Nouvelle série régulière pour l’Energon Universe consacré aux G.I. Joe. L’auteur nous propose un titre d'action très efficace et divertissant à lire. On se plaît à suivre les deux groupes (quoique un peu plus les méchants) avec quelques cliffhangers bien réussis qui donnent envie de lire la suite.
La grosse réussite de ce tome, ce sont les dessins de Tom Reilly qui sont superbes pour représenter les scènes d'action.
Titre très sympa qui s'attarde sur la relation entre la Chose et la Torche après la disparition de Reed et Sue. Très bons dessins même si j'ai une petite préférence pour Jim Cheung.
Panini republie en un seul volume la maxi-série Marvel Two-In-One de Chip Zdarsky et Jim Cheung (principalement). C'est plutôt sympa de voir les deux personnages en tandem. On s'attarde un peu plus sur leur amitié. Côté dessisn, entre Jim Cheung, Valerio Schiti, Declan Shalvey et Ramon Pérez, c'est du tout bon.
Chip Zdarsy, Jim Cheung, Valerio Schiti…
Depuis Secret Wars, Reed Richards, Susan Storm et leurs enfants sont portés disparus. Ben Grimm partage les aventures des Gardiens de la Galaxie et Johnny Storm celles des Inhumains et des Avengers. Mais le monde a besoin des Fantastiques et ils doivent être quatre…
(Contient les épisodes US Marvel 2-in-one (2017) 1-12 et Annual 1, précédemment publiés dans 100% MARVEL : MARVEL 2-IN-ONE 1-2)
Titre très sympa qui s'attarde sur la relation entre la Chose et la Torche après la disparition de Reed et Sue. Très bons dessins même si j'ai une petite préférence pour Jim Cheung.
Panini republie en un seul volume la maxi-série Marvel Two-In-One de Chip Zdarsky et Jim Cheung (principalement). C'est plutôt sympa de voir les deux personnages en tandem. On s'attarde un peu plus sur leur amitié. Côté dessisn, entre Jim Cheung, Valerio Schiti, Declan Shalvey et Ramon Pérez, c'est du tout bon.
Un polar toujours aussi passionnant à suivre, notamment pour ses personnages et son ambiance violente. Si on a de nouvelles révélations, l'intrigue globale traîne un peu en longueur. Les dessins d’Eduardo Risso sont excellents et participent à l'ambiance de la série.
Dizzie, Cole, Benito, Lono, Graves, Wylie... Six vies entremêlées dans une toile d'embrouilles, de complots et de meurtres. Six marionnettes contrôlées par la Main du Destin. Mais qui sait si celle-ci n'appartient pas, comme tout chose, au Trust ?
Un polar toujours aussi passionnant à suivre, notamment pour ses personnages et son ambiance violente. Si on a de nouvelles révélations, l'intrigue globale traîne un peu en longueur. Les dessins d’Eduardo Risso sont excellents et participent à l'ambiance de la série.
Un excellent moyen de couvrir énormément d'éléments de l'histoire de Galactus ! On oscille entre le médiocre et l'excellent, mais la variété proposée et la qualité globale est plus que suffisante. Un bon moyen de se mettre à jour avant le film.
Créé par Stan Lee et Jack Kirby dans les années 1960, Galactus devient un adversaire emblématique des Quatre Fantastiques et autres héros Marvel. Accompagné de son hérault, le Silver Surfer, cette entité cosmique a pour seul objectif de se nourrir, peu importe le nombre de vies sacrifiées.
(Contient les épisodes US Fantastic Four (1961) 48-50, 175, 520, Super-Villain Classics (1983) 1, Silver Surfer (1987) 130, Galactus the Devourer (1999) 6, Mighty Thor (2011) 6, Silver Surfer (2014) 9-10, Thor (2020) 6 et Reckoning War: Trial of the Watcher (2022) 1, précédemment publiés dans MARVEL MUST-HAVE : FANTASTIC FOUR – VOICI VENIR GALACTUS, FANTASTIC FOUR : L'INTÉGRALE 1976, MARVEL : LES ORIGINES 3, BEST OF MARVEL : SILVER SURFER – DEMONS INTERIEURS, MARVEL OMNIBUS : FANTASTIC FOUR PAR WAID/WIERINGO, MARVEL DELUXE : MIGHTY THOR 1, MARVEL OMNIBUS : SILVER SURFER PAR DAN SLOTT, MARVEL DELUXE : THOR 1, 100% MARVEL : FANTASTIC FOUR 10 et MARVEL SELECT 30)
Un excellent moyen de couvrir énormément d'éléments de l'histoire de Galactus ! On oscille entre le médiocre et l'excellent, mais la variété proposée et la qualité globale est plus que suffisante. Un bon moyen de se mettre à jour avant le film.
Le gros évent de 2015 ressort dans le format pocket et il va falloir faire attention à vos yeux avec la série dans ce format. L'histoire nous plonge dans un monde constitué de bout de plusieurs univers Marvel différents, donc plusieurs versions des mêmes personnages et un grand méchant : Dr Doom. L'histoire est plutôt intéressante et Hickman mène sa barque mais la série tire quand même en longueur au final avec 10 épisodes au compteurs qui auraient pu être condensés en 7. Esad Ribic signe la partie graphique et son style n'est pas forcément le plus mainstream pour dessiner ce genre d'event
L'apothéose du run d'Hickman sur Avengers ! Le récit est palpitant et bien mis en image. Les séries spin-offs alourdissaient un peu le tout, mais elles sont absentes ici. Juste le principal. Le défaut, c'est que c'est une conclusion, et l'impact est plus marquant si on a lu les Avengers d'Hickman avant.
Un très bon évènement Marvel, conclusion du méga run de Jonathan Hickman sur ses Avengers (et même ses Fantastic Four d'ailleurs, on reste dans le thème du mois), totalement lisible comme un récit indépendant. Pourquoi pas à redécouvrir en petit format, même si les dessins d'Esad Ribic méritent mieux que ça.
Conclusion en beauté du run d’Hickman sur les Avengers, mais surtout adressé aux 4 Fantastiques. L’histoire est riche, propose des moments épiques et intimistes réussis. C’est sans compter le talent d’Esad Ribic pour nous proposer des planches magnifiques et dantesques. Par contre, mieux vaut avoir suivi le travail de l’auteur pour ne pas être perdu et comprendre certaines références. Un event toujours aussi passionnant à relire.
Jonathan Hickman, Esad Ribic
Oubliez tout ce que vous savez de l'univers Marvel : il n’existe plus. Il ne reste désormais que le Battleworld, un amas de morceaux de réalités rattachés les uns aux autres sur lequel Fatalis règne en maître absolu. Certains héros ont néanmoins le souvenir d'une autre vie…
(Contient les épisodes US Free Comic Book Day: Secret Wars (2015) 0 (I) et Secret Wars (2015) 1-9, précédemment publiés dans MARVEL MUST-HAVE : SECRET WARS)
Le gros évent de 2015 ressort dans le format pocket et il va falloir faire attention à vos yeux avec la série dans ce format. L'histoire nous plonge dans un monde constitué de bout de plusieurs univers Marvel différents, donc plusieurs versions des mêmes personnages et un grand méchant : Dr Doom. L'histoire est plutôt intéressante et Hickman mène sa barque mais la série tire quand même en longueur au final avec 10 épisodes au compteurs qui auraient pu être condensés en 7. Esad Ribic signe la partie graphique et son style n'est pas forcément le plus mainstream pour dessiner ce genre d'event
L'apothéose du run d'Hickman sur Avengers ! Le récit est palpitant et bien mis en image. Les séries spin-offs alourdissaient un peu le tout, mais elles sont absentes ici. Juste le principal. Le défaut, c'est que c'est une conclusion, et l'impact est plus marquant si on a lu les Avengers d'Hickman avant.
Un très bon évènement Marvel, conclusion du méga run de Jonathan Hickman sur ses Avengers (et même ses Fantastic Four d'ailleurs, on reste dans le thème du mois), totalement lisible comme un récit indépendant. Pourquoi pas à redécouvrir en petit format, même si les dessins d'Esad Ribic méritent mieux que ça.
Conclusion en beauté du run d’Hickman sur les Avengers, mais surtout adressé aux 4 Fantastiques. L’histoire est riche, propose des moments épiques et intimistes réussis. C’est sans compter le talent d’Esad Ribic pour nous proposer des planches magnifiques et dantesques. Par contre, mieux vaut avoir suivi le travail de l’auteur pour ne pas être perdu et comprendre certaines références. Un event toujours aussi passionnant à relire.
Un titre extrêmement important dans la mythologie Green Lantern et qui est ENFIN édité en France. Nous vous le conseillons et plutôt deux fois qu'une fois.
Un évènement DC souvent oublié au milieu de toutes les autres crises. Ça reste un bout d'histoire de qualité et c'est un plaisir de le voir enfin réédité.
Enfin, Urban Comics décide de rééditer en France un event qui relève une certaine importance. Si c’est un event plutôt mineur, intéressant pour son postulat, mais que l’auteur a du mal à rendre palpitant à suivre. L’histoire reste mémorable concernant son importance dans la mythologie des Green Lantern en nous offrant une des scènes de sacrifice les plus émouvantes à lire en comics.
Lorsqu'une entité cosmique éteint le Soleil, plongeant la Terre dans une nuit glaciale et apocalyptique, les plus grands héros de la Justice League se heurtent à une menace contre laquelle ni la force ni le courage ne suffisent. Alors que l'espoir s'éteint avec la lumière, un homme brisé, Hal Jordan, voit dans ce chaos l'occasion de racheter ses fautes passées.
Contenu vo : The Final Night #1-4 + Parallax: Emerald Night #1 + Green Lantern #81 + DC Universe Legacies #9
Un titre extrêmement important dans la mythologie Green Lantern et qui est ENFIN édité en France. Nous vous le conseillons et plutôt deux fois qu'une fois.
Un évènement DC souvent oublié au milieu de toutes les autres crises. Ça reste un bout d'histoire de qualité et c'est un plaisir de le voir enfin réédité.
Enfin, Urban Comics décide de rééditer en France un event qui relève une certaine importance. Si c’est un event plutôt mineur, intéressant pour son postulat, mais que l’auteur a du mal à rendre palpitant à suivre. L’histoire reste mémorable concernant son importance dans la mythologie des Green Lantern en nous offrant une des scènes de sacrifice les plus émouvantes à lire en comics.
Les numéros classiques sur la première grosse histoire autour de Galactus. Un immanquable pour tout fan des FF.
Pour un prix assez abordable, une très bonne sélection d'œuvres classiques autour de Galactus, écrites et dessinées par les grands de l'industrie.
Stan Lee, John Byrne, Jack Kirby, John Buscema
Alors que les Quatre Fantastiques viennent de rencontrer les Inhumains, un émissaire cosmique arrive de l’espace et annonce l’Apocalypse. Son nom ? Le Silver Surfer. Son maître ? Galactus, un être qui se nourrit de planètes. Les Fantastiques parviendront-ils à empêcher la fin du monde ?
(Contient les épisodes Fantastic Four (1961) 48-50, 120-123 et 242-244, précédemment publiés dans MARVEL VISIONARIES : JACK KIRBY, GIANT SIZE FANTASTIC FOUR – VOICI VENIR GALACTUS ! et FANTASTIC FOUR : L'INTÉGRALE 1982-1983)
Les numéros classiques sur la première grosse histoire autour de Galactus. Un immanquable pour tout fan des FF.
Pour un prix assez abordable, une très bonne sélection d'œuvres classiques autour de Galactus, écrites et dessinées par les grands de l'industrie.
Une bonne sélection de titres 4 Fantastiques qui vous permettra de parcourir pas mal des incontournables des plus de 60 ans d'histoire de la première famille de Marvel.
Exposés à des rayons cosmiques lors d'une mission, Reed Richards, sa fiancée Sue, Johnny Storm et Ben Grimm obtiennent d'incroyables pouvoirs. Ils décident alors de s'en servir pour protéger la Terre. Cet album propose de découvrir les origines de l'équipe ainsi que leurs plus belles aventures.
(Contient les épisodes US Fantastic Four (1961) 1, 112, 200, 232, 245, 262, 587 et Annual 2 (I), Fantastic Four Special 6 et Fantastic Four (1998) 1 et 60, nouvelle édition)
Une bonne sélection de titres 4 Fantastiques qui vous permettra de parcourir pas mal des incontournables des plus de 60 ans d'histoire de la première famille de Marvel.
Pourquoi ce prix ? Pourquoi un titre aussi bizarre que Batman Silence 2 #158 ? Ne nous demandez pas pourquoi, mais Urban Comics a décidé de publier Batman Silence 2 suivant la numérotation américaine. Vous avez donc un numéro tous les deux mois environ (normalement c'est tous les mois, mais ils sont en retard aux Etats-Unis). Ensuite, vous mettrez tous ces single issues dans un beau coffret pour avoir l'ensemble du récit. Quant au #158, cela correspond à Batman #158 puisque le titre que nous appellons communément "Batman Silence 2 #1" et en réalité "Batman #158".
Pour ce qui est du récit, pour du Batman lambda, c'est pas mal du tout. Pour du Hush écrit par Loeb et dessiné par Lee, cela reste plutôt décevant.
Urban Comics continue sa volonté de relancer des format type kiosuqe après the One Hand and the Six Fingers, mais est-ce que cela fonctionne avec tout, sachant qu'un autre titre est annoncé dans ce format pour la fin de l'année ? Ce n'est pas sur surtout quand on mise sur Jim Lee et ses retards. Il n'y a que 3 chapitres sur les 6 parus pour l'instant et le suivant est décalé à fin juillet si tout va bien. Côté histoire, ce premier chapitre n'est pas incroyable et lance l'intrigue qui se veut une suite du premier Silence mais bien plus tard avec en théorie pas mal de continuité ajouté entre les deux, bref un beau casse-tête qui nous laisse sur notre faim. Graphiquement c'est du Jim Lee donc forcément c'est très sympa.
Outre le choix du format, Silence 2 est très poussif au démarrage. C'est assez étrange, on a un peu l'impression qu'on est sorti de la continuité actuelle. Ca se laisse lire, surtout que c'est toujours sympa de retrouver Jim Lee au dessin. Il faudra voir où Jeph Loeb nous amène pour voir si ça valait vraiment le coup de faire une suite à Silence. En tout cas, avec ce premier numéro, c'est plutôt moyennement parti !
Hush 2. L'une des meilleurs idées marketing, mais l'une des pires idées créatives. C'est malheureusement un vrai rattage que le retour de la team Loeb/Lee sur leur arc historique Hush. Le scénario est poussif, l'écriture has been et le dessin de Jim Lee manque totalement d'inspiration et est réalisé à la va-vite, pas du tout aidé par l'encrage d'un Scott Williams qui lui aussi se fait vieux. Alors ça reste du Jim Lee au dessin, ce qui se fait très rare, et ça reste Hush dans un format original calqué sur la publication américaine, et on espère que le niveau remonte par la suite, comme c'est souvent le cas avec Jeph Loeb qui prend son temps. Mais ce premier numéro n'est vraiment pas à la hauteur de l'évènement.
20 ans après Batman Silence, Silence revient pour se venger de la Bat-Famille !
Contenu vo : Batman (2016) #158
Pourquoi ce prix ? Pourquoi un titre aussi bizarre que Batman Silence 2 #158 ? Ne nous demandez pas pourquoi, mais Urban Comics a décidé de publier Batman Silence 2 suivant la numérotation américaine. Vous avez donc un numéro tous les deux mois environ (normalement c'est tous les mois, mais ils sont en retard aux Etats-Unis). Ensuite, vous mettrez tous ces single issues dans un beau coffret pour avoir l'ensemble du récit. Quant au #158, cela correspond à Batman #158 puisque le titre que nous appellons communément "Batman Silence 2 #1" et en réalité "Batman #158".
Pour ce qui est du récit, pour du Batman lambda, c'est pas mal du tout. Pour du Hush écrit par Loeb et dessiné par Lee, cela reste plutôt décevant.
Urban Comics continue sa volonté de relancer des format type kiosuqe après the One Hand and the Six Fingers, mais est-ce que cela fonctionne avec tout, sachant qu'un autre titre est annoncé dans ce format pour la fin de l'année ? Ce n'est pas sur surtout quand on mise sur Jim Lee et ses retards. Il n'y a que 3 chapitres sur les 6 parus pour l'instant et le suivant est décalé à fin juillet si tout va bien. Côté histoire, ce premier chapitre n'est pas incroyable et lance l'intrigue qui se veut une suite du premier Silence mais bien plus tard avec en théorie pas mal de continuité ajouté entre les deux, bref un beau casse-tête qui nous laisse sur notre faim. Graphiquement c'est du Jim Lee donc forcément c'est très sympa.
Outre le choix du format, Silence 2 est très poussif au démarrage. C'est assez étrange, on a un peu l'impression qu'on est sorti de la continuité actuelle. Ca se laisse lire, surtout que c'est toujours sympa de retrouver Jim Lee au dessin. Il faudra voir où Jeph Loeb nous amène pour voir si ça valait vraiment le coup de faire une suite à Silence. En tout cas, avec ce premier numéro, c'est plutôt moyennement parti !
Hush 2. L'une des meilleurs idées marketing, mais l'une des pires idées créatives. C'est malheureusement un vrai rattage que le retour de la team Loeb/Lee sur leur arc historique Hush. Le scénario est poussif, l'écriture has been et le dessin de Jim Lee manque totalement d'inspiration et est réalisé à la va-vite, pas du tout aidé par l'encrage d'un Scott Williams qui lui aussi se fait vieux. Alors ça reste du Jim Lee au dessin, ce qui se fait très rare, et ça reste Hush dans un format original calqué sur la publication américaine, et on espère que le niveau remonte par la suite, comme c'est souvent le cas avec Jeph Loeb qui prend son temps. Mais ce premier numéro n'est vraiment pas à la hauteur de l'évènement.
C’est avec surprise que ce quatrième Deluxe Wolverine arrive avec comme contenu, le crossover Ghost Rider et la période Fall of X. Un crossover pas folichon qui fait doublon avec un 100% marvel paru il y a à peine un an, et des numéros team-up peu intéressants à suivre. Il reste les dessins qui sauvent un peu la lecture des numéros.
Bref, pas la partie la plus intéressante du run de Ben Percy à relire
Benjamin Percy, Geoff Shaw, Juan Jose Ryp…
Lorsqu’un tueur en série démoniaque massacre de nombreux innocents, le Mutant Griffu s’allie à Johnny Blaze, alias Ghost Rider. Puis, en traquant trois de ses clones bestiaux créés par le Fauve, Logan tombe nez à nez avec le puissant Hulk.
(Contient les épisodes US Wolverine (2019) 36-40, Ghost Rider/Wolverine: Weapons of Vengeance Alpha et Omega (2023) 1 et Ghost Rider (2022) 17, précédemment publiés dans 100% MARVEL: GHOST RIDER/WOLVERINE – LES ARMES DE LA VENGEANCE et FALL OF X 5, 7, 9 et 11)
C’est avec surprise que ce quatrième Deluxe Wolverine arrive avec comme contenu, le crossover Ghost Rider et la période Fall of X. Un crossover pas folichon qui fait doublon avec un 100% marvel paru il y a à peine un an, et des numéros team-up peu intéressants à suivre. Il reste les dessins qui sauvent un peu la lecture des numéros.
Bref, pas la partie la plus intéressante du run de Ben Percy à relire
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L'Avis de la rédaction (2)
Julien Staff MDCU
il y a 2 jours
Un grand classique du fantastique et l'un des chefs-d'oeuvre d'Alan Moore. Une nouvelle intégrale à ce prix-là, ça ne se refuse pas.
The_Crusader Staff MDCU
il y a 2 jours
Ne vous laissez avoir par le film, le comics est EXCELLENT.