Hier, nous vous montrions toutes les sorties comics du mois de juin. Maintenant, nous allons vous donner nos avis sur celles que nous avons déjà lues. Attention, l'absence d'une sortie ci-dessous ne signifie pas qu'elle est mauvaise, mais juste que personne ne l'a lue dans le staff !
LE SPHINX CONTRE LE JOKER ! La ville de Gotham City a été ravagée par la guerre opposant le Sphinx au Joker, un conflit qui a laissé sa marque, y compris sur Batman, par Tom KING et Mikel JANÍN. Allié du Chevalier Noir, Azrael dispose d'une armure dotée d'intelligence artificielle, mais également d'une foi inébranlable. Mais alors que Batman demande l'aide de Zatanna, les deux vont lui faire défaut, par James TYNION IV et Alvaro MARTINEZ. Alors qu'ils enquêtent sur des trafics illégaux, Batman et Alfred sont rattrapés par leur passé, par Scott SNYDER et Rafael ALBUQUERQUE. Et la criminalité moscovite s'invite à Gotham, par Rafael ALBUQUERQUE, Rafael SCAVONE et Sebastían FIUMÁRA. Pensant un temps que Blockbuster peut devenir son allié, Nightwing découvre bien vite que ce dernier est aussi retors qu'il est musclé, par Tim SEELEY et Miguel MENDONÇA.
Contient :
• BATMAN #25 et #26
• DETECTIVE COMICS #960 et #961
• ALL-STAR BATMAN #11
• NIGHTWING #24
Comme d'habitude, Detective Comics est excellent, même si cet arc qui se concentre sur Azrael est pas le top du run de Tynion IV. Le début du nouvel arc de Batman est plutôt encourageant mêem si Batman est très peu présent.
Les titres du Batverse se portent toujours aussi bien. Entre l'ouverture d'un arc que j'ai beaucoup aimé opposant le Joker et le Sphinx dessiné par l'excellent Mikel Janin, James Tynion IV qui continue de tisser son intrigue globale dans Detective Comics et Nightwing toujours autant malmené par Tim Seeley, ce kiosque est sans doute le plus intéressant et le plus rentable.
Même si Jim Starlin aurait pu s'arrêter au Gant de l'Infini, on ne boudera pas son plaisir de lire le dernier volume de cette trilogie qui reste encore aujourd'hui une référence en matière de saga cosmique. De l'action intelligent, un casting impeccable, un brin de spiritualité, Starlin oblige, et vous obtenez la formule gagnante, ici parfaitement exécutée.
Infinity Crusade conclut une trilogie commencée avec Thanos Quest. C’est toujours aussi culte, et Jim Starlin nous offre encore une fois un scénario démesuré et passionnant à suivre. Le rythme est effréné, et on ne s’ennuie pas. Ron Lim assure aux dessins, et c’est un plaisir de voir les nombreux héros réunis. Même si ce n’est pas forcément le meilleur récit de Starlin, ça ne reste pas moins une histoire à lire absolument si vous êtes attiré par l’univers cosmique de Marvel.
Auteurs : Starlin, Lim
Après Le Gant de l'Infini et La Guerre de l'Infini, découvrez la fin de la trilogie de Jim Starlin et Ron Lim. La Déesse a éradiqué le crime sur la Terre et a apporté la paix dans l'univers. Captain America et Spider-Man sont à ses côtés. Face à eux, s'érigent des individus peu recommandables tels que Thanos et Mephisto. Mais nos héros ont-ils choisi le bon camp ?
(Contient les épisodes US Infinity Crusade 1-6 publiés précédemment dans l'album MARVEL GOLD : LA CROISADE DE L'INFINI)
Même si Jim Starlin aurait pu s'arrêter au Gant de l'Infini, on ne boudera pas son plaisir de lire le dernier volume de cette trilogie qui reste encore aujourd'hui une référence en matière de saga cosmique. De l'action intelligent, un casting impeccable, un brin de spiritualité, Starlin oblige, et vous obtenez la formule gagnante, ici parfaitement exécutée.
Infinity Crusade conclut une trilogie commencée avec Thanos Quest. C’est toujours aussi culte, et Jim Starlin nous offre encore une fois un scénario démesuré et passionnant à suivre. Le rythme est effréné, et on ne s’ennuie pas. Ron Lim assure aux dessins, et c’est un plaisir de voir les nombreux héros réunis. Même si ce n’est pas forcément le meilleur récit de Starlin, ça ne reste pas moins une histoire à lire absolument si vous êtes attiré par l’univers cosmique de Marvel.
Un des meilleurs et des plus surprenants titres du New 52. Azzarello réinvente le mythe de Wonder Woman pour le meilleur. Son traitement plus adulte tranche fortement avec tout ce qui a précédé et pourra déconcerter les fans de Perez. Mais rassurez-vous, la qualité est au rendez-vous : c'est l'une des aventures les plus ambitieuses et novatrices qu'ait connu l'Amazone. Et si je vous dit que Cliff Chiang est aux dessins, vous n'avez plus aucune raison d'hésiter.
Un très bon run qui réinvente la mythologie autour de Wonder Woman. C'est l'une des meilleures séries des New 52. C'est bien écrit et on plonge dans le récit. Le style de Cliff Chiang au dessin peut en rebuter mais ca colle parfaitement à ce récit mythologique; Bref, foncez.
LE conseil achat de la semaine selon moi, s'il ne devait qu'en avoir un. Un run complet qui reprend la mythologie de la plus célèbres des Amazones. Azzarello arrive facilement à y instaurer son rythme, il y a de l'action, du developpement de personnages, c'est àcrit avec respect, et il prend meme des risques en apportant quelques modifications au mythe...
L'un des meilleurs titres des New 52 !
Guerrière farouche et princesse des Amazones, Diana a quitté son île pour rejoindre le Monde des Hommes en tant que Wonder Woman !
Mais en sauvant une jeune femme de griffes de monstres mythologiques, elle ne s'attendait pas à lever le voile du mystère de ses origines. Suite à sa découverte, Diana va devoir affronter la colère d'Héra et les machinations des autres dieux de l'Olympe.
Contenu vo : Wonder Woman (New 52) #1-18 + 0
Un des meilleurs et des plus surprenants titres du New 52. Azzarello réinvente le mythe de Wonder Woman pour le meilleur. Son traitement plus adulte tranche fortement avec tout ce qui a précédé et pourra déconcerter les fans de Perez. Mais rassurez-vous, la qualité est au rendez-vous : c'est l'une des aventures les plus ambitieuses et novatrices qu'ait connu l'Amazone. Et si je vous dit que Cliff Chiang est aux dessins, vous n'avez plus aucune raison d'hésiter.
Un très bon run qui réinvente la mythologie autour de Wonder Woman. C'est l'une des meilleures séries des New 52. C'est bien écrit et on plonge dans le récit. Le style de Cliff Chiang au dessin peut en rebuter mais ca colle parfaitement à ce récit mythologique; Bref, foncez.
LE conseil achat de la semaine selon moi, s'il ne devait qu'en avoir un. Un run complet qui reprend la mythologie de la plus célèbres des Amazones. Azzarello arrive facilement à y instaurer son rythme, il y a de l'action, du developpement de personnages, c'est àcrit avec respect, et il prend meme des risques en apportant quelques modifications au mythe...
L'un des meilleurs titres des New 52 !
La mode des éditions collector en noir et blanc ne cesse de se développer, pour le plus bonheur des amateurs argentés. Je n'ai pas lu l'édition en question mais Oblivion Song (que Delcourt publie avant les USA !) est le nouveau succès de Robert Kirkman. Le scénariste de Walking Dead s'y montre en forme et a choisi pour complice un italien à la notoriété moindre mais dont le talent et le style très personnel se marient parfaitement au récit. Une série recommandée. En revanche, la version noir et blanc plus onéreuse est à réserver aux collectionneurs.
Ce tome 1 est une excellente entrée en matière pour la série. Il nous tient en haleine le long de ses six chapitres, et lance des pistes très intéressantes pour la suite. C'est un album qui vaut le coup, à voir si la version en noir et blanc vous attire plus que celle en couleur.
Scénariste : KIRKMAN Robert
Illustrateur : DE FELICI LORENZO
Oblivion Songest le nouveau « blockbuster » signé Robert « Walking Dead » Kirkman & Lorenzo De Felici, qui s’attaquent à la science-fiction. Après la version standard sortie en mars, voici une édition Collector en noir & blanc et en grand format.
Il y a dix ans, 300 000 habitants de Philadelphie ont soudainement disparus, happés vers une autre dimension. Ils tentent d’y survivre, sans aucune technologie et dans un univers hostile, peuplé de monstres gigantesques. Le gouvernement des USA a tout mis en oeuvre pour les ramener… avant d’abandonner les recherches. Nathan Cole, lui, poursuit inlassablement ses aller-venues entre les dimensions afin de ramener les survivants… Mais sont-ils vraiment tous prêts à revenir ? Et que cherche en réalité Nathan ?
La mode des éditions collector en noir et blanc ne cesse de se développer, pour le plus bonheur des amateurs argentés. Je n'ai pas lu l'édition en question mais Oblivion Song (que Delcourt publie avant les USA !) est le nouveau succès de Robert Kirkman. Le scénariste de Walking Dead s'y montre en forme et a choisi pour complice un italien à la notoriété moindre mais dont le talent et le style très personnel se marient parfaitement au récit. Une série recommandée. En revanche, la version noir et blanc plus onéreuse est à réserver aux collectionneurs.
Ce tome 1 est une excellente entrée en matière pour la série. Il nous tient en haleine le long de ses six chapitres, et lance des pistes très intéressantes pour la suite. C'est un album qui vaut le coup, à voir si la version en noir et blanc vous attire plus que celle en couleur.
Deuxième arc sur trois (snif) de la séridde Jeff Lemire. Ce nouvel arc se situe dans la passé et permet de comprendre ce qui est arrivé à Tommy. C'est toujours très touchant, avec la patte de Lemire sur la scénario et le dessin, allez-y
J'adore cette série, chaque numéro me donne des frissons. C'est simple, c'est beau, c'est touchant, on sent que Lemire est totalement impliqué dans cette histoire. N'hésitez pas à vous plonger dans cet univers
Bien loin de rapprocher les membres de la famille Pike, la crise cardiaque du père de famille n'aura fait que cristalliser les rancoeurs, les incompréhensions et les déceptions des uns et des autres.
Sauf peut-être pour Patrick, qui retrouve peu à peu le chemin de l'inspiration, voit sa compagne lui revenir et fait la connaissance d'une nièce dont il y ignorait jusqu'à l'existence.
Contenu vo : Royal City Vol.2 (#6-10)
Deuxième arc sur trois (snif) de la séridde Jeff Lemire. Ce nouvel arc se situe dans la passé et permet de comprendre ce qui est arrivé à Tommy. C'est toujours très touchant, avec la patte de Lemire sur la scénario et le dessin, allez-y
J'adore cette série, chaque numéro me donne des frissons. C'est simple, c'est beau, c'est touchant, on sent que Lemire est totalement impliqué dans cette histoire. N'hésitez pas à vous plonger dans cet univers
Dans la lignée du premier tome, c'est un récit plein d'action très plaisant mais pas révolutionnaire. C'est après le départ de Romita Jr que Jurgens se lance dans des scénarii plus audacieux et novateurs. Espérons que Panini poursuivra la réédition après le départ du dessinateur star. En attendant, vous pourrez apprécier ce comic book qui modernise l'univers de Thor tout en respectant ce qui a précédé. Eclipsé par les excellents runs qui ont suivi, ce cycle de Thor reste malgré tout tout à fait honorable.
Auteurs : Jurgens, Romita Jr
Depuis son affrontement contre les terrifiants Dieux Obscurs, Thor se pose de nombreuses questions au sujet de sa résurrection et de sa fusion avec l'humain Jake Olson. Mais la menace de l'Homme-Absorbant laisse peu de temps au dieu du Tonnerre pour résoudre ce mystère, d'autant que son marteau enchanté, Mjolnir, continue de réagir de manière surprenante. Pire encore : Thanos et Mangog font désormais équipe…
(Contient les épisodes US Mighty Thor 17-25, Iron Man (1998) 21-22 et Annual 2000, Peter Parker : Spider-Man 11, Juggernaut The Eighth Day 1 publiés précédemment dans les revues THOR 17-18, IRON MAN 19 et 21, MARVEL ELITE 1-7 et MARVEL 42)
Dans la lignée du premier tome, c'est un récit plein d'action très plaisant mais pas révolutionnaire. C'est après le départ de Romita Jr que Jurgens se lance dans des scénarii plus audacieux et novateurs. Espérons que Panini poursuivra la réédition après le départ du dessinateur star. En attendant, vous pourrez apprécier ce comic book qui modernise l'univers de Thor tout en respectant ce qui a précédé. Eclipsé par les excellents runs qui ont suivi, ce cycle de Thor reste malgré tout tout à fait honorable.
Spencer écrit de magnifiques losers et son Ant-Man est dans la lignée de Superior Foes of Spider-Man. Drôle, décalé et parfois même émouvant, ce titre nous fait passer un excellent moment.
Spencer rend tout de suite Scott Lang très attachant et commence à développer un mini univers dont on a du mal à se détacher par la suite. L'auteur est clairement dans son élément et j'ai découvert un très bon Ramon Rosanas sur ce titre. J'espère que Panini continuera la publication de la série avec sa suite post-Secret Wars qui est toujours aussi rafraîchissante
Auteurs : Spencer, Rosanas
Scott Lang, alias Ant-Man, a toujours eu le sentiment de ne pas être respecté par ses pairs. Aussi, lorsqu'Iron Man lui propose un poste chez Stark Industries, Scott saisit l’opportunité de prendre un nouveau départ. Par Nick Spencer (Secret Empire, Captain America).
(Contient les épisodes US Ant-Man (2015) 1-5 et Annual 1, Ant-Man : Last days 1 publiés précédemment dans les revues ANT-MAN 1-4)
Spencer écrit de magnifiques losers et son Ant-Man est dans la lignée de Superior Foes of Spider-Man. Drôle, décalé et parfois même émouvant, ce titre nous fait passer un excellent moment.
Spencer rend tout de suite Scott Lang très attachant et commence à développer un mini univers dont on a du mal à se détacher par la suite. L'auteur est clairement dans son élément et j'ai découvert un très bon Ramon Rosanas sur ce titre. J'espère que Panini continuera la publication de la série avec sa suite post-Secret Wars qui est toujours aussi rafraîchissante
Une histoire des X-Men en un seul volume, cela fait du bien. Surtout quand elle n'est pas mal réalisée. Le hic ? C'est encore une histoire de monde alternatif et, depuis l'Ere d'Apocalypse, on ne peut pas dire que c'est original. Mike Carey se fait plaisir en organisant ce mini-event et ça se sent. Une bonne lecture qui reste toutefois totalement dispensable.
Une hisotire intéssante de monde alternatif avec les X-Men, ça peut paraitre deja vu mais Mike Carey rend le tout intéressant en redéfinissant la place de certains mutants. La partie graphique est bonne en plus.
Auteurs : Carey, Mann, Kurth
Dans un monde où les X-Men n'ont jamais existé et où le peuple mutant est au bord de l'extinction, les derniers survivants de l’espèce se sont regroupés dans une citadelle pour mener leur ultime combat. Comment en est-on arrivé là ? Qui pourra sauver Magnéto, Cyclope, Malicia et leurs compagnons ?
(Contient les épisodes US X-Men Legacy 245-247, New Mutants (2009) 22-24,Age of X Alpha et Univers 1-2 publiés précédemment dans les revues X-MEN EXTRA 88-89)
Une histoire des X-Men en un seul volume, cela fait du bien. Surtout quand elle n'est pas mal réalisée. Le hic ? C'est encore une histoire de monde alternatif et, depuis l'Ere d'Apocalypse, on ne peut pas dire que c'est original. Mike Carey se fait plaisir en organisant ce mini-event et ça se sent. Une bonne lecture qui reste toutefois totalement dispensable.
Une hisotire intéssante de monde alternatif avec les X-Men, ça peut paraitre deja vu mais Mike Carey rend le tout intéressant en redéfinissant la place de certains mutants. La partie graphique est bonne en plus.
Urban s'attaque enfin à ce monument des comics qu'est la réinvention de Superman par Byrne après Crisis. Au sommet de sa carrière et après un passage acclamé sur les X-Men et les Fantastic Four, John Byrne rejoint la concurrence pour actualiser le plus iconique et célèbre des super-héros. Le pari est réussi, son Man of Steel restera des années LA référence. Il parvient même à mener deux titres en parallèle et à se coordonner avec un troisième réalisé par une autre équipe artistique. Un grand classique. Cependant, à titre personnel, je n'ai jamais adhéré à ce run autant qu'à ceux que Byrne a réalisé chez Marvel. Comme s'il manquait une magie, de l'émotion, et que l'auteur se contentait d'appliquer avec talent une formule. Quoi qu'il en soit, ça reste LE run indispensable sur Superman, le plus ambitieux qu'il ait jamais connu.
Metropolis était autrefois le terrain de chasse privilégié de Lex Luthor, le P.
D-G. tyrannique et intransigeant de la multinationale LexCorp, mais l'arrivée d'un protecteur surhumain a changé la donne... Partageant son temps entre son identité de Clark Kent, jeune reporter pour le Daily Planet, et celle de Superman, défenseur des opprimés, il combat les menaces les plus étranges et les plus terrifiantes : Metallo, Darkseid ou Bizarro !
Contenu vo : Man of Steel #1-6, Superman #1-4, Action Comics #584-587, Adventures of Superman #424-428
Urban s'attaque enfin à ce monument des comics qu'est la réinvention de Superman par Byrne après Crisis. Au sommet de sa carrière et après un passage acclamé sur les X-Men et les Fantastic Four, John Byrne rejoint la concurrence pour actualiser le plus iconique et célèbre des super-héros. Le pari est réussi, son Man of Steel restera des années LA référence. Il parvient même à mener deux titres en parallèle et à se coordonner avec un troisième réalisé par une autre équipe artistique. Un grand classique. Cependant, à titre personnel, je n'ai jamais adhéré à ce run autant qu'à ceux que Byrne a réalisé chez Marvel. Comme s'il manquait une magie, de l'émotion, et que l'auteur se contentait d'appliquer avec talent une formule. Quoi qu'il en soit, ça reste LE run indispensable sur Superman, le plus ambitieux qu'il ait jamais connu.
Même si la série traîne un peu en longueur, on ne peut qu'admirer l'exploit de sortir un comic book hebdomadaire écrit à plusieurs mains. Le tout tient parfaitement la route et a le mérite de proposer quelque chose qui se distingue du tout-venant de DC. Un succès éditorial, une qualité honorable, des intrigues intéressantes, des protagonistes inhabituels. Les fans de DC apprécieront.
L'absence de Batman, Superman et Wonder Woman se fait de plus en plus lourde à supporter pour les autres héros.
Charlie et Renee embarquent pour un voyage vers la mystérieuse cité de Nanda Parbat, Ralph Dibny poursuit sa quête, dirigé par le casque de Dr Fate, l'identité de Supernova est révélée, Intergang continue son assaut sur Gotham et les machinations de Lex Luthor et de son projet Everyman provoquent une catastrophe sans précédent.
Contenu vo : 52 #27-39
Même si la série traîne un peu en longueur, on ne peut qu'admirer l'exploit de sortir un comic book hebdomadaire écrit à plusieurs mains. Le tout tient parfaitement la route et a le mérite de proposer quelque chose qui se distingue du tout-venant de DC. Un succès éditorial, une qualité honorable, des intrigues intéressantes, des protagonistes inhabituels. Les fans de DC apprécieront.
Bien que Waid monte en puissance par rapport au premier tome, il n'arrive pas à vraiment décoller. Certes, son traitement de Hulk est novateur mais la sauce ne prend pas vraiment. On retrouve plus une succession de missions qu'un développement du héros ou de son entourage. De l'action bien écrite mais les fans de Hulk resteront sur leur faim.
Auteurs : Waid, Asrar, Scalera
Le S.H.I.E.L.D. confie à Hulk une mission périlleuse : il doit remonter le temps pour réparer le continuum. Face à des anarchistes temporels, Bruce Banner est le seul à pouvoir protéger l'univers. Ce n'est que le début des ennuis pour Hulk ! Suite et fin de la réédition de la série de Mark Waid.
(Contient les épisodes US Indestructible Hulk 11-20 et Annual 1 publiés précédemment dans les albums MARVEL NOW! : INDESTRUCTIBLE HULK 3-4)
Bien que Waid monte en puissance par rapport au premier tome, il n'arrive pas à vraiment décoller. Certes, son traitement de Hulk est novateur mais la sauce ne prend pas vraiment. On retrouve plus une succession de missions qu'un développement du héros ou de son entourage. De l'action bien écrite mais les fans de Hulk resteront sur leur faim.
Une série qui arrive juste à temps pour les débuts de The Wasp alias La Guépe au cinéma dans la suite des aventures de Ant-Man. Personnage intéressant que Whitley s'approprie sans dénaturer la personalitée de notre héroïne. De plus le style graphique de Elsa Charretier apporte de la fraicheur au titre. Très plaisant à lire !
Auteurs : Whitley, Charretier
Nadia, la fille d'Hank Pym, n’est plus à la merci des agents secrets russes. Sous le nom de la Guêpe, elle est déterminée à former une nouvelle génération de femmes scientifiques avec l'aide de Jarvis et de Janet Van Dyne !
(Contient les épisodes US Unstoppable Wasp (2017) 1-8, inédits)
Une série qui arrive juste à temps pour les débuts de The Wasp alias La Guépe au cinéma dans la suite des aventures de Ant-Man. Personnage intéressant que Whitley s'approprie sans dénaturer la personalitée de notre héroïne. De plus le style graphique de Elsa Charretier apporte de la fraicheur au titre. Très plaisant à lire !
Une série qui aborde des thèmes politiques et possède les meilleurs tie-ins liés à Civil War II. Bref Spencer continue de nous montrer la lutte de Sam pour s'imposer et ça fonctionne bien. Les dessins d'Unzueta sont bon même si ils ne sont pas à la hauteur d'Acuna.
Auteurs : Spencer, Acuña, Unzueta
Après les événements d'Avengers : L'affrontement, Sam Wilson a du mal à se sentir légitime. Les conséquences de Civil War II vont pourtant l'obliger à remonter sur le devant de la scène.
(Contient les épisodes US Captain America Sam Wilson 9-13 publiés précédemment dans les revues ALL-NEW IRON MAN & AVENGERS 8-12)
Une série qui aborde des thèmes politiques et possède les meilleurs tie-ins liés à Civil War II. Bref Spencer continue de nous montrer la lutte de Sam pour s'imposer et ça fonctionne bien. Les dessins d'Unzueta sont bon même si ils ne sont pas à la hauteur d'Acuna.
Dernier tome pour cette série. Heureusement pour nous car la période Waid n'est pas des plus intéressantes. Les tie-ins à civil war II, bien que non transcendant reste sympathique à lire. Je ne vais pas m'attarder dessus et vous conseiller directement d'attendre les avengers d'Aaron.
Auteurs : Waid, Kubert, Asrar
Retrouvez tous les épisodes de la série All-New All-Different Avengers liés à Civil War II et découvrez la réaction des membres de l’équipe face à cette nouvelle guerre civile des super-héros. Puis, un récit inédit dévoile les fan-fictions de Kamala Khan ! Fin de la série All-New All-Different Avengers de Mark Waid qui continue d'écrire le destin des héros dans les séries Avengers et Champions.
(Contient les épisodes US All-New All-Different Avengers 13-15 et Annual 1 publiés précédemment dans les revues ALL-NEW AVENGERS 11-13 et AVENGERS 12, 1 inédit)
Dernier tome pour cette série. Heureusement pour nous car la période Waid n'est pas des plus intéressantes. Les tie-ins à civil war II, bien que non transcendant reste sympathique à lire. Je ne vais pas m'attarder dessus et vous conseiller directement d'attendre les avengers d'Aaron.
Dans un futur proche, les États-Unis envahissent le Canada, dernière grande réserve d'eau naturelle.
Face à l'adversaire, la résistance canadienne s'organise. Mais que faire lorsque votre agresseur possède une avance technologique qui renvoie vos lignes de défense à l'âge de pierre ? Engager une lutte sans pitié pour la liberté et être prêt à tous les sacrifices, même les plus abjectes, pour voir votre cause triompher.
Contenu vo : We Stand on Guard #1-6
Si vous ne voulez pas vous prendre la tête et rester dans l'humour, ce premier tome réédité de la série Teen Titans GO! est à conseiller. Pour ceux qui préfèrent le sérieux, passer votre chemin.
Que font les super-héros quand ils ne combattent pas les super-vilains ?
Eh bien, ils apprennent à faire face aux nombreux ennemis du quotidien. Pour la première fois de sa vie, Robin est mis à mal par... un rhume carabiné ! Starfire est pourchassé par une armée d'Angry Birds. Raven reçoit d'étranges colis, tandis que Cyborg et Changelin découvrent les joies du canular téléphonique. Entre fête de la boulette et attaques de pizzas géantes, la vie des Teen Titans n'est décidément pas de tout repos !
Contenu vo : #1-6
Si vous ne voulez pas vous prendre la tête et rester dans l'humour, ce premier tome réédité de la série Teen Titans GO! est à conseiller. Pour ceux qui préfèrent le sérieux, passer votre chemin.
Ce crossover signe la fin d'une période artistiquement désastreuse pour les mutants, malmenés par un Jeff Lemire au plus bas. Rien que parce qu'il permet de mettre un terme à cette séquence, je ne serai pas trop sévère avec cette confrontation entre inhumains et mutants . C'est un event classique qui se lit sans déplaisir. Cependant, même si la cause du conflit est logique et a été traitée longuement dans les séries respectives des mutant, on ne peut s'empêcher d'avoir un peu de peine pour les auteurs qui essaient tant bien que mal de justifier pourquoi les héros préfèrent frapper avant de discuter. Malgré cela, l'histoire apporte quelques surprises, dont un rebondissement final bien trouvé.
Plus le temps passe, plus j'ai tendance à penser que cet event était une mauvaise lecture. Un affrontement entre inhumains et mutants trop teasé, trop tiré en longueur, une caractérisation de certains personnages parfois bancale, des auteurs qui font ce qu'ils peuvent pour expliquer ce conflit, bof... Une des rares choses à sauver de ce récit : le twist final plutôt surprenant
Auteurs : Soule, Lemire, Garron, Yu
Depuis que les brumes tératogènes, qui donnent leurs pouvoirs aux Inhumains, se sont répandues dans l’atmosphère terrestre, l’espèce mutante est menacée d’extinction. Face à cette situation, les X-Men déclarent la guerre au peuple de New Attilan. Qui sortira vainqueur de ce conflit ?
(Contient les épisodes US Inhumans vs X-Men 0-6 publiés précédemment dans les revues ALL-NEW X-MEN HORS SERIE 3 et IVX 1-4)
Ce crossover signe la fin d'une période artistiquement désastreuse pour les mutants, malmenés par un Jeff Lemire au plus bas. Rien que parce qu'il permet de mettre un terme à cette séquence, je ne serai pas trop sévère avec cette confrontation entre inhumains et mutants . C'est un event classique qui se lit sans déplaisir. Cependant, même si la cause du conflit est logique et a été traitée longuement dans les séries respectives des mutant, on ne peut s'empêcher d'avoir un peu de peine pour les auteurs qui essaient tant bien que mal de justifier pourquoi les héros préfèrent frapper avant de discuter. Malgré cela, l'histoire apporte quelques surprises, dont un rebondissement final bien trouvé.
Plus le temps passe, plus j'ai tendance à penser que cet event était une mauvaise lecture. Un affrontement entre inhumains et mutants trop teasé, trop tiré en longueur, une caractérisation de certains personnages parfois bancale, des auteurs qui font ce qu'ils peuvent pour expliquer ce conflit, bof... Une des rares choses à sauver de ce récit : le twist final plutôt surprenant
Le titre relève un peu la tête après la platitude du précédent volume. Sans doute est-ce parce que ces épisodes sont liés à Civil War II également scénarisé par Bendis et que l'auteur semble donc un peu plus concerné. Malheureusement, Civil War II s'est avéré être un échec artistique. Dommage.
Auteurs : Bendis, Schiti
Captain Marvel est à la tête de l'un des camps de super-héros s’affrontant dans Civil War II. Elle demande du renfort à ses amis les Gardiens de la Galaxie, mais en acceptant, ils ne se rendent pas compte des conséquences que vont avoir leur implication dans le conflit terrestre…
(Contient les épisodes US Guardians of the Galaxy (2015) 11-14 et FCBD 2016 publiés précédemment dans les revues ALL-NEW GARDIENS DE LA GALAXIE 10-12)
Le titre relève un peu la tête après la platitude du précédent volume. Sans doute est-ce parce que ces épisodes sont liés à Civil War II également scénarisé par Bendis et que l'auteur semble donc un peu plus concerné. Malheureusement, Civil War II s'est avéré être un échec artistique. Dommage.
Ya du bon et du moins bon. La première saga est très sympa (qui n'aime pas Black Manta ?) mais après ça devient de plus en plus moyen. De plus, la saga H2O fait référence a des épisodes d'Aquaman du New52 encore inédit en France, c'est dommage. Mais la fin rebat un peu les cartes d'Atlantis, et permettra de lancer un petit vent de fraicheur sur le titre (pour le tome suivant).
Le roi de l'Atlantide, Arthur Curry, a toujours été piégé entre deux mondes.
Et si réussir à garder un équilibre entre les peuples de la terre ferme et ceux des océans s'avère bien compliqué, Black Manta, son pire ennemi, ne rend pas les choses plus faciles. À la tête d'une organisation baptisée N.E.M.O., il est maintenant prêt à mettre son plan de vengeance à exécution, consistant à voir les deux patries d'Aquaman, les États-Unis et l'Atlantide, s'entre-déchirer...
Contenu vo : Aquaman #12-24
Ya du bon et du moins bon. La première saga est très sympa (qui n'aime pas Black Manta ?) mais après ça devient de plus en plus moyen. De plus, la saga H2O fait référence a des épisodes d'Aquaman du New52 encore inédit en France, c'est dommage. Mais la fin rebat un peu les cartes d'Atlantis, et permettra de lancer un petit vent de fraicheur sur le titre (pour le tome suivant).
Très gros délire de Garth Ennis. Amis de la bienséance, cet album n'est pas fait pour vous. Cette version de "James Bond" est complétement défoncé. Même si le protagoniste a tous les vices, on arrive à s'attacher au gars. Quant aux "adversaires", l'idée est géniale. Tout est tellement dans l'absurde que c'en est comique. Un tome à lire absolument.
Jimmy Regent n'est pas seulement le meilleur espion de Grande-Bretagne, il collectionne aussi les jolies femmes et les aventures sanglantes : une parodie de James Bond où le héros pourrait perdre de son panache face à sa dernière conquête féminine
Très gros délire de Garth Ennis. Amis de la bienséance, cet album n'est pas fait pour vous. Cette version de "James Bond" est complétement défoncé. Même si le protagoniste a tous les vices, on arrive à s'attacher au gars. Quant aux "adversaires", l'idée est géniale. Tout est tellement dans l'absurde que c'en est comique. Un tome à lire absolument.
Si vous avez aimé l'ambiance du premier tome, lisez celui-ci. La série ne perd rien en qualité, Dylan continue de sombrer, la narration de Brubaker reste prenante et Phillips continue à régaler aux dessins. Un excellent titre, qui va bientôt prendre fin en VO, à ma grande tristesse
Scénariste : BRUBAKER Ed
Illustrateur : PHILLIPS Sean
Coloriste : BREITWEISER Elizabeth
La super équipe formée par Ed Brubaker et Sean Phillips frappe à nouveau ! Après le succès mérité de Fondu au Noir, Kill or Be Killednous conduit sur les pas d’un homme forcé d’assassiner des criminels pour survivre !
Brubaker et Phillips tapent de plus en plus fort avec ce 2e tome de leur tétralogie ! Notre justicier s’enfonce toujours un peu plus dans les ténèbres, tandis que les forces de police de New York commencent à réaliser qu’un type masqué s’en prend aux salopards de la ville. Entre thriller, polar et déconstruction d’un genre (celui des justiciers), cette série vous happe sans jamais vous lâcher.
Si vous avez aimé l'ambiance du premier tome, lisez celui-ci. La série ne perd rien en qualité, Dylan continue de sombrer, la narration de Brubaker reste prenante et Phillips continue à régaler aux dessins. Un excellent titre, qui va bientôt prendre fin en VO, à ma grande tristesse
Un titre pas forcément évident (Hickman oblige) mais très bien pensé. L'histoire du tome tourne autour d'un meurtre et on découvre en même temps que l'enquêteur tout le système complexe liant magie noire et finances que développe Hickman. Les différents moments en prose qui interrompent le récit sont soit intrigants soit explicatifs et complètent à merveille le récit. Chaque personnage est développé de façon intelligente et Tomm Coker leur offre une personnalité folle. Les planches du dessinateur sont un régal. Si vous aimez les délires d'Hickman, allez-y et profitez du petit prix de lancement pour cette série
Depuis les premiers trocs et la création de la monnaie, l'argent, au-delà de sa valeur symbolique, se chargea d'une véritable puissance magique.
Cette puissance, manipulée et alimentée par un groupe d'individus vénérant Mammon, Prince des Enfers et de la Cupidité, est aujourd'hui au fait de sa gloire. Le premier krack boursier de 1929, le premier choc pétrolier de 1974, la crise bancaire de 2008... Autant d'événements qui furent orchestrés par les serviteurs du Démon pour régenter en sous-main l'humanité. C'est sur cet univers occulte que l'enquêteur s'apprête à braquer les lumières de son enquête liée au meurtre ritualisé de l'une des grandes figures de Wall Street...
Contenu vo : The Black Monday Murders Vol. 1 (#1-4)
Un titre pas forcément évident (Hickman oblige) mais très bien pensé. L'histoire du tome tourne autour d'un meurtre et on découvre en même temps que l'enquêteur tout le système complexe liant magie noire et finances que développe Hickman. Les différents moments en prose qui interrompent le récit sont soit intrigants soit explicatifs et complètent à merveille le récit. Chaque personnage est développé de façon intelligente et Tomm Coker leur offre une personnalité folle. Les planches du dessinateur sont un régal. Si vous aimez les délires d'Hickman, allez-y et profitez du petit prix de lancement pour cette série
Un comic book fun et décomplexé, entre James Bond et Charlie's Angels. De l'action, de l'humour, de jolies filles, une mise en scène très cinématographique... J. Scott Campbell a sorti le grand jeu pour séduire ses fans après son travail sur Gen 13. Pari réussi, ce fut un beau succès mais également le chant du cygne de l'auteur qui ne produira plus rien de significatif après, à part des couvertures et des sketchbooks. C'est plaisant à regarder et à lire et on est sûr de ne pas se froisser les neurones. Un ouvrage pour les nostalgiques de la fin des années 90, du label Cliffhanger chez Image et pour les fans de Campbell.
Écrite et construire comme une série TV (page de résumé, un eu d'action menant à l'écran titre, ...) et magnifiquement illustrée, cette intégrale des premières aventures des Danger Girl s’offre en plus une magnifique édition pleine de bonus (couvertures, sketch, cosplay...). Que demandez de plus ?
On est transporté dans l’aventure de ce groupe d'espionne à la croisée de Lara Croft, Charlie's Angel et Syndey Fox, dans une course aux artéfacts. Action, humour, mythologie et mysticisme se mêlent dans des dessins fantastique (et un côté "cliché" assumé!)
Et après chaque chapitre, c'est comme une bonne série "un dernier chapitre et j'arrête"...
Un comic book fun et décomplexé, entre James Bond et Charlie's Angels. De l'action, de l'humour, de jolies filles, une mise en scène très cinématographique... J. Scott Campbell a sorti le grand jeu pour séduire ses fans après son travail sur Gen 13. Pari réussi, ce fut un beau succès mais également le chant du cygne de l'auteur qui ne produira plus rien de significatif après, à part des couvertures et des sketchbooks. C'est plaisant à regarder et à lire et on est sûr de ne pas se froisser les neurones. Un ouvrage pour les nostalgiques de la fin des années 90, du label Cliffhanger chez Image et pour les fans de Campbell.
Écrite et construire comme une série TV (page de résumé, un eu d'action menant à l'écran titre, ...) et magnifiquement illustrée, cette intégrale des premières aventures des Danger Girl s’offre en plus une magnifique édition pleine de bonus (couvertures, sketch, cosplay...). Que demandez de plus ?
On est transporté dans l’aventure de ce groupe d'espionne à la croisée de Lara Croft, Charlie's Angel et Syndey Fox, dans une course aux artéfacts. Action, humour, mythologie et mysticisme se mêlent dans des dessins fantastique (et un côté "cliché" assumé!)
Et après chaque chapitre, c'est comme une bonne série "un dernier chapitre et j'arrête"...
La fin de Lzarus Contract est plutôt bonne même si la route a été pas mal longue, mais il y a de vrais changements pour les personnages notamment Deathstroke. Suicide Squad et Justice League of America restent très moyens et j'ai abandonné tout espoir concernant Harley Quinn, même si le histoires courtes sur Harley et le Joker sont sympa.
« LAZARUS CONTRACT », SECONDE PARTIE ! Tandis que les membres de la Suicide Squad tentent de profiter d'un peu de bon temps et qu'Amanda Waller se présente devant une commission sénatoriale, le groupe est sur le point de rencontrer celui qui dirige la Brigade Annihilation : le Direktor Karla. Par Rob WILLIAMS, Stjepan SEJIC et Gus VASQUEZ. La Ligue de Justice d'Amérique menée par Batman secourt Makson, un homme primitif. Mais ramènent-ils dans la civilisation un rescapé ou une menace ? Par Steve ORLANDO et Felipe WATANABE. Harley Quinn doit affronter une justicière venue du futur, une ravisseuse qui s'en prend à ses proches et, pire que tout ses propres parents !? Encore une aventure déjantée signée Amanda CONNER, Jimmy PALMIOTTI, Joseph Michael LINSNER et John TIMMS. De leur côté, Paul DINI et Bret BLEVINS continuent à chroniquer l'histoire d'amour impossible entre Harley et le Joker. Enfin, dans la dernière partie de « Lazarus Contract », Deathstroke tente de réécrire son passé afin de retrouver son fils disparu, mais c'est compter sans l'intervention des Titans et des Teen Titans, par Christopher PRIEST, Benjamin PERCY, Dan ABNETT, Larry HAMA, Carlo PAGULAYAN et Paul PELLETIER.
CONTIENT :
• SUICIDE SQUAD #20 et #21
• JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #8 et #9
• HARLEY QUINN #21
• TEEN TITANS ANNUAL #1
• DEATHSTROKE #19
La fin de Lzarus Contract est plutôt bonne même si la route a été pas mal longue, mais il y a de vrais changements pour les personnages notamment Deathstroke. Suicide Squad et Justice League of America restent très moyens et j'ai abandonné tout espoir concernant Harley Quinn, même si le histoires courtes sur Harley et le Joker sont sympa.
On a du bon dans ce numéro avec le 25eme numéro de Flash et le début de l'arc Fracture pour Green Lantern Corps. Bryan Hitch prend une pause sur Justice League pour notre plus grand plaisir mais avec une histoire moyenne. Action Comics se lance dans une grosse histoire pleine de baston mais plutot sympa à lire.
FLASH AU XXVE SIÈCLE ! Jessica Cruz et Simon Baz rentrent de mission spatiale dans la Tour de Garde, lorsque le satellite de la Ligue de Justice subit une invasion inexplicable, par Shea FONTANA et Philippe BRIONES. Ayant à peine réintégré la rédaction du Daily Planet, Clark Kent, alias Superman, ignore que ses pires ennemis s'associent sous la conduite du Général Zod et la bannière de « l'Escadron Anti-Superman », préparant un assaut sans pitié contre le protecteur de Metropolis, par Dan JURGENS, Patrick ZIRCHER et Jack HERBERT. Capable de briser la barrière du temps grâce à sa super-vitesse, Flash se rend au xxve siècle où il retrouve celui qui est à la fois son plus grand admirateur et son pire ennemi, le Professeur Zoom, par Joshua WILLIAMSON, Carmine DI GIANDOMENICO, Ryan SOOK et Neil GOOGE. Avec l'aide du voyageur temporel dénommé Rip Hunter, le Corps des Green Lantern affronte Sarko, un ennemi venu du futur, avant de s'opposer aux velléités de conquête de Bolphunga. Par Robert VENDITTI, V. Ken MARION et Ethan VAN SCIVER.
CONTIENT :
• JUSTICE LEAGUE #22
• ACTION COMICS #979, #980 et #981
• THE FLASH #25
• HAL JORDAN AND THE GREEN LANTERN CORPS #21 et #22
On a du bon dans ce numéro avec le 25eme numéro de Flash et le début de l'arc Fracture pour Green Lantern Corps. Bryan Hitch prend une pause sur Justice League pour notre plus grand plaisir mais avec une histoire moyenne. Action Comics se lance dans une grosse histoire pleine de baston mais plutot sympa à lire.
X-Men Gold et Blue restent des titres que je conseille vivement de lire depuis le début. La série Iceman est intéressante mais aurait mérité mieux.
Retrouvez deux épisodes des X-Men adolescents (par Bunn/Franchin) et de leurs alter ego adultes (par Guggenheim/Ross), deux épisodes d’Iceberg (par Grace/Vitti et leurs complices) et deux autres consacrés à Old Man Logan, qui concluent l’histoire de Maestro (par Brisson/Deodato Jr). Plus le retour de la nouvelle Wolverine orchestré par Taylor et Kirk.
(Contient les épisodes US X-Men Gold 12, X-Men Blue 12, Old Man Logan 29-30, All-New Wolverine 24, Iceman 4-5)
X-Men Gold et Blue restent des titres que je conseille vivement de lire depuis le début. La série Iceman est intéressante mais aurait mérité mieux.
Un nunéro qui ressemble trop aux point One inutiles des années précédentes. Le numéro sert d'introduction à Marvel Legacy soit disant, mais l'amour des relaunch de Marvel fait que des choses présentées ici serviront pour le relaunch suivant, ce qui est très moyens. En pluis de ça on peut se demander quel est l'intérêt de mettre ce numéro dans un hos série kiosque alors que la suite sera en librairie.
C'est un numéro catalogue qui présente les prochains titres et intrigues de l'univers Marvel certes, mais bon dieu ce que j'ai aimé. Le début du numéro dessiné par Ribic est somptueux et Jason Aaron arrive parfaitement à utiliser ce one-shot post-Secret Empire pour proposer de nouvelles directions pour la plupart très intrigantes. Malheureusement certaines idées ne seront exploitées qu'au prochain relaunch marvellien (qui a débuté ce mois-ci aux US). Mais lisez cet épisode, c'est une jolie déclaration d'amour à l'héritage de Marvel, thème important de ce numéro.
Un one-shot qui reste important à lire et l'histoire même si c'est déguisé de point one. En revanche, si vous avez aimé le numéro, n'hésitez pas à plonger dans la série d'Avengers d'Aaron qui est la suite directe (elle en est à deux issues pour l'instant). Les dessins restent bons dans l'ensemble même si il y a des faiblesses.
Le coup d'envoi de la période Marvel Legacy dans un one-shot signé par Jason Aaron, Esad Ribic et Steve McNiven ! Immanquable !
(Contient l'épisode US Marvel Legacy 1)
Un nunéro qui ressemble trop aux point One inutiles des années précédentes. Le numéro sert d'introduction à Marvel Legacy soit disant, mais l'amour des relaunch de Marvel fait que des choses présentées ici serviront pour le relaunch suivant, ce qui est très moyens. En pluis de ça on peut se demander quel est l'intérêt de mettre ce numéro dans un hos série kiosque alors que la suite sera en librairie.
C'est un numéro catalogue qui présente les prochains titres et intrigues de l'univers Marvel certes, mais bon dieu ce que j'ai aimé. Le début du numéro dessiné par Ribic est somptueux et Jason Aaron arrive parfaitement à utiliser ce one-shot post-Secret Empire pour proposer de nouvelles directions pour la plupart très intrigantes. Malheureusement certaines idées ne seront exploitées qu'au prochain relaunch marvellien (qui a débuté ce mois-ci aux US). Mais lisez cet épisode, c'est une jolie déclaration d'amour à l'héritage de Marvel, thème important de ce numéro.
Un one-shot qui reste important à lire et l'histoire même si c'est déguisé de point one. En revanche, si vous avez aimé le numéro, n'hésitez pas à plonger dans la série d'Avengers d'Aaron qui est la suite directe (elle en est à deux issues pour l'instant). Les dessins restent bons dans l'ensemble même si il y a des faiblesses.
La saga de la mort de Jean DeWolff avait marqué à l'époque. Peter David s'est fait un nom grâce à ce titre, ce qui est ironique quand on sait qu'il n'aime pas écrire sur Spider-Man. On peut le remercier d'avoir tué Jean DeWolff, personnage secondaire daté et fliquette au couvre-chef ringard. Malgré cela, Spectacular Spider-Man reste toujours en-dessous de sa grande soeur Amazing Spider-Man.
Auteurs : Milgrom, David, Trimpe, Buckler
Le terrible Rédempteur a tué l'une des meilleures amies de Spider-Man : le commissaire Jean DeWolff. Le Tisseur va tout faire pour arrêter le criminel, quitte à franchir certaines limites…
(Contient les épisodes US Spectacular Spider-Man (1976) 98-109 et Annual 5 publiés précédemment dans les revues NOVA 94-102, dans l'album MARVEL BEST OF : SPIDER-MANLA MORT DE JEAN DE WOLFF et 1 inédit)
La saga de la mort de Jean DeWolff avait marqué à l'époque. Peter David s'est fait un nom grâce à ce titre, ce qui est ironique quand on sait qu'il n'aime pas écrire sur Spider-Man. On peut le remercier d'avoir tué Jean DeWolff, personnage secondaire daté et fliquette au couvre-chef ringard. Malgré cela, Spectacular Spider-Man reste toujours en-dessous de sa grande soeur Amazing Spider-Man.
Bendis, en manque d'inspiration, remplit ses pages de ses tics habituels et ne raconte rien. Son complice Latour ne s'en sort guère mieux. Une rencontre artificielle qui traîne en longueur entre deux ados insupportables.
Auteurs : Bendis, Latour, Pichelli, Rodriguez
Spider-Gwen et Miles Morales se retrouvent embarqués dans une course-poursuite à travers leurs deux dimensions. Mais d'aventures en confidences, les deux adolescents commencent à tisser une toute autre relation…
(Contient les épisodes US Spider-Man 12-14, Spider-Gwen 16-18 publiés précédemment dans les revues SPIDER-MAN (2017) 4-7)
Bendis, en manque d'inspiration, remplit ses pages de ses tics habituels et ne raconte rien. Son complice Latour ne s'en sort guère mieux. Une rencontre artificielle qui traîne en longueur entre deux ados insupportables.
Je suis désolé. Cette note n'est vraiment pas pour le plaisir. J'avais hâte de voir cette mini sur Mace, sauf qu'apès lecture, je voudrais qu'elle n'existe pas. C'est une des pires parutions Star Wars sous l'ère Marvel. Ce qui est drôle, c'est que les quelques points intéressants ne sont pas assez développés (le maitre de Windu entre autre). On perd du temps sur une mission post-Geonosis qui n'apporte strictement rien. C'est vraiment pas au niveau des Star Wars Republic de Dark Horse. Mais pour en arriver là, le vrai point noir, la catastrophe, la calamité : les dessins. C'est illégal de sortir un travail pareil pour une mini comme ça. Je sais pas où ils ont trouvé Denys Cowan...On est à la limite de l'insulte ou du foutage de gueule. Les persos sont peu reconnaissables, et ne regardez pas les backgrounds, c'est une misère. Pour les fans les plus acharnés, vous allez pleurer. Et attendez, il y a même une erreur de continuité majeur...
Mace Windu dirige un groupe de Jedi dans lequel on retrouve Kit Fisto pour une mission en pleine Guerre des Clones. Une saga inédite par le scénariste de la série télé Luke Cage.
(Contient les épisodes US Mace Windu : Jedi of the Republic (2017) 1-5, inédits)
Je suis désolé. Cette note n'est vraiment pas pour le plaisir. J'avais hâte de voir cette mini sur Mace, sauf qu'apès lecture, je voudrais qu'elle n'existe pas. C'est une des pires parutions Star Wars sous l'ère Marvel. Ce qui est drôle, c'est que les quelques points intéressants ne sont pas assez développés (le maitre de Windu entre autre). On perd du temps sur une mission post-Geonosis qui n'apporte strictement rien. C'est vraiment pas au niveau des Star Wars Republic de Dark Horse. Mais pour en arriver là, le vrai point noir, la catastrophe, la calamité : les dessins. C'est illégal de sortir un travail pareil pour une mini comme ça. Je sais pas où ils ont trouvé Denys Cowan...On est à la limite de l'insulte ou du foutage de gueule. Les persos sont peu reconnaissables, et ne regardez pas les backgrounds, c'est une misère. Pour les fans les plus acharnés, vous allez pleurer. Et attendez, il y a même une erreur de continuité majeur...
![[Sorties Comics] Vendredi 26 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
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![[VF] Sélection MDCU de juin 2018](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_28476_vf-selection-mdcu-de-juin-2018_1527351347.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (2)
BartAllen Staff MDCU
il y a 6 ans
Comme d'habitude, Detective Comics est excellent, même si cet arc qui se concentre sur Azrael est pas le top du run de Tynion IV. Le début du nouvel arc de Batman est plutôt encourageant mêem si Batman est très peu présent.
Meestake Staff MDCU
il y a 6 ans
Les titres du Batverse se portent toujours aussi bien. Entre l'ouverture d'un arc que j'ai beaucoup aimé opposant le Joker et le Sphinx dessiné par l'excellent Mikel Janin, James Tynion IV qui continue de tisser son intrigue globale dans Detective Comics et Nightwing toujours autant malmené par Tim Seeley, ce kiosque est sans doute le plus intéressant et le plus rentable.