Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties d'octobre qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Jonathan Hickman, Pepe Larraz, R.B. Silva
"Pendant que vous dormiez, le monde a changé" : C'est ainsi que le Professeur X annonce aux terriens la naissance d'une nouvelle nation mutante sur l'île de Krakoa. C'est le début d'une saga déjà culte et bourrée de rebondissements qui redéfinit totalement l'univers des X-Men !
(Contient les épisodes US House of X (2019) 1-6 et Powers of X (2019) 1-6, précédemment publiés dans HOUSE OF X / POWERS OF X 1 à 4)
Un récit qui fera date pour avoir réinventé la franchise des X-men avec brio. Tous en proposant un récit entrainant à chaque numéro. Ce qui en fait aussi la réussite, c'est le duo de dessinateurs nous proposant des pages sublimes et de la récréation de l'univers visuel des X-men.
Épique. Audacieux. Graphiquement superbe. C'est le projet le plus ambitieux qu'aient connu les X-Men depuis Grant Morisson. En quelques épisodes, Hickman réinvente les X-Men avec maestria. On peut détester le style Hickman, on peut ne pas aimer la proposition mais force est de constater que le pari est réussi et que ce lancement fera date. Dommage que la suite (Dawn of X) n'ait pas été à la hauteur.
Hickman transforme radicalement les X-Men, avec un nouveau statu quo. Ces deux mini-séries sont à lire pour tout fan de X-Men, mais pas que, tant la proposition est intéressante. J'ai un peu lâché les X-Men de Hickman après, trop décousus, mais cet album, c'est du tout bon !
Que dire qui n'a pas encore été dit ? La renaissance fracassante des X-Men par un pur génie, servie par deux super artistes. C'est à lire absolument.
Bliss continue de ressortir ses premières séries en intégrale et ici, c'est un très bonne idée, les trois mini-séries formant une trilogie cohérente ajoutant à chaque fois plus de profondeur à ce pan de l'univers, jusqu'à la conclusion. Un très bon récit et surtout très beau grâce au travail de Matt Kindt et Trevor Hairsine. Si vous ne l'avez pas encore lu et que vous appréciez la SF, n'n'hésitez pas
Matt Kindt propose de la SF intelligente, lorgnant sur 2001, l'Odyssée de l'espace. C'est une excellente surprise. Dense et ambitieux, le scénario est brillamment mis en image par Trevor Hairsine. Même si la première mini-série est supérieure aux suivantes, c'est une excellente idée que de rééditer cette trilogie en un tome.
En pleine Guerre froide, l’URSS est déterminée à gagner la course à l’espace. Elle lance une mission incroyablement ambitieuse: envoyer trois cosmonautes aux confins de l’univers. Des orphelins triés sur
le volet, entraînés tels des communistes modèles et interdits de fonder une famille. Au bout de leur voyage, ils rencontrent l’Inconnu… quelque chose qui les changera à jamais. Abram est le premier à
rentrer sur Terre, s’écrasant de nos jours dans le désert australien. Ceux qui l’ont rencontré l’appellent Divinity. Il peut plier la matière, l’espace et le temps à sa volonté. Mais il ne peut oublier l’amour de sa
vie et l’enfant qu’elle portait, qu’il avait dissimulés à ses supérieurs et abandonnés pour partir à la conquête de l’espace. C’est alors que Myshka, la copilote du groupe, retrouve également le chemin de la Terre. Mais, contrairement à Abram, elle n’a aucune famille secrète et croit toujours en l’idéal communiste. Sa mission : restaurer la gloire soviétique
Contient les trois séries Divinity I, II et III + tous les récits annexes.
Bliss continue de ressortir ses premières séries en intégrale et ici, c'est un très bonne idée, les trois mini-séries formant une trilogie cohérente ajoutant à chaque fois plus de profondeur à ce pan de l'univers, jusqu'à la conclusion. Un très bon récit et surtout très beau grâce au travail de Matt Kindt et Trevor Hairsine. Si vous ne l'avez pas encore lu et que vous appréciez la SF, n'n'hésitez pas
Matt Kindt propose de la SF intelligente, lorgnant sur 2001, l'Odyssée de l'espace. C'est une excellente surprise. Dense et ambitieux, le scénario est brillamment mis en image par Trevor Hairsine. Même si la première mini-série est supérieure aux suivantes, c'est une excellente idée que de rééditer cette trilogie en un tome.
Conclusion du chef-d'œuvre ésotérique d'Alan Moore merveilleusement illustré par un J.H. Williams III incroyablement inspiré. L'Apocalypse arrive, dans son sens premier, avec la révélation. Le monde tel que nous le connaissons prend fin et Moore met un terme à l'univers ABC (Tom Strong...) d'une façon à la fois logique et surprenante. Après le voyage spirituel du précédent volume, Promethea redevient un titre plus abordable.
De retour sur Terre après son voyage mystique dans l'Immateria, Sophie Bangs renonce un temps à incarner Promethea. Mais les moyens déployés par le FBI pour l'anéantir la font revenir à cet état de conscience. Sa colère est grande, mais son amour l'est également. Le monde entier se trouve alors aux portes de l'apocalypse, où toutes les lois universelles sont réduites à néant.
Contenu vo : Promethea #24-32 + ABC Special #1 + Tomorrow Stories Special #1 et #2
Conclusion du chef-d'œuvre ésotérique d'Alan Moore merveilleusement illustré par un J.H. Williams III incroyablement inspiré. L'Apocalypse arrive, dans son sens premier, avec la révélation. Le monde tel que nous le connaissons prend fin et Moore met un terme à l'univers ABC (Tom Strong...) d'une façon à la fois logique et surprenante. Après le voyage spirituel du précédent volume, Promethea redevient un titre plus abordable.
Daniel Warren Johnson continue à faire des merveilles, cette fois du côté de Marvel. Cette mini-série débute durant King in Black mais prend très vite son envol pour nous proposer une saga cosmique à la fois fun et réflexive, toujours servi par une énergie dingue et des dessins à tomber. Une approche et un développement du personnage plus que bienvenus.
Daniel Warren Johnson
La star montante Daniel Warren Johnson s'intéresse à Beta Ray Bill, le meilleur ami de Thor, qui doit rebondir après ses nombreuses mésaventures récentes. Une œuvre magnifique que nous vous proposons dans un format géant.
(Contient les épisodes US Beta Ray Bill 1-5, inédits)
Daniel Warren Johnson continue à faire des merveilles, cette fois du côté de Marvel. Cette mini-série débute durant King in Black mais prend très vite son envol pour nous proposer une saga cosmique à la fois fun et réflexive, toujours servi par une énergie dingue et des dessins à tomber. Une approche et un développement du personnage plus que bienvenus.
Kurt Busiek revisite le plus célèbre des barbares et le résultat est à la hauteur de ce qu'on pouvait espérer. S'éloignant des clichés des successeurs de Howard (le romancier qui a créé le personnage), il reste fidèle à la vision originelle du personnage. La partie graphique est l'oeuvre du trop rare et talentueux Cary Nord. Aucune fausse note pour un omnibus qui reprend même les inédits de Busiek en France comme la mini-série illustrée par Kelley Jones.
Kurt Busiek, Cary Nord
Avec Marvels, le scénariste Kurt Busiek a changé notre vision des origines de l'univers Marvel. Il se penche maintenant sur l'Âge Hyborien : Découvrez un jeune Conan qui a dû devenir adulte très tôt sur le champ de bataille !
(Contient les épisodes US Conan: The Legend 0, Conan (2004) 1-28, 32, 39, 45-46 et Conan: Book of Thoth 1-4, précédemment publiés dans Lanfeust HS 2, Les Nouvelles Aventures de Conan 1-4, CONAN (2009) 1,2,4 et inédits)
Kurt Busiek revisite le plus célèbre des barbares et le résultat est à la hauteur de ce qu'on pouvait espérer. S'éloignant des clichés des successeurs de Howard (le romancier qui a créé le personnage), il reste fidèle à la vision originelle du personnage. La partie graphique est l'oeuvre du trop rare et talentueux Cary Nord. Aucune fausse note pour un omnibus qui reprend même les inédits de Busiek en France comme la mini-série illustrée par Kelley Jones.
Le crossover rentre dans son sujet principal avec le fameux tournoi teasé, après la présentation des ennemis (Très charismatiques chacun d'entre eux) et un dîner. Quand le tournoi commence, il surprend avec des épreuves qui le rapprochent plus de Fort Boyard que de Mortal Kombat. L'event prend des directions qui peuvent dérouter et ne vont pas là où on s'attend forcément, mais il se conclut de façon plus classique et lance beaucoup de pistes excitantes pour le futur de l'univers des X-men. Artistiquement, c'est toujours varié, mais ça reste toujours le haut du panier en terme de dessinateurs. Mention pour le numéro final qui éclate la rétine.
Jonathan Hickman, Tini Howard, Pepe Larraz, Mahmud Asrar…
Tous les mutants cités dans la prophétie de Saturnyne ont récupéré leurs épées et sont prêts à se battre dans l'Outremonde, d'où ne reviendront pas ceux qui seront mortellement blessés. Il est temps de découvrir les adversaires des mutants dans ce tournoi…
(Contient les épisodes US X of Swords: Stasis, X-Men (2019) 14,, Marauders (2019) 14-15, Wolverine (2020) 7 et Excalibur (2019) 14, inédits)
Le crossover rentre dans son sujet principal avec le fameux tournoi teasé, après la présentation des ennemis (Très charismatiques chacun d'entre eux) et un dîner. Quand le tournoi commence, il surprend avec des épreuves qui le rapprochent plus de Fort Boyard que de Mortal Kombat. L'event prend des directions qui peuvent dérouter et ne vont pas là où on s'attend forcément, mais il se conclut de façon plus classique et lance beaucoup de pistes excitantes pour le futur de l'univers des X-men. Artistiquement, c'est toujours varié, mais ça reste toujours le haut du panier en terme de dessinateurs. Mention pour le numéro final qui éclate la rétine.
Le crossover rentre dans son sujet principal avec le fameux tournoi teasé, après la présentation des ennemies (Très charismatiques chacun d'entre eux) et un dîner. Quand le tournoi commence, il surprend avec des épreuves qui le rapprochent plus de Fort Boyard que de Mortal Kombat. L'event prend des directions qui peuvent dérouter et ne vont pas là où on s'attend forcément, mais il se conclut de façon plus classique et lance beaucoup de pistes excitantes pour le futur de l'univers des X-men. Artistiquement, c'est toujours varié, mais ça reste toujours le haut du panier en terme de dessinateurs. Mention pour le numéro final qui éclate la rétine.
Jonathan Hickman, Tini Howard, Pepe Larraz, Mahmud Asrar…
Les champions de Krakoa affrontent ceux d'Arakko, mais le conflit a déjà fait une victime parmi les mutants. Apocalypse devra-t-il affronter sa femme Genesis, avec laquelle il vient tout juste d'être réuni ? La fantastique saga s'achève ici !
(Contient les épisodes US X-Force (2019) 14, Hellions (2020) 6, Cable (2020) 6, Excalibur (2019) 15, et X of Swords: Destruction, inédits)
Le crossover rentre dans son sujet principal avec le fameux tournoi teasé, après la présentation des ennemies (Très charismatiques chacun d'entre eux) et un dîner. Quand le tournoi commence, il surprend avec des épreuves qui le rapprochent plus de Fort Boyard que de Mortal Kombat. L'event prend des directions qui peuvent dérouter et ne vont pas là où on s'attend forcément, mais il se conclut de façon plus classique et lance beaucoup de pistes excitantes pour le futur de l'univers des X-men. Artistiquement, c'est toujours varié, mais ça reste toujours le haut du panier en terme de dessinateurs. Mention pour le numéro final qui éclate la rétine.
Très bonne conclusion de la seconde série Dark Vador de Marvel. Les arcs continuent à décrire avec intérêt l'ascension de l'Empire et de la Légende de Vador, et on regrette un peu que la série se termine déjà. C'est sans compter la partie artistique régulière Camuncoli réussie, malgré quelques moments de faiblesse.
Deuxième et dernière partie d'une série qui aura été une bonne surprise. Les fans de Star Wars devraient y trouver leur compte.
Charles Soule, Giuseppe Camuncoli
Dark Vador est désormais reconnu comme l'un des éléments essentiels du nouvel Empire Galactique. Quand il n'est pas en train de chasser les derniers Jedi survivants, le Seigneur Noir des Sith prête main forte à Tarkin sur Mon Cala. Mais son ascension est-elle terminée ?
(Contient les épisodes US Darth Vader (2017) 13-25, précédemment publiés dans 100% STAR WARS : DARK VADOR – SEIGNEUR NOIR DES SITH 3-4)
Très bonne conclusion de la seconde série Dark Vador de Marvel. Les arcs continuent à décrire avec intérêt l'ascension de l'Empire et de la Légende de Vador, et on regrette un peu que la série se termine déjà. C'est sans compter la partie artistique régulière Camuncoli réussie, malgré quelques moments de faiblesse.
Deuxième et dernière partie d'une série qui aura été une bonne surprise. Les fans de Star Wars devraient y trouver leur compte.
C'est amusant de voir Millar reprendre un concept qui avait été à la base prévu par Claremont. Ennemi.d'Etat est bon blockbuster et une histoire de Wolverine restée célèbre mais sans doute un poil surcotée.
Très bon album ! Le scénario n'est pas très poussé : en gros, Wolverine s'énerve et tape tout le monde. Wolverine n'a jamais été un personnage très intéressant en solo, donc enfin, on a un récit qui assume totalement, et qui nous offre de l'action débridée. Romita Jr est en forme, et la lecture se fait d'une traite, à un rythme effréné !
Mark Millar, John Romita Jr.
Lors de son premier affrontement avec le mystérieux Gorgone, Wolverine trouve enfin un adversaire à sa mesure. Tué par l'adepte de la Main, il est ressuscité par la terrible organisation et tombe sous son contrôle. Sa mission : Tuer les héros Marvel !
(Contient les épisodes US Wolverine (2003) 20-32, précédemment publiés dans MARVEL ICONS : WOLVERINE PAR MARK MILLAR)
C'est amusant de voir Millar reprendre un concept qui avait été à la base prévu par Claremont. Ennemi.d'Etat est bon blockbuster et une histoire de Wolverine restée célèbre mais sans doute un poil surcotée.
Très bon album ! Le scénario n'est pas très poussé : en gros, Wolverine s'énerve et tape tout le monde. Wolverine n'a jamais été un personnage très intéressant en solo, donc enfin, on a un récit qui assume totalement, et qui nous offre de l'action débridée. Romita Jr est en forme, et la lecture se fait d'une traite, à un rythme effréné !
Conclusion de l'event nous contant le combat final entre Knull et Venom, avec un coté assez fun et over the top à lire. La résolution se fait sans trop de surprise et le manque de charisme de Knull se fait sentir. Si certaines scènes sont sublimes, les dessins gardent un aspect brouillon ou à la va-vite pour ce dernier numéro. Un event au final blockbuster, mais dont l'aftermath sera très intéressant à lire pour Venom. Quand à la pelletée de tie-ins comme toujours il y a du bon et moins bon, à noter que le one-shot sur Ghost Rider sert de conclusion à la série Ghost Rider d'Ed Ebrisson.
Souvent, quand on construit bien son histoire, quand les pièces du puzzle sont parfaitement mises en place, la résolution paraît un peu prévisible, un peu classique. Mais ce n'est pas forcément un défaut, Cates arrive là où il souhaitait aller après un très bon event, dont la fin a forcément du mal à se mesurer à la folie et la surprise du début. Les tie-ins sont toujours de qualité pour accompagner la conclusion de cet event qui aura été très satisfaisant.
Donny Cates, Jed MacKay, Ryan Stegman, Michele Bandini…
Un élément totalement inattendu vient redonner espoir aux défenseurs de notre planète, mis à mal par le terrible Knull : L'apparition de l'ancien héraut de Galactus, le Silver Surfer, porteur d'une arme capable de renverser la situation !
(Contient les épisodes US King in Black (2021) 5, King in Black: Spider-Man (2021) 1, King in Black: Ghost Rider (2021) 1, King in Black: Return of the Valkyries (2021) 4, King in Black: Wiccan & Hulkling (2021) 1 et King in Black: Planet of the Symbiotes (2021) 3, inédits)
Conclusion de l'event nous contant le combat final entre Knull et Venom, avec un coté assez fun et over the top à lire. La résolution se fait sans trop de surprise et le manque de charisme de Knull se fait sentir. Si certaines scènes sont sublimes, les dessins gardent un aspect brouillon ou à la va-vite pour ce dernier numéro. Un event au final blockbuster, mais dont l'aftermath sera très intéressant à lire pour Venom. Quand à la pelletée de tie-ins comme toujours il y a du bon et moins bon, à noter que le one-shot sur Ghost Rider sert de conclusion à la série Ghost Rider d'Ed Ebrisson.
Souvent, quand on construit bien son histoire, quand les pièces du puzzle sont parfaitement mises en place, la résolution paraît un peu prévisible, un peu classique. Mais ce n'est pas forcément un défaut, Cates arrive là où il souhaitait aller après un très bon event, dont la fin a forcément du mal à se mesurer à la folie et la surprise du début. Les tie-ins sont toujours de qualité pour accompagner la conclusion de cet event qui aura été très satisfaisant.
Spider-Gwen reste une lecure très agréable, rafrachissante et joue un très bon point d'entrée pour tout ceux ou celles qui ont envie de découvrir l'univers du Tisseur, mais pas forcément à travers le personnage de Peter ou Miles.
Jason Latour, Robbi Rodriguez
Gwen Stacy a perdu ses pouvoirs et elle est prise pour cible par Frank Castle ! Elle devra aussi affronter le Caïd et passer du temps avec des amis toujours plus nombreux, que ce soit Captain America, Miss Hulk, Spider-Cochon ou la nouvelle Wolverine !
(Contient les épisodes US Spider-Gwen (2015-II) 9-15 et Annual 1, et All-New Wolverine Annual (2016) 1, précédemment publiés dans 100% MARVEL : SPIDER-GWEN 3-4)
Spider-Gwen reste une lecure très agréable, rafrachissante et joue un très bon point d'entrée pour tout ceux ou celles qui ont envie de découvrir l'univers du Tisseur, mais pas forcément à travers le personnage de Peter ou Miles.
Surprenant choix que de publier dans la collection Must have une mini-série dont l'intérêt réside plus dans le fait qu'elle permette tourner la page Civil War que dans ses qualités intrinsèques. Sympathique mais anecdotique.
Pas mieux que mon compère Afa, l'arc est plutôt sympa à suivre au sortir de Civil War (et puis Alan Davis est au dessin !), mais difficile de justifier sa place dans cette collection tant ce n'est pas du tout un récit marquant ou fondateur. C'est sympa de le voir réédité tout de même.
Brian Michael Bendis, Alan Davis
L'événement Civil War a profondément divisé les trois principaux Avengers. Mais pour le bien de la planète, au lendemain de Siege, Iron Man, Captain America et Thor doivent se réconcilier. Une aventure commune va-t-elle le leur permettre ?
(Contient les épisodes US Avengers Prime (2010) 1-5, précédemment publiés dans 100% MARVEL : AVENGERS - RÉUNION)
Surprenant choix que de publier dans la collection Must have une mini-série dont l'intérêt réside plus dans le fait qu'elle permette tourner la page Civil War que dans ses qualités intrinsèques. Sympathique mais anecdotique.
Pas mieux que mon compère Afa, l'arc est plutôt sympa à suivre au sortir de Civil War (et puis Alan Davis est au dessin !), mais difficile de justifier sa place dans cette collection tant ce n'est pas du tout un récit marquant ou fondateur. C'est sympa de le voir réédité tout de même.
Haunt est une série très sympa à lire, pas prise de tête. C'est plutôt bien écrit, et graphiquement bon. Même si l'histoire est parfois un peu décousue, elle a le mérite de ne pas trop s'étendre.
Cette co-création de deux légendes des comics, Kirkman & McFarlane est dessinée par les deux artistes majeurs que sont Greg (Spawn, Batman) Capullo et Ryan (Invincible) Otlley. Une série à redécouvrir en Intégrale.
La vie du prêtre Daniel Kilgore n'a jamais été un modèle de stabilité, et la haine qu'il voue à son frère Kurt n'a pas arrangé les choses. Ennemis, ils sont néanmoins contraints de collaborer par-delà la mort lorsque Kurt, agent secret fraîchement assassiné, revient le hanter... Plongés au coeur d'une sombre conspiration, les deux frères s'unissent et donnent forme à une entité appelée Haunt.
Haunt est une série très sympa à lire, pas prise de tête. C'est plutôt bien écrit, et graphiquement bon. Même si l'histoire est parfois un peu décousue, elle a le mérite de ne pas trop s'étendre.
Mon souvenir n'est plus très frais et si je ne me rappelle plus très bien du scénario, je l'ai refeuilleté récemment et les planches de Ribic sont sublimes. En format géant, cela va être un bonheur pour les yeux.
Un très beau chant du signe pour le Silver Surfer, qui va être un délice pour les yeux en grand format avec les superbes planches peintes par Esad Ribic.
J. Michael Straczynski, Esad Ribic
Retrouvez en grand format un chef-d'œuvre de l'auteur de Spider-Man : Vocation et du dessinateur de Secret Wars ! Le Silver Surfer n'a plus beaucoup de temps à vivre. Quelle sera sa dernière aventure et jusqu'où l'emmènera-t-elle ?
(Contient les épisodes US Silver Surfer: Requiem (2007) 1-4, précédemment publiés dans MARVEL GRAPHIC NOVEL : SILVER SURFER - REQUIEM)
Mon souvenir n'est plus très frais et si je ne me rappelle plus très bien du scénario, je l'ai refeuilleté récemment et les planches de Ribic sont sublimes. En format géant, cela va être un bonheur pour les yeux.
Un très beau chant du signe pour le Silver Surfer, qui va être un délice pour les yeux en grand format avec les superbes planches peintes par Esad Ribic.
Un arc plutôt décevant. S'il ne va pas là où on s'attend, tout se déroule de façon très classique sans être entraînant malgré quelques fulgurances au niveau des cliffhanghers. Les dessins de Samnee sont toujours très réussis et nous délivrent de superbes scènes d'action.
La nouvelle série de Robert Kirkman (Invincible et Walking Dead) associé à l'immense Chris Samnee (Daredevil) nous jette en pleine action. Ninjas, sociétés secrètes et passé trouble sont les ingrédients de ce récit.
Celui qui utilise la puissance de feu est destiné à sauver le monde, mais Owen Johnson - son détenteur - a tourné le dos à cette vie. Mais après l'attaque de Dragon's Claw, Owen et sa famille sont sous le choc, tandis que d'autres dangers se profilent à l'horizon...
Un arc plutôt décevant. S'il ne va pas là où on s'attend, tout se déroule de façon très classique sans être entraînant malgré quelques fulgurances au niveau des cliffhanghers. Les dessins de Samnee sont toujours très réussis et nous délivrent de superbes scènes d'action.
Un crossover qui aura marqué Marvel dans les années 90. Réunir tous les épisodes concernés est une bonne initiative mais lire une histoire si longue avec autant d'équipes artistiques que de séries et le tout dans un format difficile à manipuler demande un certain courage. Et un beau budget.
L'une des nouvelles éditions les plus réclamées par les fans ! Le gigantesque crossover est de nouveau recueilli dans un album monstrueux de plus de 1300 pages ! X-Men, Avengers et Fantastiques affrontent l'être né de la fusion de Magnéto et de Charles Xavier.
(Contient les épisodes US Uncanny X-Men (1963) 287, 333-337, Cable (1993) 32-36, X-Force (1991) 55-58, X-Man (1995) 15-19, X-Men (1991) 53-57, X-Men Unlimited (1993) 11, Fantastic Four (1964) 414-416, Avengers (1963) 400-402, Onslaught: X-Men (1996) 1, Incredible Hulk (1968) 444-445, Excalibur (1988) 100, Wolverine (1998) 104-105, X-Factor (1986) 125-126, Sensational Spider-Man (1996) 8, Amazing Spider-Man (1963) 415, Green Goblin (1995) 12, Spider-Man (1990) 72, Iron Man (1968) 332, Punisher (1995) 11, Thor (1966) 502, Onslaught: Marvel Universe (1996) 1, X-Men '96, Onslaught: Epilogue (1997) 1, X-Men: The Road to Onslaught (1996) 1, nouvelle édition)
Un crossover qui aura marqué Marvel dans les années 90. Réunir tous les épisodes concernés est une bonne initiative mais lire une histoire si longue avec autant d'équipes artistiques que de séries et le tout dans un format difficile à manipuler demande un certain courage. Et un beau budget.
Gros tome qui regroupe toutes les mini-séries en lien avec la Super-family. Les histoires sont dans la majorité sympathiques, avec quelques réussites notamment celle de Superman: Worlds Of War et House of El. On nous propose un futur où les récits se répondent entre eux et permette de faire du Foreshadowing sur des événements qui arriveront prochainement dans le présent. Les dessins sont très variés avec de vraies pépites visuelles de la part de Mikel Janin et Marguerite Sauvage.
Tout n'est pas parfait, mais les séries Superman de Future State s'en sortent convenablement. Un petit plus pour Worlds of war et House of El qui se focalisent sur l'héritage de Superman. Bref, globalement une bonne lecture, avec des propositions assez diverses.
Sûrement la franchise qui s'en sort le mieux durant ce Future State. Tout ce qui concerne l'héritage de Superman est effectivement assez intéressant et amène de jolies réflexions, que l'on n'a pas forcément sur les autres titres. Comme pour les autres tomes, c'est assez hétérogène, mais dans l'ensemble plutôt agréable, avec toujours des choses qui vont rester pour la suite de l'univers DC.
Les siècles passent et les Kryptoniens voient leurs alliés et ennemis changer. Alors que Jonathan Kent peine à s'imposer comme le digne héritier de son père, Superman joue sa vie dans les arènes de Warworld et sa cousine, Kara Zor-El, crée sa propre forteresse sur la Lune. Toujours mu par son intérêt personnel, Lex Luthor tente de son côté de détruire les Planètes Unies dans un monde qui, près de mille ans après notre ère, n'a plus rien à voir avec celui que nous connaissons.
Superman of Metropolis #1-2 + Mister Miracle The Metropolis Menagerie part #1-2 + The Guardian #1-2 + Superman Worlds of War #1-2 + Midnighter part #1-2 + Mister Miracle Time & Effect part #1-2 + Black Racer part #1-2 + Kara Zor-El Superwoman #1-2 + Superman/wonder Woman #1-2 + Superman vs Imperious Lex #1-3 + Legion of super heroes #1-2 + House of Hel #1
Gros tome qui regroupe toutes les mini-séries en lien avec la Super-family. Les histoires sont dans la majorité sympathiques, avec quelques réussites notamment celle de Superman: Worlds Of War et House of El. On nous propose un futur où les récits se répondent entre eux et permette de faire du Foreshadowing sur des événements qui arriveront prochainement dans le présent. Les dessins sont très variés avec de vraies pépites visuelles de la part de Mikel Janin et Marguerite Sauvage.
Tout n'est pas parfait, mais les séries Superman de Future State s'en sortent convenablement. Un petit plus pour Worlds of war et House of El qui se focalisent sur l'héritage de Superman. Bref, globalement une bonne lecture, avec des propositions assez diverses.
Sûrement la franchise qui s'en sort le mieux durant ce Future State. Tout ce qui concerne l'héritage de Superman est effectivement assez intéressant et amène de jolies réflexions, que l'on n'a pas forcément sur les autres titres. Comme pour les autres tomes, c'est assez hétérogène, mais dans l'ensemble plutôt agréable, avec toujours des choses qui vont rester pour la suite de l'univers DC.
Une lecture qui risque de diviser mais qui n'en reste pas moins LA sortie du mois. La partie graphique est irréprochable tandis que Johns a le mérite de prendre des risques au niveau du scénario tout en caressant le fan dans le sens du poil.
Longtemps attendu, ce récit se révèle être une petite déception. Le style Geoff Johns fonctionne guère et propose une histoire dont on a du mal à voir sa place dans le Black Label. La résolution est décevante et certains choix risquent de diviser. Reste les dessins de Jason Fabok qui sont excellents.
De la mise en scène, à la qualité de l'écriture, en passant par le développement des relations entre les personnages ; on est face à une grande oeuvre, pour laquelle les auteurs ont donné le meilleur d'eux-mêmes. Sans doute que la volonté de Johns a vouloir proposé un nouveau Killing Joke joue en sa défaveur, sans doute que la toute fin de l'histoire ne plaira pas à tout le monde, mais qu'est-ce que c'est bien foutu. Et ce que c'est beau, bordel.
Après la grande révélation à la fin de la guerre de darkseid j'attendais ce tome et qu'elle déception de voir le partie pris ne pas être assumé. C'est beau mais sans plus.
Le secret du pire ennemi de Batman est enfin révélé : il n'existe pas un mais trois Jokers. Le Clown, le Comique, le Criminel : chacun à sa manière, ces malfaiteurs au sourire carnassier ont infligé à Batman et à ses alliés des blessures tant physiques que psychologiques. Au moment où l'on retrouve des cadavres rappelant la première affaire du Chevalier Noir contre sa nemesis, Batman, Batgirl et Red Hood mènent l'enquête pour découvrir lequel des Trois Jokers est l'original... ou s'il existe vraiment. Mais le temps est loin d'avoir guéri toutes les blessures et la confiance entre les trois justiciers est, elle, passablement entamée...
Contenu vo : Batman: The Three Jokers #1-3
Une lecture qui risque de diviser mais qui n'en reste pas moins LA sortie du mois. La partie graphique est irréprochable tandis que Johns a le mérite de prendre des risques au niveau du scénario tout en caressant le fan dans le sens du poil.
Longtemps attendu, ce récit se révèle être une petite déception. Le style Geoff Johns fonctionne guère et propose une histoire dont on a du mal à voir sa place dans le Black Label. La résolution est décevante et certains choix risquent de diviser. Reste les dessins de Jason Fabok qui sont excellents.
De la mise en scène, à la qualité de l'écriture, en passant par le développement des relations entre les personnages ; on est face à une grande oeuvre, pour laquelle les auteurs ont donné le meilleur d'eux-mêmes. Sans doute que la volonté de Johns a vouloir proposé un nouveau Killing Joke joue en sa défaveur, sans doute que la toute fin de l'histoire ne plaira pas à tout le monde, mais qu'est-ce que c'est bien foutu. Et ce que c'est beau, bordel.
Après la grande révélation à la fin de la guerre de darkseid j'attendais ce tome et qu'elle déception de voir le partie pris ne pas être assumé. C'est beau mais sans plus.
Impossible d'être objectif avec ces épisodes. Marvel a imposé une fin à Straczynski que celui-ci n'a pas voulu assumer en signant sous un autre nom. Ce n'est pas la forme qui pèche mais un rebondissement final difficile à accepter pour les lecteurs. Ça ne veut pas dire qu'il faut éviter cet album car il est historique à plus d'un titre mais il laisse un goût amer
Difficile de donner un avis ultra positif sur cette fin d'arc. Non pas parce que la qualité n'est pas au rendez-vous, mais simplement parce que Straczynski a été forcé d'un point de vue éditoral de proposer cette fin. Et elle fit grand débat... même encore aujourd'hui. Toutefois, il serait regrétable de ne pas se procurer ce dernier tome, puisque cela signe tout de meme la fin d'une très belle écriture sur le personnage de Spider-Man et tout le mythe autour de son symbole aussi bien animal que sur sa psyché. L'alter égo civil, Peter, aura aussi eu droit à une écriture sincère, tout comme les relations qu'il entretient aussi bien avec MJ, sa tante ou d'autres. D'ailleurs, MJ aura tenu une très belle place dans le run de Stracz, et il faut absoluement le spouligner. Pour moi, ce run reste le meilleur sur Spider-Man à ce jour.
Michael Straczynski, Ron Garney, Joe Quesada
Voici la conclusion très attendue de la série d'albums recueillant tous les épisodes signés J. Michael Straczynski. Lorsque Tante May est attaquée par les ennemis de Spider-Man, Peter Parker va devoir prendre une terrible décision qui changera sa vie à jamais.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man 539-545, Friendly Neighborhood Spider-Man (2005) 24 et Sensational Spider-Man (2006) 41, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : SPIDER-MAN – UN JOUR DE PLUS)
Impossible d'être objectif avec ces épisodes. Marvel a imposé une fin à Straczynski que celui-ci n'a pas voulu assumer en signant sous un autre nom. Ce n'est pas la forme qui pèche mais un rebondissement final difficile à accepter pour les lecteurs. Ça ne veut pas dire qu'il faut éviter cet album car il est historique à plus d'un titre mais il laisse un goût amer
Difficile de donner un avis ultra positif sur cette fin d'arc. Non pas parce que la qualité n'est pas au rendez-vous, mais simplement parce que Straczynski a été forcé d'un point de vue éditoral de proposer cette fin. Et elle fit grand débat... même encore aujourd'hui. Toutefois, il serait regrétable de ne pas se procurer ce dernier tome, puisque cela signe tout de meme la fin d'une très belle écriture sur le personnage de Spider-Man et tout le mythe autour de son symbole aussi bien animal que sur sa psyché. L'alter égo civil, Peter, aura aussi eu droit à une écriture sincère, tout comme les relations qu'il entretient aussi bien avec MJ, sa tante ou d'autres. D'ailleurs, MJ aura tenu une très belle place dans le run de Stracz, et il faut absoluement le spouligner. Pour moi, ce run reste le meilleur sur Spider-Man à ce jour.
Début du run culte du trio Michelinie-Romita Jr-Layton, dont le célèbre Le diable dans la bouteille. Les lecteurs actuels seront surpris de découvrir que l'alcoolisme de Tony Stark aura été traité sur une période si courte. Mais c'est qu'à l'époque, la narration décompressée n'existait pas. La première grande période pour Iron-Man, et il 'n'en a pas eu beaucoup dans sa carrière.
Bill Mantlo, Bob Layton, David Michelinie, John Romita Jr, Keith Pollard…
Le plus terrible adversaire de Tony Stark serait-il lui-même ? Suite à une série d'expériences difficiles (dont des accusations de meurtre) et des assauts de vilains à la pelle, le milliardaire a de plus en plus de mal à résister à son penchant immodéré pour l'alcool. Est-ce le début de la déchéance du milliardaire et la fin d'Iron Man ?
(Contient les épisodes US Iron Man (1968) 113-128 et Marvel Premiere (1972) 44, précédemment publiés dans Strange 115-121 et BEST OF MARVEL : IRON MAN – LE DIABLE EN BOUTEILLE)
Début du run culte du trio Michelinie-Romita Jr-Layton, dont le célèbre Le diable dans la bouteille. Les lecteurs actuels seront surpris de découvrir que l'alcoolisme de Tony Stark aura été traité sur une période si courte. Mais c'est qu'à l'époque, la narration décompressée n'existait pas. La première grande période pour Iron-Man, et il 'n'en a pas eu beaucoup dans sa carrière.
La collection "Je suis" est clairement de qualité tant sur le choix des numéros que sur la partie éditoriale. Nul doute que ce titre aura sa place aux côtés des autres numéros de la collection;
Alors que Carnage est l'adversaire de Venom dans Venom : Let There Be Carnage, à voir au cinéma, découvrez tout ce qu'il faut savoir sur Cletus Kasady, le terrible tueur en série qui a fusionné avec un symbiote pour devenir encore plus redoutable.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 361-363, Spider-Man Unlimited (1993) 1 (I), Carnage: Mind Bomb (1996) 1, Carnage: It's a Wonderful Life (1996) 1, Peter Parker: Spider-Man (1999) 13, Venom Vs Carnage (2004) 1, Carnage USA (2011) 1, Superior Carnage (2013) 1, Carnage (2015) 1, Web of Venom: Carnage Born (2018) 1 et Free Comic Book Day 2019 Spider-Man (I), précédemment publiés dans MARVEL CLASSIC (2015) 6, MARVEL VINTAGE : CARNAGE, MARVEL 7 et 18, SPIDER-MAN (V2) 13, MARVEL DELUXE : VENOM VS CARNAGE, MARVEL DARK : SUPERIOR CARNAGE, MARVEL DELUXE : CARNAGE, VENOM (2019) 5, VENOM (2020) 3)
La collection "Je suis" est clairement de qualité tant sur le choix des numéros que sur la partie éditoriale. Nul doute que ce titre aura sa place aux côtés des autres numéros de la collection;
L'événement du mois. Après 30 ans de gestation, voici enfin le dernier bijou de l'immense Barry Windsor-Smith. Je n'ai lu que le début mais ça s'annonce monumental.
L'histoire secrète de Bobby Bailey, un personnage qui en évoque un autre, Bruce Banner alias Hulk.
Windsor Smith fait remonter la personnalité complexe de ce monstre iconique à une enfance maltraitée, doublée d'expérimentations scientifiques menées au lendemain de la Seconde Guerre mondiale à partir d'essais scientifiques nazis. Autrement dit : comment la société américaine des années 1950 a engendré un monstre à partir d'autres monstres.
L'événement du mois. Après 30 ans de gestation, voici enfin le dernier bijou de l'immense Barry Windsor-Smith. Je n'ai lu que le début mais ça s'annonce monumental.
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L'Avis de la rédaction (4)
Uraphire Staff MDCU
il y a 4 ans
Un récit qui fera date pour avoir réinventé la franchise des X-men avec brio. Tous en proposant un récit entrainant à chaque numéro. Ce qui en fait aussi la réussite, c'est le duo de dessinateurs nous proposant des pages sublimes et de la récréation de l'univers visuel des X-men.
AfA Staff MDCU
il y a 4 ans
Épique. Audacieux. Graphiquement superbe. C'est le projet le plus ambitieux qu'aient connu les X-Men depuis Grant Morisson. En quelques épisodes, Hickman réinvente les X-Men avec maestria. On peut détester le style Hickman, on peut ne pas aimer la proposition mais force est de constater que le pari est réussi et que ce lancement fera date. Dommage que la suite (Dawn of X) n'ait pas été à la hauteur.
Adrien L. Staff MDCU
il y a 4 ans
Hickman transforme radicalement les X-Men, avec un nouveau statu quo. Ces deux mini-séries sont à lire pour tout fan de X-Men, mais pas que, tant la proposition est intéressante. J'ai un peu lâché les X-Men de Hickman après, trop décousus, mais cet album, c'est du tout bon !
Julien Staff MDCU
il y a 4 ans
Que dire qui n'a pas encore été dit ? La renaissance fracassante des X-Men par un pur génie, servie par deux super artistes. C'est à lire absolument.