Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Alors que Katie, cheffe de cuisine renommée, est sur le point d'ouvrir un deuxième restaurant – le sien ! –, les problèmes débarquent : l'ouverture est compromise, ses amours battent de l'aile, son ex réapparaît et, pour couronner le tout, sa meilleure serveuse se blesse. Et sans que rien ne le laisse présager, la vie de Katie passe de super top à vraiment nulle. Ce dont elle a besoin, c'est d'une seconde chance. Tout le monde y a droit, après tout. Mais encore faut-il savoir en faire bon usage...
Un roman graphique, par l'auteur de Scott Pilgrim, qui aborde avec sagesse et humour le coeur de nos angoisses existentielles comme la peur de l'échec, la volonté de se dépasser et les amours naissantes.
Une vraie petite perle, qu'il est bon de dévorer commes les champignons de l'histoire, si ce n'est pas encore fait. D'une originalité folle et avec toujours cet humour très spécial à la frontière de l'absurde, proche de Scott Pilgrim, du même auteur. Une grosse dose de fantastique, mais toujours beaucoup d'humanité et cette particularité d'avoir des personnages bourrés de défaut, à la limite d'être antipathiques dans leux mauvais choix constants. A découvrir à petit prix !
Un p'tit bijou ! Mon One Bad Day préféré sur les huit qui seront proposés. Une magnifique ambiance, qui n'est pas sans nous rappeler celle de la série animée des années 90, notamment grâce aux magnifiques dessins de Scalera. Mais également parce qu'on y retrouve un Dick Grayson en jeune Robin et un Freeze également dans la lignée de sa redéfinition dans la série animée et sa magnifique relation avec Nora... mais attention, ici il y a un twist qui rend l'histoire encore plus géniale !
Batman One Bad Day propose une série aux titres inégaux qui peinent au final à convaincre (et le prix fixé par l'éditeur n'aide pas).
Ici "BOBD - Mr. Freeze" se démarque largement de ses prédécesseurs. L'histoire du vilain gelé est quelque peu retravaillée et dispose d'un ensemble sympathique et accrocheur. Il y a de l'émotion, de l'humanité dans ce titre. Il est notamment sublimé par les dessins de Scalera. Un bon ( trop court) moment de lecture !
Un manteau de givre et de glace s'abat sur Gotham City et fait entrer la cité dans son hiver le plus rude. Le froid est tel que Mr. Freeze peut désormais sortir à l'air libre, libéré de son armure réfrigérée. Et le Chevalier Noir sait qu'il n'en est que plus dangereux, d'autant qu'en apparence les intentions de Victor Fries paraissent on ne peut plus honorables : après tout, son seul désir est de sauver sa femme, Nora. C'est en tout cas ce qu'il confesse à Robin, ralliant le jeune équipier à sa cause. Mais Batman n'est pas dupe, et les rigueurs de l'hiver ne tarderont pas à lui donner raison.
Contenu vo : Batman - One Bad Day: Mr Freeze
Un p'tit bijou ! Mon One Bad Day préféré sur les huit qui seront proposés. Une magnifique ambiance, qui n'est pas sans nous rappeler celle de la série animée des années 90, notamment grâce aux magnifiques dessins de Scalera. Mais également parce qu'on y retrouve un Dick Grayson en jeune Robin et un Freeze également dans la lignée de sa redéfinition dans la série animée et sa magnifique relation avec Nora... mais attention, ici il y a un twist qui rend l'histoire encore plus géniale !
Batman One Bad Day propose une série aux titres inégaux qui peinent au final à convaincre (et le prix fixé par l'éditeur n'aide pas).
Ici "BOBD - Mr. Freeze" se démarque largement de ses prédécesseurs. L'histoire du vilain gelé est quelque peu retravaillée et dispose d'un ensemble sympathique et accrocheur. Il y a de l'émotion, de l'humanité dans ce titre. Il est notamment sublimé par les dessins de Scalera. Un bon ( trop court) moment de lecture !
Jason Aaron continue de proposer un portrait sombre et différent de ce qu'on a lu jusqu'à maintenant du personnage qui ne plaira pas à tout le monde. C’est très violent et l’auteur propose une histoire captivante à suivre. On continue à lire pour les dessins Jesus Saiz qui proposent l’une de ses meilleures prestations.
L'une des meilleures séries Marvel du moment ! Il y a quelques aspects gênants dans les retcon que Jason Aaron essaie de mettre en place dans la mythologie du Punisher (cet adage qui dit que chaque auteur veut marquer les personnages sur lesquels ils travaillent et sans doute vrai), mais pour tout le reste, c'est assez génial. C'est évidemment une version déroutante du Punisher, beaucoup plus fantastique, mais les auteurs conservent tout de même l'essence du personnage au milieu de tout ça, et c'est rudemment bien écrit.
Jason Aaron, Jesus Saiz, Paul Azaceta
L’organisation criminelle la Main a permis à Frank Castle d’obtenir ce qu’il désirait le plus : la résurrection de sa femme, Maria. Mais tout pacte a un prix et le Punisher doit désormais accomplir de sales besognes et éliminer des malfrats pour le compte du clan ninja.
(Contient les épisodes US Punisher (2022) 5-8, inédits)
Jason Aaron continue de proposer un portrait sombre et différent de ce qu'on a lu jusqu'à maintenant du personnage qui ne plaira pas à tout le monde. C’est très violent et l’auteur propose une histoire captivante à suivre. On continue à lire pour les dessins Jesus Saiz qui proposent l’une de ses meilleures prestations.
L'une des meilleures séries Marvel du moment ! Il y a quelques aspects gênants dans les retcon que Jason Aaron essaie de mettre en place dans la mythologie du Punisher (cet adage qui dit que chaque auteur veut marquer les personnages sur lesquels ils travaillent et sans doute vrai), mais pour tout le reste, c'est assez génial. C'est évidemment une version déroutante du Punisher, beaucoup plus fantastique, mais les auteurs conservent tout de même l'essence du personnage au milieu de tout ça, et c'est rudemment bien écrit.
Une mini-série émouvante et surprenante qui respire l’amour pour le catch ! Imparfaite par moments, mais difficile de ne pas tomber sous le charme de l’histoire et des dessins toujours aussi exceptionnels.
Un nouveau titre très surprenant de Daniel Warren Johnson, qui s'intéresse... au catch ! Passion qu'il s'est découverte il y a peu et qu'il a voulu partager dans un comics. C'est du pur Johnson comme on l'aime, c'est incroyablement beau et débordant d'énergie, c'est plein de coeur et de passion, très brutal mais également très émouvant. Le catch tient une place centrale, et on ressent toute son amour pour ce sport-spectacle, mais ce n'est évidemment pas le coeur de l'histoire, on y retrouve ses thématiques chères, très humaines et familliales. En gros, même si vous n'aimez pas ou ne connaissez pas le catch, que cela ne vous freine pas, d'autant plus si vous aimez le travail de l'auteur !
La nouvelle petite bombe de Daniel Warren Johnson !
L'auteur prend le parti de nous plonger dans le monde du catch, un milieu auquel je ne porte personnellement aucun d'intérêt mais qui m'a véritablement séduit avec son histoire émouvante teintée de fantastique et sa superbe mise case survoltée.
Le premier épisode est une véritable invitation à la cause de notre héroïne et le tournoi auquel elle participe est très plaisant à suivre en mettant en scène des bastons hyper dynamiques avec un roster de personnages loufoques. Un récit très touchant par moment en y apportant son lot de surprises et même si les habitués de l'auteur pourront relever des similitudes avec ses autres oeuvres, il confirme ici son immense talent avec un excellent titre.
Lona Steelrose n'a peut-être pas le talent de sa mère pour le catch, mais elle a hérité de son énergie. Malgré la réticence des entraîneurs à lui donner sa chance, et la désapprobation de son père qui considère cette carrière trop dangereuse, Lona parviendra-t-elle à reprendre le flambeau de la légendaire Yua Steelrose ? Si le combat semble perdu d'avance, son destin bascule quand elle croise le chemin d'un étrange nécromancien qui lui propose un pacte d'un autre monde...
Contenu vo : Do A Power Bomb #1-7
Une mini-série émouvante et surprenante qui respire l’amour pour le catch ! Imparfaite par moments, mais difficile de ne pas tomber sous le charme de l’histoire et des dessins toujours aussi exceptionnels.
Un nouveau titre très surprenant de Daniel Warren Johnson, qui s'intéresse... au catch ! Passion qu'il s'est découverte il y a peu et qu'il a voulu partager dans un comics. C'est du pur Johnson comme on l'aime, c'est incroyablement beau et débordant d'énergie, c'est plein de coeur et de passion, très brutal mais également très émouvant. Le catch tient une place centrale, et on ressent toute son amour pour ce sport-spectacle, mais ce n'est évidemment pas le coeur de l'histoire, on y retrouve ses thématiques chères, très humaines et familliales. En gros, même si vous n'aimez pas ou ne connaissez pas le catch, que cela ne vous freine pas, d'autant plus si vous aimez le travail de l'auteur !
La nouvelle petite bombe de Daniel Warren Johnson !
L'auteur prend le parti de nous plonger dans le monde du catch, un milieu auquel je ne porte personnellement aucun d'intérêt mais qui m'a véritablement séduit avec son histoire émouvante teintée de fantastique et sa superbe mise case survoltée.
Le premier épisode est une véritable invitation à la cause de notre héroïne et le tournoi auquel elle participe est très plaisant à suivre en mettant en scène des bastons hyper dynamiques avec un roster de personnages loufoques. Un récit très touchant par moment en y apportant son lot de surprises et même si les habitués de l'auteur pourront relever des similitudes avec ses autres oeuvres, il confirme ici son immense talent avec un excellent titre.
Dernier numéro d’un des meilleurs events Marvel depuis un bail. La fin est un peu en dessous du reste de l’event, car il faut retourner au statut-quo, mais le dernier numéro propose quelques moments impactant et un discours intéressant sur l’humanité. Par contre, mieux vaut être intéressé par les Éternels et les X-men, les vedettes de l’event, car à part Iron Man et Captain America, les Avengers ne servent à rien. Les dessins de Valerio Schiti restent impeccables et solides. Enfin, comme pour le précédent numéro, seul les tie-ins de Kieron Gillen sont à lire, le reste est oubliable.
La conclusion de l'event avec un dernier numéro assez attendu (comme souvent avec les events Marvel) et qui nous donne le sentiment de pas avoir assisté à un event majeur, qui sera assez vite oublié. C'est tout de même une jolie conclusion du travail de Kieron Gillen sur les Eternels, notamment ave le numéro Omega, qui reste l'intérêt principal pour moi. Un dernier tome qui contient à nouveau des tie-ins qui ne sont pas en lien direct avec l'event, mais reste très sympa à lire, comme Captain Marvel ou Fantastic Four.
JUDGMENT DAY SE TERMINE ICI !
Kieron Gillen, David Pepose, Valerio Schiti, Juann Cabal…
C'est la fin ! Le Géniteur est en train de détruire la Terre, la plupart des héros sont morts et il ne reste qu'une poignée de X-Men, d'Avengers et d'Éternels à tenter le tout pour le tout en infiltrant le corps du terrible Céleste. Quel sacrifice sera nécessaire pour que ce nouveau dieu épargne la Terre ?
(Contient les épisodes US AXE: Judgment Day (2022) 6, Fantastic Four (2018) 48, AXE: Starfox (2022) 1, AXE: Eternals (2022), Captain Marvel (2019) 42 1 et AXE: Judgment Day Omega (2022) 1, inédits)
Dernier numéro d’un des meilleurs events Marvel depuis un bail. La fin est un peu en dessous du reste de l’event, car il faut retourner au statut-quo, mais le dernier numéro propose quelques moments impactant et un discours intéressant sur l’humanité. Par contre, mieux vaut être intéressé par les Éternels et les X-men, les vedettes de l’event, car à part Iron Man et Captain America, les Avengers ne servent à rien. Les dessins de Valerio Schiti restent impeccables et solides. Enfin, comme pour le précédent numéro, seul les tie-ins de Kieron Gillen sont à lire, le reste est oubliable.
La conclusion de l'event avec un dernier numéro assez attendu (comme souvent avec les events Marvel) et qui nous donne le sentiment de pas avoir assisté à un event majeur, qui sera assez vite oublié. C'est tout de même une jolie conclusion du travail de Kieron Gillen sur les Eternels, notamment ave le numéro Omega, qui reste l'intérêt principal pour moi. Un dernier tome qui contient à nouveau des tie-ins qui ne sont pas en lien direct avec l'event, mais reste très sympa à lire, comme Captain Marvel ou Fantastic Four.
Un titre dont j’ai surtout lu la première mini-série, qui est aussi la plus connue des deux. JLA: The Nail est un elseworld réussi pour son concept, qui est rempli de coups de théâtre et propose une histoire captivante. Les dessins d’Alan Davis sont aussi très réussis.
Peu de titres Elseworlds arrivent à exploiter leur potentiel, mais heuresement c'est le cas pour Faute D'un Clou ! Une variation de l'unviers DC pas très originale certes, mais l'absence de Superman est bien traitée et les rebondissements de l'histoires sont bien amenés et originaux. Le tout servi par l'aspect esthétique qui est très agréable.
"Justice League - Faute d'un clou" est un titre (elseworld) généreux avec quelques bonnes idées dans sa trame. On retrouve pour notre plus grand plaisir un large panel de super-héros & vilains. L'enjeu est de taille ! Le suspens est bien géré. A noter également que les dessins d'Alan Davis sont juste sublimes. Belle découverte...
Il y a de longues années, dans le Kansas : Martha et Jonathan Kent, qui ont projeté de faire quelques courses dans la bourgade de Smallville, découvrent qu'un pneu de leur voiture est crevé. Ils choisissent de reporter leur balade à plus tard et restent chez eux, sans se rendre compte que le ciel est traversé par une météorite étrange. Celle-ci abrite un enfant extraterrestre envoyé sur Terre depuis une lointaine planète. L'engin s'écrase un peu plus loin, et les Kent ne seront jamais là pour adopter l'enfant tombé des étoiles. Au fil des ans, les premiers super-héros apparaissent, mais dans ce monde légèrement différent du nôtre, jamais Superman ne se fera connaître, et l'histoire en sera à jamais bouleversée.
Contenu vo : Contenu : JLA: The Nail #1 à 3, JLA: Another Nail #1 à 3
Un titre dont j’ai surtout lu la première mini-série, qui est aussi la plus connue des deux. JLA: The Nail est un elseworld réussi pour son concept, qui est rempli de coups de théâtre et propose une histoire captivante. Les dessins d’Alan Davis sont aussi très réussis.
Peu de titres Elseworlds arrivent à exploiter leur potentiel, mais heuresement c'est le cas pour Faute D'un Clou ! Une variation de l'unviers DC pas très originale certes, mais l'absence de Superman est bien traitée et les rebondissements de l'histoires sont bien amenés et originaux. Le tout servi par l'aspect esthétique qui est très agréable.
"Justice League - Faute d'un clou" est un titre (elseworld) généreux avec quelques bonnes idées dans sa trame. On retrouve pour notre plus grand plaisir un large panel de super-héros & vilains. L'enjeu est de taille ! Le suspens est bien géré. A noter également que les dessins d'Alan Davis sont juste sublimes. Belle découverte...
On arrive à la moitié de la série SW Legacy et c’est toujours aussi bon à lire. L’auteur chamboule son univers, l'intrigue reste bien ficelée et les rebondissements sont efficaces. Les personnages sont bien écrits et diversifiés, par contre ça reste lourd à lire par moment. On peut aussi reprocher un Cade qui peut devenir lassant à lire. Jan Duursema est derrière la majorité des épisodes et à chaque fois, elle sublime les scènes qu’elle dessine.
John Ostrander, Jan Duursema, Omar Francia
L'Empire Sith et l’Alliance galactique étant empêtrés dans une guerre sans fin, c’est au tour de l’empereur Dark Krayt de donner une leçon sanglante à la galaxie. Pendant ce temps, Cade Skywalker, un descendant de Luke, tente de réussir le casse de sa vie !
(Contient les épisodes US Star Wars: Legacy (2006) 20-36, 41 et 0 1/2, précédemment publiés dans Star Wars : Legacy 4-7 et Star Wars : Vector 3)
On arrive à la moitié de la série SW Legacy et c’est toujours aussi bon à lire. L’auteur chamboule son univers, l'intrigue reste bien ficelée et les rebondissements sont efficaces. Les personnages sont bien écrits et diversifiés, par contre ça reste lourd à lire par moment. On peut aussi reprocher un Cade qui peut devenir lassant à lire. Jan Duursema est derrière la majorité des épisodes et à chaque fois, elle sublime les scènes qu’elle dessine.
L’album nous raconte une histoire de monstres dans une ambiance mélangeant le style de Frank Miller avec les vieux comics des années 50. Les dessins de Geoff Darrow sont à se rouler par terre, avec un niveau de détails assez démentiel. A lire et à relire !
Au Japon, des scientifiques travaillant pour le compte d’une multinationale arrivent à recréer la vie en partant de quelques molécules. Problème : une créature gigantesque se forme, sorte de néo-Godzilla, détruisant tout sur son passage. Doué de parole, le monstre annonce vouloir réduire à néant l’espèce humaine. Pire encore, il transforme les humains en mini monstres tout aussi peu aimables. N’arrivant pas à bout de ce fléau, les autorités japonaises font d’abord appel à un prototype de robot, Rusty, qui impuissant, devra faire alliance avec un alter ego américain, The Big Guy !
Une seconde histoire complète le livre, écrite est dessinée par Geof Darrow, où l’on voit Big Guy se confronter à un monstre volant tandis que Rusty rappelle les consignes de sécurité aux touristes américains se prélassant sur la plage de Moonsanto.
À la suite de Hard Boiled, Frank Miller et Geof Darrow ont repris du service en 1995 pour proposer une histoire à leur démesure, qui puise ses sources dans la culture pop des années 1950 et 1960 américaines et japonaises. C’est un mélange de Stan Lee et de Tezuka, d’Iron Man et d’Astro boy, de Godzilla et des films de propagande américains. C’est une déclaration d’amour à des œuvres légendaires qui enchantèrent la jeunesse des auteurs, avec un second degré jubilatoire.
Geof Darrow a reçu l’Eisner Award du meilleur dessinateur/encreur pour Big Guy and Rusty the Boy Robot en 1996.
L’album nous raconte une histoire de monstres dans une ambiance mélangeant le style de Frank Miller avec les vieux comics des années 50. Les dessins de Geoff Darrow sont à se rouler par terre, avec un niveau de détails assez démentiel. A lire et à relire !
Un deuxième arc un petit peu plus intéressant que le premier à mon sens, qui permet de mieux travailler les personnages et leurs relations, et propose une situation assez inédite pour Superman. C'est un joli parallèle entre les deux grands héros de DC que nous offre Waid, toujours accompagné par les superbes dessins de Dan Mora, et cette ambiance golden age rafraichissante.
La série propose toujours cette ambiance un peu hors du temps, sorte d'hommage au golden age tout proposant des dessins très modernes. Cette lecture insouciante fonctionne très bien, et on passe un très bon moment.
Le permier volume de "Batman Superman World's Finest" avait tous les ingrédients réunis pour assurer une lecture plaisante. Sa suite lui fait honneur ! Les dessins et l'encrage de Dan Mora (découvert aussi dans Once & Future - lisez les 5 tomes !) donnent à cette série une énergie dingue. C'est coloré, l'action est omniprésente et le scénario n'est pas en reste. Bref, je recommande grandement !
Une étrange comète fend le ciel, toutes les chaînes de télévision, de Gotham à Metropolis, ont les yeux rivés sur elle. Heureusement, Superman, Batman et Robin l'interceptent avant qu'elle ne s'écrase ! Il s'agit en réalité d'un vaisseau qui abrite un jeune homme du nom de Boy Thunder. Le Chevalier Noir et l'Homme d'Acier ne tardent pas à le prendre sous leur aile. Mais les nouvelles vont vite et, conscients du potentiel que représente ce héros en herbe, le Joker et The Key vont profiter de sa candeur pour tenter de le rallier à leur camp.
Un deuxième arc un petit peu plus intéressant que le premier à mon sens, qui permet de mieux travailler les personnages et leurs relations, et propose une situation assez inédite pour Superman. C'est un joli parallèle entre les deux grands héros de DC que nous offre Waid, toujours accompagné par les superbes dessins de Dan Mora, et cette ambiance golden age rafraichissante.
La série propose toujours cette ambiance un peu hors du temps, sorte d'hommage au golden age tout proposant des dessins très modernes. Cette lecture insouciante fonctionne très bien, et on passe un très bon moment.
Le permier volume de "Batman Superman World's Finest" avait tous les ingrédients réunis pour assurer une lecture plaisante. Sa suite lui fait honneur ! Les dessins et l'encrage de Dan Mora (découvert aussi dans Once & Future - lisez les 5 tomes !) donnent à cette série une énergie dingue. C'est coloré, l'action est omniprésente et le scénario n'est pas en reste. Bref, je recommande grandement !
Après un 1er tome réussi, She-hulk continue sur sa bonne lancée où on retrouve la recette qui faisait le charme du 1er tome. Tous n'est pas parfait, comme la révélation des méchants assez anecdotique, mais le cœur de l’histoire reste les relations entre les personnages qui sonnent sincère avec de bons dialogues. Au niveau des dessins, ça reste bon, mais ce n'est pas non plus exceptionnel.
Un second un tout ptit peu inférieur au premier, notamment parce que le dessin est moins régulier, et que l'une des intrigues est sans doute moins intéressante. Mais c'est toujours un plaisir de suivre la relation entre Jen et Jack of Hearts, et d'avoir un titre qui se concentre sur ses personnages et leurs dialogues. Ca reste très rafraichissant !
Rainbow Rowell, Luca Maresca, Takeshi Miyazawa
Jennifer Walters (Miss Hulk) a quitté les Avengers et renoué avec sa carrière d’avocate au cabinet de Mallory Book. Celle-ci n'a qu'une règle : pas de clients surhumains ! C’est compter sans les anciens collègues de Jen, le retour du Valet de Cœur et l’émergence d’une nouvelle menace Gamma.
(Contient les épisodes US She-Hulk (2022) 6-10, inédits)
Après un 1er tome réussi, She-hulk continue sur sa bonne lancée où on retrouve la recette qui faisait le charme du 1er tome. Tous n'est pas parfait, comme la révélation des méchants assez anecdotique, mais le cœur de l’histoire reste les relations entre les personnages qui sonnent sincère avec de bons dialogues. Au niveau des dessins, ça reste bon, mais ce n'est pas non plus exceptionnel.
Un second un tout ptit peu inférieur au premier, notamment parce que le dessin est moins régulier, et que l'une des intrigues est sans doute moins intéressante. Mais c'est toujours un plaisir de suivre la relation entre Jen et Jack of Hearts, et d'avoir un titre qui se concentre sur ses personnages et leurs dialogues. Ca reste très rafraichissant !
Un récit sympathique de Dan Slott avec de bonnes idées et de l'action, mais qui pêche par sa fin, bien en dessous de l’idée de départ. Heureusement, on bénéficie du rare Jim Cheung aux dessins pour une prestation très solide.
Dan Slott, Jim Cheung
Spider-Man va retrouver des proches qu’il pensait ne plus jamais revoir, mais aussi des ennemis mortels qu’il espérait enterrés à jamais. Sans compter que l’éminence grise à l’origine de ces résurrections n’est autre que l’homme qui a cloné Spidey : l’inquiétant Chacal !
(Contient les épisodes US Free Comics Book Day: Captain America (2016) 1, Amazing Spider-Man (2015) 19-24, The Clone Conspiracy (2016) 1-5 et The Clone Conspiracy: Omega (2017) 1, précédemment publiés dans MARVEL NOW! : ALL-NEW AMAZING SPIDER-MAN 4-5)
Un récit sympathique de Dan Slott avec de bonnes idées et de l'action, mais qui pêche par sa fin, bien en dessous de l’idée de départ. Heureusement, on bénéficie du rare Jim Cheung aux dessins pour une prestation très solide.
Après la saga Warworld, ce tome nous propose un crossover pour marquer le retour de Kal-El sur Terre. Son principal défaut sera l’aspect complétiste propre à Urban Comics qui aurait pu enlever la partie Son of Kal-El, vu le peu de lien entre les 2 titres pour un crossover. Néanmoins, ça n'enlève pas les qualités propres des deux titres présents avec un portrait intéressant de Metallo ou des dialogues touchants entre Jon et son père. C’est sinon un tome de transition qui fait le point et prépare la prochaine phase de l’univers de Superman avec Action Comics #1500 très divertissant à lire et qui chamboule son univers de façon intelligente. Les dessins sont bons, malgré des styles graphiques très opposés entre Mike Perkins et Cian Torney.
Un crossover qui n'en est pas vraiment un, juste une sorte de bannière sur les titres Superman pour le retour de Clark sur Terre. C'est une grosse période de transition qui prépare la suite de la série Action Comics, qui débutera avec le numéro 1051. Quelques éléments mis en place sont intéressants, comme les deux jeunes receuillis de Warworld, ou la nouvelle menace qui se prépare avec le retour d'un célèbre vilain.
Après avoir soutenu la révolution dans le Warworld et avoir contribué à la chute de Mongul, Superman revient sur Terre. Il est temps pour lui de renouer avec Jon, son fils, qui a entretenu la flamme durant son absence. Heureux de voir son père à nouveau, le jeune homme hésite cependant sur la manière de lui avouer le secret qu'il garde pour lui. Pendant ce temps, loin du regard de la Famille Superman, Lex Luthor, l'ennemi de toujours, consacre ses immenses ressources à une mystérieuse opération, le Projet Blackout.
Contenu vo : Contenu : Action Comics #1047-1050, Superman Son of Kal-El #16-18, Superman Kal-El Returns Special #1
Après la saga Warworld, ce tome nous propose un crossover pour marquer le retour de Kal-El sur Terre. Son principal défaut sera l’aspect complétiste propre à Urban Comics qui aurait pu enlever la partie Son of Kal-El, vu le peu de lien entre les 2 titres pour un crossover. Néanmoins, ça n'enlève pas les qualités propres des deux titres présents avec un portrait intéressant de Metallo ou des dialogues touchants entre Jon et son père. C’est sinon un tome de transition qui fait le point et prépare la prochaine phase de l’univers de Superman avec Action Comics #1500 très divertissant à lire et qui chamboule son univers de façon intelligente. Les dessins sont bons, malgré des styles graphiques très opposés entre Mike Perkins et Cian Torney.
Un crossover qui n'en est pas vraiment un, juste une sorte de bannière sur les titres Superman pour le retour de Clark sur Terre. C'est une grosse période de transition qui prépare la suite de la série Action Comics, qui débutera avec le numéro 1051. Quelques éléments mis en place sont intéressants, comme les deux jeunes receuillis de Warworld, ou la nouvelle menace qui se prépare avec le retour d'un célèbre vilain.
Série TV oblige, Mavel nous pond un nouvel event Secret Invasion. On a cette fois une approche beaucoup plus intimiste, qui n'est pas du tout désagréable, avec un premier numéro notamment très prometteur. Mais c'est sans doute aussi le défaut de ce titre, qui n'arrive jamais atteindre son plein potentiel parce qu'il reste à une échelle trop minime. De bonnes idées et une bonne réalisation, mais une histoire dont on a du mal à voir l'intéret, si ce n'est de refaire parler des Skrulls et de leur invasion.
Ryan North, Francesco Mobili
Il y a quelques années, seule l’union de tous les héros et vilains de la planète avait permis de déjouer in extremis le plan d’invasion des Skrulls. Aujourd’hui, ils pourraient être de retour. Mais Nick Fury et Maria Hill sont sur le qui-vive et cette fois, ils ne se laisseront pas surprendre… à moins que…?
(Contient les épisodes US Secret Invasion (2022) 1-5, inédits)
Série TV oblige, Mavel nous pond un nouvel event Secret Invasion. On a cette fois une approche beaucoup plus intimiste, qui n'est pas du tout désagréable, avec un premier numéro notamment très prometteur. Mais c'est sans doute aussi le défaut de ce titre, qui n'arrive jamais atteindre son plein potentiel parce qu'il reste à une échelle trop minime. De bonnes idées et une bonne réalisation, mais une histoire dont on a du mal à voir l'intéret, si ce n'est de refaire parler des Skrulls et de leur invasion.
Une mini-série sympathique qui permet d’avoir un premier aperçu du style de Chip Zdarsky sur l’univers de Batman. Les personnages sont touchants et les dessins Eddy Barrows sont bons, mais ça reste une lecture très classique qui est à lire surtout pour l’écriture de la relation entre Batman et Red Hood.
Une histoire publiée à l'origine dans l'anthologie Urban Legends chez DC. L'histoire est bien menée par Chip Zdarsky qui signe un "team-up" entre Batman et Red Hood. C'est plutôt sympa même s'il n'y a rien de très surprenant. Graphiquement, Eddy Barrows fait toujours du bon boulot.
"Red Hood Souriez !" nous replonge dans la relation conflictuelle qui oppose le turbulent Jason Todd / Red Hood et Batman. Ces derniers vont devoir s'unir pour démenteler un traffic de drogue... Le titre ne marque pas pour son originalité mais se laisse franchement lire. Le duo tiraillé fonctionne à merveille. Le personnage de Red Hood gagne en maturité et profondeur. Espérons que cet (anti ?) héros revienne plus souvent... Red Hood & les Outlaws (DC rebirth) était très plaisant !
Jason Todd est de retour à Gotham City et les problèmes de la ville le poussent à porter le masque à nouveau. La menace numéro un : une nouvelle drogue envahit la ville et son influence grandissante devient extrêmement problématique. Alors qu'il enquête sur l'origine de ce nouveau fléau, l'ancien Robin croisera inévitablement la route du Chevaler Noir. Red Hood et Batman arriveront-ils à unir leurs forces pour arrêter ce nouveau fléau ?
Contenu vo : Red Hood & Batman: Cheer
Une mini-série sympathique qui permet d’avoir un premier aperçu du style de Chip Zdarsky sur l’univers de Batman. Les personnages sont touchants et les dessins Eddy Barrows sont bons, mais ça reste une lecture très classique qui est à lire surtout pour l’écriture de la relation entre Batman et Red Hood.
Une histoire publiée à l'origine dans l'anthologie Urban Legends chez DC. L'histoire est bien menée par Chip Zdarsky qui signe un "team-up" entre Batman et Red Hood. C'est plutôt sympa même s'il n'y a rien de très surprenant. Graphiquement, Eddy Barrows fait toujours du bon boulot.
"Red Hood Souriez !" nous replonge dans la relation conflictuelle qui oppose le turbulent Jason Todd / Red Hood et Batman. Ces derniers vont devoir s'unir pour démenteler un traffic de drogue... Le titre ne marque pas pour son originalité mais se laisse franchement lire. Le duo tiraillé fonctionne à merveille. Le personnage de Red Hood gagne en maturité et profondeur. Espérons que cet (anti ?) héros revienne plus souvent... Red Hood & les Outlaws (DC rebirth) était très plaisant !
Nouveau récit sur Godzilla de la part de Vestron. Un titre qui se démarque des autres pour son ambiance post-apocalyptique. Toutefois, l'histoire est juste sympa à lire, mais sans trop de rebondissements. Pareil pour les dessins, même si les couleurs sont réussies.
Le futur. Des années ont passé depuis que l’apocalypse des monstres a presque entièrement détruit la Terre et anéanti l’humanité. Ce n’est plus qu’un lointain cauchemar pour Hiroshi, un ancien de l’une des dernières tribus d’humains. Hiroshi est loin de se douter que l’apocalypse n’est pas terminée… et que ses souvenirs du passé peuvent peut-être sauver l’avenir.
GODZILLA, dans un récit d’anticipation écrit par Cullen Bunn (Revolution) entièrement illustré par Dave Wachter !
Nouveau récit sur Godzilla de la part de Vestron. Un titre qui se démarque des autres pour son ambiance post-apocalyptique. Toutefois, l'histoire est juste sympa à lire, mais sans trop de rebondissements. Pareil pour les dessins, même si les couleurs sont réussies.
Une oeuvre absolument unique. Williams III nous plonge dans un univers amalgame de tous les univers de fictions existants. On y croise des dizaines, voire centaines, de personnages connus, à travers une course-poursuite assez folle. La grosse attraction est bien évidemment le dessin de l'auteur, toujours incroyable, dans un format à l'italienne d'abord déroutant, mais très vite addictif. Ca ne va pas très loin en termes de scénario, c'est purement un objet visuel de haut vol.
J.H. Williams III est de retour avec ce titre vraiment spécial. Il réunit des personnages de fiction venus de tous horizons et en forme une équipe et un univers. Le comics est publié dans un format à l'italienne avec des compositions comme seul Williams III sait en faire. Il va même jusqu'à proposer un style graphique différent pour chaque personnage. Dommage que le prix proposé soit un peu prohibitif pour 6 numéros.
Haden Blackman, J.H. Williams III
Quand Hope Redhood vole un bijou au tyrannique Teros Demond, elle et sa bande sont contraints de s'enfuir. Pour échapper à la fille du despote, ils visitent les rues futuristes de San Francisco, une île aux pirates, la tanière d’un oracle extraterrestre, et un cimetière infesté de morts-vivants… Un album en forme de claque visuelle dans un format unique.
(Contient les épisodes US Echolands (2022) 1-6, inédits)
Une oeuvre absolument unique. Williams III nous plonge dans un univers amalgame de tous les univers de fictions existants. On y croise des dizaines, voire centaines, de personnages connus, à travers une course-poursuite assez folle. La grosse attraction est bien évidemment le dessin de l'auteur, toujours incroyable, dans un format à l'italienne d'abord déroutant, mais très vite addictif. Ca ne va pas très loin en termes de scénario, c'est purement un objet visuel de haut vol.
J.H. Williams III est de retour avec ce titre vraiment spécial. Il réunit des personnages de fiction venus de tous horizons et en forme une équipe et un univers. Le comics est publié dans un format à l'italienne avec des compositions comme seul Williams III sait en faire. Il va même jusqu'à proposer un style graphique différent pour chaque personnage. Dommage que le prix proposé soit un peu prohibitif pour 6 numéros.
Après un tome qui mettait à l'honneur les différents super vilains de l'univers Tortues Ninja, Hi Comics en remet une couche en proposant, cette fois, l'équivalent mais du côté des gentils. L'éditeur propose les micro séries autour des quatre Tortues (que vous possédez peut être d'ores et déjà) en plus des micro séries autour de leurs alliés (Splinter, Casey, April).
Comme pour celui autour les vilains, il y a du bon et du moins bon suivant les histoires et les personnages mais de manière générale, cela reste de bonne facture.
Après quatre histoires inédites mettant tour à tour Leonardo, Donatello, Raphael et Michelangelo sur le devant de la scène, découvrez-en plus sur les amis qui ont soutenu les Tortues Ninja dans leurs plus sombres heures : Maître Splinter, Casey Jones, April O’Neil et Fugitoïde sont tous réunis dans ce tome au sein de chapitres qui leur sont spécialement réservés.
Huit micro-séries consacrées aux héros sont compilées dans ce tome pour développer l'histoire des personnages qui ont marqué l'univers des Tortues Ninja.
Après un tome qui mettait à l'honneur les différents super vilains de l'univers Tortues Ninja, Hi Comics en remet une couche en proposant, cette fois, l'équivalent mais du côté des gentils. L'éditeur propose les micro séries autour des quatre Tortues (que vous possédez peut être d'ores et déjà) en plus des micro séries autour de leurs alliés (Splinter, Casey, April).
Comme pour celui autour les vilains, il y a du bon et du moins bon suivant les histoires et les personnages mais de manière générale, cela reste de bonne facture.
Nouvel event DC où là encore le choix d’édition n’est pas des plus judicieux. Pour les lecteurs complétistes ils seront ravis, mais le choix n’est pas des plus pertinents tant certains tie-ins (presque tous) sont vraiment peu utiles à l’histoire centrale. Malgré tous, le début de Batman vs Robin est prenant en dépit du comportement de Robin. L’histoire est efficace et très bien rythmée, mais se retrouve coupé avec Lazarus Planet qui, à part les numéros écrits par Mark Waid, le reste ne vaut pas vraiment le coup. En-tout-cas niveaux dessins, on est bien servi, notamment avec les prestations Mahmud Asrar et Riccardo Federici.
Le dernier event DC en date débarque ! Tout démarre dans la mini-série Batman vs Robin, qui est plutôt sympa à lire et bien écrite, en plus d'être dessinée par Mahmud Asrar ! Et ça part ensuite dans un gloubi-boulga sans grand intérêt, avec de nombreux one-shots remplis de courtes histoires sur des personnages infectés par les retombés du puits de Lazarus. On a du mal à y trouver de la cohérence, voire de la qualité, d'autant plus quand on comprend très vite qu'il s'agit plus de teasing de nouvelles séries et nouveaux personnages à venir qu'autre chose. Les choix éditoriaux de cet event sont vraiment très discutables, et c'est malheureusement très dispensable.
Ce que je retiens de Lazarus Planet, c'est les numéros écrits par Waid. Du coup, dans ce tome, nous avons les 4 chapitres de Batman vs Robin et Alpha. Le reste est composé de récits courts, par différents artistes. Il manque une unité globale à cet event, ça part dans tous les sens, pour annoncer des futures séries, quitte à perdre la cohérence du tout. Les conséquences ne sont de plus pas si marquantes... Bref, un event dispensable !
Le début de "Planet Lazarus - Batman vs Robin" était plutôt prometteur même si je n'étais pas particulièrement emballé par l'histoire. Passée la moitié du volume, on enchaîne des chapitres avec au final peu d'éléments raccrocheurs. Certains héros sortent de nulle-part (sauf si vous lisez les comics DC en VO). Il faudra donc s'accrocher pour assimiler certaines informations (What the... C'est quoi ce singe et ce chochon ? C'est quoi cette direction artistique pompée sur d'autres licences ?). Le titre part dans tous les sens et nous laisse le plus souvent de côté avec des "fins" expéditives... Bref, à voir où nous mène le second tome mais ça ne promet rien de très qualitatif !
Au coeur de l'île de Lazare, l'héritage démoniaque de la lignée de Ra's al Ghul a enfin été libéré, et le démon Nezha veut du sang. Pour exercer une domination totale sur la planète Terre, Nezha a surchargé la magie, désormais, quiconque ose l'utiliser s'expose à un risque mortel. Avec Damian dans les griffes de Nezha et Bruce hanté par le retour d'un vieil ami, le Chevalier Noir et l'Enfant Prodige s'affrontent dans la bataille du siècle !
Contenu vo : Batman vs Robin #1-4 + Lazarus Planet: Alpha #1 + Monkey Prince #10 + Lazarus Planet: Assault on Krypton #1 + Lazarus Planet: We Once Were Gods #1 + Lazarus Planet: Legends Reborn #1
Nouvel event DC où là encore le choix d’édition n’est pas des plus judicieux. Pour les lecteurs complétistes ils seront ravis, mais le choix n’est pas des plus pertinents tant certains tie-ins (presque tous) sont vraiment peu utiles à l’histoire centrale. Malgré tous, le début de Batman vs Robin est prenant en dépit du comportement de Robin. L’histoire est efficace et très bien rythmée, mais se retrouve coupé avec Lazarus Planet qui, à part les numéros écrits par Mark Waid, le reste ne vaut pas vraiment le coup. En-tout-cas niveaux dessins, on est bien servi, notamment avec les prestations Mahmud Asrar et Riccardo Federici.
Le dernier event DC en date débarque ! Tout démarre dans la mini-série Batman vs Robin, qui est plutôt sympa à lire et bien écrite, en plus d'être dessinée par Mahmud Asrar ! Et ça part ensuite dans un gloubi-boulga sans grand intérêt, avec de nombreux one-shots remplis de courtes histoires sur des personnages infectés par les retombés du puits de Lazarus. On a du mal à y trouver de la cohérence, voire de la qualité, d'autant plus quand on comprend très vite qu'il s'agit plus de teasing de nouvelles séries et nouveaux personnages à venir qu'autre chose. Les choix éditoriaux de cet event sont vraiment très discutables, et c'est malheureusement très dispensable.
Ce que je retiens de Lazarus Planet, c'est les numéros écrits par Waid. Du coup, dans ce tome, nous avons les 4 chapitres de Batman vs Robin et Alpha. Le reste est composé de récits courts, par différents artistes. Il manque une unité globale à cet event, ça part dans tous les sens, pour annoncer des futures séries, quitte à perdre la cohérence du tout. Les conséquences ne sont de plus pas si marquantes... Bref, un event dispensable !
Le début de "Planet Lazarus - Batman vs Robin" était plutôt prometteur même si je n'étais pas particulièrement emballé par l'histoire. Passée la moitié du volume, on enchaîne des chapitres avec au final peu d'éléments raccrocheurs. Certains héros sortent de nulle-part (sauf si vous lisez les comics DC en VO). Il faudra donc s'accrocher pour assimiler certaines informations (What the... C'est quoi ce singe et ce chochon ? C'est quoi cette direction artistique pompée sur d'autres licences ?). Le titre part dans tous les sens et nous laisse le plus souvent de côté avec des "fins" expéditives... Bref, à voir où nous mène le second tome mais ça ne promet rien de très qualitatif !
Plus besoin de présenter ce comics vu ses multiples rééditions, mais Marvel Zombies ça reste un classique à lire, surtout le premier. C’est gore, rempli d’humour noir et c’est à petit prix.
Les héros marvel en mode zombies sans cervelle, avec beaucoup de dérision, de gore et de références à foison. Si c'est ce que vous cherchez, c'est ce que vous trouverez. C'est effectivement devenu un classique, désormais accessible à petit prix.
Robert Kirkman, Sean Phillips
Vous qui mettez les pieds sur la Terre-2149, abandonnez tout espoir. Un virus transforme les habitants de cet univers en morts-vivants, n’épargnant ni les super-héros ni les super-vilains. Dès lors, ils ne recherchent qu’une chose : satisfaire la faim insatiable qui les tiraille.
(Contient les épisodes US Marvel Zombies (2006) 1-5, précédemment publiés dans MARVEL MUST-HAVE : MARVEL ZOMBIES)
Plus besoin de présenter ce comics vu ses multiples rééditions, mais Marvel Zombies ça reste un classique à lire, surtout le premier. C’est gore, rempli d’humour noir et c’est à petit prix.
Les héros marvel en mode zombies sans cervelle, avec beaucoup de dérision, de gore et de références à foison. Si c'est ce que vous cherchez, c'est ce que vous trouverez. C'est effectivement devenu un classique, désormais accessible à petit prix.
On ne présente plus House of M, l'un des meilleurs events Marvel de tous les temps. Et l'un des plus importants aussi. Un Bendis inspiré et un Coipel à son sommet, si vous ne l'avez pas encore, c'est le moment de foncer.
Une histoire devenue un classique dans les event Marvel. Bendis dépeint un univers alternatif où les mutants, notamment Magneto, règnent. C'est franchement bien écrit et en plus Olivier Coipel est en très grande forme. Un tome à posséder peut importe la version.
Un énième édition à ce récit...
Évènement majeur s'il en est, House of M est un indispensable pour tous les lecteurs de l'univers Marvel avec des répercussions au long court. Il faudrait au minimum avoir lu Avengers: La Séparation avant de se lancer et même si a mon sens l'univers alternatif qui est dépeint n'est que très peu exploité, il n'en reste pas moins un très bon titre magnifiquement illustré par Mr Olivier Coipel.
Libre à vous maintenant de faire votre choix sur l'édition (Must-Have, Deluxe...) mais à 6.99€ il est peut-être temps de s'y filer !
Brian Michael Bendis, Olivier Coipel
Les Avengers et les X-Men ont retrouvé la trace de la Sorcière Rouge. Quand ils la confrontent, elle manipule la réalité pour la mettre aux mains des mutants. Bienvenue dans le monde de la Maison M, où Magnéto règne en maître. Une saga qui aura de lourdes répercussions sur l'univers Marvel.
(Contient les épisodes US House of M (2005) 1-8, précédemment publiés dans MARVEL MUST-HAVE : HOUSE OF M)
On ne présente plus House of M, l'un des meilleurs events Marvel de tous les temps. Et l'un des plus importants aussi. Un Bendis inspiré et un Coipel à son sommet, si vous ne l'avez pas encore, c'est le moment de foncer.
Une histoire devenue un classique dans les event Marvel. Bendis dépeint un univers alternatif où les mutants, notamment Magneto, règnent. C'est franchement bien écrit et en plus Olivier Coipel est en très grande forme. Un tome à posséder peut importe la version.
Un énième édition à ce récit...
Évènement majeur s'il en est, House of M est un indispensable pour tous les lecteurs de l'univers Marvel avec des répercussions au long court. Il faudrait au minimum avoir lu Avengers: La Séparation avant de se lancer et même si a mon sens l'univers alternatif qui est dépeint n'est que très peu exploité, il n'en reste pas moins un très bon titre magnifiquement illustré par Mr Olivier Coipel.
Libre à vous maintenant de faire votre choix sur l'édition (Must-Have, Deluxe...) mais à 6.99€ il est peut-être temps de s'y filer !
La série perd déjà un peu son souffle, et on ne retrouve pas toute la fraicheur et l'énergie du premier tome qui était si plaisant. C'est tout de même à suivre pour l'évolution des personnages et la nouvelle galerie de vilains, et les dessins toujours agréables, mais on ne peut s'empêcher d'être un peu déçu de la tournure qui est prise par la série, et cet univers en général.
Un nouveau tome un peu en dessous du précédent, mais ça reste intéressant à suivre pour l'écriture sur les personnages. Que ça soit pour l’évolution de Marshall qui propose un personnage plus nuancé qui se démarque de Nathan. Ainsi que pour la galerie de vilains qui sont réussis avec des motivations différentes. Pour les dessins, c’est aussi toujours aussi bon à regarder, même si on ne retrouve plus la folie visuelle des épisodes précédents.
Un jeune homme dont la vie n'est pas réellement au beau fixe a hérité par hasard d'un pouvoir incommensurable. Mais les puissances cosmiques qui le lui ont transmis veulent à présent le récupérer..
Un extraterrestre avec une épée ? Check. L'état de santé de son meilleur ami ? Check. Alors que sa vie personnelle semble revenir à la normale et qu'il semble ENFIN pouvoir faire une pause, Marshall doit faire face à de nouveaux ennemis qui menacent de mettre un terme prématuré à sa carrière de super-héros !
La série perd déjà un peu son souffle, et on ne retrouve pas toute la fraicheur et l'énergie du premier tome qui était si plaisant. C'est tout de même à suivre pour l'évolution des personnages et la nouvelle galerie de vilains, et les dessins toujours agréables, mais on ne peut s'empêcher d'être un peu déçu de la tournure qui est prise par la série, et cet univers en général.
Un nouveau tome un peu en dessous du précédent, mais ça reste intéressant à suivre pour l'écriture sur les personnages. Que ça soit pour l’évolution de Marshall qui propose un personnage plus nuancé qui se démarque de Nathan. Ainsi que pour la galerie de vilains qui sont réussis avec des motivations différentes. Pour les dessins, c’est aussi toujours aussi bon à regarder, même si on ne retrouve plus la folie visuelle des épisodes précédents.
![[Sorties Comics] Mercredi 24 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Dites, les sorties du 31 mai n'ont pas de couvertures, c'est normal ?
Non, mais elles étaient introuvables jusqu'à peu ! Je vais mettre tout ça à jour.
Merci !
Du coup... J'ai une question sur un tome du mois. J'ai réalisé que le Spiderman Les fantomes du passé est noté au dos comme étant le volume... 15... Le volume 15 de quelle série en fait ?
C'est le numéro 15 de la collection Epic Collection. ça reprend la série Amazing Spider-man d'ordre chronologique.
Merci !
![[VF] Sélection MDCU de juin 2023](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_37208_vf-selection-mdcu-de-juin-2023_1685105541.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (1)
Julien Staff MDCU
il y a 1 an
Une vraie petite perle, qu'il est bon de dévorer commes les champignons de l'histoire, si ce n'est pas encore fait. D'une originalité folle et avec toujours cet humour très spécial à la frontière de l'absurde, proche de Scott Pilgrim, du même auteur. Une grosse dose de fantastique, mais toujours beaucoup d'humanité et cette particularité d'avoir des personnages bourrés de défaut, à la limite d'être antipathiques dans leux mauvais choix constants. A découvrir à petit prix !