Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Tom King, Gabriel Hernandez Walta
La Vision rêve de mener une vie aussi banale que celle d’un humain. Il se crée alors une femme et deux enfants robotiques et emménage avec sa nouvelle famille dans une banlieue ordinaire. Mais ce calme apparent vole en éclats avec le retour du Moissonneur...
(Contient les épisodes US Vision (2015) 1-12, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : VISION)
Une série qui a énormément fait parler d'elle pour être sorti avec brio des sentiers battus. Une très bonne surprise. Peut-être même une des meilleures lectures autour du personnage.
Une relecture géniale du personnage de la vision. On ne peut pas s'empêcher de s'attacher au personnage malgré ses actions. Un vrai réussite
Violent, décalé et fun. Une excellente lecture à mi chemin entre Conan le Barbare et Evil Dead.
Lorsqu'un ennemi issu du passé d'Owen refait surface, l'ancien barbare n'a d'autre choix que d'embarquer pour une mission sanguinaire où il avait préalablement échoué. Une mission qui convient parfaitement à sa hache au demeurant, laquelle n'a pas eu l'occasion d'étancher sa soif depuis bien trop longtemps. Mais Owen et sa hache risquent d'être bien surpris par les créatures plus monstrueuses les unes que les autres qui les attendent en chemin... Entre Conan le Cimmérien et Elric le Nécromancien, BARBARIC ravira les fans d'heroic fantasy comme d'aventures, imposant une note d'humour et d'ironie bienvenue dans ces univers des plus sanguinaires.
Contenu vo : Barbaric vol.2
Violent, décalé et fun. Une excellente lecture à mi chemin entre Conan le Barbare et Evil Dead.
100 bullets est une excellente série, avec un concept de départ plutôt sympa. D'ailleurs, l'idée des 100 balles non traçables est la base du début de la série, mais va se diluer par la suite. Nous avons donc là plusieurs histoires qui finiront par se croiser, et tout prendra sens. L'écriture est très bonne, et les dessins à tomber. L'ambiance est excellente. C'est parfois un peu bourrin et vulgaire, mais le fond de l'histoire est passionnant, et certaines répliques ou scènes font vraiment mouche. Lecture fortement recommandée si vous aimez les comics sombres et violents, un peu à la Sin City.
100 Bullets ça fait partie des classiques Vertigo à lire. À la base d’un concept simple mais intrigant, chaque numéro est captivant à suivre pour petit à petit dessiner une intrigue qui va prendre de l’ampleur. Mais ce qui fait la force de cette série, ce seront ses personnages, chacun est marquant à sa façon dans des histoires sombres, surprenantes et très violentes. L’autre grosse réussite de cette série, ce sont les super dessins d'Eduardo Risso qui joue beaucoup avec les aplats noir pour proposer une ambiance unique à la série. Si vous aimez les polars, vous pouvez vous jeter sur cette série.
L'impassible Agent Graves a une proposition à vous faire. Dans la mallette qu'il vous confie, la photo de votre pire ennemi et le nécessaire pour vous en débarrasser : une arme, 100 munitions totalement intraçables et l'assurance d'une totale immunité. Dizzy la délinquante, Dolan, barman sur le retour, et Chucky, joueur invétéré, vont-ils tour-à-tour saisir cette chance unique de rayer de l'équation la personne qui a fait de leur vie un enfer ?
Contenu vo : 100 Bullets #1-19
100 bullets est une excellente série, avec un concept de départ plutôt sympa. D'ailleurs, l'idée des 100 balles non traçables est la base du début de la série, mais va se diluer par la suite. Nous avons donc là plusieurs histoires qui finiront par se croiser, et tout prendra sens. L'écriture est très bonne, et les dessins à tomber. L'ambiance est excellente. C'est parfois un peu bourrin et vulgaire, mais le fond de l'histoire est passionnant, et certaines répliques ou scènes font vraiment mouche. Lecture fortement recommandée si vous aimez les comics sombres et violents, un peu à la Sin City.
100 Bullets ça fait partie des classiques Vertigo à lire. À la base d’un concept simple mais intrigant, chaque numéro est captivant à suivre pour petit à petit dessiner une intrigue qui va prendre de l’ampleur. Mais ce qui fait la force de cette série, ce seront ses personnages, chacun est marquant à sa façon dans des histoires sombres, surprenantes et très violentes. L’autre grosse réussite de cette série, ce sont les super dessins d'Eduardo Risso qui joue beaucoup avec les aplats noir pour proposer une ambiance unique à la série. Si vous aimez les polars, vous pouvez vous jeter sur cette série.
Second et dernier Omnibus qui contient la fin de la série New Avengers. On entre dans la période Secret Invasion et Dark Reign où la qualité varie avec des hauts et des bas. Globalement, ça reste toujours un plaisir de lecture, si on apprécie le style de l’auteur et l’ambiance urbaine, ainsi que ses vilains plus terre-à-terre. On est bien loin des grandes menaces que peuvent être Ultron ou Kang.
Toutefois, il vaut mieux lire en parallèle Secret Invasion pour apprécier les numéros en lien avec l’event. C’est d’ailleurs la partie la plus faible de l’omnibus puisque ces numéros développent surtout des éléments de l’event et pour suivre l’équipe, il faut lire Secret Invasion. Il y a beaucoup de dessinateurs, mais de très bons dessinateurs, notamment Leinil Francis Yu, et Stuart Immonen qui montrait déjà les débuts de leurs talents.
Suite des New Avengers de Brian Bendis et on est sur une bonne fournée, l'équipe est sympa à suivre avec des héros plus urbain, des menaces plus "simples" même si on a The Hood en fil rouge sur au moins tout ce tome. Il faut juste faire avec les tie-ins aux différents events/périodes qui s'enchaîne mais on est sur le haut du panier de ce qu'a proposé Bendis sur les Avengers. A la partie graphique, on a essentiellement Leinil Francis Yu dont le style est reconaissable entre 1000 et qui fait du bon boulot.
Brian Michael Bendis, Leinil Francis Yu, Stuart Immonen…
Les New Avengers découvrent avec horreur que la Terre a été infiltrée par les Skrulls, des extraterrestres métamorphes capables de prendre l’apparence de n’importe qui, et donc de n’importe quel super-héros. Et ça n'est que le début…
(Contient les épisodes US New Avengers (2005) 32-64 et Annual 2 ET 3, New Avengers: Illuminati (2007) 1 À 5, Secret Invasion: Dark Reign (2009) 1, FCBD 2009: Avengers (2009) 1, Dark Reign: The List - Avengers (2009) 1, New Avengers: Finale (2010) 1 et Amazing Spider-Man (1963) 601, Breaking Into Comics The Marvel Way! (2010) 1 (partiels), précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : NEW AVENGERS 4-7, MARVEL MUST-HAVE : NEW AVENGERS – ILLUMINATI, MARVEL SELECT: SECRET INVASION et JE SUIS SPIDER-MAN)
Second et dernier Omnibus qui contient la fin de la série New Avengers. On entre dans la période Secret Invasion et Dark Reign où la qualité varie avec des hauts et des bas. Globalement, ça reste toujours un plaisir de lecture, si on apprécie le style de l’auteur et l’ambiance urbaine, ainsi que ses vilains plus terre-à-terre. On est bien loin des grandes menaces que peuvent être Ultron ou Kang.
Toutefois, il vaut mieux lire en parallèle Secret Invasion pour apprécier les numéros en lien avec l’event. C’est d’ailleurs la partie la plus faible de l’omnibus puisque ces numéros développent surtout des éléments de l’event et pour suivre l’équipe, il faut lire Secret Invasion. Il y a beaucoup de dessinateurs, mais de très bons dessinateurs, notamment Leinil Francis Yu, et Stuart Immonen qui montrait déjà les débuts de leurs talents.
Suite des New Avengers de Brian Bendis et on est sur une bonne fournée, l'équipe est sympa à suivre avec des héros plus urbain, des menaces plus "simples" même si on a The Hood en fil rouge sur au moins tout ce tome. Il faut juste faire avec les tie-ins aux différents events/périodes qui s'enchaîne mais on est sur le haut du panier de ce qu'a proposé Bendis sur les Avengers. A la partie graphique, on a essentiellement Leinil Francis Yu dont le style est reconaissable entre 1000 et qui fait du bon boulot.
Nouveau tome où on aura pour la dernière fois les fabuleux dessins de Campbell pour son passage sur la franchise.
L’histoire est sympa à suivre, les différents personnages sont bien caractérisés, avec des passages bien humains et ont leurs moments touchants. Jennika est bien mis en avant avec un beau développement et on continue à développer les thèmes que Campbell a mis en place. Parmi les défauts, la résolution avec les vilains de l'histoire est un peu décevante et on pourra reprocher à l’auteure de prendre son temps, mais les choses vont s'accélérer dès le prochain tome. Les dessins rien à redire, c'est toujours aussi magnifique.
Les tensions au sein du quartier mutant sont de plus en plus fortes. Les Mutanimaux exercent une pression insupportable sur les habitants, qui estiment que les Tortues Ninja n’en font pas assez pour les protéger. Karai est à la recherche de deux mutants très puissants qui pourraient influencer l’équilibre des pouvoirs dans New York. Tout bascule quand une figure familière surgit du futur pour prévenir les Tortues d’un avenir catastrophique qu’il faut absolument éviter. Une situation dont les enjeux reposent entièrement sur Jennika. Cette dernière doit faire face à ses démons et trouver une manièrede maîtriser sa colère. Sinon, c’est tout le quartier – et plus encore– qui sera perdu…
Sophie Campbell (Wet Moon, Jem and the Holograms…) poursuit sa réinvention, au scénario et au dessin, de l’univers des Tortues Ninja en s’interrogeant sur nos relations sociales et les difficultés à faire front, ensemble, en temps de crise. Une lecture inédite et profonde des Tortues, qui n’en oublie jamais le divertissement.
Nouveau tome où on aura pour la dernière fois les fabuleux dessins de Campbell pour son passage sur la franchise.
L’histoire est sympa à suivre, les différents personnages sont bien caractérisés, avec des passages bien humains et ont leurs moments touchants. Jennika est bien mis en avant avec un beau développement et on continue à développer les thèmes que Campbell a mis en place. Parmi les défauts, la résolution avec les vilains de l'histoire est un peu décevante et on pourra reprocher à l’auteure de prendre son temps, mais les choses vont s'accélérer dès le prochain tome. Les dessins rien à redire, c'est toujours aussi magnifique.
Alors que Marvel enchaîne les events blockbuster sans trop de substance depuis 2017, Marvel surprend avec A.X.E. Judgement Day. Le conflit de base est intéressant à suivre et va évoluer vers une direction inattendue pour proposer des enjeux différents avec une vraie réflexion derrière. Les personnages sont toujours bien écrits même si les Avengers font office de figuration comparée aux Éternels et Mutants qui sont les plus mis en avant. Néanmoins, les événements s'enchaînent parfois trop vite et mieux vaut avoir lu certains tie-ins pour comprendre certaines scènes. Valerio Schiti gère toujours d’une main de maître les dessins, il propose des scènes dantesques et sublimes accompagnées de couleurs magnifiques.
Kieron Gillen, Valerio Schiti
La bataille pour la planète est en marche. Entre X-Men, Éternels et Avengers, des tensions vieilles de plusieurs années s’apprêtent à jaillir telle une éruption volcanique, et deux mondes vont brûler. Qui a révélé les secrets des Enfants de l’Atome à leurs pires ennemis ?
(Contient les épisodes US FCBD 2022: Judgment Day (I), AXE: Judgment Day (2022) 1-6, AXE: Avengers (2022) 1, AXE: X-Men (2022) 1 et AXE: Eternals (2022) 1, précédemment publiés dans AXE: JUDGMENT DAY 1-3)
Alors que Marvel enchaîne les events blockbuster sans trop de substance depuis 2017, Marvel surprend avec A.X.E. Judgement Day. Le conflit de base est intéressant à suivre et va évoluer vers une direction inattendue pour proposer des enjeux différents avec une vraie réflexion derrière. Les personnages sont toujours bien écrits même si les Avengers font office de figuration comparée aux Éternels et Mutants qui sont les plus mis en avant. Néanmoins, les événements s'enchaînent parfois trop vite et mieux vaut avoir lu certains tie-ins pour comprendre certaines scènes. Valerio Schiti gère toujours d’une main de maître les dessins, il propose des scènes dantesques et sublimes accompagnées de couleurs magnifiques.
La fin de Krakoa est là, et malheureusement, ça ne sera pas glorieux. Comme pour son lancement, deux mini-séries concluront cette période et c’est le jour et la nuit. Du côté de Fall of House of X, certains événements vont trop vite, et les x-men pour beaucoup tuent sans problème, même ceux qui ne tuent pas d’habitude. En plus, les dessins sont décevants, ce n'est juste pas beau par moment. Pour Rise of the Powers of X, la lecture est plus satisfaisante, on relie avec des éléments instaurés par Hickman, on ressent les enjeux, l’histoire est plus surprenante et les dessins sont nettement plus réussi
Enfin à part X-men Forever et Resurrection of Magneto, qui servent à l’intrigue générale, le reste des mini-séries sont largement dispensable. Quant à Sabertooth War, si le début lance bien l’intrigue et est particulièrement sanglant, rapidement le récit va être décompressé malgré quelques bons moments d'écriture sur Wolverine et Sabertooth, les conclusions de certains personnages seront décevants. Pour X-Force et X-men, ils vont conclure leurs fils rouges, mais pas toujours de façon satisfaisante.
Gerry Duggan, Kieron Gillen, Lucas Werneck, R.B. Silva…
Depuis le dernier Gala des Damnés, les mutants et Krakoa sont à terre. Mais aujourd’hui, ils sont bien décidés à se relever et à riposter contre les forces d’Orchis, Nemrod et la Sentinelle Oméga qui cherchent à les exterminer pour livrer la Terre aux machines et à l’intelligence artificielle.
(Contient les épisodes US Fall of the House of X (2024) 1, Rise of the Powers of X (2024) 1, Wolverine (2020) 41, X-Men (2021) 30 et Cable (2024) 1, inédits)
La fin de Krakoa est là, et malheureusement, ça ne sera pas glorieux. Comme pour son lancement, deux mini-séries concluront cette période et c’est le jour et la nuit. Du côté de Fall of House of X, certains événements vont trop vite, et les x-men pour beaucoup tuent sans problème, même ceux qui ne tuent pas d’habitude. En plus, les dessins sont décevants, ce n'est juste pas beau par moment. Pour Rise of the Powers of X, la lecture est plus satisfaisante, on relie avec des éléments instaurés par Hickman, on ressent les enjeux, l’histoire est plus surprenante et les dessins sont nettement plus réussi
Enfin à part X-men Forever et Resurrection of Magneto, qui servent à l’intrigue générale, le reste des mini-séries sont largement dispensable. Quant à Sabertooth War, si le début lance bien l’intrigue et est particulièrement sanglant, rapidement le récit va être décompressé malgré quelques bons moments d'écriture sur Wolverine et Sabertooth, les conclusions de certains personnages seront décevants. Pour X-Force et X-men, ils vont conclure leurs fils rouges, mais pas toujours de façon satisfaisante.
On entre dans une période qui n’est pas des plus passionnantes à suivre pour X-Force. On a des courts arcs portés sur l’action et la violence pas très palpitants à lire. On continue certains fils rouges, notamment celui de Beast qui prend un virage impardonnable dans les crimes qu'il commet. Pas sûr que les fans du personnage apprécie son évolution. Ce qui est le plus réussi, ce sont certaines intrigues à long terme qui se terminent, mais pour des conclusions souvent décevantes
Le dessinateur nous propose des dessins vraiment moyens, bien loin de la qualité des premiers numéros. Enfin comme toujours, c’est mieux de lire en parallèle la série Wolverine pour apprécier plus X-Force.
Benjamin Percy, Robert Gill, Christopher Allen
Wolverine est de retour à Krakoa juste à temps pour aider X-Force à éradiquer la menace de Cérébrax ! Quentin Quire doit se surpasser pour être à la hauteur de sa réputation. L’équipe est également confrontée au terrible pirate d’Arakko Sevyr Blackmore ainsi qu’à l’organisation XENO.
(Contient les épisodes US X-Force (2019) 27-38, précédemment publiés dans MARVEL ABSOLUTE : JUDGMENT DAY et DESTINY OF X 2, 4, 6, 13-14, 16, 18-19)
On entre dans une période qui n’est pas des plus passionnantes à suivre pour X-Force. On a des courts arcs portés sur l’action et la violence pas très palpitants à lire. On continue certains fils rouges, notamment celui de Beast qui prend un virage impardonnable dans les crimes qu'il commet. Pas sûr que les fans du personnage apprécie son évolution. Ce qui est le plus réussi, ce sont certaines intrigues à long terme qui se terminent, mais pour des conclusions souvent décevantes
Le dessinateur nous propose des dessins vraiment moyens, bien loin de la qualité des premiers numéros. Enfin comme toujours, c’est mieux de lire en parallèle la série Wolverine pour apprécier plus X-Force.
Dernier tome d’une série qui se sera bonifié avec le temps. Malheureusement, les tie-ins à l’event Dark droids sont la section la plus faible du tome qui occupe une grande partie des pages. C’est plutôt le développement d'Aphra qu’on prend toujours plaisir à suivre et qui connaît une évolution différente de sa précédente série. Si certaines intrigues sont laissées en suspens, la fin de cette série reste satisfaisante avec la majorité des fils rouges qui se sont terminés dans les tomes précédents.
Les dessins sont classiques mais corrects.
Alyssa Wong, Minkyu Jung, Jetrho Morales
Le Docteur Aphra a “persuadé” Luke qu'elle peut l'aider à retrouver les secrets oubliés des Jedi. Elle l'embarque ainsi sur une mission qui les confronte à une créature aussi vieille que dangereuse, emprisonnée depuis très longtemps et possédant un étrange lien avec la Force.
(Contient les épisodes US Doctor Aphra (2020) 32-40, précédemment publiés dans 100% STAR WARS : HIDDEN EMPIRE EPILOGUE et 100% STAR WARS : DARK DROIDS PROLOGUE, 1-4 et EPILOGUE)
Dernier tome d’une série qui se sera bonifié avec le temps. Malheureusement, les tie-ins à l’event Dark droids sont la section la plus faible du tome qui occupe une grande partie des pages. C’est plutôt le développement d'Aphra qu’on prend toujours plaisir à suivre et qui connaît une évolution différente de sa précédente série. Si certaines intrigues sont laissées en suspens, la fin de cette série reste satisfaisante avec la majorité des fils rouges qui se sont terminés dans les tomes précédents.
Les dessins sont classiques mais corrects.
Le Pitch de départ est des plus classiques tout comme les rebondissements.
Pour les fan inconditionnels du tisseur pour les autres c'est une histoire oubliable.
Nouvel auteur pour Spider-Man, mais pas pour le meilleur. En soit, ses numéros ne sont pas totalement mauvais. Ils sont un peu divertissants et Zeb Wells sait écrire des vilains intéressants, notamment pour Tombstone. Mais c’est cet énième retour à un Peter Parker seul et sans chance, c’est d’un niveau abusé qui devient épuisant à force. Surtout concernant la relation MJ et Peter avec ce mystère qui risque de faire rouler les yeux des lecteurs servant surtout à pousser à lire la suite. Si je ne suis pas le plus grand fan de Nick Spencer, son run avait le mérite de vouloir faire évoluer le personnage ce qui ne semble pas le cas ici. Pour les dessins, on a un John Romita JR, certes meilleur que chez DC, mais pas en grande forme non plus. Heureusement, les dessins d’Ed McGuinness aident à faire un peu passer la pilule. Bref, un début très décevant avec des élans de déjà vu et de déception.
Le "début" du run de Zeb Wells sur Spider-Man est assez catastrophique avec des intrigues pas passionnantes et des cliffhangers stupides nous faisant croire que Spider-Man est mort, comme si ça allais se arriver... Et en plus la partie graphique est signée John Romita Jr qui est en petite forme. On ne reste que pour l'attachement qu'on a pour les personnages.
Zeb Wells, John Romita Jr
Peter Parker a commis un acte terrible qui a radicalement changé le cours de sa vie. Depuis, Mary Jane ne lui adresse plus la parole et tante May est elle aussi fâchée. En outre, Peter est sans emploi, et son colocataire va bientôt le quitter pour se marier… Et un de ses anciens ennemis va lui apporter une aide inattendue.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (2022) 1-8, précédemment publiés dans MARVEL COMICS 14-17)
Le Pitch de départ est des plus classiques tout comme les rebondissements.
Pour les fan inconditionnels du tisseur pour les autres c'est une histoire oubliable.
Nouvel auteur pour Spider-Man, mais pas pour le meilleur. En soit, ses numéros ne sont pas totalement mauvais. Ils sont un peu divertissants et Zeb Wells sait écrire des vilains intéressants, notamment pour Tombstone. Mais c’est cet énième retour à un Peter Parker seul et sans chance, c’est d’un niveau abusé qui devient épuisant à force. Surtout concernant la relation MJ et Peter avec ce mystère qui risque de faire rouler les yeux des lecteurs servant surtout à pousser à lire la suite. Si je ne suis pas le plus grand fan de Nick Spencer, son run avait le mérite de vouloir faire évoluer le personnage ce qui ne semble pas le cas ici. Pour les dessins, on a un John Romita JR, certes meilleur que chez DC, mais pas en grande forme non plus. Heureusement, les dessins d’Ed McGuinness aident à faire un peu passer la pilule. Bref, un début très décevant avec des élans de déjà vu et de déception.
Le "début" du run de Zeb Wells sur Spider-Man est assez catastrophique avec des intrigues pas passionnantes et des cliffhangers stupides nous faisant croire que Spider-Man est mort, comme si ça allais se arriver... Et en plus la partie graphique est signée John Romita Jr qui est en petite forme. On ne reste que pour l'attachement qu'on a pour les personnages.
Nouvelle édition d’un récit culte de l’ancien univers étendu. Il est intéressant à lire pour l’aspect historique en tant que première suite officielle de la trilogie originale. Le personnage de Thrawn est intéressant à suivre et certains personnages, plus combats valent le coup d'être lu. Toutefois, c’est lourd à lire, avec beaucoup de textes et on conseille souvent de préférer la lecture du roman. Les dessins sont beaux, même si je trouve les dessins du premier chapitre moins réussi que les deux suivants.
Honnêtement, je ne sais pas si ça vaut d’y mettre autant d'argent pour ce récit, même pour une belle édition.
Mike Baron, Timothy Zahn, Olivier Vatine, Terry Dodson…
Cinq ans après la chute de l'Empire, Luke Skywalker est le premier d'une nouvelle lignée de Chevaliers Jedi. Mais les vestiges de l’Empire ont un atout qui pourrait les ramener à leur gloire passée ! Le brillant amiral Thrawn, est prêt à détruire la Nouvelle République…
(Contient les épisodes US Heir to the Empire (1995) 1-6, Dark Force Rising (1997) 1-6 et The Last Command (1997) 1-6, précédemment publiés dans Star Wars : Le Cycle de Thrawn 1-3 et Star Wars – L'Ultime Commandement 1-2)
Nouvelle édition d’un récit culte de l’ancien univers étendu. Il est intéressant à lire pour l’aspect historique en tant que première suite officielle de la trilogie originale. Le personnage de Thrawn est intéressant à suivre et certains personnages, plus combats valent le coup d'être lu. Toutefois, c’est lourd à lire, avec beaucoup de textes et on conseille souvent de préférer la lecture du roman. Les dessins sont beaux, même si je trouve les dessins du premier chapitre moins réussi que les deux suivants.
Honnêtement, je ne sais pas si ça vaut d’y mettre autant d'argent pour ce récit, même pour une belle édition.
Herogasm vient ajouter un élément de nouveauté et de fraîcheur à la narration, qui permet de casser une certaine redondance dans les arcs scénaristiques précédents. Pour le reste du tome, on reste sur du plus classique pour Ennis, donc ça reste assez clivant.
Garth Ennis, Darick Robertson
Quand le mal le plus profond menace l’humanité tout entière et qu’une crise secrète semble mener l’univers au bord du gouffre, les héros les plus puissants de la Terre s’unissent pour nous défendre. Mais que se passe-t-il vraiment lors de ces événements sans pareil ? Les P’tits Gars, eux, le savent…
(Contient les épisodes US The Boys (2006) 31-38 et The Boys: Herogasm (2009) 1-6, précédemment publiés dans THE BOYS OMNIBUS 2)
Herogasm vient ajouter un élément de nouveauté et de fraîcheur à la narration, qui permet de casser une certaine redondance dans les arcs scénaristiques précédents. Pour le reste du tome, on reste sur du plus classique pour Ennis, donc ça reste assez clivant.
Dernier tome qui marque la fin de la série New Mutants de cette période. On termine le run de Vita Ayala avec un dernier arc centré sur Magik, un peu plus décevant à suivre même si l’intrigue est bien écrite avec une surprise concernant l'antagoniste. Le dernier arc est plus anecdotique et introduit un nouveau mutant central qui malgré ses pouvoirs intrigants sera sûrement vite oublié. On retiendra peut-être plus l'écriture des personnages secondaires pour cet arc. La partie graphique reste de bonne facture, grâce aux dessins particulier de Rod Reis.
Après un deuxième tome très pénible à lire, le niveau ne remonte pas forcément pour conclure la série. On a un arc court centré sur Magik qui est bien sympa mais on part ensuite sur des épisodes anecdotiques et un arc qui présente un nouveau personnage qui est déjà oublié. La partie graphique reste le point fort de la série
Vita Ayala, Charlie Jane Anders, Jan Duursema, Rod Reis…
Les Nouveaux Mutants ne savent plus où donner de la tête. Occupée aux affaires de l'île Krakoa, Illyana Rasputin reste la souveraine de la dimension des Limbes, où elle retourne pour éviter que de mauvaises mains s’emparent du trône…
(Contient les épisodes US New Mutants (2019) 25-33 et New Mutants: Lethal Legion (2023) 1-5, précédemment publiés dans DESTINY OF X 3, 5-7, 11, 14, 17-19, 22-26)
Dernier tome qui marque la fin de la série New Mutants de cette période. On termine le run de Vita Ayala avec un dernier arc centré sur Magik, un peu plus décevant à suivre même si l’intrigue est bien écrite avec une surprise concernant l'antagoniste. Le dernier arc est plus anecdotique et introduit un nouveau mutant central qui malgré ses pouvoirs intrigants sera sûrement vite oublié. On retiendra peut-être plus l'écriture des personnages secondaires pour cet arc. La partie graphique reste de bonne facture, grâce aux dessins particulier de Rod Reis.
Après un deuxième tome très pénible à lire, le niveau ne remonte pas forcément pour conclure la série. On a un arc court centré sur Magik qui est bien sympa mais on part ensuite sur des épisodes anecdotiques et un arc qui présente un nouveau personnage qui est déjà oublié. La partie graphique reste le point fort de la série
Un volume dans la veine de ce qui se fait à cette époque. Nous sommes encore dans l'âge d'or de Spider-man ce qui sous-entend un bon nombre de personnages "classiques" de l'univers mais aussi, une approche très old school tant au niveau de la narration que des dessins. Petit coup de coeur pour l'anti-araignée qui a toujours eu une petite place dans mon coeur. Ouaip, parfois, certaines choses ne s'expliquent pas.
Stan Lee, Roy Thomas, John Romita Sr, Gil Kane
Pas de répit pour Spider-Man, qui va devoir affronter des ennemis aussi variés que l'Anti-Araignée, le Docteur Octopus, Kraven, Hammerhead et l'étrange Gibbon ! Heureusement, il pourra parfois compter sur l'aide d'amis super-héros comme le Docteur Strange. Un album notable car il contient les derniers épisodes signés Stan Lee avant qu'il ne passe le flambeau à Gerry Conway.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 104-115, nouvelle édition)
Un volume dans la veine de ce qui se fait à cette époque. Nous sommes encore dans l'âge d'or de Spider-man ce qui sous-entend un bon nombre de personnages "classiques" de l'univers mais aussi, une approche très old school tant au niveau de la narration que des dessins. Petit coup de coeur pour l'anti-araignée qui a toujours eu une petite place dans mon coeur. Ouaip, parfois, certaines choses ne s'expliquent pas.
Une année extrêmement importante pour l'araignée mais également pour le monde des comics au sens large. Ce tome est à lire par tous ceux qui désirent lire les classiques de la BD américaine. Après, cela reste un tome de la série principale The Amazing Spider-man. Autrement dit, vous n'aurez qu'une poignée d'épisodes de l'ensemble des aventures de l'araignées. Pas de début, pas de fin. Mais une fois encore, ce que ce tome renferme reste à lire. A vous de voir donc...
Stan Lee, Gerry Conway, John Romita Sr, Ross Andru…
1973 est une année marquante pour Spider-Man mais aussi pour la bande dessinée super-héroïque en général. Elle sonne la "fin de l'innocence" avec, notamment, les deux épisodes dramatiques qui voient la mort de Gwen Stacy tuée par le Bouffon Vert.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 116-127, nouvelle édition)
Une année extrêmement importante pour l'araignée mais également pour le monde des comics au sens large. Ce tome est à lire par tous ceux qui désirent lire les classiques de la BD américaine. Après, cela reste un tome de la série principale The Amazing Spider-man. Autrement dit, vous n'aurez qu'une poignée d'épisodes de l'ensemble des aventures de l'araignées. Pas de début, pas de fin. Mais une fois encore, ce que ce tome renferme reste à lire. A vous de voir donc...
Un vrai plaisir à lire. Dans la continuité des 2 précédents.
Mark Millar, Bryan Hitch
Les interventions des Ultimates à l’international irritent de plus en plus les pays ennemis des États-Unis. Si les forces étrangères s’alliaient pour former leur propre équipe de super-héros, Captain America et ses alliés pourraient-ils y faire face ?
(Contient les épisodes US Ultimates 2 (2005) 7-13, précédemment publiés dans MARVEL OMNIBUS : ULTIMATES)
Un vrai plaisir à lire. Dans la continuité des 2 précédents.
Un classique déjà conseillé mille fois et un incontournable de l'univers Marvel. Un must have bien qu'il soit conseillé de connaître un minimum les personnages Marvel pour bien apprécier l'oeuvre dans son intégralité.
Un évènement qui selon moi a été mis sur un piédestal (un peu comme la mort de Superman) car il a crée un vrai temps où l'univers Marvel est resté figé et tournait autour de l'affrontement entre Captain America et Iron Man, ce qui était plutôt cool. Certains moments sont iconiques mais le tout ne m'a pas convaincu à 100%.
L'event classique qui ressort comme les Deluxes donc en 7 ou 8 tomes, mais s'il faut en garder un seul, c'est celui-ci qui contient la mini-série principale où tout se passe. C'est un très bon crossover, très dense, mais il y a certains tie-in à lire pour mieux comprendre l'ensemble.
Event choc à l'époque qui est devenu un classique incontournable aujourd'hui. Beaucoup de gros crossovers ont suivi celui-là chez Marvel, mais peu sont arrivés au niveau, pas pour rien qu'on en parle autant encore maintenant. Bref, si vous aimez l'univers Marvel, il faut le lire !
Mark Millar, Ed Brubaker, Steve McNiven, Steve Epting
Un incident impliquant de jeunes super-héros entraîne la mort de centaines de personnes. En conséquence, la Loi de Recensement des Surhumains rend hors la loi tout héros refusant de s’enregistrer. Iron Man est un fervent partisan du projet, Captain America s’y oppose avec virulence.
(Contient les épisodes US Civil War (2006) 1-7, Civil War: The Confession (2007) 1 et Captain America (2005) 22-25, précédemment publiés dans MARVEL MUST-HAVE: CIVIL WAR, MARVEL OMNIBUS : NEW AVENGERS 1 et MARVEL OMNIBUS : CAPTAIN AMERICA 1)
Un classique déjà conseillé mille fois et un incontournable de l'univers Marvel. Un must have bien qu'il soit conseillé de connaître un minimum les personnages Marvel pour bien apprécier l'oeuvre dans son intégralité.
Un évènement qui selon moi a été mis sur un piédestal (un peu comme la mort de Superman) car il a crée un vrai temps où l'univers Marvel est resté figé et tournait autour de l'affrontement entre Captain America et Iron Man, ce qui était plutôt cool. Certains moments sont iconiques mais le tout ne m'a pas convaincu à 100%.
L'event classique qui ressort comme les Deluxes donc en 7 ou 8 tomes, mais s'il faut en garder un seul, c'est celui-ci qui contient la mini-série principale où tout se passe. C'est un très bon crossover, très dense, mais il y a certains tie-in à lire pour mieux comprendre l'ensemble.
Event choc à l'époque qui est devenu un classique incontournable aujourd'hui. Beaucoup de gros crossovers ont suivi celui-là chez Marvel, mais peu sont arrivés au niveau, pas pour rien qu'on en parle autant encore maintenant. Bref, si vous aimez l'univers Marvel, il faut le lire !
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L'Avis de la rédaction (2)
Jeff Staff MDCU
il y a 1 an
Une série qui a énormément fait parler d'elle pour être sorti avec brio des sentiers battus. Une très bonne surprise. Peut-être même une des meilleures lectures autour du personnage.
Alemxis
il y a 1 an
Une relecture géniale du personnage de la vision. On ne peut pas s'empêcher de s'attacher au personnage malgré ses actions. Un vrai réussite