Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties de février qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Bien que la mort de son fils unique, Damian, ait été l'épreuve la plus douloureuse de sa carrière, Batman a su remonter la pente et trouver le courage d'affronter les pires menaces de Gotham.
Mais Ra's al Ghul ne l'entend pas de cette oreille et tente par tous les moyens de ressusciter celui qui est également son petit-fils.
Contenu vo : Batman and Robin #29-40 ; Robin Rises : Omega #1 ; Robin Rises : Alpha #1 ; Batman and Robin Annual #3 ; Secret Origins #4
L'un des meilleurs runs de Batman de ces dernières années ne faiblit pas, malgré la mort de Robin. Au contraire, comme pour Captain America, la série gagne avec la mort d'un de ses protagonistes. Du très bon.
Cette reprise de la franchise de la saga Star Wars par Marvel est une incontestable réussite. On y retrouve la magie et le souffle épique de la trilogie originelle. Les fans seront comblés.
Retranscrire l'ambiance de la première trilogie Star Wars n'est pas chose aisée, voire impossible en comics. Du moins, c'est ce que je croyais avant de lire le contenu de cet album. Vraiment un excellent travail de déconstruction de l'oeuvre pour en ressortir son essence et pouvoir nous faire ressentir les mêmes émotions que dans les films, mais en comics et sur des histoires inédites.
Auteurs : Aaron, Cassaday, Immonen
Enfin en collection DELUXE, retrouvez la série de tous les records qui a inauguré l'association de Marvel, Disney et Star Wars en 2015. La série prend la suite directe du premier film pour emmener Luke, Leia, Han et les autres vers des aventures inédites, surprenantes et pourtant intégrales à la continuité des films !
(Contient les épisodes US Star Wars (2015) 1-12, précédemment publiés dans ABSOLUTE STAR WARS : STAR WARS 1)
Cette reprise de la franchise de la saga Star Wars par Marvel est une incontestable réussite. On y retrouve la magie et le souffle épique de la trilogie originelle. Les fans seront comblés.
Retranscrire l'ambiance de la première trilogie Star Wars n'est pas chose aisée, voire impossible en comics. Du moins, c'est ce que je croyais avant de lire le contenu de cet album. Vraiment un excellent travail de déconstruction de l'oeuvre pour en ressortir son essence et pouvoir nous faire ressentir les mêmes émotions que dans les films, mais en comics et sur des histoires inédites.
Après un très bon 1er tome, la série continue l’intrigue en cours, et part dans une direction épique. En plus de continuer à développer les thèmes et les idées d'Uncanny X-force, cette série reste toujours excellente dans le développement de ses personnages et n’hésite pas a les marquer durement que ça soit physiquement et psychologiquement. Cette saga est accompagnée des dessins de Steve McNiven et Daniel Acuna qui la rende tous simplement sublime. Seul bémol, c’est qu’après cet arc la fin de la série sera un peu gâchée avec l’arrivé d'AXIS.
Un deuxième tome assez dingue et ultra passionnant, où Remender s'approche tout prêt de la grâce qu'il avait réussie à toucher sur Uncanny X-Force (il reprend d'ailleurs certains éléments). Une série qui mérite vraiment d'être lue et dont la postérité DOIT redorer le blason, même si la fin est un peu en-dessous avec les évènements d'AXIS.
Tout pareil que mes camarades. C'est magnifiquement illustré par un Daniel Acuna en état de grâce et c'est excellemment écrit par un Remender en très grande forme. Une superbe série qui mérite d'être mieux reconnue.
Du très très bon, Remender se lâche et on obtient une excellente série. Le problème sera avec sa suite AXIS qui lui est en demi-teinte.
Auteurs : Remender, Larroca, Acuña, McNiven
Les Uncanny Avengers affrontent Kang et les Jumeaux de l'Apocalypse dans un combat désespéré ! S'ils échouent, quel avenir pour la planète, les humains et les mutants ? La série-phare de l'époque Marvel NOW! se poursuit dans la prestigieuse collection MARVEL DELUXE !
(Contient les épisodes US Uncanny Avengers (2012) 12-22, précédemment publiés dans MARVEL NOW! : UNCANNY AVENGERS 3-4)
Après un très bon 1er tome, la série continue l’intrigue en cours, et part dans une direction épique. En plus de continuer à développer les thèmes et les idées d'Uncanny X-force, cette série reste toujours excellente dans le développement de ses personnages et n’hésite pas a les marquer durement que ça soit physiquement et psychologiquement. Cette saga est accompagnée des dessins de Steve McNiven et Daniel Acuna qui la rende tous simplement sublime. Seul bémol, c’est qu’après cet arc la fin de la série sera un peu gâchée avec l’arrivé d'AXIS.
Un deuxième tome assez dingue et ultra passionnant, où Remender s'approche tout prêt de la grâce qu'il avait réussie à toucher sur Uncanny X-Force (il reprend d'ailleurs certains éléments). Une série qui mérite vraiment d'être lue et dont la postérité DOIT redorer le blason, même si la fin est un peu en-dessous avec les évènements d'AXIS.
Tout pareil que mes camarades. C'est magnifiquement illustré par un Daniel Acuna en état de grâce et c'est excellemment écrit par un Remender en très grande forme. Une superbe série qui mérite d'être mieux reconnue.
Du très très bon, Remender se lâche et on obtient une excellente série. Le problème sera avec sa suite AXIS qui lui est en demi-teinte.
L'un des plus beaux runs sur Thor, tout simplement. À posséder et à lire et relire.
Thor a connu de grands runs. Celui de Kirby, celui de Simonson, celui d'Aaron. Mais il ne faudrait pas oublier Straczynski qui a su ressusciter une franchise moribonde, la moderniser et lui donner une nouvelle dimension. De l'excellent Thor.
Auteurs : Straczynski, Coipel, Djurdjevic
Fin de l'ère qui a redéfini le Dieu du Tonnerre, sous la houlette de J.M. Straczynski (Amazing Spider-Man). Thor a réussi à ressusciter tous ses camarades asgardiens, mais Odin manque à l'appel. Thor peut-il le ramener sans donner une nouvelle chance à son demi-frère Loki par la même occasion ?
(Contient les épisodes US Thor (2007) 9-12, Thor (1966) 600-603 et Thor Giant-Size Finale, précédemment publiés dans MARVEL SELECT : THOR 2)
L'un des plus beaux runs sur Thor, tout simplement. À posséder et à lire et relire.
Thor a connu de grands runs. Celui de Kirby, celui de Simonson, celui d'Aaron. Mais il ne faudrait pas oublier Straczynski qui a su ressusciter une franchise moribonde, la moderniser et lui donner une nouvelle dimension. De l'excellent Thor.
Le titre indé le plus ambitieux du grand John Byrne est incontestablement Next Men. On ne peut que remercier Delirium de faire découvrir cette pépite aux lecteurs francophones dans une édition digne de ce nom. Intelligent et audacieux.
Fruits d'expériences génétiques menées secrètement par l'armée, les Next Men, jeunes adolescents élevés dans un univers virtuel, sont soudain plongés dans le monde réel. Ce deuxième volume voit les personnages découvrir qu'ils ont un passé dans le monde réel et développe également un nouveau personnage en parallèle, M4, dont l'impact sur les Next Men va progressivement se révéler... NEXT MEN, qui fait suite à 2112, est une série créée par JOHN BYRNE, auteur-star des plus grands succès de MARVEL et DC au cours des années 1980 (X-Men, Quatre Fantastiques, Superman...). Pour publier cette série indépendante, il crée aux début des années 1990 le label "LEGENDS" chez Dark Horse Comics, avec notamment Frank MILLER qui y publiera SIN CITY. Une autre série phare dont les premières pages seront publiées dans NEXT MEN un peu plus tard (et bientôt chez DELIRIUM) est HELLBOY de Mike MIGNOLA, dont la première histoire est également co-scénarisée par John BYRNE lui-même ! Série d'anticipation ambitieuse, NEXT MEN est considérée comme l'une des plus brillantes de la prestigieuse carrière artistique de JOHN BYRNE et sera proposée en trois volumes.
Contient John Byrne's Next Men (1992) 10 à 19.
Le titre indé le plus ambitieux du grand John Byrne est incontestablement Next Men. On ne peut que remercier Delirium de faire découvrir cette pépite aux lecteurs francophones dans une édition digne de ce nom. Intelligent et audacieux.
Panini réédite ce récit de Millar à un prix qui pique. Comme souvent avec Millar, tout est dans le concept, alléchant à la base, et dans la collaboration avec un très bon dessinateur. Si l'exécution est tout à fait honnête (plus que pour certains navets de son Millarverse), le résultat ne fait néanmoins pas partie des récits indispensables du scénariste. Une bonne lecture cependant.
Auteurs : Millar, Edwards
Les super-vilains les plus puissants de l'univers Marvel unissent leurs forces pour dévaster le seul endroit où ils ne sont jamais allés auparavant : le monde réel. Le destin de la planète est entre les mains d'une seule personne, Toby, treize ans ! Par l'auteur de Civil War et Old Man Logan.
(Contient les épisodes US 1985 (2008) 1 à 6, précédemment publiés dans 100% MARVEL : 1985)
Panini réédite ce récit de Millar à un prix qui pique. Comme souvent avec Millar, tout est dans le concept, alléchant à la base, et dans la collaboration avec un très bon dessinateur. Si l'exécution est tout à fait honnête (plus que pour certains navets de son Millarverse), le résultat ne fait néanmoins pas partie des récits indispensables du scénariste. Une bonne lecture cependant.
Bonne nouvelle : Panini revient dans les kiosques. Le concept de la revue est en revanche assez surprenant : prendre des épisodes de différentes séries mais tous publiés la même année. Alors oui, les épisodes choisis sont bons, oui, les comics d'il y a quasiment 40 avaient de la gueule, mais je me demande quel est le lectorat de cette revue. Les nostalgiques et les complétistes ont déjà ces comics tandis que les jeunes se tourneront sans doute vers des productions plus récentes. En tout cas, croisons les doigts pour que cette belle initiative patrimoniale en kiosque réussisse.
Auteurs : Claremont, Miller, Byrne, Romita Jr…
Nouveau ! Tous les trois mois dans vos kiosques, retrouvez les épisodes qui ont fait l'histoire de Marvel, et des comics en général, pour une année donnée avec à chaque fois un épisode rare ou inédit en France. 1982 ouvre le bal avec Spider-Man, Daredevil, les X-Men, Wolverine et les Fantastiques. Une magnifique couverture d'Alex Ross orne ce nouveau rendez-vous.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 229-230, Daredevil (1964) 181, Uncanny X-Men (1963) 159, Wolverine (1982) 1, Fantastic Four (1961) 240 et Marvel Fanfare (1982) 1 (II), précédemment publiés dans SPIDER-MAN : L'INTÉGRALE 1982, JE SUIS DAREDEVIL, X-MEN : L'INTÉGRALE 1982, WOLVERINE : L'INTÉGRALE 1988-1989, BEST OF MARVEL : FANTASTIC FOUR – RETOUR AUX SOURCES et Strange Spécial Origines 307)
Bonne nouvelle : Panini revient dans les kiosques. Le concept de la revue est en revanche assez surprenant : prendre des épisodes de différentes séries mais tous publiés la même année. Alors oui, les épisodes choisis sont bons, oui, les comics d'il y a quasiment 40 avaient de la gueule, mais je me demande quel est le lectorat de cette revue. Les nostalgiques et les complétistes ont déjà ces comics tandis que les jeunes se tourneront sans doute vers des productions plus récentes. En tout cas, croisons les doigts pour que cette belle initiative patrimoniale en kiosque réussisse.
Aaron ne lâche rien et son Thor, avec le retour du fils d'Odin en porteur de marteau, est toujours aussi bon. Quelle saga il nous aura offert. Seul bémol : la numérotation qui pourrait laisser croire à un lecteur candide que ce volume marque le début de l'histoire.
Auteurs : Aaron, Del Mundo, Ward
Thor est de retour, mais privé de Mjolnir, comment va-t-il pouvoir empêcher la Guerre des Royaumes alors que le conflit s'étend jusqu'en Enfer ? Et dans le lointain futur, Thor et un Phénix inattendu affrontent la menace du Docteur Fatalis !
(Contient les épisodes US Thor (2018) 1-6, précédemment publiés dans AVENGERS (2019) 2-7)
Aaron ne lâche rien et son Thor, avec le retour du fils d'Odin en porteur de marteau, est toujours aussi bon. Quelle saga il nous aura offert. Seul bémol : la numérotation qui pourrait laisser croire à un lecteur candide que ce volume marque le début de l'histoire.
Nous ne sommes plus dans l'âge d'or de Geoff Johns sur l'univers des Green Lantern mais cela reste de très bonne facture.
La conclusion du run de Geoff Johns sur Green Lantern. La qualité a certes baissé par rapports aux premiers tomes, mais on retrouve le Johns qu'on aime dans le dernier numéro magnifique. A prendre pour les complétistes.
Le grand final de Geoff Johns sur la franchise Green Lantern ! Et le bougre nous réserve encore quelques surprises dans ses manches, comme l'introduction assez politique et engagée d'un nouveau personnage, ou un crossover ultime qui va creuser encore plus profondemment dans la mythologie des Green Lantern. Immanquable, bien sûr.
Fin de la réédition ce long run mythique. Si les menaces finales sont moins captivantes que les précédentes et que la surenchère est très over the top par moment, ça reste la conclusion d’un run qui aura marqué l'univers des Green Lantern. Dont le point fort de la partie New 52 sera la relation entre Sinestro et Hal Jordan qui n’aura jamais paru aussi juste. Ce tome est aussi l’occasion de l’intégration d’un nouveau GL humain qui aura fait un peu polémique à son arrivé.
Si on peut s'interroger sur l'oportunité d'introduire un nouveau porteur de l'anneau si près de la conclusion, on ne pourra pas reprocher à Geoff Jones d'avoir fini son run en laissant le bazar. Il range proprement tous ses jouets et termine correctement toutes ses intrigues. Certes, l'heure de gloire de la série est derrière elle mais le titre garde de son intérêt jusqu'à son terme.
Hal Jordan et Sinestro semblent avoir péri face à Black Hand.
Leur anneau sélectionne dès lors un nouveau Green Lantern : Simon Baz, jeune homme lancé dans une course-poursuite avec la police de Dearborn. Son baptême du feu l'opposera à la Ligue de Justice et à la menace de la Troisième Armée !
Contenu vo : Contenu : Green Lantern #0, 13-20 + Green Lantern Corps #16 + Green Lantern Corps Annual #1 + Green Lantern: New Guardians #19
Nous ne sommes plus dans l'âge d'or de Geoff Johns sur l'univers des Green Lantern mais cela reste de très bonne facture.
La conclusion du run de Geoff Johns sur Green Lantern. La qualité a certes baissé par rapports aux premiers tomes, mais on retrouve le Johns qu'on aime dans le dernier numéro magnifique. A prendre pour les complétistes.
Le grand final de Geoff Johns sur la franchise Green Lantern ! Et le bougre nous réserve encore quelques surprises dans ses manches, comme l'introduction assez politique et engagée d'un nouveau personnage, ou un crossover ultime qui va creuser encore plus profondemment dans la mythologie des Green Lantern. Immanquable, bien sûr.
Fin de la réédition ce long run mythique. Si les menaces finales sont moins captivantes que les précédentes et que la surenchère est très over the top par moment, ça reste la conclusion d’un run qui aura marqué l'univers des Green Lantern. Dont le point fort de la partie New 52 sera la relation entre Sinestro et Hal Jordan qui n’aura jamais paru aussi juste. Ce tome est aussi l’occasion de l’intégration d’un nouveau GL humain qui aura fait un peu polémique à son arrivé.
Si on peut s'interroger sur l'oportunité d'introduire un nouveau porteur de l'anneau si près de la conclusion, on ne pourra pas reprocher à Geoff Jones d'avoir fini son run en laissant le bazar. Il range proprement tous ses jouets et termine correctement toutes ses intrigues. Certes, l'heure de gloire de la série est derrière elle mais le titre garde de son intérêt jusqu'à son terme.
Un incontournable, mais il vaut mieux connaître le monde des mutants pour comprendre et apprécier pleinement cette saga dans un monde parallèle. Sombre et désespéré mais une lecture enthousiasmante.
Auteurs : Lobdell, Nicieza, Madureira, Kubert…
Voici l'attendue réédition du crossover le plus ambitieux de l'histoire des X-Men. Charles Xavier est mort dans le passé, créant un nouveau présent où Apocalypse règne en maître et où Magnéto est le chef des X-Men ! Plus de 1000 pages d'aventures post-apocalyptiques !
(Contient les épisodes US X-Men Alpha, Amazing X-Men (1995) 1-4, Astonishing X-Men (1995) 1-4, Generation Next 1-4, Factor X 1-4, X-Calibre 1-4, X-Man (1995) 1-4, X-Men Chronicles 1-2, X-Universe 1-2 et X-Men Omega, nouvelle édition)
Un incontournable, mais il vaut mieux connaître le monde des mutants pour comprendre et apprécier pleinement cette saga dans un monde parallèle. Sombre et désespéré mais une lecture enthousiasmante.
Reporté par les affres du COVID, le tome 2 arrive enfin et avec lui les prémices d'un événement qui promet un ajout important à l'univers d'Aquaman. Mais avant d'y assister, on devra avoir une énième vengeance de Black Manta lié au contexte Year of The Villain. S'il y a une certaine redondance de revoir Black Manta en antagoniste, la présence d’un proche du vilain rendra cette partie un peu plus intéressante et différente des précédentes rencontres. Le reste du tome se lit avec plaisir pour les personnages et le développement de l'univers même si certaines touches d'humour ne marchent pas toujours.
Après son combat victorieux contre Namma, la Mère Sel, Aquaman part en quête de ses souvenirs.
Il rencontre une autre mère, celle de tous les Requins, une entité millénaire qui l'aide à se frayer un chemin dans les méandres de la mémoire. Mais le temps presse pour le roi de l'Atlantide car Black Manta refait surface, et lui n'a rien oublié de la haine qu'il voue à Arthur Curry.
Contenu vo : Aquaman #48-55 + Annual #2
Reporté par les affres du COVID, le tome 2 arrive enfin et avec lui les prémices d'un événement qui promet un ajout important à l'univers d'Aquaman. Mais avant d'y assister, on devra avoir une énième vengeance de Black Manta lié au contexte Year of The Villain. S'il y a une certaine redondance de revoir Black Manta en antagoniste, la présence d’un proche du vilain rendra cette partie un peu plus intéressante et différente des précédentes rencontres. Le reste du tome se lit avec plaisir pour les personnages et le développement de l'univers même si certaines touches d'humour ne marchent pas toujours.
Un tome qui fait intervenir un nouveau protagoniste qui donnera du fil a retorde aux personnages et qui aura son importance dans les tomes à venir. Ce qui fait le succès de la série continue à être présent et peut compter sur les dessinateurs Campbell et Santolouco pour nous donner une partie graphique sublime.
Raphael et Nobody partent à la recherche d’Alopex, seule et toujours affectée par l’emprise mentale de Kitsune, mais parviendront-ils à lui faire retrouver le chemin de la raison ? Pendant ce temps, le gouvernement se lance dans une féroce chasse aux mutants, et les méthodes peu conventionnelles qu’il déploie pour parvenir à ses fins verront Splinter et ses fils traqués comme jamais. Aucun mutant n’est à l’abri !
Un tome qui fait intervenir un nouveau protagoniste qui donnera du fil a retorde aux personnages et qui aura son importance dans les tomes à venir. Ce qui fait le succès de la série continue à être présent et peut compter sur les dessinateurs Campbell et Santolouco pour nous donner une partie graphique sublime.
Voilà un récit qui avait fait grand bruit à sa sortie pour les créateurs impliqués mais aussi pour le twist du premier numéro qui avait bien été caché par l'éditeur. Souffrant de très longs délais dans sa publication (le dernier numéro ayant été publié récemment plus d'un an après le début de la mini-série), la lecture a un peu perdu de sa saveur sur la fin alors que j'avais pris beaucoup de plaisir au début, nul doute que la lecture en album sera beaucoup plus agréable. Sans réinventer la roue, l'histoire des Abrams père et fils est divertissante, parfois touchante et parfaitement accompagnée par le trait de Sara Pichelli.
Auteurs : Abrams, Pichelli
Le combat de trop… Quand Mary Jane est tuée par un nouveau super-vilain, Peter Parker perd l'envie de se battre contre le crime. Les années passent et leur fils Ben se découvre des pouvoirs susceptibles de faire de lui le nouveau Spider-Man ! Une histoire d'héritage par le réalisateur J.J. Abrams et son fils Henry ! Disponible aussi en édition noir et blanc collector !
(Contient les épisodes US Spider-Man (2020) 1-5, inédits)
Voilà un récit qui avait fait grand bruit à sa sortie pour les créateurs impliqués mais aussi pour le twist du premier numéro qui avait bien été caché par l'éditeur. Souffrant de très longs délais dans sa publication (le dernier numéro ayant été publié récemment plus d'un an après le début de la mini-série), la lecture a un peu perdu de sa saveur sur la fin alors que j'avais pris beaucoup de plaisir au début, nul doute que la lecture en album sera beaucoup plus agréable. Sans réinventer la roue, l'histoire des Abrams père et fils est divertissante, parfois touchante et parfaitement accompagnée par le trait de Sara Pichelli.
On baisse un peu en qualité et en intérêt par rapport au premier tome, mais Bendis travaille assez bien les personnages et Immonen fait toujours assez de miracles pour en faire une lecture malgré tout divertissante, et plus que sympathique.
J'ai beau détester ce que Bendis a fait de la franchise X-Men, ces épisodes restent agréables à lire, notamment grâce au talent de Stuart Immonem.
Auteurs : Bendis, Immonen, Peterson
X-Men contre X-Men, alors que les jeunes mutants échappés du passé s'opposent à leurs homologues du présent. Quel avenir pour Jean Grey, Cyclope, Iceberg, le Fauve et Angel maintenant qu'ils savent ce que le futur leur réserve ?
(Contient les épisodes US All-New X-Men (2013) 11-15, 18-21 et X-Men Gold (2014) 1, précédemment publiés dans MARVEL NOW! : ALL-NEW X-MEN 3 et 5)
On baisse un peu en qualité et en intérêt par rapport au premier tome, mais Bendis travaille assez bien les personnages et Immonen fait toujours assez de miracles pour en faire une lecture malgré tout divertissante, et plus que sympathique.
J'ai beau détester ce que Bendis a fait de la franchise X-Men, ces épisodes restent agréables à lire, notamment grâce au talent de Stuart Immonem.
Un arc qui prend son temps pour se lancer vértitablement alors qu'il y avait matière à faire avec la prise de pouvoir du Joker. L'arc se lit sans doute mieux en une fois. Reste que cet arc aura des répercussions pour Batman. On a aussi l'introductions de nouveaux personnages qui deviendront récurrents dans la série. Par contre, graphiquement, c'est top avec un Jorge Jimenez en grande forme.
Le coeur de "Joker War", c'est ici ! Et on ne peut s'empêcher d'avoir une impression de gâchis. Il y a de très bonnes choses, de très bonnes idées, des pierres qui sont posées pour la suite du run, mais en soi, l'intrigue de cet arc n'atteint jamais les sommets attendues et le final est raté, faisant retomber ce Joker War comme un soufflé. Heureusement, Jorge Jimenez envoie du très lourd au dessin.
Après avoir affronté le Designer, Batman réalise que son ennemi de toujours, le Joker, tirait en réalité les ficelles des événements récents. Le Clown prince du crime a, de son côté, trouvé une nouvelle compagne, Punchline, qui ne tarde pas à s'opposer à son ancienne conquête, Harley Quinn ! La ville de Gotham sombre dans le chaos tandis la vie de Bruce Wayne, privé de sa fortune, se trouve à jamais bouleversée !
Contenu vo : Batman #95-100, Joker War Zone #1, Joker 100 pages Spectacular
Un arc qui prend son temps pour se lancer vértitablement alors qu'il y avait matière à faire avec la prise de pouvoir du Joker. L'arc se lit sans doute mieux en une fois. Reste que cet arc aura des répercussions pour Batman. On a aussi l'introductions de nouveaux personnages qui deviendront récurrents dans la série. Par contre, graphiquement, c'est top avec un Jorge Jimenez en grande forme.
Le coeur de "Joker War", c'est ici ! Et on ne peut s'empêcher d'avoir une impression de gâchis. Il y a de très bonnes choses, de très bonnes idées, des pierres qui sont posées pour la suite du run, mais en soi, l'intrigue de cet arc n'atteint jamais les sommets attendues et le final est raté, faisant retomber ce Joker War comme un soufflé. Heureusement, Jorge Jimenez envoie du très lourd au dessin.
J'ai du mal à comprendre ce que ce récit fait dans la collection Must Have. Sans doute n'y avait-il pas d'autre récit relativement récent sur la Panthère qui puisse tenir en un tome. Vous trouverez bien mieux sur T'Challa, heureusement.
Auteurs : Hudlin, Romita Jr
Un récit fondateur du personnage vous est proposé à un prix défiant toute concurrence, dans la désormais célèbre MARVEL MUST-HAVE. Qui est T'Challa et comment est-il devenu digne de devenir la Panthère Noire ? Avec la première apparition de Shuri.
(Contient les épisodes US Giant-Size Black Panther (2005) 1-6, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : BLACK PANTHER – QUI EST LA PANTHÈRE NOIRE ?)
J'ai du mal à comprendre ce que ce récit fait dans la collection Must Have. Sans doute n'y avait-il pas d'autre récit relativement récent sur la Panthère qui puisse tenir en un tome. Vous trouverez bien mieux sur T'Challa, heureusement.
Quel est l'intérêt de ce Kiosque si Urban n'essaie même pas de rattraper le retard accumulé en proposant seulement 4 numéros tous deux mois. On a entre 20 et 25 numéros de retard, soit un an par rapport à ce qui sort en librairie. La seule chose qui vaut le coup c'est le Plastic Man de Gail Simone, mais est ce que ça vaut vraiment la peine ?
Batman contre Bane : le duel ! Après avoir affronté son père, Thomas Wayne, le Batman venu d'une autre dimension, le Chevalier Noir disparaît, ce qui permet à Bane de prendre le contrôle de Gotham City, rebaptisée « Bane City ». Par Tom KING, Mikel JANÍN et Tony S. DANIEL. Batman affronte consécutivement le Spectre, esprit vengeur hantant les rues de Gotham, puis le Joker, Clown du Crime, et Deadshot, l'un des assassins les plus dangereux du monde. Par Peter J. TOMASI, Kyle HOTZ, Doug MAHNKE et Christian DUCE. Enfin, Plastic Man, le héros élastique, est chargé de retrouver un enfant pourchassé par une obscure cabale de super-vilains. Mais le justicier, hanté par son passé de criminel, va découvrir qu'on ne lui a pas dit toute la vérité. Par Gail SIMONE et Adriana MELO.
Contenu vo : • BATMAN #74, #75, #76 et #77 • DETECTIVE COMICS #1006, #1007, 1008 et #1009 • PLASTIC MAN #1 à #6
Quel est l'intérêt de ce Kiosque si Urban n'essaie même pas de rattraper le retard accumulé en proposant seulement 4 numéros tous deux mois. On a entre 20 et 25 numéros de retard, soit un an par rapport à ce qui sort en librairie. La seule chose qui vaut le coup c'est le Plastic Man de Gail Simone, mais est ce que ça vaut vraiment la peine ?
Fin du premier cycle d'American Vampire ! C'est toujours très bon avec trois arcs assez différents (comme généralement sur la série) mais tous de qualité, avec surtout le dernier qui clôt en beauté ce premier cycle. Le tome est conséquent puisqu'il comprend aussi la mini-série Lord of Nightmares, superbement illustrée par Dustin Nguyen, ainsi qu'un one-shot plutôt intéressant.
1954. Si l'Histoire des États-Unis est relativement récente, elle porte néanmoins en elle son lot de sombres mystères. Du Grand Ouest américain peuplé de tribus indiennes, aux folles années cinquante rythmées par le vrombissement des gros bolides et le son endiablé du rock'n'roll, les vampires ont fait leur nid. Pour les combattre, l'ordre des Vassaux de Venus dispose d'une armée d'agents de terrain. Parmi eux, un jeune et fougueux chasseur du nom de Travis Kidd.
Contenu vo : American Vampire #22-34 + American Vampire: The Long Road To Hell #1 + American Vampire: Lord of Nightmares #1-5
Fin du premier cycle d'American Vampire ! C'est toujours très bon avec trois arcs assez différents (comme généralement sur la série) mais tous de qualité, avec surtout le dernier qui clôt en beauté ce premier cycle. Le tome est conséquent puisqu'il comprend aussi la mini-série Lord of Nightmares, superbement illustrée par Dustin Nguyen, ainsi qu'un one-shot plutôt intéressant.
Une histoire de zombie très différent de ce que l'on a l'habitude de lire. Pour les amateurs du genre et autres curieux, c'est clairement à essayer.
Terry Moore met son talent de narrateur au service d'une série d'horreur et ça fait mouche. On y retrouve tout ce qui fait les qualités de l'auteur : sa mise en scène, ses personnages féminins forts, son humour et sa construction d'intrigue ; dans une ambiance fantastique qui plaira aux amateurs du genre.
Après Strangers in Paradise, Echo et Motor Girl, Rachel Rising bénéficie d'une (ré)édition intégrale sous la forme de deux volumes à paraître en 2021. Avec cette série, Terry Moore prouve une fois de plus son talent de c
Rachel se réveille dans les bois et s'extirpe de la tombe sommaire où elle avait été enterrée. Commence alors une effrayante quête pour retrouver son propre meurtrier. Avec l'aide de Zoé, une tueuse en série âgée de 10 ans qui détient l'épée de Satan, et de Lilith, sa soeur - et aussi première femme de l'Univers - Rachel découvre les secrets de la petite ville de Manson.
Une histoire de zombie très différent de ce que l'on a l'habitude de lire. Pour les amateurs du genre et autres curieux, c'est clairement à essayer.
Terry Moore met son talent de narrateur au service d'une série d'horreur et ça fait mouche. On y retrouve tout ce qui fait les qualités de l'auteur : sa mise en scène, ses personnages féminins forts, son humour et sa construction d'intrigue ; dans une ambiance fantastique qui plaira aux amateurs du genre.
Retour de l’excellente série de Rick Remender. Un tome qui part dans de nouvelles directions et qui offre des twist suprenants. Alors qu’on pouvait s’attendre à une amélioration sur le sort des personnages, Remender n’hésite pas a les malmener et à rebattre les cartes de façon inattendue. Bref, une série toujours aussi imprévisible à lire, dommage qu’elle mette autant de temps à sortir.
Lorsque Marcus Lopez, orphelin sans-abris, a rejoint l'école des Arts Létaux de Kings Dominion, il se doutait bien que ça ne serait pas une promenade de santé. Pour autant, il n'aurait jamais imaginé vivre une telle souffrance physique et psychologique durant sa première année. Après un avant-goût éphémère de ce que pourrait être une « belle vie » le long des plages du Mexique, lui et Maria sont de retour sur le campus ; non plus en tant que « rats » chassés par les plus puissants, mais en tant que couple admiré de tous. Une popularité qui risque de faire des envieux, et notamment attiser la haine d'Helmut, bien décidé à venger son amour disparu, Petra.
Contenu vo : Deadly Class Volume 9: Bone Machine (#40-44)
Retour de l’excellente série de Rick Remender. Un tome qui part dans de nouvelles directions et qui offre des twist suprenants. Alors qu’on pouvait s’attendre à une amélioration sur le sort des personnages, Remender n’hésite pas a les malmener et à rebattre les cartes de façon inattendue. Bref, une série toujours aussi imprévisible à lire, dommage qu’elle mette autant de temps à sortir.
Dernier tome de la série que l'on ne présente plus. S'il y aura clairement eu des hauts et des bas, on ne pourra enlever à Kirkman qu'il a un sacré sens du spectacle. Un tome 16 qui n'est pas mauvais mais qui aurait méritée la fin de Kirkman voulait mettre en place à l'origine. Dommage.
Voici enfin la conclusion qui n'avait pas été annoncée et que personne n'avait vu venir. Chapeaux bas, messieurs, d'avoir su nous tenir en haleine si longtemps, d'avoir réussi à maintenir la qualité tout le long et d'avoir réussi à conclure de façon satisfaisante le plus grand succès de l'histoire des comics indé.
Cet album marque la FIN de la série phénomène dans cette collection prestigieuse, en grand format cartonné dont chaque volume regroupe deux tomes de la série régulière, et un sketchbook inédit.
Rick se charge de faire la visite guidée des différentes communautés à la gouverneuse du Commonwealth, Pamela Milton. Naturellement, les choses dégénèrent très rapidement et ce qui est fait ne peut être défait. À l'issue de cette dernière confrontation, plus rien ne sera jamais pareil... On assiste à la fin d'un monde en même temps que la fin de cette série emblématique, avec un épilogue émouvant.
Dernier tome de la série que l'on ne présente plus. S'il y aura clairement eu des hauts et des bas, on ne pourra enlever à Kirkman qu'il a un sacré sens du spectacle. Un tome 16 qui n'est pas mauvais mais qui aurait méritée la fin de Kirkman voulait mettre en place à l'origine. Dommage.
Voici enfin la conclusion qui n'avait pas été annoncée et que personne n'avait vu venir. Chapeaux bas, messieurs, d'avoir su nous tenir en haleine si longtemps, d'avoir réussi à maintenir la qualité tout le long et d'avoir réussi à conclure de façon satisfaisante le plus grand succès de l'histoire des comics indé.
Edition très luxueuse pour une série de haute volée. Le fait que Mignola ait renoncé aux pinceaux au profit de Duncan Frege donc ne nuit en rien à la qualité et à la continuité graphique du titre. Un très grand classique. Mieux vaut avoir lu les tomes précédents pour apprécier pleinement.
Cette collection - proposée dans un format prestigieux - accueille l'oeuvre maîtresse de Mike Mignola épaulé ici par le meilleur travail à ce jour de Duncan Fegredo dans un écrin digne du talent de cet artiste d'exception
Depuis son apparition en 1993, le démon cornu de Mike Mignola est devenu un véritable phénomène culturel, remportant plus d'une douzaine d'Eisner Awards, et générant un univers complet décliné sur plusieurs séries (BPRD, Abe Sapien, Witchfinder, Lobster Johnson, etc.) et au cinéma. Ce cinquième volume, qui réédite les tomes 9 & 10 de la série standard et propose près de 50 pages de croquis inédits
Edition très luxueuse pour une série de haute volée. Le fait que Mignola ait renoncé aux pinceaux au profit de Duncan Frege donc ne nuit en rien à la qualité et à la continuité graphique du titre. Un très grand classique. Mieux vaut avoir lu les tomes précédents pour apprécier pleinement.
Ah, quelle madeleine de Proust. Au milieu des années 80, les gros crossovers n'existaient pas. Alors quand Marvel a lancé Secret Wars, réponse à une certaine crise de la distinguée concurrence, quel événement ce fut. Les plus grands héros contre les pires vilains Marvel. Et si on pouvait craindre une baston destinée aux bas du front, le scénario s'avèrera riche en rebondissements et exploitera la personnalité des protagonistes. De gros changements auront lieu, impactant les FF, les X-Men et surtout Spider-Man (vous avez dit symbiote ?). Et avec le trop rare Mike Zeck aux pinceaux, ce récit est instantanément devenu un incontournable.
Auteurs : Shooter, Zeck, Layton
Le tout premier crossover Marvel, enfin en collection MARVEL DELUXE ! Le Beyonder a enlevé les plus grands héros et les pires vilains de la planète, qui vont devoir s'affronter dans un combat sans pitié. Le vainqueur obtiendra le pouvoir de réaliser tous ses rêves !
(Contient les épisodes US Marvel Super Heroes Secret Wars (1984) 1-12, précédemment publiés dans MARVEL EVENTS : LES GUERRES SECRÈTES)
Ah, quelle madeleine de Proust. Au milieu des années 80, les gros crossovers n'existaient pas. Alors quand Marvel a lancé Secret Wars, réponse à une certaine crise de la distinguée concurrence, quel événement ce fut. Les plus grands héros contre les pires vilains Marvel. Et si on pouvait craindre une baston destinée aux bas du front, le scénario s'avèrera riche en rebondissements et exploitera la personnalité des protagonistes. De gros changements auront lieu, impactant les FF, les X-Men et surtout Spider-Man (vous avez dit symbiote ?). Et avec le trop rare Mike Zeck aux pinceaux, ce récit est instantanément devenu un incontournable.
Énième réédition du chant du cygne de Claremont et des épisodes dessinés et scénarisés par Jim Lee. Claremont termine sur un magnifique blockbuster reprenant un des fondamentaux de la série (les X-Men contre Magnéto). La suite souffre hélas de l'absence du scénariste vedette. N'est pas scénariste qui veut et Jim Lee s'en est vite rendu compte. Les épisodes de Claremont restent indispensables.
Auteurs : Claremont, Lee
Magnéto est de retour, et une nouvelle équipe de X-Men doit s'unir pour affronter la menace posée par l'Astéroïde M ! Cyclope, Wolverine, Malicia et d'autres sont de la partie dans ces épisodes qui sont les derniers scénarisés par Chris Claremont, avec Jim Lee au dessin !
(Contient les épisodes US X-Men (1991) 1-7, précédemment publiés dans X-MEN : L'INTÉGRALE 1992 (I))
Énième réédition du chant du cygne de Claremont et des épisodes dessinés et scénarisés par Jim Lee. Claremont termine sur un magnifique blockbuster reprenant un des fondamentaux de la série (les X-Men contre Magnéto). La suite souffre hélas de l'absence du scénariste vedette. N'est pas scénariste qui veut et Jim Lee s'en est vite rendu compte. Les épisodes de Claremont restent indispensables.
Le Ghost Rider a beau avoir un look d'enfer, il faut avouer que ses débuts ne sont pas exaltants ni graphiquement enthousiasmant. Le potentiel du personnage n'est clairement pas exploité à bon escient. En revanche, saluons l'initiative de Panini d'aller rééditer des titres moins commerciaux dans sa collection des Intégrales.
Auteurs : Friedrich, Ploog, Sutton
Le cascadeur à moto Johnny Blaze est lié à un démon de l'enfer depuis qu'il a conclu un pacte avec le Diable. Lorsqu'il devient le redouté Ghost Rider, il part se venger des âmes de ceux qui sèment la terreur dans le monde ! Découvrez les premiers pas de ce héros d'anthologie !
(Contient les épisodes US Marvel Spotlight (1971) 5-12, Marvel Team-Up (1972) 15 et Ghost Rider (1973) 1-5, précédemment publiés dans MARVEL CLASSIC (2011) 5, SPIDER-MAN TEAM-UP : L'INTÉGRALE 1973-1974, Satan 1 et Étranges Aventures 44-45)
Le Ghost Rider a beau avoir un look d'enfer, il faut avouer que ses débuts ne sont pas exaltants ni graphiquement enthousiasmant. Le potentiel du personnage n'est clairement pas exploité à bon escient. En revanche, saluons l'initiative de Panini d'aller rééditer des titres moins commerciaux dans sa collection des Intégrales.
Avec l'arrivée de Jim Starlin au scénario, la série prend une direction cosmique bienvenue. C'est d'ailleurs la seule chose qui restera d'un personnage bien falot jusque là. Il restera évidemment à enchaîner avec La Mort de Captain Marvel.
Auteurs : Starlin, Friedrich, Boring
Jim Starlin arrive au scénario de la série Captain Marvel et en fait une série mythique, notamment en opposant Mar-Vell au terrible Thanos ! Un album contenant des épisodes essentiels, et deux histoires totalement inédites en France. Les Avengers sont de la partie !
(Contient les épisodes US Captain Marvel (1968) 22-33 et Iron Man (1968) 55, précédemment publiés dans JE SUIS THANOS, BEST OF MARVEL : LA MORT DE CAPTAIN MARVEL, AVENGERS : L'INTÉGRALE 1974, Strange 69-76 et inédits)
Avec l'arrivée de Jim Starlin au scénario, la série prend une direction cosmique bienvenue. C'est d'ailleurs la seule chose qui restera d'un personnage bien falot jusque là. Il restera évidemment à enchaîner avec La Mort de Captain Marvel.
On entre dans le crossover Hellmouth ! Mais vous n'avez ici que les épisodes de la série Buffy qui se passent en parallèle. Non seulement ce n'est toujours pas très bon, mais nous proposer seulement ces quatre numéros pour 18 euros, c'est un peu exagéré. Vous vous êtes sans doute fait une idée sur la série désormais, je peux simplement vous dire que le niveau ne monte pas plus haut que précèdemment.
Auteurs : Bellaire, López
Drusilla a ouvert la Bouche de l'Enfer et Buffy y a foncé tête baissée. En son absence, le Scooby Gang doit contrer les effets démoniaques des derniers événements. Xander, Willow, Robin et Kendra parviendront-ils à repousser les forces du mal ?
(Contient les épisodes Buffy the Vampire Slayer (2019) 9-12, inédits)
On entre dans le crossover Hellmouth ! Mais vous n'avez ici que les épisodes de la série Buffy qui se passent en parallèle. Non seulement ce n'est toujours pas très bon, mais nous proposer seulement ces quatre numéros pour 18 euros, c'est un peu exagéré. Vous vous êtes sans doute fait une idée sur la série désormais, je peux simplement vous dire que le niveau ne monte pas plus haut que précèdemment.
Bon, on ne va pas se mentir, cet énième relaunch d'Iron Man est un échec. Dans Slott tente de capitaliser sur ce qui s'est fait auparavant pour lancer de nouvelles pistes (on peut au moins lui accorder un certain respect de la continuité), il s'embourbe dans des intrigues sans émotion. Difficile d'accrocher, malgré quelques bonnes idées. Les bonnes intentions ne suffisent malheureusement pas.
Auteurs : Slott, Schiti
Tony Stark est de retour et reprend le rôle d'Iron Man ! Et pour fêter ça, il compte lancer une expérience gigantesque de réalité virtuelle, l'eScape. Mais ses ennemis sont à l'affut et Stark lui-même doit faire face à d'importants questionnements après sa mort et sa résurrection.
(Contient les épisodes US Tony Stark: Iron Man (2018) 1-11, précédemment publiés dans AVENGERS (2019) 1-11)
Bon, on ne va pas se mentir, cet énième relaunch d'Iron Man est un échec. Dans Slott tente de capitaliser sur ce qui s'est fait auparavant pour lancer de nouvelles pistes (on peut au moins lui accorder un certain respect de la continuité), il s'embourbe dans des intrigues sans émotion. Difficile d'accrocher, malgré quelques bonnes idées. Les bonnes intentions ne suffisent malheureusement pas.
Si vous êtes passés à côté
Du Panini, du Urban et du Delcourt
Place à nos dernières lectures VO !
Rien sûr le Daredevil de ce mois-ci ?
![[VF] Sélection MDCU de février 2021](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_34982_vf-selection-mdcu-de-fevrier-2021_1611840871.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (1)
AfA Staff MDCU
il y a 4 ans
L'un des meilleurs runs de Batman de ces dernières années ne faiblit pas, malgré la mort de Robin. Au contraire, comme pour Captain America, la série gagne avec la mort d'un de ses protagonistes. Du très bon.