Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Frank Miller, Dennis O'Neil, David Mazuchelli
Radié du barreau et ayant assisté à l’explosion de son immeuble, Matt Murdock traverse une période des plus difficiles. Le responsable de cette situation n’est autre que le Caïd, qui a découvert l’identité secrète de Daredevil grâce à Karen Page, l’ancienne compagne de Matt.
(Contient les épisodes US Daredevil (1964) 226-233, précédemment publiés dans MARVEL OMNIBUS : DAREDEVIL PAR FRANK MILLER)
Une période assez sombre pour l'univers de Daredevil mais diablement bonne. On y suit un Matt Murdock en chute libre tandis qu'à l'inverse, le Kingpin ne cesse de monter en puissance. Concernant l'intervention de Miller, nous en sommes à la troisième période, celle où, par manque de temps, il a laissé la partiee graphique à d'autres pour se consacrer à l'écriture. Et autant le dessin de Miller manque lorsque l'on sait l'impact qu'il aura eu sur l'univers, autant David Mazzucchelli n'a pas à rougir. ll nous présente ici un excellent travail.
Un grand format pour un classique de Miller et de Mazzucchelli dans leur grande époque Daredevil. Un récit qui n'hésite pas à aborder dans des sujets assez intenses et qui parvient à les traiter de manière très efficace et qui laisse rarement indifférent·e.
C'est le même duo qui nous a offert Année Un pour Batman, et en terme d'influence et d'importance pour Daredvil, on est sur un titre du même calibre.
Par principe, si vous voyez Miller et Mazuchelli sur une couverture, vous pouvez acheter, c'est génial. Daredevil Born Again est un classique à avoir lu si on aime le personnage, mais c'est aussi une histoire qui se trouve dans de nombreux formats. Celui-ci a ses avantages (grand format pour bien profiter des superbes dessins) et de défauts (le prix), à vous de voir !
L'un des meilleurs récits sur le personnage, par l'équipe qui a aussi signé l'un des meilleurs récits sur Batman, dans une très belle version grand format. FONCEZ.
Enième réédition du run de Snyder et Capullo sur l'univers de Batman. Ici, il s'agit du top départ du New 52 et, sans doute, de leur meilleur travail lors de cette période (sans prendre en compte ce qui avait été fait avant le New 52 donc). Leur run dans sa globalité a des hauts et des bas. Par contre, ce premier tome reste de très bonne facture. Si vous ne l'avez pas, je vous conseille donc de le prendre. Cela ne sera jamais perdu. Après, libre à vous de continuer ou non. De manière générale, cela reste plutôt bon jusqu'au numéro 17. Après quoi, on commence à perdre en intérêt.
Selon moi, la meilleure introduction à Batman qu'on puisse demander en tant que nouveau lecteur, mais ce n'est pas pour autant que les initiés n'y trouveront aucun plaisir. Une excellente histoire, et des dessins tout aussi excellents qui a en plus le défi d'introduire de nouveaux méchants dans la mythologie du Chevalier Noir. La tâche n'est pas simple, mais elle est pourtant accomplie avec brio !
Enfin, Urban Comics entame la réédition en intégrale du run de Scott Snyder sur Batman. Ce tome 1 commence par l’immanquable Cours des Hiboux. Un récit très bien mené avec du mystère et de la tension, avec une menace qui a marqué la mythologie de Batman. Par contre, la fin est moins réussie que le reste de l’arc. Ce run ne serait pas aussi marquant sans le talent de Greg Capullo qui participe à l’ambiance glauque de l’arc.
Enfin l'intégrale du Batman de Snyder arrive, et enfin elle corrige un des gros défauts de la première édition. En effet, La Cour des Hiboux était avant en 2 tomes, et le deuxième concluait l'histoire à la moitié, rendant l'album décevant. Là tout est réuni, et c'est tant mieux. Je suis un détracteur du Batman de Snyder, je trouve beaucoup de défauts à son run, mais ce premier tome est vraiment bon. C'est en plus une bonne introduction à Batman, donc si vous ne l'avez pas lu, je conseille !
La Cour des Hiboux va finir par devenir un classique, surtout s'il est autant rééditer, dans autant de formats différents. Est-ce qu'il le mérite ? Sans doute. Un excellent arc qui ne peut que plaire à tous les fans de Batman, novices ou non, qui montre toute l'étendue du talent de son duo créatif. Un must-have.
Confronté à une série de meurtres inexpliquée, Batman poursuit un mystérieux assassin aux allures de hibou dont la prochaine cible n'est autre que... Bruce Wayne. Son enquête l'amènera à découvrir l'un des secrets les plus anciens et terrifiants de Gotham City ainsi qu'un nouvel ennemi avec lequel la famille Wayne est en guerre depuis des siècles.
Contenu vo : Batman #1-11 + Batman Annual #1
Enième réédition du run de Snyder et Capullo sur l'univers de Batman. Ici, il s'agit du top départ du New 52 et, sans doute, de leur meilleur travail lors de cette période (sans prendre en compte ce qui avait été fait avant le New 52 donc). Leur run dans sa globalité a des hauts et des bas. Par contre, ce premier tome reste de très bonne facture. Si vous ne l'avez pas, je vous conseille donc de le prendre. Cela ne sera jamais perdu. Après, libre à vous de continuer ou non. De manière générale, cela reste plutôt bon jusqu'au numéro 17. Après quoi, on commence à perdre en intérêt.
Selon moi, la meilleure introduction à Batman qu'on puisse demander en tant que nouveau lecteur, mais ce n'est pas pour autant que les initiés n'y trouveront aucun plaisir. Une excellente histoire, et des dessins tout aussi excellents qui a en plus le défi d'introduire de nouveaux méchants dans la mythologie du Chevalier Noir. La tâche n'est pas simple, mais elle est pourtant accomplie avec brio !
Enfin, Urban Comics entame la réédition en intégrale du run de Scott Snyder sur Batman. Ce tome 1 commence par l’immanquable Cours des Hiboux. Un récit très bien mené avec du mystère et de la tension, avec une menace qui a marqué la mythologie de Batman. Par contre, la fin est moins réussie que le reste de l’arc. Ce run ne serait pas aussi marquant sans le talent de Greg Capullo qui participe à l’ambiance glauque de l’arc.
Enfin l'intégrale du Batman de Snyder arrive, et enfin elle corrige un des gros défauts de la première édition. En effet, La Cour des Hiboux était avant en 2 tomes, et le deuxième concluait l'histoire à la moitié, rendant l'album décevant. Là tout est réuni, et c'est tant mieux. Je suis un détracteur du Batman de Snyder, je trouve beaucoup de défauts à son run, mais ce premier tome est vraiment bon. C'est en plus une bonne introduction à Batman, donc si vous ne l'avez pas lu, je conseille !
La Cour des Hiboux va finir par devenir un classique, surtout s'il est autant rééditer, dans autant de formats différents. Est-ce qu'il le mérite ? Sans doute. Un excellent arc qui ne peut que plaire à tous les fans de Batman, novices ou non, qui montre toute l'étendue du talent de son duo créatif. Un must-have.
Avec ce tome 0, Urban Comics nous propose les travaux de Scott Snyder pre-New 52. Il s'agit donc d'une période sans Greg Capullo. Sombre reflet est tout bonnement excellent. C'est sombre, intriguant, accessible et la résolution finale est assez incroyable. Il s'agit sans doute du meilleur taff de Snyder sur Batman. Pour ce qui est de Gates of Gotham, il n'arrive pas à la cheville de Sombre reflet mais plus du fait que Sombre reflet est incroyable que du fait que Gates of Gotham est mauvais. Entendez par là que cette seconde histoire reste également de très bonne facture.
Je mets 5 juste pour sombre reflet.c' est une histoire qui joue avec la notion d’identité et de morale. Batman n’est jamais un simple héros classique. Il a des défauts, des failles, et cette histoire accentue ce côté humain et torturé, ce qui la rend d’autant plus intéressante et captivante pour ceux qui apprécient une approche plus sérieuse et introspective des super-héros.
J'ai toujours dit que ce run de Snyder sur Detective Comics avant d'attaquer la Cour des Hiboux était meilleur que son run sur Batman. Et je le maintiens. Snyder nous montre une Gotham qui s'adapte à son nouveau Batman, en l'occurrence Dick Grayson, et c'est hyper bien fait. On a aussi toute une partie très horrifique autour de Gordon qui vaut également le détour. Un run assez court mais marquant.
Urban ressort de sa poche la collection signatures pour proposer le run de Batman par Scott Snyder. Ce tome 0 est et sera certainement le meilleur car on y retrouve notamment Sombre Reflet, très bon arc de Snyder, Jock et Francavilla qui met notamment en avant James Gordon Jr. Et pour en faire un beau pavé, l'éditeur y ajoute la mini-série Gates of Gotham plutôt sympathique qui se concentre sur la passé de la ville.
Avant d'écrire la série régulière Batman durant l'ère de la Renaissance DC, Scott SNYDER débuta son travail sur le Chevalier Noir au travers de deux récits fondateurs. Le premier, SOMBRE REFLET, est un thriller angoissant empreint de références aux récits essentiels de la mythologie de Batman tandis que le deuxième, LES PORTES DE GOTHAM, est une plongée hallucinée dans les origines de la ville et des familles qui l'ont construite.
Contenu vo : Black Mirror (Detective Comics #871-881) + Batman: Gates of Gotham #1-5
Avec ce tome 0, Urban Comics nous propose les travaux de Scott Snyder pre-New 52. Il s'agit donc d'une période sans Greg Capullo. Sombre reflet est tout bonnement excellent. C'est sombre, intriguant, accessible et la résolution finale est assez incroyable. Il s'agit sans doute du meilleur taff de Snyder sur Batman. Pour ce qui est de Gates of Gotham, il n'arrive pas à la cheville de Sombre reflet mais plus du fait que Sombre reflet est incroyable que du fait que Gates of Gotham est mauvais. Entendez par là que cette seconde histoire reste également de très bonne facture.
Je mets 5 juste pour sombre reflet.c' est une histoire qui joue avec la notion d’identité et de morale. Batman n’est jamais un simple héros classique. Il a des défauts, des failles, et cette histoire accentue ce côté humain et torturé, ce qui la rend d’autant plus intéressante et captivante pour ceux qui apprécient une approche plus sérieuse et introspective des super-héros.
J'ai toujours dit que ce run de Snyder sur Detective Comics avant d'attaquer la Cour des Hiboux était meilleur que son run sur Batman. Et je le maintiens. Snyder nous montre une Gotham qui s'adapte à son nouveau Batman, en l'occurrence Dick Grayson, et c'est hyper bien fait. On a aussi toute une partie très horrifique autour de Gordon qui vaut également le détour. Un run assez court mais marquant.
Urban ressort de sa poche la collection signatures pour proposer le run de Batman par Scott Snyder. Ce tome 0 est et sera certainement le meilleur car on y retrouve notamment Sombre Reflet, très bon arc de Snyder, Jock et Francavilla qui met notamment en avant James Gordon Jr. Et pour en faire un beau pavé, l'éditeur y ajoute la mini-série Gates of Gotham plutôt sympathique qui se concentre sur la passé de la ville.
Il s'agit de la réédition d'un titre plutôt récent de l'univers de Spider-Man mais qui est d'ores et déjà considéré comme étant un classique. Il s'agit d'une oeuvre magnifique et originale qui nous propose la vie complète de Peter Parker à travers le temps.
Nous pouvons donc revisiter différents évènements Marvel mais d'un point de vue différent tout en voyant Parker prendre de l'âge.
Si vous ne l'avez pas encore, c'est un titre suffisamment unique pour ne pas le manquer !
Un concept très intéressant (je ne comprends pas pourquoi personne n'y a pensé avant et pourquoi on ne l'a pas vu décliné pour la plupart des personnages Marvel) et savamment bien exploité par Chip Zdarsky. Il parvient à mélanger toute l'histoire du Tisseur pour proposer des situations inédites mais pas farfelues non plus. Mark Bagley, vétéran sur les dessins de Spider-Man est à son habitude est un très bon choix, surtout pour retracer les décenies au côté de Peter Parker.
Réédition d’un très bon récit complet qui revient sur un spider-man vieillissant à chaque décennie. L’histoire est touchante avec une très bonne écriture des personnages et des réinventions bien trouvées. C'est un très bel hommage à l’histoire de Spider-Man avec un Mark Bagley en grande forme. C’est dommage que Marvel n'ait pas répliqué le concept pour plus de personnages.
Si vous aimez Spider-Man, foncez ! L'idée de faire un Spider-Man qui vieillit est excellente, et très bien exécuté, faisant référence au différentes périodes de la série principale. Un beau récit complet pour les fans du tisseur, mais aussi pour les autres !
Une très bon titre sur Spider-Man, et c'est un non-fan du personnage qui vous dit ça. Une approche très originale et une vue d'ensemble de toute la carrière de Peter Parker en font un titre à la fois accessible comme première lecture et intéressant pour les lecteurs de longue date.
Chip Zdarsky, Mark Bagley
Voilà soixante ans que Peter Parker sillonne les toits de New York et protège ses habitants sous le masque de Spider-Man. Depuis qu’il a été mordu par une araignée, le justicier a évolué au rythme du monde qui l’entoure et bien souvent, de ses drames.
(Contient les épisodes US Spider-Man: Life Story (2019) 1-6 et Annual, précédemment publiés dans les 100% MARVEL : SPIDER-MAN – L'HISTOIRE D'UNE VIE et SPIDER-MAN – L'HISTOIRE D'UNE VIE : TOILES)
Il s'agit de la réédition d'un titre plutôt récent de l'univers de Spider-Man mais qui est d'ores et déjà considéré comme étant un classique. Il s'agit d'une oeuvre magnifique et originale qui nous propose la vie complète de Peter Parker à travers le temps.
Nous pouvons donc revisiter différents évènements Marvel mais d'un point de vue différent tout en voyant Parker prendre de l'âge.
Si vous ne l'avez pas encore, c'est un titre suffisamment unique pour ne pas le manquer !
Un concept très intéressant (je ne comprends pas pourquoi personne n'y a pensé avant et pourquoi on ne l'a pas vu décliné pour la plupart des personnages Marvel) et savamment bien exploité par Chip Zdarsky. Il parvient à mélanger toute l'histoire du Tisseur pour proposer des situations inédites mais pas farfelues non plus. Mark Bagley, vétéran sur les dessins de Spider-Man est à son habitude est un très bon choix, surtout pour retracer les décenies au côté de Peter Parker.
Réédition d’un très bon récit complet qui revient sur un spider-man vieillissant à chaque décennie. L’histoire est touchante avec une très bonne écriture des personnages et des réinventions bien trouvées. C'est un très bel hommage à l’histoire de Spider-Man avec un Mark Bagley en grande forme. C’est dommage que Marvel n'ait pas répliqué le concept pour plus de personnages.
Si vous aimez Spider-Man, foncez ! L'idée de faire un Spider-Man qui vieillit est excellente, et très bien exécuté, faisant référence au différentes périodes de la série principale. Un beau récit complet pour les fans du tisseur, mais aussi pour les autres !
Une très bon titre sur Spider-Man, et c'est un non-fan du personnage qui vous dit ça. Une approche très originale et une vue d'ensemble de toute la carrière de Peter Parker en font un titre à la fois accessible comme première lecture et intéressant pour les lecteurs de longue date.
Dernier Omnibus de ce run culte qui est toujours aussi bon à lire. Al Ewing maîtrise son écriture et propose d’excellents moments qui surprennent à chaque numéro. L’aspect horrifique lorgnant sur le Body-horror fonctionne toujours autant. Joe Bennett a proposé le travail de sa carrière avec un dessin malaisant, tout en étant fascisant à contempler.
Si vous voulez lire ce run dans l’édition la plus complète possible, procurez-vous ces deux Omnibus.
Must pour ma part.
Je ne sais pas si les citations en fin d'episodes ont ete remis. En tout cas Immortal Hulk est une série qui dépasse le cadre traditionnel du super-héros. Elle met l'accent sur la psychologie du personnage, les thèmes existentiels et sociaux, tout en offrant une version plus philosophique et horrifique de Hulk. C'est une lecture captivante, intense et émouvante qui a su redéfinir un personnage un peu maltraité précédemment.
Al Ewing, Joe Bennett, Javier Rodriguez…
Hulk tente de comprendre le fonctionnement de la porte verte qui lui permet de revenir à la vie lorsqu’il meurt. Mais alors que Dario Agger cherche à le mettre hors d’état de nuire, Bruce Bannner a de plus en plus de mal à vivre avec ses multiples personnalités.
(Contient les épisodes US Immortal Hulk (2018) 0, 31-50, Immortal She-Hulk (2020) 1, King in Black: Immortal Hulk (2020) 1 Hulk: Time of Monsters (2021) 1 et Gamma Flight (2021) 1-5, précédemment publiés dans 100% MARVEL : IMMORTAL HULK 7-10, 100% MARVEL : IMMORTAL HULK – APOCRYPHES et inédits)
Dernier Omnibus de ce run culte qui est toujours aussi bon à lire. Al Ewing maîtrise son écriture et propose d’excellents moments qui surprennent à chaque numéro. L’aspect horrifique lorgnant sur le Body-horror fonctionne toujours autant. Joe Bennett a proposé le travail de sa carrière avec un dessin malaisant, tout en étant fascisant à contempler.
Si vous voulez lire ce run dans l’édition la plus complète possible, procurez-vous ces deux Omnibus.
Must pour ma part.
Je ne sais pas si les citations en fin d'episodes ont ete remis. En tout cas Immortal Hulk est une série qui dépasse le cadre traditionnel du super-héros. Elle met l'accent sur la psychologie du personnage, les thèmes existentiels et sociaux, tout en offrant une version plus philosophique et horrifique de Hulk. C'est une lecture captivante, intense et émouvante qui a su redéfinir un personnage un peu maltraité précédemment.
Sophie Campbell continue son incroyable travail sur les Tortues Ninja. On y retrouve toutes les qualités des anciens tomes mais tout en donnant un "coup de pied dans la fourmilière". Pour les amoureux des Tortues, ces premiers quatre tomes sont vraiment bons !
Oroku Saki, plus connu sous le nom du Shredder, est revenu de l'enfer. Sera-t-il désormais un allié inattendu pour les Tortues Ninja, et plus leur ennemi juré ? Dans le quartier mutant de New York, rien ne va plus. La manifestation contre Old Hob et ses mutanimaux dégénère, mettant la paix fragile qui régnait en péril, alors que les actions d'April O'Neil contre Baxter Stockman ont là aussi des conséquences graves pour les Tortues et leurs alliés. De nouvelles alliances vont se faire et se défaire dans cet album aux multiples rebondissements !
Avec la géniale Sophie Campbell (Wet Moon, Shadoweyes, Jem and the Holograms...) au scénario, l'univers des Tortues Ninja, qui compte plus de mutants que jamais, se trouve révolutionné ! Les dessinateurs Nelson Daniel et Jodi Nishijima mettent la main à la pâte pour reconstruire un monde connu, pourtant jamais-vu.
Sophie Campbell continue son incroyable travail sur les Tortues Ninja. On y retrouve toutes les qualités des anciens tomes mais tout en donnant un "coup de pied dans la fourmilière". Pour les amoureux des Tortues, ces premiers quatre tomes sont vraiment bons !
L'intégralité de la série qui a vu Cléa remplacer Strange dans le rôle du Sorcier Suprême. C'était vraiment frais et plaisant à lire. Même si l'intrigue va vite tourner autour du retour de Strange, Cléa y brille malgré tout, et on redécouvre ce bon personnage. Allez, on ne boude pas son plaisir !
Jed Mackay, Marcel Ferreira, Lee Garbett
Avant de succomber, le Dr. Strange a laissé trois choses à sa femme Cléa : sa Cape de Lévitation, l’Œil d’Agamotto et son titre. Désormais chargée de défendre la Terre contre les menaces magiques, la nouvelle Sorcière Suprême se retrouve aux prises avec les terroristes du Cartel du Blasphême.
(Contient les épisodes US Strange (2022) 1-10, inédits)
L'intégralité de la série qui a vu Cléa remplacer Strange dans le rôle du Sorcier Suprême. C'était vraiment frais et plaisant à lire. Même si l'intrigue va vite tourner autour du retour de Strange, Cléa y brille malgré tout, et on redécouvre ce bon personnage. Allez, on ne boude pas son plaisir !
Un récit qui nous dépicte la "fin" de Daredevil, narrée par son proche ami de toujours, Ben Urich. C'est un récit de qualité, que l'on pourrait considérer comme hors-continuité, et qui donc se permet des choses que l'on voit rarement. Et voyez donc ce quatuor d'artistes, c'est de la folie !
Brian Michael Bendis, Klaus Janson, David Mack…
Daredevil est mort sous les coups de son pire ennemi, Bullseye. Le journaliste Ben Urich enquête sur le dernier mot que l’Homme sans Peur a prononcé : « Mapone ». Mais le chemin qu’il emprunte est semé d’embûches, et Ben croise autant d’anciens alliés que d’adversaires du justicier déchu.
(Contient les épisodes US Daredevil: End of Days (2012) 1-8, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : DAREDEVIL – END OF DAYS)
Un récit qui nous dépicte la "fin" de Daredevil, narrée par son proche ami de toujours, Ben Urich. C'est un récit de qualité, que l'on pourrait considérer comme hors-continuité, et qui donc se permet des choses que l'on voit rarement. Et voyez donc ce quatuor d'artistes, c'est de la folie !
Un titre qui est un peu l'antithèse de Mind MGMT, le chef d'oeuvre du même auteur. On se situe également dans l'univers de l'espionnage, mais cette fois on suit le pire espion de tous les temps ! Proche de la parodie, très juste dans l'humour et l'inversement des codes, un titre léger et très fun à lire mais qui saura malgré tout vous surprendre et vous tenir en haleine.
Souffrez-vous de délires de grandeur ? Le monde refuse-t-il de reconnaître votre génie ? Les gens que vous rencontrez sont-ils tous des abrutis ? Si oui... vous pourriez bien devenir le prochain Spy Superb. Jay est «L'idiot utile», libraire un peu fat, mais espion qui ignore qu'il en est un. De bourdes en bévues, il se retrouve envoyé en mission à son insu. Récupérant un mauvais téléphone, contenant des informations confidentielles, il finit par être traqué par des commandos russes et des assassins d'élite. Rapidement, Jay est convaincu d'être un agent secret en sommeil. Sa naïveté et son absence totale de compétences pour la survie sont peut-être les seules choses qui le sauvent dans cette aventure d'espionnage où tout n'est que faux-semblants. Scénariste à l'imagination débordante, Matt Kindt est considéré comme l'un auteurs majeurs du nouveau comics (Mind MGMT, Dept H ou BRZRKR). Il joue ici avec les codes des romans et films d'espionnage, au carrefour des aventures de John Wick et des oeuvres de Wes Anderson.
Un titre qui est un peu l'antithèse de Mind MGMT, le chef d'oeuvre du même auteur. On se situe également dans l'univers de l'espionnage, mais cette fois on suit le pire espion de tous les temps ! Proche de la parodie, très juste dans l'humour et l'inversement des codes, un titre léger et très fun à lire mais qui saura malgré tout vous surprendre et vous tenir en haleine.
C'était très sympa cet arc dans lequel Straczynski s'amuse à revenir sur ce qu'il avait créé lors de son formidable run sur Thor. Un trio qui fonctionne bien et une intrigue pour les nostalgiques. Ça a marché avec moi.
J. Michael Straczynski, Jesus Saiz, Carlos Magno
De sombres menaces planent sur Captain America et les agents du changement. Ces derniers, qui pourraient sauver le destin de l’humanité, sont pourchassés par la Mort en personne. Lyra, l’incarnation de la vie, envoie alors Steve Rogers recruter de nouveaux agents à travers le monde.
(Contient les épisodes US Captain America (2023) 12-16, inédits)
C'était très sympa cet arc dans lequel Straczynski s'amuse à revenir sur ce qu'il avait créé lors de son formidable run sur Thor. Un trio qui fonctionne bien et une intrigue pour les nostalgiques. Ça a marché avec moi.
Enfin la conclusion de ce long et passionnant run, qui aura proposé de très bonnes choses, mais pas sans défaut. La fin est malheureusement un peu vite expédiée, et tranche avec le rythme de la série jusque-là. Elle n'en reste pas moins bonne, et conclut bien l'histoire.
Exilé d'une ville qui le croit mort, Batman a été emmené loin de Gotham jusqu'à un désert de légendes, à la frontière du mythe et du réel. Toujours possédé par un démon Azmer et perdant peu à peu sa propre identité, il erre dans ce paysage hostile, guidé seulement par ses visions. Et sans eau, sans vivres et sans personne pour le sauver, seules deux options se profilent : venir à bout du démon qui le ronge de l'intérieur, ou se résigner à mourir et laisser ses os blanchir à jamais dans le sable. Pendant ce temps, le plan des Orgham est bel et bien lancé : ils utilisent le moteur de réalité pour faire oublier à tout Gotham que Batman a bel et bien existé...
Contenu vo : Detective Comics #1081-1089
Enfin la conclusion de ce long et passionnant run, qui aura proposé de très bonnes choses, mais pas sans défaut. La fin est malheureusement un peu vite expédiée, et tranche avec le rythme de la série jusque-là. Elle n'en reste pas moins bonne, et conclut bien l'histoire.
Conclusion de Blood Hunt, qui comme très souvent avec les events de Marvel manque de punch et s'avère assez classique et attendu. Ça reste malgré tout très beau et divertissant, et plutôt bien écrit, et parfois on en demande pas plus pour ce genre d'histoires.
Jed Mackay, Daniel Older, Pepe Larraz, Pasqual Ferry…
Face à l’attaque de vampires menée par Blade, le Docteur Strange n’a d’autre choix que de s’en remettre à Fatalis. Mais peut-il vraiment faire confiance au souverain de la Latvérie alors que le monde est sur le point de plonger dans une ère de ténèbres éternelles ?
(Contient les épisodes US Blood Hunt (2024) 4-5, Doctor Strange (2023) 17, Dracula: Blood Hunt (2024) 3, Strange Academy: Blood Hunt (2024) 3, Black Panther: Blood Hunt (2024) 3 et Miles Morales: Spider-Man (2023) 22, inédits)
Conclusion de Blood Hunt, qui comme très souvent avec les events de Marvel manque de punch et s'avère assez classique et attendu. Ça reste malgré tout très beau et divertissant, et plutôt bien écrit, et parfois on en demande pas plus pour ce genre d'histoires.
C’est donc le dernier tome de Dawn of Titans pour un résultat mitigé. L’histoire reste agréable à suivre et les dessins de Lucas Meyer sont sympathiques. Tom Taylor maîtrise les interactions entre les personnages, même si caricaturales par moment. On le sent moins investi et l’arc traîne un peu en longueur. Toutefois, c’est dommage que le run se termine déjà, car on n'aura pas exploité longtemps le statut-quo des Titans qui remplace la Justice League. Bref, un dernier tome en dessous des tomes précédents.
Un final sympa, bien qu'un peu vite expédié. L'écriture de Taylor est toujours agréable à lire, et il manquera à la série pour la suite... Suite qu'Urban ne publiera pas forcément (la qualité n'est pas top). Bref, si vous avez acheté les tomes précédents, ça vaut le coup de prendre celui-là.
Fin du run (déjà) de Tom Taylor sur la série. Ce dernier arc est centré sur Raven et nous propose de jolies choses. Les dessins sont à la hauteur et les relations entre les personnages sont toujours aussi fun. On regrettera sans doute que le scénarise n'ait pas été plus loin alors qu'il avait les clés pour en faire l'équipe dominante de DC, ce qui ne s'est pas vraiment ressenti.
Fin du run de Tom Taylor et fin de la série dans cette collection avec ce troisième tome qui contient un arc assez long centré sur Raven. Taylor exploite la fin de Beast World et nous montre la montée en puissance de Raven. C'est un arc où il se passe pas mal de chose mais la fin est assez expédiée pour coller avec la fin d'Absolute Power et le début de All In. Graphiquement aussi c'est vraiment pas mal. Une vbonne conclusion à un run trop court, surtout vu ce qui vient après
Après que les pouvoirs de Beast Boy ont provoqué par inadvertance une épidémie dévastatrice, les Titans ont dû faire appel à tous les moyens possibles pour sauver l'humanité et leur ami. Malheureusement, le climat de peur et de paranoïa que la catastrophe a laissé dans son sillage ont fait d'eux les ennemis publics numéro un - et les premiers sur la liste des cibles d'Amanda Waller ! Pire encore, le sauvetage de Beast Boy pourrait bien avoir entraîné l'arrivée d'une menace plus grande encore, l'avènement de la Reine aux Ailes Noires...
Contenu vo : Titans #9-15
C’est donc le dernier tome de Dawn of Titans pour un résultat mitigé. L’histoire reste agréable à suivre et les dessins de Lucas Meyer sont sympathiques. Tom Taylor maîtrise les interactions entre les personnages, même si caricaturales par moment. On le sent moins investi et l’arc traîne un peu en longueur. Toutefois, c’est dommage que le run se termine déjà, car on n'aura pas exploité longtemps le statut-quo des Titans qui remplace la Justice League. Bref, un dernier tome en dessous des tomes précédents.
Un final sympa, bien qu'un peu vite expédié. L'écriture de Taylor est toujours agréable à lire, et il manquera à la série pour la suite... Suite qu'Urban ne publiera pas forcément (la qualité n'est pas top). Bref, si vous avez acheté les tomes précédents, ça vaut le coup de prendre celui-là.
Fin du run (déjà) de Tom Taylor sur la série. Ce dernier arc est centré sur Raven et nous propose de jolies choses. Les dessins sont à la hauteur et les relations entre les personnages sont toujours aussi fun. On regrettera sans doute que le scénarise n'ait pas été plus loin alors qu'il avait les clés pour en faire l'équipe dominante de DC, ce qui ne s'est pas vraiment ressenti.
Fin du run de Tom Taylor et fin de la série dans cette collection avec ce troisième tome qui contient un arc assez long centré sur Raven. Taylor exploite la fin de Beast World et nous montre la montée en puissance de Raven. C'est un arc où il se passe pas mal de chose mais la fin est assez expédiée pour coller avec la fin d'Absolute Power et le début de All In. Graphiquement aussi c'est vraiment pas mal. Une vbonne conclusion à un run trop court, surtout vu ce qui vient après
Encore meilleur que le tome 1 qui était déjà très bon. Ce thriller cyber-horrifique prend encore plus de dimension et son intrigue se complexifie. On en dévore les pages et on en veut encore plus !
En appuyant sur un seul bouton, Gabriel Winter a supprimé Internet et changé à jamais la face du monde. Alors que son cercle d'amis en subit les conséquences directes, l'agent spécial Siobhan Silk tente de lever le voile sur ce qui s'est passé il y a 25 ans... et de stopper Ph34R, la létale personnification de l'Undernet, de faire davantage de victimes.
Contenu vo : W0rldtr33 #6-11
Encore meilleur que le tome 1 qui était déjà très bon. Ce thriller cyber-horrifique prend encore plus de dimension et son intrigue se complexifie. On en dévore les pages et on en veut encore plus !
James Tynion IV est incontestablement l'un des maîtres de l'horreur du moment. Il signe un nouveau récit court chez DSTLRY, qui pour le coup n'est pas ce qu'il a fait de mieux et ne va pas marquer les mémoires. Une histoire de fantômes qui manque peut-être un peu d'ambition, ou de place, parce que ça méritait d'en voir un peu plus. Il reste malgré tout hyper doué pour créer des personnages intéressants et écrire des dialogues prenants. Ce Spectregraph vaut surtout le coup pour sa partie graphique, avec à nouvelle fois une jolie performance de Christian Ward, à qui le style le fantastique/horrifique va comme un gant.
Le nouveau JAMES TYNION IV (The Nice House on the Lake) débarque chez Delcourt. Au côté de CHRISTIAN WARD (Invisible Kingdom, Batman City of Madness), il propose un nouveau classique de l'horreur.
Un manoir étrange, niché sur la côte, à quelques kilomètres au nord de Los Angeles... Des rumeurs courent... On le dit hanté... Son propriétaire était un magnat de l'industrie, avec une étrange fascination pour l'occulte et le paranormal. Depuis des décennies, les hommes et les femmes les plus riches du pays cherchent à comprendre ce qu'il y construisait. Maintenant, alors qu'il vient de mourir, ils ont hâte de le découvrir...
James Tynion IV est incontestablement l'un des maîtres de l'horreur du moment. Il signe un nouveau récit court chez DSTLRY, qui pour le coup n'est pas ce qu'il a fait de mieux et ne va pas marquer les mémoires. Une histoire de fantômes qui manque peut-être un peu d'ambition, ou de place, parce que ça méritait d'en voir un peu plus. Il reste malgré tout hyper doué pour créer des personnages intéressants et écrire des dialogues prenants. Ce Spectregraph vaut surtout le coup pour sa partie graphique, avec à nouvelle fois une jolie performance de Christian Ward, à qui le style le fantastique/horrifique va comme un gant.
Un event qui aurait pu bénéficier d'avoir un peu plus de numéros pour développer l'histoire centrale. Les différents titres viennent un peu étoffer les évènements d'Aboslute Power, mais leur qualité est quelque peu variable. Cela reste assez divertissant et les dessins de Dan Mora permettent de proposer un spectacle assez délicieux pour les yeux.
Un second tome pour l’event un peu en dessous du précédent où le rythme s'accélère et va vite dans la résolution de certains éléments. Heureusement que les tie-ins sont là pour permettre d’avoir une histoire complète et cohérente. Même si, les Absolute Power: Task Force VII restent toujours oubliables. Un point positif pour un event, c’est Mark Waid qui arrive à gérer l’énorme casting de personnages et permet à quelques-uns d’avoir leurs moments de gloire. Les dessinateurs varient entre le très bon (Dan Mora, Jama Campbell) et le moins bon (Mike Hawthorne).
Comme dans le premier tome, la façon de raconter l'histoire peut être un peu perturbant, puisque la série principale est très courte (un seul numéro dans le tome !), et toute l'intrigue est étoffée dans les autres séries. Cependant, l'event est plaisant à lire, et permet de conclure différentes intrigues de l'univers DC.
La construction de cette grosse intrigue a tellement été maitrisée en amont, qu'une fois venu l'event en lui-même, on réalise qu'il ne reste plus qu'à se foutre sur la gueule pour régler les choses, et on se retrouve face à une grosse baston. Assez épique certes, mais il n'y a pas grand chose d'autre. Et les tie-ins ont beau être sympas et importants pour l'histoire, ils ne sauvent pas forcément le truc.
Suite de l'event Absolute Power et pas mal de choses avancent dans ce tome même si il n'y a qu'un seul numéro de la série principale. DC Comics et ses auteurs et editeurs ont bien fait leur job et les infos et avancées sont réparties entre les différents tie-ins qui permettent à l'intrigue de progresser. Le seul bémol reste les tie-ins de Batman, bien moins lié que le reste. Ca reste un très bon event qui permet de clore la période actuelle de DC Comics et de se diriger vers la suivante.
Après l‘attaque dévastatrice d'Amanda Waller et de ses sbires sur la forteresse de Solitude, les plus grands super-héros de l'histoire sont dos au mur, et contraints de prendre la fuite... Sans pouvoir, et privé d'un Jonathan Kent plus dangereux que jamais qui a rejoint les lignes ennemies, les derniers espoirs de la Terre se sont exilés à Themyscira, bastion de la Résistance. Mais s'ils ont réussi à éviter de succomber aux assauts de la Trinité du Mal jusqu'ici, ils sont loin d'avoir gagné la guerre...
Contenu vo : Green Arrow #15 + Absolute Power #3 + Superman #17 + Batman #151-152 + Wonder Woman #12 + Task Force Seven #4: Failsafe + Task Force Seven #5: Velocity + Green Lantern #14
Un event qui aurait pu bénéficier d'avoir un peu plus de numéros pour développer l'histoire centrale. Les différents titres viennent un peu étoffer les évènements d'Aboslute Power, mais leur qualité est quelque peu variable. Cela reste assez divertissant et les dessins de Dan Mora permettent de proposer un spectacle assez délicieux pour les yeux.
Un second tome pour l’event un peu en dessous du précédent où le rythme s'accélère et va vite dans la résolution de certains éléments. Heureusement que les tie-ins sont là pour permettre d’avoir une histoire complète et cohérente. Même si, les Absolute Power: Task Force VII restent toujours oubliables. Un point positif pour un event, c’est Mark Waid qui arrive à gérer l’énorme casting de personnages et permet à quelques-uns d’avoir leurs moments de gloire. Les dessinateurs varient entre le très bon (Dan Mora, Jama Campbell) et le moins bon (Mike Hawthorne).
Comme dans le premier tome, la façon de raconter l'histoire peut être un peu perturbant, puisque la série principale est très courte (un seul numéro dans le tome !), et toute l'intrigue est étoffée dans les autres séries. Cependant, l'event est plaisant à lire, et permet de conclure différentes intrigues de l'univers DC.
La construction de cette grosse intrigue a tellement été maitrisée en amont, qu'une fois venu l'event en lui-même, on réalise qu'il ne reste plus qu'à se foutre sur la gueule pour régler les choses, et on se retrouve face à une grosse baston. Assez épique certes, mais il n'y a pas grand chose d'autre. Et les tie-ins ont beau être sympas et importants pour l'histoire, ils ne sauvent pas forcément le truc.
Suite de l'event Absolute Power et pas mal de choses avancent dans ce tome même si il n'y a qu'un seul numéro de la série principale. DC Comics et ses auteurs et editeurs ont bien fait leur job et les infos et avancées sont réparties entre les différents tie-ins qui permettent à l'intrigue de progresser. Le seul bémol reste les tie-ins de Batman, bien moins lié que le reste. Ca reste un très bon event qui permet de clore la période actuelle de DC Comics et de se diriger vers la suivante.
Un tome qui nous présente le retour de Cameron Hodge et qui nous permet, en plus d'avoir un crossover très sympa entre tous les titres X-Men de l'époque, d'avoir une réunion des X-Men. Un autre très bon récit de la part de Claremont dans l'univers des X-Men (et, qui plus est, accompagné par Jim Lee).
Chris Claremont, Louise Simonson, Jim Lee, Jon Bogdanove…
X-Tinction Agenda ! Le cyborg Cameron Hodge lance une attaque contre l'institut Xavier et kidnappe Tornade ainsi que plusieurs Nouveaux Mutants. Cable, Gambit, Forge et leurs alliés vont tout faire pour les secourir. En complément, la première partie du récit Days of Future Present !
(Contient les épisodes US Uncanny X-Men (1963) 270-272, New Mutants (1983) 95-97, X-Factor (1986) 60-62, Fantastic Four Annual 23 et New Mutants Annual 6 (I), nouvelle édition)
Un tome qui nous présente le retour de Cameron Hodge et qui nous permet, en plus d'avoir un crossover très sympa entre tous les titres X-Men de l'époque, d'avoir une réunion des X-Men. Un autre très bon récit de la part de Claremont dans l'univers des X-Men (et, qui plus est, accompagné par Jim Lee).
Les débuts des X-Men. Lee et Kirby sont encore en train de prendre leurs marques. Tout n'est pas bon, les dessins sont de l'ancienne école et certains méchants sont franchement anecdotiques. Par contre, cela reste un numéro historique. Vous avez là la première intervention des X-Men et de Magneto. Ce n'est pas rien. Sans être ce qu'il y a de mieux pour les X-Men, il s'agit, selon moi, d'histoires qui sont au moins à lire une fois.
Stan Lee, Jack Kirby
Le Professeur Charles Xavier a pris sous son aile ces êtres dotés d'un gène mutant qui leur confère d'étonnants pouvoirs. Il les a baptisés X-Men et les a chargés de défendre sa cause, pour qu'un jour humains et mutants vivent enfin dans la paix et l'harmonie.
(Contient les épisodes US Uncanny X-Men (1963) 1-8, nouvelle édition)
Les débuts des X-Men. Lee et Kirby sont encore en train de prendre leurs marques. Tout n'est pas bon, les dessins sont de l'ancienne école et certains méchants sont franchement anecdotiques. Par contre, cela reste un numéro historique. Vous avez là la première intervention des X-Men et de Magneto. Ce n'est pas rien. Sans être ce qu'il y a de mieux pour les X-Men, il s'agit, selon moi, d'histoires qui sont au moins à lire une fois.
La suite attendue de Spider-Men qui avait mis des années à arriver. La base du projet (Savoir qui est le Miles de Terre-616) aurait pu être cool, mais est assez oubliable pour sa finalité. On est dans du Bendis de bas niveau. L'histoire prend trop son temps, et malgré quelques dialogues qui font mouche, le résultat reste décevant. Au moins, les dessins de Sara Pichelli font le job.
Une idée de base intéressante qui perd tout intérêt au fil de l'eau.
Pour les completistes
La suite de Spider-Men est totalement oubliable. Trop d'attente après la première partie (5 ans quand même), c'est inutile, du niveau de Bendis de la fin de chez Marvel. Au moins, c'est Sara Pichelli au dessins quand elle était encore à un bon niveau mais c'est le seul intérêt de ce tome
Brian Michael Bendis, Sara Pichelli, Mark Bagley
Miles Morales et Peter Parker se sont rencontrés pour la première fois il y a des années. Miles a quitté l’univers Ultimate et les deux héros partagent désormais le titre de Spider-Man. Mais n’y avait-il pas déjà un Miles Morales avant lui dans cet univers ? Les Spider-Men mènent l’enquête.
(Contient les épisodes US Spider-Men II (2017) 1-5, précédemment publiés dans MARVEL OMNIBUS : MILES MORALES – SPIDER-MAN)
La suite attendue de Spider-Men qui avait mis des années à arriver. La base du projet (Savoir qui est le Miles de Terre-616) aurait pu être cool, mais est assez oubliable pour sa finalité. On est dans du Bendis de bas niveau. L'histoire prend trop son temps, et malgré quelques dialogues qui font mouche, le résultat reste décevant. Au moins, les dessins de Sara Pichelli font le job.
Une idée de base intéressante qui perd tout intérêt au fil de l'eau.
Pour les completistes
La suite de Spider-Men est totalement oubliable. Trop d'attente après la première partie (5 ans quand même), c'est inutile, du niveau de Bendis de la fin de chez Marvel. Au moins, c'est Sara Pichelli au dessins quand elle était encore à un bon niveau mais c'est le seul intérêt de ce tome
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L'Avis de la rédaction (4)
Jeff Staff MDCU
il y a 2 mois
Une période assez sombre pour l'univers de Daredevil mais diablement bonne. On y suit un Matt Murdock en chute libre tandis qu'à l'inverse, le Kingpin ne cesse de monter en puissance. Concernant l'intervention de Miller, nous en sommes à la troisième période, celle où, par manque de temps, il a laissé la partiee graphique à d'autres pour se consacrer à l'écriture. Et autant le dessin de Miller manque lorsque l'on sait l'impact qu'il aura eu sur l'univers, autant David Mazzucchelli n'a pas à rougir. ll nous présente ici un excellent travail.
The_Crusader Staff MDCU
il y a 2 mois
Un grand format pour un classique de Miller et de Mazzucchelli dans leur grande époque Daredevil. Un récit qui n'hésite pas à aborder dans des sujets assez intenses et qui parvient à les traiter de manière très efficace et qui laisse rarement indifférent·e.
C'est le même duo qui nous a offert Année Un pour Batman, et en terme d'influence et d'importance pour Daredvil, on est sur un titre du même calibre.
Adrien L. Staff MDCU
il y a 2 mois
Par principe, si vous voyez Miller et Mazuchelli sur une couverture, vous pouvez acheter, c'est génial. Daredevil Born Again est un classique à avoir lu si on aime le personnage, mais c'est aussi une histoire qui se trouve dans de nombreux formats. Celui-ci a ses avantages (grand format pour bien profiter des superbes dessins) et de défauts (le prix), à vous de voir !
Julien Staff MDCU
il y a 2 mois
L'un des meilleurs récits sur le personnage, par l'équipe qui a aussi signé l'un des meilleurs récits sur Batman, dans une très belle version grand format. FONCEZ.