Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
(Re)découvrez depuis leurs origines, les aventures complètes des Tortues Ninja réunies dans un format retravaillé, pour un nouveau départ !
Un concentré d'action attend les lecteurs dans ce sixième volume qui intègre l’arc Vengeance, dans lequel les Tortues Ninja doivent affronter un Clan Foot plus décidé que jamais à les éliminer. Casey doit également combattre le terrible gang des Purple Dragons menés par son propre père, Hun.
Au programme de cet album, une double dose d'inédits avec la mini-série « Mutanimaux » ainsi que « Casey & April », un road-trip savoureux mené par Mariko Tamaki, la scénariste aux multiples Eisner Awards !
Un excellent tome qui va sacrément loin dans la noirceur nous rappelant, au passage, les moments plus sombres et violents de la toute première série. Ici, vous avez deux récits qui s'alternent : les tortues qui doivent se concentrer sur l'une d'elles et Casey Jones qui affronte son père. Les deux sont aussi passionnants l'un que l'autre.
Pas évident de choisir des numéros pour un univers pareil. Pourtant, cette fois encore, la liste est variée et couvre plutôt bien les différentes incarnations du personnage. Une anthologie qui devrait clairement satisfaire tous les curieux et les amoureux du Captain.
Lorsque l’on entend le nom de Captain America, c’est presque invariablement Steve Rogers qui nous vient à l’esprit. Pourtant, au cours des 85 années de vie éditoriale de la Légende Vivante, le costume à la bannière étoilée ainsi que le bouclier sont passés entre de nombreuses mains.
(Contient les épisodes US Captain America: Sentinel of Liberty (1998) 6-7, Captain America (1968) 55, 181, 333, Truth : Red, White & Black (2003) 4, Fallen Son: The Death of Captain Amrica – Captain America (2007) 3, Captain America (2004) 34, 615.1, Captain America: Sam Wilson (2015) 7, Captain America (2012) 25, Generations: Sam Wilson Captain America & Steve Rogers Captain America (2017) 1, United States of Captain America (2021) 1-4 (II), précédemment publiés dans MARVEL OMNIBUS : CAPTAIN AMERICA PAR WAID/KUBERT, CAPTAIN AMERICA : L'INTEGRALE 1972 et 1975, LES DECENNIES MARVEL 5, MARVEL DELUXE : CIVIL WAR, MARVEL NOW! : AVENGERS L'AFFRONTEMENT 2, MARVEL DELUXE : CAPTAIN AMERICA (NOW!) 2, MARVEL DELUXE : GENERATIONS, 100% MARVEL : UNITED STATES OF CAPTAIN AMERICA et inédit)
Pas évident de choisir des numéros pour un univers pareil. Pourtant, cette fois encore, la liste est variée et couvre plutôt bien les différentes incarnations du personnage. Une anthologie qui devrait clairement satisfaire tous les curieux et les amoureux du Captain.
Parmi une multitude d'origines, Morrison et Quitely explore la fin de l'Homme de demain. Que fait Superman quand il se sait condamné ? L'équipe créative répond à cette question avec sincérité et brio, explorant tous les aspects fondamentaux du personnages, des plus terre-à-terre aux plus loufoques. Une histoire bien maîtrisée servie par les dessins inimitables de Frank Quitely qui permettent au titre de gagner un statut culte absolument mérité.
Peut-être le meilleur récit sur Superman, en tout cas l'un des tout meilleurs. Un récit complexe, qui fait appel à de nombreuses références et versions du personnage, qui n'est donc pas des plus accessibles mais qui mérite d'être lu et relu pour en saisir toute la beauté et toute sa portée. Un classique.
Une des meilleures histoires de Superman à lire et relire ! Cet album ne sort pas par hasard, il est prévu pour le festival d'Angoulême et la venue de Frank Quitely. Mais c'est l'occasion pour ce qui ne l'ont pas encore lu de se le procurer dans ce qui semble être une belle édition.
ALL-STAR SUPERMAN Édition Spéciale 2025 propose le récit culte de Grant MORRISON et Frank QUITELY dans un nouvel écrin, avec une couverture exclusive à l'édition française sur papier teinté Wibalin, un vernis sélectif venant enrichir le dessin, et un ex-libris d'une illustration iconique de la série.
Récit fondateur sur l'Homme d'Acier, ALL-STAR SUPERMAN présente une version du personnage condamné à mourir. Résolument tourné vers l'espoir, il décide de consacrer les jours qui lui restent à la réalisation de douze travaux surhumains, afin de laisser un legs inédit à sa planète d'adoption. Les thématiques humanistes de ce titre ont également servi d'inspiration au prochain film Superman, qui verra le premier des super-héros retrouver le chemin des salles sombres en juillet prochain. Il inaugure donc tout naturellement cette nouvelle initiative éditoriale, appelée à mettre en valeur les récits immanquables et fondateurs du DCU de James GUNN.
Contenu vo : Absolute All-Star Superman (All-Star Superman #1-12)
Parmi une multitude d'origines, Morrison et Quitely explore la fin de l'Homme de demain. Que fait Superman quand il se sait condamné ? L'équipe créative répond à cette question avec sincérité et brio, explorant tous les aspects fondamentaux du personnages, des plus terre-à-terre aux plus loufoques. Une histoire bien maîtrisée servie par les dessins inimitables de Frank Quitely qui permettent au titre de gagner un statut culte absolument mérité.
Peut-être le meilleur récit sur Superman, en tout cas l'un des tout meilleurs. Un récit complexe, qui fait appel à de nombreuses références et versions du personnage, qui n'est donc pas des plus accessibles mais qui mérite d'être lu et relu pour en saisir toute la beauté et toute sa portée. Un classique.
Une des meilleures histoires de Superman à lire et relire ! Cet album ne sort pas par hasard, il est prévu pour le festival d'Angoulême et la venue de Frank Quitely. Mais c'est l'occasion pour ce qui ne l'ont pas encore lu de se le procurer dans ce qui semble être une belle édition.
Cent fois édité, cent fois conseillé. Sans doute ce qui se fait de mieux en terme de Punisher. Merci, Garth Ennis et Steve Dillon <3
Garth Ennis, Steve Dillon, Darick Robertson…
De retour à New York, Frank Castle prend pour cible la famille mafieuse de Ma Gnucci. Sous la pression des gangsters, la mairie décide de créer un département spécialisé dans la capture du Punisher, confié à l'inspecteur Martin Soap. De son côté, Ma Gnucci engage le redoutable Russe pour éliminer Castle…
(Contient les épisodes US The Punisher (2000) 1-12, The Punisher (2001) 1-7 et 13-37 et The Punisher Kills the Marvel Universe (1995) 1, précédemment publiés dans JE SUIS LE PUNISHER, MARVEL MUST-HAVE : PUNISHER – BIENVENUE, FRANK !, PANINI 20 ANS : PUNISHER et MARVEL ICONS : PUNISHER PAR ENNIS 1-2)
Cent fois édité, cent fois conseillé. Sans doute ce qui se fait de mieux en terme de Punisher. Merci, Garth Ennis et Steve Dillon <3
Un récit qui reprend le principe des étapes du deuil dans un contexte western. L'écriture est bonne, le principe efficace, les numéros représentent bien les différentes étapes et les dessins ont clairement un petit quelque chose. Ils se permettent même de faire du chapitre 4 un chapitre sans dialogue et cela passe du feu de dieu.
Seul bémole, le personnage principal aurait mérité un meilleur développement. Car là, on est un peu léger pour ce qui est du capital sympathie.
Après une vie de crime et de violence, Ryder est tombée amoureuse et a choisi de se ranger pour se concentrer sur son rôle de mère. Mais lorsqu'elle apprend que tout ce pour quoi elle s'est battue risque de lui être enlevé, elle reprend ses revolvers et se met en route, car le temps lui est compté. Direction : Cypress, la ville à l'autre bout du monde. Son objectif : tuer celle qui tente de lui prendre la vie... la Mort elle-même.
Contenu vo : Ain't No Grave #1-5
Un récit qui reprend le principe des étapes du deuil dans un contexte western. L'écriture est bonne, le principe efficace, les numéros représentent bien les différentes étapes et les dessins ont clairement un petit quelque chose. Ils se permettent même de faire du chapitre 4 un chapitre sans dialogue et cela passe du feu de dieu.
Seul bémole, le personnage principal aurait mérité un meilleur développement. Car là, on est un peu léger pour ce qui est du capital sympathie.
Le récit fondateur qui voit les premiers pas de Sam Wilson en Captain America. Un très bon volume, très efficace de Rick Remender pour le nouvel Captain America. Ça se lit efficacement avec de l'action. Le récit peut se lire sans avoir lu son passage sur Captain America. C'est dommage qu'on n'aura pas la suite des idées de l'auteur développées. L'autre réussite, ce sont les super dessins de Stuart Immonen qui rend les pages grandioses.
Rick Remender, Stuart Immonen I 152 pages, 20,99 €
Privé du sérum du Super-Soldat, Steve Rogers est désormais trop âgé pour endosser le costume de Captain America. Il passe ainsi le flambeau à son ancien partenaire, Sam Wilson, alias le Faucon. Aux côtés de Nomad, le fils de Steve, Sam se lance aux trousses de l’Hydra.
(Contient les épisodes US All-New Captain America (2015) 1-6, précédemment publiés dans MARVEL NOW! : ALL-NEW CAPTAIN AMERICA)
Le récit fondateur qui voit les premiers pas de Sam Wilson en Captain America. Un très bon volume, très efficace de Rick Remender pour le nouvel Captain America. Ça se lit efficacement avec de l'action. Le récit peut se lire sans avoir lu son passage sur Captain America. C'est dommage qu'on n'aura pas la suite des idées de l'auteur développées. L'autre réussite, ce sont les super dessins de Stuart Immonen qui rend les pages grandioses.
Dernier tome qui conclut en beauté cette période notamment toute l’histoire de Quinlan Vos qui trouve une fin satisfaisante. Les fabuleux dessins de Jan Duursema sous toujours aussi réussi. La mini-série adapte fidèlement le troisième film et bénéficie de beaux dessins même si le style fait très figé par moment.
Miles Lane, John Ostrander, Doug Wheatley, Juan Frigeri…
Éparpillés aux quatre coins de la galaxie, les Jedi combattent les armées séparatistes tandis que Palpatine et son apprenti, le comte Dooku, complotent pour anéantir l’Ordre Jedi une bonne fois pour toutes.
(Contient les épisodes US Star Wars: Republic (1998) 74-77 et 81-83, Star Wars: Darth Maul – Son of Datomir (2014) 1, Free Comic Book Day 2005 : Star Wars, Star Wars: Episode III – Revenge of the Sith (2005) 1-4, Star Wars: Tag & Bink II (2006) 2 et Star Wars Visionaries (2005) 1 et Star Wars Tales (1999) 4 (extraits), précédemment publiés dans Star Wars: Clone Wars 9-10 et inédits)
Dernier tome qui conclut en beauté cette période notamment toute l’histoire de Quinlan Vos qui trouve une fin satisfaisante. Les fabuleux dessins de Jan Duursema sous toujours aussi réussi. La mini-série adapte fidèlement le troisième film et bénéficie de beaux dessins même si le style fait très figé par moment.
Dernier tome qui offre une conclusion en beauté dans la lignée des tomes précédents. Le plan du méchant est bien construit, ainsi que la reconstruction de Grayson. Le plus gros bémol, c'est que l’histoire aurait mérité quelques chapitres en plus pour bien profiter de cette chute qui est résolue rapidement. Toutefois, rassurez-vous, tout ce qui fait la réussite de ce run est présent dans cet ultime tome. Avec les dessins et la composition des pages de Bruno Redondo qui sont toujours aussi spectaculaire à voir.
Tom Taylor conclut son run sur le personnage comme il faut. Redondo est présent au dessin, c'est superbe, l'écriture est bonne, et cette période de Nightwing me manquera. Dans la globalité du run, il y a eu quelques moments de mou, notamment lorsque Redondo était absent. Taylor explique que sans le dessinateur attitré, il raconte des histoires secondaires. Malgré ça, les auteurs ont su rafraichir le personnage, et nous offrir un run captivant et positif, dont la lecture fait du bien !
La vie de Dick Grayson vole en éclats lorsque Sans-Coeur lui porte le coup fatidique qui pourrait marquer la fin du justicier masqué et plonger la ville de Blüdhaven dans les ténèbres. Privé de ses ressources et paralysé par la peur du vide, Nightwing n'a d'autres choix que de s'exiler pour tenter de se reconstruire, et espérer retrouver au fond de lui de quoi sont fait les héros. Tom TAYLOR (DCEASED, INJUSTICE, DARK KNIGHTS OF STEEL) conclut ici son run acclamé par les lecteurs et par la critique, qui a redéfini le personnage de manière drôle, tendre et attachante.
Contenu vo : Nightwing #113-118 + Nightwing Annual 2024
Dernier tome qui offre une conclusion en beauté dans la lignée des tomes précédents. Le plan du méchant est bien construit, ainsi que la reconstruction de Grayson. Le plus gros bémol, c'est que l’histoire aurait mérité quelques chapitres en plus pour bien profiter de cette chute qui est résolue rapidement. Toutefois, rassurez-vous, tout ce qui fait la réussite de ce run est présent dans cet ultime tome. Avec les dessins et la composition des pages de Bruno Redondo qui sont toujours aussi spectaculaire à voir.
Tom Taylor conclut son run sur le personnage comme il faut. Redondo est présent au dessin, c'est superbe, l'écriture est bonne, et cette période de Nightwing me manquera. Dans la globalité du run, il y a eu quelques moments de mou, notamment lorsque Redondo était absent. Taylor explique que sans le dessinateur attitré, il raconte des histoires secondaires. Malgré ça, les auteurs ont su rafraichir le personnage, et nous offrir un run captivant et positif, dont la lecture fait du bien !
Panini profite de la sortie de Captain America Brave New World pour proposer la réimpression des début du Hulk Rouge par Jeff Loeb et Ed McGuinness. On a le mystère de l'identité de ce nouveau Hulk, mais sorti de ça, c'est un récit très bas du front, on peut poser son cerveau et le lire. Ca reste divertissant pour cette première aventure, mais n'allez pas plus loin dans la série.
Tome efficace, mais pas bien malin. La série tient surtout sur le mystère de qui est le Hulk rouge, mais qui malheureusement un peu éventé aujourd'hui. Il reste que c'est joli, c'est bien, mais c'est pas incroyable non plus.
Jeph Loeb, Ed McGuinness
Hulk a mené sa croisade vengeresse contre les héros de la Terre et il a échoué. Aujourd’hui, Bruce Banner est maintenu en détention. Cependant, un autre géant a fait son apparition. Iron Man, Miss Hulk et le général Thunderbolt Ross sont sur les traces de cette cible armée et… rouge.
(Contient les épisodes US Hulk (2008) 1-5 et Wolverine (2003) 50 (II), précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : HULK 1 et WOLVERINE 170)
Panini profite de la sortie de Captain America Brave New World pour proposer la réimpression des début du Hulk Rouge par Jeff Loeb et Ed McGuinness. On a le mystère de l'identité de ce nouveau Hulk, mais sorti de ça, c'est un récit très bas du front, on peut poser son cerveau et le lire. Ca reste divertissant pour cette première aventure, mais n'allez pas plus loin dans la série.
Tome efficace, mais pas bien malin. La série tient surtout sur le mystère de qui est le Hulk rouge, mais qui malheureusement un peu éventé aujourd'hui. Il reste que c'est joli, c'est bien, mais c'est pas incroyable non plus.
Les intégrales font une pause dans la série principales de Mighty Morphin Power Rangers et avant d'entamer l'arc Beyond the Grid, propose de regrouper tous les one-shots et les annuals qui sont plein de récits de 8-10 pages autour des Rangers que l'on suit ou d'autres équipes que l'on a vu pendant Shattered Grid. Il y a du bon et du moins intéressant mais chaque récit se lit assez vite.
Alors que le réseau de transmutation a été brisé et qu’une nouvelle réalité se met en place pour les Power Rangers, cette cinquième intégrale regroupe une impressionnante série de récits dévoilant le passé et le futur des personnages, mettant en lumière des passages jusqu’ici ignorés de leurs histoires.
Contient les comics MMPR Annual 2016, 2017, MMPR 25th anniversary, MMPR 30th anniversary et Les Aventures (complètes) de Squatt et Baboo.
Avec des histoires illustrées par des talents de premier plan tels que Terry Moore (Rachel Rising), Rob Guillory (Tony Chu, détective cannibale), Frazer Irving (Batman & Robin) écrites par Kyle Higgins, Ryan Parrott, Tom Taylor (Injustice), Marguerite Bennett (Batgirl), Melissa Flores (Spider-Gwen Smash) et bien d’autres, dont Amy Jo Johnson (la Ranger rose originale !), tous rendent hommage au phénomène mondial avec des histoires originales indépendantes se déroulant dans l’univers des Power Rangers.
Les intégrales font une pause dans la série principales de Mighty Morphin Power Rangers et avant d'entamer l'arc Beyond the Grid, propose de regrouper tous les one-shots et les annuals qui sont plein de récits de 8-10 pages autour des Rangers que l'on suit ou d'autres équipes que l'on a vu pendant Shattered Grid. Il y a du bon et du moins intéressant mais chaque récit se lit assez vite.
Un second tome un peu en deçà du premier tome. Dans les points positifs, on a plusieurs petits arcs qui permettent de développer les personnages. Tous les arcs sont portés sur l’action, mais par moment ça donne un côté générique à suivre. Sans compter que l'écriture de Duggan ne marche pas toujours et n'a pas le talent d'un Hickman. La série en profite pour préparer la chute de Krakoa en montrant la dangerosité d’Orchis avec plus ou moins de succès. Les dessinateurs sont tous très bons et proposent des pages très agréables à l'œil.
Gerry Duggan, C.F. Villa, Stefano Caselli…
Les Homo superior sont la prochaine étape de l’évolution humaine. Mais, pour les Éternels, leur mutation n’est autre qu’une forme de déviance, qui doit absolument être corrigée… Par ailleurs, les X-Men redoublent d’efforts pour stopper les Enfants de la Chambre Forte.
(Contient les épisodes US X-Men (2021) 13-24 et Annual 1, précédemment publiés dans MARVEL ABSOLUTE : JUDGMENT DAY et DESTINY OF X 12-13, 15, 17-18, 20-22 et 26-28)
Un second tome un peu en deçà du premier tome. Dans les points positifs, on a plusieurs petits arcs qui permettent de développer les personnages. Tous les arcs sont portés sur l’action, mais par moment ça donne un côté générique à suivre. Sans compter que l'écriture de Duggan ne marche pas toujours et n'a pas le talent d'un Hickman. La série en profite pour préparer la chute de Krakoa en montrant la dangerosité d’Orchis avec plus ou moins de succès. Les dessinateurs sont tous très bons et proposent des pages très agréables à l'œil.
Du Dan slott où l'on recommence avec un peter malchanceux. Du fan service avec le bouffon rouge qui introduit une nouvelle dynamique très téléphonée.
Pour completer la collection
Dan Slott, Christos Gage, Stuart Immonen, Marcos Martin…
Après la faillite de Parker Industries, Peter Parker se retrouve sans le sou. Et depuis que son ex-petite amie Bobbi Morse, alias la super-héroïne Mockingbird, l’a mis à la porte, il n’a plus de logement non plus. Pour ne rien arranger, Norman Osborn est prêt à tout pour redevenir le Bouffon…
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 794-801 et Annual 42, précédemment publiés dans MARVEL LEGACY: AMAZING SPIDER-MAN 1-2, VENOM (FRESH START) 5, SPIDER-MAN LEGACY 7 et JE SUIS SPIDER-MAN)
Du Dan slott où l'on recommence avec un peter malchanceux. Du fan service avec le bouffon rouge qui introduit une nouvelle dynamique très téléphonée.
Pour completer la collection
Lancement d'une des série, si ce n'est la série, la moins intéressante du label Ghost Machine lancé par Geoff Johns. On suit Simon, un soldat qui devient immortel mais qui n'a rien d'un personnage que l'on a envie de suivre. Johns arrvie à rendre plus intéressant le personnage d'Einstein que le héros. Bryan Hitch fait par contre l'effort d'être à l'heure et de signer les 6 épisodes sans retard, et ça fait plaisir de le voir comme ça.
Simon Pure, un soldat déserteur de l'armée britannique lors de la Guerre d'Indépendance américaine, voit son destin bouleversé par un rituel magique auquel il n'aurait jamais dû assister. Devenu immortel malgré lui, il balade son arrogance et son inconséquence à travers les époques, s'attirant toujours plus d'ennuis et manquant à chaque fois de provoquer un paradoxe temporel majeur. Et si c'était possible, la vie éternelle de Pure prend un tournant inattendu lorsqu'il croise la route d'un jeune garçon de 13 ans nommé Albert Einstein... THE UNNAMED : REDCOAT suit les aventures de Simon Pure, un personnage irrévérencieux qui, au fil de son existence, croise des figures historiques majeures. Geoff JOHNS (GREEN LANTERN, FLASH) et Bryan HITCH (THE AUTHORITY) proposent une nouvelle série régulière dans l'univers partagé de THE UNNAMED, où la magie, les voyages dans le temps et la conspiration règnent en maîtres.
Contenu vo : Redcoat #1-7 + Tales of the Unnamed: The Blizzard
Lancement d'une des série, si ce n'est la série, la moins intéressante du label Ghost Machine lancé par Geoff Johns. On suit Simon, un soldat qui devient immortel mais qui n'a rien d'un personnage que l'on a envie de suivre. Johns arrvie à rendre plus intéressant le personnage d'Einstein que le héros. Bryan Hitch fait par contre l'effort d'être à l'heure et de signer les 6 épisodes sans retard, et ça fait plaisir de le voir comme ça.
Dernier tome de cette série avec la fin attendue de JSA qui est plutôt sympathique malgré les nombreux retard dont elle a souffert en VO. On retrouve aussi la mini-série Alan Scott qui n'était pas franchement interessante et surtout assez dure à suivre avec pas mal d'aller-retours dans différentes époques.
Je n'ai pas lu Sandman, mais on a un tome en demi-teinte qu'il faudra acheter pour compléter la série JSA
La Société de Justice d'Amérique parcourt l'Europe à la recherche de Ruby, la fille de la Lanterne Rouge ! Mais pourront-ils la rattraper avant qu'elle ne brûle la Terre à la recherche de son père ? Elle ne reculera devant rien pour le retrouver, même si cela signifie tuer la Chasseuse et détruire la SJA !
Contenu vo : Justice Society of America #8-12 + Alan Scott #1-6 + Sandman #1-6
Dernier tome de cette série avec la fin attendue de JSA qui est plutôt sympathique malgré les nombreux retard dont elle a souffert en VO. On retrouve aussi la mini-série Alan Scott qui n'était pas franchement interessante et surtout assez dure à suivre avec pas mal d'aller-retours dans différentes époques.
Je n'ai pas lu Sandman, mais on a un tome en demi-teinte qu'il faudra acheter pour compléter la série JSA
Le passage de Straczynski sur Spider-Man est très apprécié de beaucoup avec l'introduction des totems mais aussi pour son exploration plus intime et philosophique du personnage (bonjour tante May et Mary Jane) mais a aussi laissé des critiques, surtout concernant la manière dont la mythologie de Spider-Man a été redéfinie. Une lecture qui approfondit les racines du personnage tout en lui donnant une nouvelle direction, c’est une période à considérer.
Nouvelle série poche pour l'un des meilleures run sur le personnage. J. Michael Straczynski réussit son arrivé sur le titre, notamment par son ton plus mature et adulte qui faisait bouger certains acquis de Spider-Man. Particulièrement en introduisant le concept des Totems et le vilain Morlun. Peter Parker et son entourage sont aussi particulièrement bien écrits et touchants. C'est l'occasion aussi d'assister à l'une des meilleures prestations d'un John Romita Jr. en très grande forme dans les scènes de combats.
Excellente relance de Spider-Man à l'époque qui m'a fait reprendre la série. C'est beau, c'est captivant, et ça fait bouger les choses. Un peu trop pour Marvel d'ailleurs qui décidera d'annuler une bonne partie des éléments introduits dans ce run. Bref, il s'agit désormais d'un classique, et d'une lecture indispensable sur le personnage.
J. Michael Straczynski, John Romita Jr
Lorsque le mystérieux Ezekiel Sims fait irruption dans la vie de Spider-Man, toutes les croyances du héros sont bouleversées. Le Tisseur pensait en effet tout savoir de l’origine de ses pouvoirs, mais va découvrir qu’il est loin de la vérité...
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1999) 30-39, précédemment publiés dans MARVEL MUST-HAVE : SPIDER-MAN – VOCATION, MARVEL VISIONARIES : JOHN ROMITA JR, SPIDER-MAN : LA COLLECTION ANNIVERSAIRE 6 et LES ICONES DE MARVEL 7)
Le passage de Straczynski sur Spider-Man est très apprécié de beaucoup avec l'introduction des totems mais aussi pour son exploration plus intime et philosophique du personnage (bonjour tante May et Mary Jane) mais a aussi laissé des critiques, surtout concernant la manière dont la mythologie de Spider-Man a été redéfinie. Une lecture qui approfondit les racines du personnage tout en lui donnant une nouvelle direction, c’est une période à considérer.
Nouvelle série poche pour l'un des meilleures run sur le personnage. J. Michael Straczynski réussit son arrivé sur le titre, notamment par son ton plus mature et adulte qui faisait bouger certains acquis de Spider-Man. Particulièrement en introduisant le concept des Totems et le vilain Morlun. Peter Parker et son entourage sont aussi particulièrement bien écrits et touchants. C'est l'occasion aussi d'assister à l'une des meilleures prestations d'un John Romita Jr. en très grande forme dans les scènes de combats.
Excellente relance de Spider-Man à l'époque qui m'a fait reprendre la série. C'est beau, c'est captivant, et ça fait bouger les choses. Un peu trop pour Marvel d'ailleurs qui décidera d'annuler une bonne partie des éléments introduits dans ce run. Bref, il s'agit désormais d'un classique, et d'une lecture indispensable sur le personnage.
Début du très célèbre run de Miller sur Daredevil. D'abord en tant que dessinateur avec MacKenzie au scénario puis seul maître à bord. Ici, nous sommes donc dans la période où les deux bossent ensemble tant bien que mal. Ce dernier arc de MacKenzie n'est pas mauvais même si la grande époque du personnage n'arrivera qu'un petit peu plus tard. Pis bon... cela marque l'arrivée de Miller, quoi qu'on en dise. Rien que pour cela, il devrait être dans votre biblio :)
Si vous connaissez le dessin de Miller aujourd'hui, vous serez étonnant de sa finesse à cette époque ! Ce tome contient le début d'un run mythique. Ca commence doucement, mais le meilleur reste à venir !
Roger MacKenzie, Frank Miller
Matt Murdock mène une double vie : le jour, il officie en tant qu’avocat ; et la nuit, il devient le justicier nommé Daredevil. Mais son secret est menacé alors que le Caïd le prend pour cible. De son côté, Bullseye – un vilain que le Diable de Hell’s Kitchen a envoyé en prison – prépare sa vengeance.
(Contient les épisodes US Daredevil (1964) 158-172, précédemment publiés dans MARVEL OMNIBUS : DAREDEVIL PAR FRANK MILLER)
Début du très célèbre run de Miller sur Daredevil. D'abord en tant que dessinateur avec MacKenzie au scénario puis seul maître à bord. Ici, nous sommes donc dans la période où les deux bossent ensemble tant bien que mal. Ce dernier arc de MacKenzie n'est pas mauvais même si la grande époque du personnage n'arrivera qu'un petit peu plus tard. Pis bon... cela marque l'arrivée de Miller, quoi qu'on en dise. Rien que pour cela, il devrait être dans votre biblio :)
Si vous connaissez le dessin de Miller aujourd'hui, vous serez étonnant de sa finesse à cette époque ! Ce tome contient le début d'un run mythique. Ca commence doucement, mais le meilleur reste à venir !
Un comics qui avait eu un bel impact lors de sa sortie et on comprend pourquoi : novateur, violent, bien dessiné, bien écrit... Une histoire plutôt courte, simple, mais terriblement efficace.
Mark Millar, John Romita Jr
Dave Lizewski est un adolescent solitaire qui se réfugie dans les comics pour échapper à la banalité de son quotidien. Un jour, il décide même d’endosser un costume pour devenir Kick-Ass, le premier “vrai” super-héros au monde. Mais les bandes dessinées ne sont pas la réalité…
(Contient les épisodes US Kick-Ass (2008) 1-8, précédemment publiés dans KICK-ASS)
Un comics qui avait eu un bel impact lors de sa sortie et on comprend pourquoi : novateur, violent, bien dessiné, bien écrit... Une histoire plutôt courte, simple, mais terriblement efficace.
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![[Sorties Comics] Mercredi 19 Mars](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
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![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (1)
Jeff Staff MDCU
il y a 2 mois
Un excellent tome qui va sacrément loin dans la noirceur nous rappelant, au passage, les moments plus sombres et violents de la toute première série. Ici, vous avez deux récits qui s'alternent : les tortues qui doivent se concentrer sur l'une d'elles et Casey Jones qui affronte son père. Les deux sont aussi passionnants l'un que l'autre.