Simon Pure, un soldat déserteur de l'armée britannique lors de la Guerre d'Indépendance américaine, voit son destin bouleversé par un rituel magique auquel il n'aurait jamais dû assister. Devenu immortel malgré lui, il balade son arrogance et son inconséquence à travers les époques, s'attirant toujours plus d'ennuis et manquant à chaque fois de provoquer un paradoxe temporel majeur. Et si c'était possible, la vie éternelle de Pure prend un tournant inattendu lorsqu'il croise la route d'un jeune garçon de 13 ans nommé Albert Einstein... THE UNNAMED : REDCOAT suit les aventures de Simon Pure, un personnage irrévérencieux qui, au fil de son existence, croise des figures historiques majeures. Geoff JOHNS (GREEN LANTERN, FLASH) et Bryan HITCH (THE AUTHORITY) proposent une nouvelle série régulière dans l'univers partagé de THE UNNAMED, où la magie, les voyages dans le temps et la conspiration règnent en maîtres.
Contenu vo : Redcoat #1-7 + Tales of the Unnamed: The Blizzard
Lancement d'une des série, si ce n'est la série, la moins intéressante du label Ghost Machine lancé par Geoff Johns. On suit Simon, un soldat qui devient immortel mais qui n'a rien d'un personnage que l'on a envie de suivre. Johns arrvie à rendre plus intéressant le personnage d'Einstein que le héros. Bryan Hitch fait par contre l'effort d'être à l'heure et de signer les 6 épisodes sans retard, et ça fait plaisir de le voir comme ça.
La review du jour est un titre proposé par Urban Comics. Il s'agit de The Unnamed Redcoat, écrit par Geoff Johns et dessiné par Bryan Hitch. Il sort le 21 février pour 31 euros. Il contient les titres US Redcoat #1-7 + Tales of the Unnamed: The Blizzard.
Simon Pure, un soldat déserteur de l'armée britannique lors de la Guerre d'Indépendance américaine, voit son destin bouleversé par un rituel magique auquel il n'aurait jamais dû assister. Devenu immortel malgré lui, il balade son arrogance et son inconséquence à travers les époques, s'attirant toujours plus d'ennuis et manquant à chaque fois de provoquer un paradoxe temporel majeur. Et si c'était possible, la vie éternelle de Pure prend un tournant inattendu lorsqu'il croise la route d'un jeune garçon de 13 ans nommé Albert Einstein... THE UNNAMED : REDCOAT suit les aventures de Simon Pure, un personnage irrévérencieux qui, au fil de son existence, croise des figures historiques majeures. Geoff JOHNS (GREEN LANTERN, FLASH) et Bryan HITCH (THE AUTHORITY) proposent une nouvelle série régulière dans l'univers partagé de THE UNNAMED, où la magie, les voyages dans le temps et la conspiration règnent en maîtres.
Et ce qui était censé frapper Ben Frankin au premier coup de minuit... me frappa à sa place.
Nouvelle histoire dans l'univers partagé The Unnamed dans lequel nous pouvons déjà trouver Geiger et Junkyard Joe (dont la review est disponible ici). Et cette fois encore, nous retrouvons Geoff Johns au scénario tandis que Bryan Hitch s'occupe de la partie graphique. Tout comme pour les autres tomes, le titre a beau faire parti d'un tout, il reste parfaitement indépendant et tout-à-fait appréciable en tant que stand-alone.
Redcoat est à la fois intriguant... et perturbant. Les bonnes idées sont nombreuses, l'origin story assez bonne et plutôt atypique. Le principe général est également intéressant puisque, à travers le personnage principal de Simon Pure, nous avons une revisite de l'Histoire des Etats-Unis. Nous traversons donc les époques à travers un récit où l'action est très présente, apportant un dynamisme certain à l'ensemble de l'oeuvre. Les rebondissements sont suffisamment nombreux que l'intérêt soit maintenu tandis que l'intrigue, bien que simple, reste plutôt prenante.
Mais alors où est le problème ? Eh bien c'est ce cher Simon Pure, justement. Présenté comme un anti-héros, il ne possède pas assez de capital sympathie pour, véritablement, embarquer le lecteur. Nous suivons ses réussites (et surtout ses échecs) mais sans être impliqué. Il s'agit de l'archétype du tocard qui, au fil de l'oeuvre, va se dévoiler et devenir plus intéressant. Cependant, pour le coup, cela ne prend pas vraiment. Difficile d'expliquer pourquoi. Peut-être un juste milieu qui n'aura pas été atteint. En fait, les seules fois où le personnage gagne en intérêt, c'est lors des échanges avec Albert Einstein. Ce dernier est très bien écrit et nous permet même d'avoir une magnifique scène finale pour ce premier tome. Et si le personnage principal ne devient intérêssant qu'à la fin du premier tome et, qui plus est, grâce à un autre personnage, c'est qu'il y a un problème.
Vous avez le pouvoir de sauver le monde. Vous êtes der sorcier.
Pour ce qui est de la partie graphique, l'anglais Bryan Hitch ne déçoit pas. Les dessins sont vraiment bons et pullulent de détails que l'on ne voit pas forcément au premier regard. De plus, il y a un réel effort afin de ne pas se concentrer uniquement sur ce qu'il y a au premier plan. On saluera également le travail apporté sur les costumes ainsi que sur les visages et les poses des personnages.
Concernant le deuxième récit, le style y est radicalement différent mais reste très appréciable. On est moins dans la recherche de détails, un peu plus dans l'abstrait, le flou mais cela colle très bien avec l'idée de blizzard (ndlr : Blizzard, c'est le titre), justement.
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