Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
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Chip Zdarsky, Marco Checchetto, Lalit Kumar Sharma…
Matt Murdock revient de loin. Gravement blessé après un accident, il doit réapprendre à être le héros de Hell’s Kitchen. Mais on ne frôle pas la mort sans qu’elle ne laisse sa marque, et Daredevil a peut-être renfilé son costume un peu trop tôt…
(Contient les épisodes US Daredevil (2019) 1-15, précédemment publiés dans 100% MARVEL : DAREDEVIL 1-3)
Publication rapide du passage de Chip Zdarsky en version Deluxe alors que son run vient à peine de se terminer. On retrouve le talent de l’écriture de Zdarsky dans les dialogues, même si certains comportements de personnages surprennent. Les fans des run précédents sur Daredevil seront ravis de retrouver l'ambiance urbaine et sombre qui caractérise Daredevil, même si le sentiment de réchauffé domine dans ce premier tome malgré des qualités scénaristique. Ce sont les dessins fabuleux de Chechetto qui font aussi la qualité de ce début de run, c’est dommage que les autres dessinateurs fassent pâle figure pour les autres épisodes.
Le premier deluxe du run de Chip Zdarsky sur Daredevil.
Une lecture très appréciable et surout assez accessible pour les moins experimentés sur le personnage. Le rythme est soutenu sur ces 15 premiers numéros que regropent le Deluxe, où l'auteur prend un malin plaisir à confronter Matt Murdock face à ses faiblesses, en le malmenant jusqu'à lui faire perdre confiance lui et en ce qui l'incarne sous le masque du Diable de Hell's Kitchen. Une partie graphique diablement efficace, si vous me permettez, avec l'arrivée de Marco Checcetto aux dessins sur la quasi totalité du run. On restera un peu chagriné cela dit de passer sur les quelques épisodes illustrés par d'autres artistes sur des temps plus calmes, qui viennent poser une ambiance un peu moins marquante par rapport à Checcetto.
Un très bon début de run en somme pour Daredevil, si vous n'aviez pas déjà sauter la pas.
Nouveau récit sur Wolverine qui tombe à pic pour les 50 ans du personnage. Comme pour Hox/PoX, on a deux histoires liées entre elles. L’une permet de revisiter le passé du personnage avec des moments sympathiques et quelques easter-egg, mais moins captivantes que la seconde histoire qui est une suite surprise à Inferno.
Les deux histoires mettent bien en valeur Wolverine et son histoire. L’auteur joue bien avec les éléments introduits par Hickman durant Hox/PoX, mais en plus violent et moins subtile. Si le récit à ses qualités, il sonne aussi comme une cassure avec certaines idées d’Hickman notamment en amenant un personnage sur une radicalité qui surprend. Les deux dessinateurs sont très bons malgré leurs styles de dessin différents. On retiendra Federico Vincentini qui propose l’un de ses travaux les plus convaincants. À noter qu'il vaut mieux lire ce récit en parallèle des séries X-force et Wolverine du même auteur, où il reprend des éléments qui continueront dans les séries citées.
Benjamin Percy, Joshua Cassara, Federico Vicentini
Wolverine a vécu de multiples vies : Logan, James Howlett, l’Arme X. Aujourd’hui, le futur de Krakoa repose sur son passé. Pour éviter la catastrophe, le Mutant Griffu doit voyager à différents moments emblématiques de son existence et empêcher la mort de Charles Xavier.
(Contient les épisodes US X Lives of Wolverine (2021) 1-5 et X-Deaths of Wolverine (2021) 1-5, précédemment publiés dans X LIVES / X DEATHS OF WOLVERINE 1-2)
Nouveau récit sur Wolverine qui tombe à pic pour les 50 ans du personnage. Comme pour Hox/PoX, on a deux histoires liées entre elles. L’une permet de revisiter le passé du personnage avec des moments sympathiques et quelques easter-egg, mais moins captivantes que la seconde histoire qui est une suite surprise à Inferno.
Les deux histoires mettent bien en valeur Wolverine et son histoire. L’auteur joue bien avec les éléments introduits par Hickman durant Hox/PoX, mais en plus violent et moins subtile. Si le récit à ses qualités, il sonne aussi comme une cassure avec certaines idées d’Hickman notamment en amenant un personnage sur une radicalité qui surprend. Les deux dessinateurs sont très bons malgré leurs styles de dessin différents. On retiendra Federico Vincentini qui propose l’un de ses travaux les plus convaincants. À noter qu'il vaut mieux lire ce récit en parallèle des séries X-force et Wolverine du même auteur, où il reprend des éléments qui continueront dans les séries citées.
Réédition d’un court run de qualité sur le Punisher. On retrouve le talent de Greg Rucka dans les dialogues et l’écriture des personnages féminins. Son Punisher est tout aussi intéressant à suivre en faisant un personnage qui parle peu. Ce premier tome n’est pas parfait, notamment à cause d’un crossover assez anecdotique à lire. L’autre point fort de ce volume, ce sont les dessins de Marco Cecchetto, qui était déjà un très bon dessinateur à l’époque.
Greg Rucka, Marco Cecchetto
Alors que l’ex-marine Rachel Cole-Alves célébrait son mariage, un gang a surgi et tiré sur les convives. Elle devient l’alliée de circonstance d’un homme qui a également servi sous les drapeaux et qui a connu une tragédie similaire. Son nom ? Frank Castle, alias le Punisher.
(Contient les épisodes US Punisher (2011) 1-10, Avenging Spider-Man (2011) 6 et Daredevil (2011) 11, nouvelle édition)
Réédition d’un court run de qualité sur le Punisher. On retrouve le talent de Greg Rucka dans les dialogues et l’écriture des personnages féminins. Son Punisher est tout aussi intéressant à suivre en faisant un personnage qui parle peu. Ce premier tome n’est pas parfait, notamment à cause d’un crossover assez anecdotique à lire. L’autre point fort de ce volume, ce sont les dessins de Marco Cecchetto, qui était déjà un très bon dessinateur à l’époque.
Urban a décidé, avec ses Dawn of, de regrouper plusieurs séries. Pour les Titans, on a d'un côté la série actuelle scénarisée par Tom Taylor, et de l'autre la série World's Finest écrite par Mark Waid. La première est très sympa, et commence à introduire des éléments qui mèneront à l'évènement Beast World. Les dessins de Nicola Scott sont superbes. World's Finest, comme pour Batman/Superman, se déroule dans le passé. Je n'ai lu que le début de la série, et elle semblait au niveau de Batman/Superman : très bon, mais assez classique, avec de chouettes dessins. Bref, une bonne pioche pour les amateurs des Titans. Je n'ai par contre pas lu ni les Knight Terrors, ni Tales of the Titans.
Pas mal de choses dans ce premier tome. On retrouve dans la série principale l'équipe dans diverses petites missions tout en ayant un but principal pour sauver un des leurs. C'est bien écrit par Tom Taylor et on retrouve avec plaisir Nicola Scott aux dessins. World's Finest Teen Titans se passe dans le passé et est plutôt passable. Il est d'ailleurs étrange d'avoir 5 numéros alors que lamini-série en compte 6. Tales of the Titans se concentre sur un membre de l'équipe à chaque fois, histoire de comprendre un peu mieux qui il est. On a donc des numéros centrés sur Starfire, Raven, Donna Troy et Beast Boy. C'est dans l'emseble de bons numéros surtout ceux sur Raven et Beast Boy. Enfin, on retrouve les deux numéros de Knight Terrors qui se laisse lire mais qui ne restera pas dans les mémoires.
La Crise des Ténèbres est terminée et la Ligue des Justiciers n'est plus. Une nouvelle équipe est chargée de protéger la Terre... Place aux Titans ! Il est temps pour les Teen Titans de grandir pour pouvoir prétendre être à la hauteur de l'héritage laissé par les plus grands héros, alors que le danger guette déjà et promet de semer le chaos dans les rangs récemment formés de l'équipe.
Contenu vo : Titans #1-5 + World's Finest Titans #1-5 + Knight Terrors : Titans #1-2.
Urban a décidé, avec ses Dawn of, de regrouper plusieurs séries. Pour les Titans, on a d'un côté la série actuelle scénarisée par Tom Taylor, et de l'autre la série World's Finest écrite par Mark Waid. La première est très sympa, et commence à introduire des éléments qui mèneront à l'évènement Beast World. Les dessins de Nicola Scott sont superbes. World's Finest, comme pour Batman/Superman, se déroule dans le passé. Je n'ai lu que le début de la série, et elle semblait au niveau de Batman/Superman : très bon, mais assez classique, avec de chouettes dessins. Bref, une bonne pioche pour les amateurs des Titans. Je n'ai par contre pas lu ni les Knight Terrors, ni Tales of the Titans.
Pas mal de choses dans ce premier tome. On retrouve dans la série principale l'équipe dans diverses petites missions tout en ayant un but principal pour sauver un des leurs. C'est bien écrit par Tom Taylor et on retrouve avec plaisir Nicola Scott aux dessins. World's Finest Teen Titans se passe dans le passé et est plutôt passable. Il est d'ailleurs étrange d'avoir 5 numéros alors que lamini-série en compte 6. Tales of the Titans se concentre sur un membre de l'équipe à chaque fois, histoire de comprendre un peu mieux qui il est. On a donc des numéros centrés sur Starfire, Raven, Donna Troy et Beast Boy. C'est dans l'emseble de bons numéros surtout ceux sur Raven et Beast Boy. Enfin, on retrouve les deux numéros de Knight Terrors qui se laisse lire mais qui ne restera pas dans les mémoires.
Un premier tome de Shazam qui fait la part belle à la nouvelle Shazam. En effet, la mini-série The New Champion of Shazam, la partie We Once Were Gods et Knight Terrors: Shazam ont tous pour protagoniste Mary Marvel qui se fait désormais appeler Shazam. Elle a soon propre panthéon de divinités qui lui donnent ses pouvoirs. Le tie-in Knight Terrors est très bon, et écrit par Mark Waid, et la mini-série commence un peu lentement, mais l'intrigue est plutôt prenante.
De son côté, la série Shazam de Mark Waid et Dan Mora, avec Billy en protagoniste, commence dans la légéreté avec pas mal d'humour mais une intrigue qui sera développée dans le prochain tome.
Ce premier tome aborde pas mal de titre VO, mais je dois avouer que je recommande surtout le début du run de Mark Waid et Dan Mora sur Billy et le Captain (une tentative de renommer le personnage sans doute), qui en plus d'être fun et très facile à lire, bénéficie de dessins de Mora, qui ne décoit jamais, enchaînant masterclass sur masterclass dans tous ses projets.
Billy Batson ne comprend pas ce qui lui arrive. Au cours d'un sauvetage, il se met à insulter la population en direct à la télévision. Plus tard, alors qu'il tente d'arrêter le Psycho-Pirate qui s'apprêtait à voler la Joconde, il manque de l'assassiner de peu, comme s'il avait des absences et que pendant celles-ci, il ne contrôlait plus ses faits et gestes. Peut-être que les dieux grecs qui lui confèrent les pouvoirs de Shazam!, visiblement courroucés par l'attitude Billy et la sensation qu'il gâche le potentiel de ses pouvoirs, ont décidé de le punir pour sa conduite inconséquente ?
Contenu vo : DAWN OF DC: SHAZAM! #1-6 + THE NEW CHAMPION OF SHAZAM! #1-4 + WE ONCE WERE GODS #1 + KNIGHT TERRORS: SHAZAM! #1-2
Un premier tome de Shazam qui fait la part belle à la nouvelle Shazam. En effet, la mini-série The New Champion of Shazam, la partie We Once Were Gods et Knight Terrors: Shazam ont tous pour protagoniste Mary Marvel qui se fait désormais appeler Shazam. Elle a soon propre panthéon de divinités qui lui donnent ses pouvoirs. Le tie-in Knight Terrors est très bon, et écrit par Mark Waid, et la mini-série commence un peu lentement, mais l'intrigue est plutôt prenante.
De son côté, la série Shazam de Mark Waid et Dan Mora, avec Billy en protagoniste, commence dans la légéreté avec pas mal d'humour mais une intrigue qui sera développée dans le prochain tome.
Ce premier tome aborde pas mal de titre VO, mais je dois avouer que je recommande surtout le début du run de Mark Waid et Dan Mora sur Billy et le Captain (une tentative de renommer le personnage sans doute), qui en plus d'être fun et très facile à lire, bénéficie de dessins de Mora, qui ne décoit jamais, enchaînant masterclass sur masterclass dans tous ses projets.
Nouveau volume avec le run d’Ostrander qui continue son fil rouge sur Quinlan Vos, malgré ses qualités sur l'écriture des personnages, il commence à devenir un peu répétitif et long. Les auteurs commencent aussi à raccrocher les ponts avec la revanche des sith. Ce volume est accompagné de mini-séries et one-shots de qualité variables, mais on peut retenir Star Wars: Obsession qui permet de conclure le destin de certains personnages de la série Republic. Pour les dessins, on retiendra les prestations de Jan Duursema et Brian Ching qui sont toujours impeccables.
John Ostrander, Chuck Dixon, Rick Leonardi, Jan Duursema…
Le nouveau Chevalier Jedi Anakin Skywalker et la maléfique apprentie Sith Asajj Ventress cherchent à en découdre par tous les moyens. Serait-ce enfin leur ultime bataille ? Pendant ce temps, le Jedi renégat Quinlan Vos se rapproche plus que jamais du côté obscur de la Force.
(Contient les épisodes US Star Wars: Republic (1998) 68-73, Star Wars: General Grievous (2005) 1-4, Free Comic Book Day 2006 Special : Star Wars 1, Star Wars: Obsession (2004) 1-5, Star Wars Visionaries (2005) 1 et Star Wars Tales (1999) 17, précédemment publiés dans Star Wars: Clone Wars 6-9 et Star Wars: Côté Obscur 4)
Nouveau volume avec le run d’Ostrander qui continue son fil rouge sur Quinlan Vos, malgré ses qualités sur l'écriture des personnages, il commence à devenir un peu répétitif et long. Les auteurs commencent aussi à raccrocher les ponts avec la revanche des sith. Ce volume est accompagné de mini-séries et one-shots de qualité variables, mais on peut retenir Star Wars: Obsession qui permet de conclure le destin de certains personnages de la série Republic. Pour les dessins, on retiendra les prestations de Jan Duursema et Brian Ching qui sont toujours impeccables.
C’est déjà la fin du statu-quo Étincelle Éternelle où l’auteure s’en sort dans sa résolution et dans la personnalité d’Aphra qu’Alyssa Wong a bien saisi. Une fin qui sonne comme une fin de saison de série TV, avec de l’émotion et des développements réussis. Néanmoins, comme pour le précédent tome, l’histoire est beaucoup liée à l’intrigue de l’event Hidden Empire. Il vaut mieux lire en parallèle les deux récits au risque d’être un peu perdu. Minkyu Jung s’occupe de la majorité des dessins pour un style classique mais agréable à regarder.
Alyssa Wong, Minkyu Jung
Sana Starros est déterminée à libérer le Docteur Aphra de l’Étincelle Éternelle. Piégée dans son propre esprit, Aphra n’a plus d’autre choix que de conclure un marché avec l’Étincelle, mais à un terrible prix… À moins que la rusée docteur ait un dernier atout dans sa manche !
(Contient les épisodes US Doctor Aphra (2020) 26-31, précédemment publiés dans 100% STAR WARS : HIDDEN EMPIRE 1-4 et ÉPILOGUE)
C’est déjà la fin du statu-quo Étincelle Éternelle où l’auteure s’en sort dans sa résolution et dans la personnalité d’Aphra qu’Alyssa Wong a bien saisi. Une fin qui sonne comme une fin de saison de série TV, avec de l’émotion et des développements réussis. Néanmoins, comme pour le précédent tome, l’histoire est beaucoup liée à l’intrigue de l’event Hidden Empire. Il vaut mieux lire en parallèle les deux récits au risque d’être un peu perdu. Minkyu Jung s’occupe de la majorité des dessins pour un style classique mais agréable à regarder.
Cet album contient surtout le crossover Gotham War, qui relie les séries Batman et Catwoman. Celui-ci débute très bien, avec une très bonne idée. Batman se réveille d'un coma, et découvre que la criminalité à Gotham a drastiquement diminuée grâce à Catwoman. En effet, elle apprend aux criminels à voler seulement les riches, et sans violence. Ce nouveau statu quo va déchirer la bat-family : est-ce une bonne méthode ou non ? Sur cette question vraiment intéressante, le scénario va malheureusement botter un peu en touche, et la fin s'avère décevante. De plus, les séries ne sont pas toutes au même niveau. Je n'ai par contre pas lu les Knight Terrors, un event auquel je n'ai pas trop accroché.
Malgré un début prometteur et le retour du chevalier noir, ce troisième tome est franchement décevant. Il déconstruit tous les principes / valeurs de la Bat-Family. La justification des méfaits organisés par Catwoman est simplement aberrante. La lecture est redondante, peu intéressante. On assiste ainsi à un duel de palabres sur "qui a raison / qui a tort" - chacun étant braqué sur sa vision de la justice, de la voie à suivre pour pérenniser Gotham. L'intrigue traîne en longueur. Les personnages sont insupportables et leurs agissements sont puérils. La fin est un fouilli complet où tout se "règle" en un rien de temps. La série Dark City commençait plutôt bien. Espérons que le titre "Gotham War" soit juste une erreur de parcours et que sa suite rattrapera ce fiasco...
Depuis qu'il est devenu Batman, Bruce Wayne n'est plus seulement un homme, mais un symbole à l'origine des pires tourments des criminels de Gotham. Désormais piégé dans le Royaume des Cauchemars par Insomnia, Bruce est traqué par l'horreur qu'il a lui-même créée ! Pourra-t-il s'échapper avant que ses peurs les plus viscérales ne l'entraînent plus profondément dans les ténèbres ?
Contenu vo : Batman #136 + Knight Terrors: Batman #1-2 + Batman/Catwoman: The Gotham War - Battle Lines #1 + Batman #137 + Catwoman #57 + Batman/Catwoman: The Gotham War: Red Hood #1 + Batman #138 + Catwoman #58 + Batman/Catwoman: The Gotham War: Red Hood #2 + Batman/Catwoman: The Gotham War – Scorched Earth #1
Cet album contient surtout le crossover Gotham War, qui relie les séries Batman et Catwoman. Celui-ci débute très bien, avec une très bonne idée. Batman se réveille d'un coma, et découvre que la criminalité à Gotham a drastiquement diminuée grâce à Catwoman. En effet, elle apprend aux criminels à voler seulement les riches, et sans violence. Ce nouveau statu quo va déchirer la bat-family : est-ce une bonne méthode ou non ? Sur cette question vraiment intéressante, le scénario va malheureusement botter un peu en touche, et la fin s'avère décevante. De plus, les séries ne sont pas toutes au même niveau. Je n'ai par contre pas lu les Knight Terrors, un event auquel je n'ai pas trop accroché.
Malgré un début prometteur et le retour du chevalier noir, ce troisième tome est franchement décevant. Il déconstruit tous les principes / valeurs de la Bat-Family. La justification des méfaits organisés par Catwoman est simplement aberrante. La lecture est redondante, peu intéressante. On assiste ainsi à un duel de palabres sur "qui a raison / qui a tort" - chacun étant braqué sur sa vision de la justice, de la voie à suivre pour pérenniser Gotham. L'intrigue traîne en longueur. Les personnages sont insupportables et leurs agissements sont puérils. La fin est un fouilli complet où tout se "règle" en un rien de temps. La série Dark City commençait plutôt bien. Espérons que le titre "Gotham War" soit juste une erreur de parcours et que sa suite rattrapera ce fiasco...
Suite de la publication de l'intégrale Mighty Morphin Power Rangers et on retrouve ici les 2 derniers tomes publiés à l'époque par Glénat. Kyle Higgins la mise en place de son premier gros event avec le Dragon Noir et l'arrivée de Lord Drakkon. Il y a aussi pas mal de chamboulement pour les rangers qui ont des soucis avec leurs pouvoirs. Bref, on continue sur la bonne lancée de la première intégrale.
Écrit par Kyle Higgins (Radiant Black), dessiné par Hendry Prasetya (Kamen Rider zero-one).
Tandis que Tommy et Jason affrontent le Dragon Noir sur la Lune, les autres Rangers cherchent un moyen de relancer leurs pouvoirs et de sauver leurs Zords de son influence. Avec la vie de Billy en jeu, les Rangers surmonteront-ils leur plus grand défi… ou trouveront-ils la défaite dans les griffes de leur ennemi ?
Cette intégrale regroupe les épisodes #9-16, précédemment publiés en 2 tomes chez Glénat, ainsi qu’une galerie d’illustrations.
Suite de la publication de l'intégrale Mighty Morphin Power Rangers et on retrouve ici les 2 derniers tomes publiés à l'époque par Glénat. Kyle Higgins la mise en place de son premier gros event avec le Dragon Noir et l'arrivée de Lord Drakkon. Il y a aussi pas mal de chamboulement pour les rangers qui ont des soucis avec leurs pouvoirs. Bref, on continue sur la bonne lancée de la première intégrale.
The Ambassasdors, c'est la nouvelle série de Mark Millar avant la grande réunion supposée du "Millarverse" dans Big Game.
Le titre propose à première vue un concept de base plutôt intéressant, Millar parvient même à nous accrocher le temps de 2 épisodes en semant quelques idées intriguantes... qu'il ne parviendra cependant pas à développer par la suite, quitte à les ignorer complétement. L'intrigue se révèle être très convenue en ne présentant véritablement aucun enjeu qui permette de pousuivre jusqu'au fameux "Big Game".. en 6 numéros elle ne fait que s'engouffrer dans des clichés grotesques avec un casting de personnages sans véritable énergie et surtout sans aucun charisme.
Le seul véritable intérêt du titre résidera dans sa partie graphique, si tant est que le principe de la discontinuité visuelle c'est OK pour vous, car bien des grands noms sont réunis ici tels que Frank Quitely, Olivier Coipel ou encore Travis Charest... mis à part ça, cela reste une lecture tout à fait dispensable.
Mark Millar, Olivier Coipel, Frank Quitely…
Une scientifique coréenne affirme avoir percé le secret de l’obtention des super-pouvoirs. Elle souhaite tester sa découverte sur six personnes de pays différents. Mais comment s’assurer de choisir les bons cobayes ? Et quel impact cette avancée aura-t-elle sur les politiques internationales ?
(Contient les épisodes US The Ambassadors (2023) 1-6, inédits)
The Ambassasdors, c'est la nouvelle série de Mark Millar avant la grande réunion supposée du "Millarverse" dans Big Game.
Le titre propose à première vue un concept de base plutôt intéressant, Millar parvient même à nous accrocher le temps de 2 épisodes en semant quelques idées intriguantes... qu'il ne parviendra cependant pas à développer par la suite, quitte à les ignorer complétement. L'intrigue se révèle être très convenue en ne présentant véritablement aucun enjeu qui permette de pousuivre jusqu'au fameux "Big Game".. en 6 numéros elle ne fait que s'engouffrer dans des clichés grotesques avec un casting de personnages sans véritable énergie et surtout sans aucun charisme.
Le seul véritable intérêt du titre résidera dans sa partie graphique, si tant est que le principe de la discontinuité visuelle c'est OK pour vous, car bien des grands noms sont réunis ici tels que Frank Quitely, Olivier Coipel ou encore Travis Charest... mis à part ça, cela reste une lecture tout à fait dispensable.
![[VF] Sélection MDCU de juin 2025](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_38973_vf-selection-mdcu-de-juin-2025_1748434804.jpg)
Nos avis sur les sorties du mois
Et vous, qu'avez-vous lu dernièrement ?
![[Sorties Comics] Vendredi 13 Juin](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
![[VF] Sélection MDCU de février 2024](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_37600_vf-selection-mdcu-de-fevrier-2024_1706528886.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (2)
Uraphire Staff MDCU
il y a 1 an
Publication rapide du passage de Chip Zdarsky en version Deluxe alors que son run vient à peine de se terminer. On retrouve le talent de l’écriture de Zdarsky dans les dialogues, même si certains comportements de personnages surprennent. Les fans des run précédents sur Daredevil seront ravis de retrouver l'ambiance urbaine et sombre qui caractérise Daredevil, même si le sentiment de réchauffé domine dans ce premier tome malgré des qualités scénaristique. Ce sont les dessins fabuleux de Chechetto qui font aussi la qualité de ce début de run, c’est dommage que les autres dessinateurs fassent pâle figure pour les autres épisodes.
Fantasioud Staff MDCU
il y a 1 an
Le premier deluxe du run de Chip Zdarsky sur Daredevil.
Une lecture très appréciable et surout assez accessible pour les moins experimentés sur le personnage. Le rythme est soutenu sur ces 15 premiers numéros que regropent le Deluxe, où l'auteur prend un malin plaisir à confronter Matt Murdock face à ses faiblesses, en le malmenant jusqu'à lui faire perdre confiance lui et en ce qui l'incarne sous le masque du Diable de Hell's Kitchen. Une partie graphique diablement efficace, si vous me permettez, avec l'arrivée de Marco Checcetto aux dessins sur la quasi totalité du run. On restera un peu chagriné cela dit de passer sur les quelques épisodes illustrés par d'autres artistes sur des temps plus calmes, qui viennent poser une ambiance un peu moins marquante par rapport à Checcetto.
Un très bon début de run en somme pour Daredevil, si vous n'aviez pas déjà sauter la pas.