Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
John Byrne
Dans une suite d'aventures qui ont marqué l'histoire de la bande dessinée, Jennifer Walters ose faire ce qu'aucun super-héros n'a fait avant elle : passer au-delà du Quatrième Mur ! Miss Hulk est consciente que ses étranges aventures n'ont qu'un seul responsable : John Byrne !
(Contient les épisodes US The Sensational She-Hulk (1989) 1-8, 31-46, 48-50 et Marvel Comics Presents (1988) 18 (III), précédemment publiés dans Nova 152-159, 175-179, 181-187, 189-192, Strange Spécial Origines 256 et inédits)
L'arrivée de John Byrne sur She-Hulk, qui va redonner un nouveau souffle et une nouvelle énergie au personnage. Humour, parodie et brisage de 4ème mur au programme. On y retrouve également tout le talent de Byrne au dessin. C'est un immanquable.
La collection "Je suis" de Panini a déjà fait ses preuves. C'est un excellent tome que tout novice devrait avoir dans sa collection. Pour les lecteurs déjà confirmés, c'est une autre histoire dans le sens où la plupart des numéros ont déjà été édités plusieurs par le passé.
La partie éditoriale est toujours intéressante et permet d'aller encore plus loin.
Spider-Man a soixante ans ! Pour fêter cet anniversaire mémorable, nous vous proposons une nouvelle édition de l'ANTHOLOGIE consacrée à Peter Parker, 350 pages pour tout savoir sur le plus apprécié des super-héros !
(Contient les épisodes US Amazing Fantasy 15, Amazing Spider-Man (1963) 1, 50, 121-122, 248(II), 300, (V2) 26, 500, 583 (II), 601 (II), 801, Spectacular Spider-Man (1976) 200, 310 et Spider-Man Unlimited 6 (I), nouvelle édition)
La collection "Je suis" de Panini a déjà fait ses preuves. C'est un excellent tome que tout novice devrait avoir dans sa collection. Pour les lecteurs déjà confirmés, c'est une autre histoire dans le sens où la plupart des numéros ont déjà été édités plusieurs par le passé.
La partie éditoriale est toujours intéressante et permet d'aller encore plus loin.
Tom King s'intéresse cette fois au personnage de Kara Zor-El, avec une histoire dans la construction est assez proche de ce qu'il avait pu faire avec Superman sur Up in the Sky, mais de manière encore plus travaillée et poétique. Le concept est simple, nous faire voir toutes les facettes de Supergirl à travers les yeux de la jeune fille qui l'accompagne, dans leur quête pour retrouver un criminel à travers la galaxie. Une grande qualité dans l'écriture et dans le développement du personnage, mis en valeur par le trait raffiné absolument superbe de Bilquis Evely. Un p'tit bijou.
Kara Zor-El a vécu bien des aventures épiques mais elle cherche aujourd'hui un sens à son existence. Témoin de la destruction de sa planète, elle fut envoyée sur Terre avec pour mission de protéger un petit cousin qui finira par ne plus avoir besoin d'elle. A quoi tout cela a-t-il servi ? Où qu'elle aille, l'ombre de Superman semble la suivre jusqu'à la faire douter de sa propre légitimité. Perdue dans ses questionnements existentiels, Kara taquine la bouteille le soir de son 21e anniversaire lorsque sa trajectoire percute celle de Ruthye, jeune extraterrestre en quête de vengeance...
Contenu vo : #1-8
Tom King s'intéresse cette fois au personnage de Kara Zor-El, avec une histoire dans la construction est assez proche de ce qu'il avait pu faire avec Superman sur Up in the Sky, mais de manière encore plus travaillée et poétique. Le concept est simple, nous faire voir toutes les facettes de Supergirl à travers les yeux de la jeune fille qui l'accompagne, dans leur quête pour retrouver un criminel à travers la galaxie. Une grande qualité dans l'écriture et dans le développement du personnage, mis en valeur par le trait raffiné absolument superbe de Bilquis Evely. Un p'tit bijou.
Urban Comics a enfin la bonne idée de publier les épisodes de Green Lantern Corps qui allaient de paire avec ceux de Green Lantern de Geoff Johns. On a pas mal de bonnes choses et surtout Gibbons et Johns font en sorte qu'on s'attache aux personnages et on ne les voit pas juste passer sans retenir leurs noms. C'est un des must-have du mois.
ENFIN ! Pendant que Geoff Johns redéfinissait et étendait l'univers des Green Lantern comme jamais sur la série principale, Gibbons et Gleason relançaient le Corps, avec de très bons premiers arcs qui redonnait un nouveau souffle à la franchise, avant que Tomasi arrive sur les tomes suivants et atteigne des sommets. En grande partie inédit, c'est un bonheur d'avoir enfin cet immanquable en français.
Véritable série sœur au Green Lantern de Geoff Johns où les deux titres se répondaient souvent sur certaines intrigues. Ce qui n'a pas empêché cette série d'être un superbe soap-opera avec un casting captivant à suivre qui offre une véritable complémentarité au run de Johns. On retrouve aussi de superbes dessinateurs notamment, Patrick Gleason qui éclate la rétine. Clairement, l'un des immanquable du mois.
scénaristes : Dave Gibbons, Geoff JOHNS - dessinateur : Patrick Gleason
Afin d'honorer leur devoir sacré de protéger toute planète habitée des forces du Mal, les Gardiens d'Oa doivent reformer le Corps des Green Lantern mis à mal par la faute d'Hal Jordan, alors possédé par l'avatar de la Peur : Parallax. Si John Stewart et Hal Jordan jouent les réservistes, les vétérans Guy Gardner et Kyle Rayner sont quant à eux invités sur Oa pour participer activement à la formation et à la reconstruction du Corps. Ils seront assistés du colossal Kilowog pour convaincre certaines recrues récalcitrantes d'accepter cette nouvelle vie qu'ils n'avaient encore jamais envisagée. Les tensions internes atteignent leur paroxysme alors qu'une nouvelle menace remet en cause cette résurrection du Corps jadis légendaire.
Contenu vo : Green Lantern Corps - Recharge + Green Lantern Corps - To Be A Lantern + Green Lantern Corps - The Dark Side of Green
Urban Comics a enfin la bonne idée de publier les épisodes de Green Lantern Corps qui allaient de paire avec ceux de Green Lantern de Geoff Johns. On a pas mal de bonnes choses et surtout Gibbons et Johns font en sorte qu'on s'attache aux personnages et on ne les voit pas juste passer sans retenir leurs noms. C'est un des must-have du mois.
ENFIN ! Pendant que Geoff Johns redéfinissait et étendait l'univers des Green Lantern comme jamais sur la série principale, Gibbons et Gleason relançaient le Corps, avec de très bons premiers arcs qui redonnait un nouveau souffle à la franchise, avant que Tomasi arrive sur les tomes suivants et atteigne des sommets. En grande partie inédit, c'est un bonheur d'avoir enfin cet immanquable en français.
Véritable série sœur au Green Lantern de Geoff Johns où les deux titres se répondaient souvent sur certaines intrigues. Ce qui n'a pas empêché cette série d'être un superbe soap-opera avec un casting captivant à suivre qui offre une véritable complémentarité au run de Johns. On retrouve aussi de superbes dessinateurs notamment, Patrick Gleason qui éclate la rétine. Clairement, l'un des immanquable du mois.
Le titre de la série est un peu trompeur, car on s'imagine suivre le Joker dans son intimité, mais finalement pas du tout. La série se concentre plutôt sur le personnage de Jim Gordon, qui se retrouve mélé à des affaires pas très, alors que le Joker se retrouve la cible de plusieurs ennemis. Ce tome 2 continue efficacement l'histoire, et on est curieux de la suite. Les dessins sont accrocheur. Bref, une très bonne lecture.
Lors du jour de l'attaque sur l'asile d'Arkham, Billy Sampson a perdu la vie. Et sa famille est bien décidée à se venger de celui qu'ils suspectent d'avoir initié le massacre : le Joker. Jim Gordon est également à ses trousses et le suivra jusqu'à Paris, malgré les embûches semées sur son chemin et la désapprobation de sa propre fille. Mais si on le Clown Prince du Crime était cette fois innocent du crime qu'on lui impute... Gordon pourrait-il risquer sa vie pour lui ?
Contenu vo : The Joker #7-9 + The Joker Annual #1
Le titre de la série est un peu trompeur, car on s'imagine suivre le Joker dans son intimité, mais finalement pas du tout. La série se concentre plutôt sur le personnage de Jim Gordon, qui se retrouve mélé à des affaires pas très, alors que le Joker se retrouve la cible de plusieurs ennemis. Ce tome 2 continue efficacement l'histoire, et on est curieux de la suite. Les dessins sont accrocheur. Bref, une très bonne lecture.
Fin du deuxième arc à la dimension plus cosmique de la série. Sans être le meilleur tome, la qualité reste clairement au rendez-vous.
La série continue d'être de qualité. Plus encore avec ce tome qui va avoir des conséquences importantes et poser les graines pour l'arc menant au numéro 100. On retiendra aussi un scénariste trop bavard par moment, flinguant certains moments d'émotions, et des dessins solides.
Suite et fin pour les aventures cosmiques des Tortues désormais alliées avec… les Utroms, pour le meilleur comme pour le pire ?
Plus déterminés que jamais à traquer et éradiquer toute présence extraterrestre sur la planète, l’agent Bishop et la F.T.P. mènent une attaque surprise sur l’île de Burnow. Les tensions explosent tandis que les Tortues Ninja rejoignent Burnow pour épauler Tricératons et Utroms dans une guerre sans merci qui ne laissera personne indemne…
Fin du deuxième arc à la dimension plus cosmique de la série. Sans être le meilleur tome, la qualité reste clairement au rendez-vous.
La série continue d'être de qualité. Plus encore avec ce tome qui va avoir des conséquences importantes et poser les graines pour l'arc menant au numéro 100. On retiendra aussi un scénariste trop bavard par moment, flinguant certains moments d'émotions, et des dessins solides.
Joshua Williamson continue sa grande histoire, après Infinite Frontier et avant Dark Crisis. Une JLA du Multivers en somme, qui fait la part belle à de bons personnages et qui a le mérite de proposer quelque chose d'assez frais et original. Et c'est sans doute la seule vraie trame cohérente qui fait suite à la fin de Death Metal et à ce nouveau multivers, alors on ne va pas cracher dessus. Les dessinateurs se relaient, mais la qualité reste assez homogène.
Williamson continue de construire son intrigue multiverselle pour préparer à Dark Crisis. Le récit est divertissant, si on est prêt à accepter certains rectons et une qualité d'écriture variable vers la fin. Aussi, si ça fait plaisir de voir un titre exploiter le travail de Multiversity, c'est dommage de voir certains concepts être utilisés au 1er degré. Malheureusement, ce ne sont pas les dessinateurs qui y changeront grand-chose. Il y en a beaucoup et tous ne sont pas réguliers, mais au moins, ils sont réparties intelligemment dans le récit.
Issus des différentes Terres parallèles, les membres de la Justice Incarnée, emmenés par le Président Superman Calvin Ellis de Terre-23 et Thomas Wayne, le Batman la chronologie Flahspoint, enquêtent à travers le Multivers afin de circonscrire la menace que fait planer Darkseid sur l'ensemble des réalités.
Joshua Williamson continue sa grande histoire, après Infinite Frontier et avant Dark Crisis. Une JLA du Multivers en somme, qui fait la part belle à de bons personnages et qui a le mérite de proposer quelque chose d'assez frais et original. Et c'est sans doute la seule vraie trame cohérente qui fait suite à la fin de Death Metal et à ce nouveau multivers, alors on ne va pas cracher dessus. Les dessinateurs se relaient, mais la qualité reste assez homogène.
Williamson continue de construire son intrigue multiverselle pour préparer à Dark Crisis. Le récit est divertissant, si on est prêt à accepter certains rectons et une qualité d'écriture variable vers la fin. Aussi, si ça fait plaisir de voir un titre exploiter le travail de Multiversity, c'est dommage de voir certains concepts être utilisés au 1er degré. Malheureusement, ce ne sont pas les dessinateurs qui y changeront grand-chose. Il y en a beaucoup et tous ne sont pas réguliers, mais au moins, ils sont réparties intelligemment dans le récit.
Mini-série mettant en avant les regrets de Dark Vador. Un peu étrange de le voir aussi émotionnel mais très sympa à lire pour ce qu'il aborde. Le plus gros problème, ce sont les dessins qui sont très brouillons par moments.
Haden Blackman, Rick Leonardi
La mort de Padmé Amidala hante Dark Vador. Le Seigneur Noir des Sith va devoir pourtant se concentrer car l'Empereur lui confie une tâche de la plus haute importance : voyager jusqu'à la Nébuleuse Fantôme pour retrouver un officier impérial.
(Contient les épisodes US Star Wars: Darth Vader And The Lost Command (2011) 1-5, précédemment publiés dans STAR WARS LÉGENDES : L'EMPIRE T01)
Mini-série mettant en avant les regrets de Dark Vador. Un peu étrange de le voir aussi émotionnel mais très sympa à lire pour ce qu'il aborde. Le plus gros problème, ce sont les dessins qui sont très brouillons par moments.
Un arc tie-in à Fear State (soi-disant) mais qui permet de mettre plus en avant le maire Nakano qui devient du coup un peu plus humain. Il devra apprendre à accepter l'aide de Batman, ce qui est beaucoup lui demander. En plus, c'est dessiné par Dan Mora, ce qui est toujours un plus. Plus surprenant, on a dans ce tome, l'annual qui sert de prologue à la longue histoire qui couvrira les deux prochains tomes.
Alors que l'État de terreur paralyse la cité de Gotham, de ses habitants à ses institutions, le maire Christopher Nakano doit se résoudre à faire appel à Batman pour faire toute la lumière sur la tentative de prise de la mairie par un groupe terroriste, mais également pour découvrir l'obscur vérité sur la prolifération d'un parasite dans les égouts de sa ville.
Contenu vo : Contenu : #1043-1046 + Annual #1
Un arc tie-in à Fear State (soi-disant) mais qui permet de mettre plus en avant le maire Nakano qui devient du coup un peu plus humain. Il devra apprendre à accepter l'aide de Batman, ce qui est beaucoup lui demander. En plus, c'est dessiné par Dan Mora, ce qui est toujours un plus. Plus surprenant, on a dans ce tome, l'annual qui sert de prologue à la longue histoire qui couvrira les deux prochains tomes.
Bendis va développer les Illuminatis avec une très bonne mini-série qui exploite le concept, explore de bonnes idées et propose une bonne caractérisation des personnages. Le tous en posant les bases menant à Secret Invasion. On retrouve aussi un Jim Cheung au top de son art. Le bémol, c'est de ne pas en avoir plus vu le potentielle de l'équipe, chose qui heureusement arrivera avec Hickman.
Brian Michael Bendis, Brian Reed, Jim Cheung
Ils sont les héros les plus influents de l'univers Marvel, à la tête des plus grandes équipes. Mais parfois, Tony Stark, Reed Richards, Charles Xavier, Namor, Stephen Strange et Flèche Noire savent qu'il ne suffit pas d'être un héros. Quelles terribles décisions ont pris les Illuminati ?
(Contient les épisodes US New Avengers: Illuminati (2006) 1-5, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : NEW AVENGERS 4)
Bendis va développer les Illuminatis avec une très bonne mini-série qui exploite le concept, explore de bonnes idées et propose une bonne caractérisation des personnages. Le tous en posant les bases menant à Secret Invasion. On retrouve aussi un Jim Cheung au top de son art. Le bémol, c'est de ne pas en avoir plus vu le potentielle de l'équipe, chose qui heureusement arrivera avec Hickman.
Un premier tome qui lance deux grosses intrigues, avec deux scénaristes aux commandes, mais qui va surtout se concentrer sur Dylan, le fils d'Eddie, qui doit gérer l'héritage de son père. Service minimum pour les deux auteurs, avec un Ram V qui peine à rendre son intrigue passionnante, et un Bryan Hitch qui n'est plus en grande forme depuis longtemps. Malgré tout, on considèrera que c'est une nouvelle pierre intéressante dans la saga Venom et toute la mythologie construite par Donny Cates.
Excellente reprise du titre par Ewing et Ram V. Les auteurs continue le nouveau statut-quo de Cates et pousse les limites de la mythologie de Venom avec un style plus posé et mystérieux que le run précédent. On a 2 ambiances différentes avec les auteurs, une plus urbaine et l'autre cosmique variant le plaisir de lecture. Malheureusement, les numéros par Ram V sont les plus faibles et composent plus de la moitié de ce tome 1. Bryan Hitch propose un boulot très solide malgré quelques ratés quand les personnages ne sont pas au premier plan. Bref, un excellent début pour ce nouveau run.
Al Ewing, Ram V, Bryan Hitch
Pendant longtemps, Eddie Brock et le symbiote qui s’était lié à lui ont été Venom. Désormais, c’est au tour de son fils Dylan d’apprivoiser cette entité extraterrestre dangereuse et assoiffée de sang. Devenu le dieu des symbiotes, Eddie n’a pas de temps à consacrer à son fils.
(Contient les épisodes US Venom (2021) 1-5, inédits)
Un premier tome qui lance deux grosses intrigues, avec deux scénaristes aux commandes, mais qui va surtout se concentrer sur Dylan, le fils d'Eddie, qui doit gérer l'héritage de son père. Service minimum pour les deux auteurs, avec un Ram V qui peine à rendre son intrigue passionnante, et un Bryan Hitch qui n'est plus en grande forme depuis longtemps. Malgré tout, on considèrera que c'est une nouvelle pierre intéressante dans la saga Venom et toute la mythologie construite par Donny Cates.
Excellente reprise du titre par Ewing et Ram V. Les auteurs continue le nouveau statut-quo de Cates et pousse les limites de la mythologie de Venom avec un style plus posé et mystérieux que le run précédent. On a 2 ambiances différentes avec les auteurs, une plus urbaine et l'autre cosmique variant le plaisir de lecture. Malheureusement, les numéros par Ram V sont les plus faibles et composent plus de la moitié de ce tome 1. Bryan Hitch propose un boulot très solide malgré quelques ratés quand les personnages ne sont pas au premier plan. Bref, un excellent début pour ce nouveau run.
Delcourt publie cette mini-série d'AWA qui vaut surtout pour les dessins de Frank Cho qui nous livre un Battle Royale dans différent mileux hostiles. On n'a pas vraiment le temps de s'attacher aux personnages et c'est dommage. Par contre, on a une intrigue en sous-marin qui est plutôt intéressante.
10 femmes... 4 défis colossaux... 1 seule couronne ! Celle qui vaincra régnera sur la galaxie.
Sur différentes planètes, chaque concurrente doit survivre aux aléas de la nature rude et impitoyable des mondes où elles sont téléportées. Elles font face à de féroces prédateurs, ainsi qu'aux autres concurrentes. Mais l'une des candidates est infiltrée avec pour but de gagner, par tous les moyens. Que veut-elle vraiment?
Delcourt publie cette mini-série d'AWA qui vaut surtout pour les dessins de Frank Cho qui nous livre un Battle Royale dans différent mileux hostiles. On n'a pas vraiment le temps de s'attacher aux personnages et c'est dommage. Par contre, on a une intrigue en sous-marin qui est plutôt intéressante.
Nouvelle étape importante dans le run de Peter David avec la fin du statut-quo avec le Panthéon qui va chambouler la vie d'Hulk. Toutefois, ça va aussi marquer le début d'une baisse de qualité pour le run de Peter David. On continue à trouver les qualités d'écrivains de l'auteur, ainsi que quelques perles comme le poignant numéro sur le SIDA. Néanmoins, on sent que le titre a perdu une direction scénaristique qu'on ne retrouvera plus dans les numéros à venir. Malgré l'époque, on retrouve des futures vedettes du dessins qui avait déjà avec un bon niveau comme Gary Frank et Liam Sharp.
Peter David, Gary Frank, Liam Sharp
Hulk voyage en Enfer ! Ses amis du Panthéon ont subi une terrible perte, et Hulk lui-même est emporté par Héla dans l'Enfer des Asgardiens ! Puis, avec la chute du Panthéon, Hulk laisse libre cours à sa colère et devient… le sauvage Bruce Banner ?
(Contient les épisodes US Incredible Hulk (1962) 420-432, précédemment publiés dans Hulk V.I. 20-27)
Nouvelle étape importante dans le run de Peter David avec la fin du statut-quo avec le Panthéon qui va chambouler la vie d'Hulk. Toutefois, ça va aussi marquer le début d'une baisse de qualité pour le run de Peter David. On continue à trouver les qualités d'écrivains de l'auteur, ainsi que quelques perles comme le poignant numéro sur le SIDA. Néanmoins, on sent que le titre a perdu une direction scénaristique qu'on ne retrouvera plus dans les numéros à venir. Malgré l'époque, on retrouve des futures vedettes du dessins qui avait déjà avec un bon niveau comme Gary Frank et Liam Sharp.
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L'Avis de la rédaction (1)
Julien Staff MDCU
il y a 3 ans
L'arrivée de John Byrne sur She-Hulk, qui va redonner un nouveau souffle et une nouvelle énergie au personnage. Humour, parodie et brisage de 4ème mur au programme. On y retrouve également tout le talent de Byrne au dessin. C'est un immanquable.