Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Avis de tempête à Kings Dominion, où de vieilles rivalités ressurgissent et de sombres secrets sont révélés. Déscolarisés depuis les récents événements, Marcus et Saya, les individus les plus meurtriers de la planète, sont réunis une dernière fois. L'épreuve s'annonce ultime puisqu'ils ont été engagés pour s'entretuer.
Contenu vo : #49-52
Après des tomes surprenants, l’auteur continue sur la même lignée. L'histoire reste imprévisible et l'auteur montre que personne n’est à l’abri jusqu’à la fin. Les personnages sont toujours passionnants à suivre et réussissent à continuer à surprendre après autant de numéros. Au final, un nouveau tome toujours aussi jouissif à lire.
Toujours aussi génial, ce second tome devient encore plus méta que le premier, avec l'apparition de nombreux créateurs connus et de leurs créations, au coeur d'une intrigue qui devient encore plus folle. Chip Zdarsky passe même par là pour écrire un numéro hilarant sur lui-même. Vraiment l'une des séries indés à ne pas rater.
Plusieurs années après le crossover qui a mêlé fiction et réalité, les personnages de comics, les fameux fakes, sont toujours aussi recherchés... autant que leurs auteurs ! Après la mort de Brian K. Vaughan et d'autres célébrités du genre, les artistes sont en effet bien loin d'être en sécurité. C'est notamment le cas de Chip Zdarsky, qui s'est reconverti en chef cuisinier. On raconte qu'un tueur en série serait à sa recherche, aussi vit-il dans la peur... à raison ! Entre-temps, l'équipe menée par Ellie poursuit son dangereux périple au coeur du dôme et s'apprête à faire des rencontres insolites !
Contenu vo : Crossover #7-13
Toujours aussi génial, ce second tome devient encore plus méta que le premier, avec l'apparition de nombreux créateurs connus et de leurs créations, au coeur d'une intrigue qui devient encore plus folle. Chip Zdarsky passe même par là pour écrire un numéro hilarant sur lui-même. Vraiment l'une des séries indés à ne pas rater.
La première partie de la série X-Men par Jonathan Hickman. C'est comme toujours super bien construit et très intelligent, les personnages gagnant en charisme sous la plume du scénariste et le trait de Leinil Yu. Des concepts ingénieux et le tout intégré dans une plus grande saga, celle de Krakoa, qu'il a lui-même lancé avec HOX/POX.
Après HoX et PoX, c’est la série à suivre pour connaître les principaux changements de l’univers des mutants. Hickman propose des épisodes riches thématiquement et toujours passionnants à découvrir dans la construction de cette nouvelle société. Il est accompagné par de super dessinateurs, notamment Leinil Yu qui permet aux personnages de gagner en prestance.
Jonathan Hickman, Leinil Francis Yu, R.B. Silva, Mahmud Asrar
Un nouveau monde s'est ouvert aux mutants du monde entier, et le futur ne s'est jamais annoncé si lumineux ! Découvrez la face optimiste de ce renouveau grâce à la famille Summers, ainsi que les côtés plus sombres d’un paradis qui repose sur des règles strictes.
(Contient les épisodes US X-Men (2019) 1-12, précédemment publiés dans DAWN OF X 1-7, 9, 13-14 et X OF SWORDS 1)
La première partie de la série X-Men par Jonathan Hickman. C'est comme toujours super bien construit et très intelligent, les personnages gagnant en charisme sous la plume du scénariste et le trait de Leinil Yu. Des concepts ingénieux et le tout intégré dans une plus grande saga, celle de Krakoa, qu'il a lui-même lancé avec HOX/POX.
Après HoX et PoX, c’est la série à suivre pour connaître les principaux changements de l’univers des mutants. Hickman propose des épisodes riches thématiquement et toujours passionnants à découvrir dans la construction de cette nouvelle société. Il est accompagné par de super dessinateurs, notamment Leinil Yu qui permet aux personnages de gagner en prestance.
Delcourt regroupe en une intégrale les deux tomes de L'Étrange Vie De Nobody Owens. Nous retrouvons le talent de Gaiman dans l'adaptation de ce merveilleux conte plein de surprises, et magnifiquement mis en image. La fin en demi-teinte n'enlève pas le plaisir de lecture du reste. A lire si vous aimez l'auteur, et que vous voulez découvrir cette proposition graphique.
Cette réédition en intégrale de l'adaptation du roman The Graveyard de Neil Gaiman est servie par la crème des auteurs de comics, de P.C. Russell à Kevin Nowlan, en passant par Jill Thomson et Scott Hampton.
Nobody Owens serait un garçon normal s'il ne vivait pas dans un cimetière, élevé par des fantômes, avec un gardien qui n'appartient ni au monde des vivants, ni à celui des morts. De nombreuses aventures attendent le petit garçon dans le cimetière : un homme Indigo, un portail vers une vieille cité envahie par des goules, l'étrange et terrible Sleer. Mais à l'extérieur, Jack attend pour le tuer...
Delcourt regroupe en une intégrale les deux tomes de L'Étrange Vie De Nobody Owens. Nous retrouvons le talent de Gaiman dans l'adaptation de ce merveilleux conte plein de surprises, et magnifiquement mis en image. La fin en demi-teinte n'enlève pas le plaisir de lecture du reste. A lire si vous aimez l'auteur, et que vous voulez découvrir cette proposition graphique.
Les xénomorphes, les créatures les plus terrifiantes de l’univers, répandent la terreur ! Directement tirés de la saga cinématographique qui a repoussé les limites de l’horreur et de la science-fiction, les récits réunis dans ce tome sont signés de grands noms de l’univers des comics.
(Contient les épisodes US Aliens (1988) 1-6, Aliens (1989) 1-4, Aliens: Earth War 1-4, Aliens: Genocide 1-4, Aliens: Hive 1-4, Aliens: Tribes, Aliens: Newt's Tale 1-2, Alien3 1-3, Aliens: Space Marines 1-12, Dark Horse Presents (1986) 24, 42, 43, 56 (extraits), Dark Horse Presents Fifth Anniversary Special (extraits) et Dark Horse Insider (1989) 14-27 (extraits), précédemment publiés dans Aliens, la série originale 1-6, Aliens (1991) 1-2, Aliens : Guerre pour la Terre 1-2, Aliens : L'intrus 1-2 et inédits)
Les xénomorphes, les créatures les plus terrifiantes de l’univers, répandent la terreur ! Directement tirés de la saga cinématographique qui a repoussé les limites de l’horreur et de la science-fiction, les récits réunis dans ce tome sont signés de grands noms de l’univers des comics.
(Contient les épisodes US Aliens (1988) 1-6, Aliens (1989) 1-4, Aliens: Earth War 1-4, Aliens: Genocide 1-4, Aliens: Hive 1-4, Aliens: Tribes, Aliens: Newt's Tale 1-2, Alien3 1-3, Aliens: Space Marines 1-12, Dark Horse Presents (1986) 24, 42, 43, 56 (extraits), Dark Horse Presents Fifth Anniversary Special (extraits) et Dark Horse Insider (1989) 14-27 (extraits), précédemment publiés dans Aliens, la série originale 1-6, Aliens (1991) 1-2, Aliens : Guerre pour la Terre 1-2, Aliens : L'intrus 1-2 et inédits)
Mon coup de coeur de l'année ! Un titre magnifique à l'ambiance incroyable. Une revisite du mythe de la maison hantée avec un twist très intéressant, mais également une réfléxion sur l'art et la recherche d'inspiration. Captivant et enivrant du début à la fin.
Ro est une jeune peintre dont les dernières toiles lui ont assuré une renommée naissante. Malheureusement, ses nouvelles créations se font attendre. Aussi, son galeriste lui conseille une retraite au calme, à l'abri du tumulte de la ville. Ro trouve alors une vieille demeure, prétendument hantée, dans laquelle elle retrouvera l'inspiration, et bien plus encore...
Contenu : The Me You Love In The Dark #1-5
Mon coup de coeur de l'année ! Un titre magnifique à l'ambiance incroyable. Une revisite du mythe de la maison hantée avec un twist très intéressant, mais également une réfléxion sur l'art et la recherche d'inspiration. Captivant et enivrant du début à la fin.
Le second acte de la saga de Warworld commence très fort puis prend son temps pour développer la révolte, en explorant et développant l'univers du Warworld qui est passionnant à découvrir. L'auteur réussi aussi à sublimer le rôle de Superman par des scènes très humaines. La partie graphique ne faiblit pas avec le fantastique style réaliste de Riccardo Federic pour la majorité des épisodes. Un titre toujours aussi captivant à suivre.
La saga Warworld débute alors que Superman se retrouve prisonnier sur la planère-arène de Mongul. Phillip Kennedy Johnson prend le temps d'installer son histoire et de nous présenter le fonctionnement de la planète, donnant dans un premier temps un aspect très pessimiste au récit, avant bien sûr que les choses puissent s'inverser. Un concept forcément épique et intéressant, qui est peut-être un peu plus barbant qu'il ne devrait par moment, mais qui s'appuie tout de même sur une belle écriture, assez humaine et sensible, et une partie graphique de haute volée.
scénaristes : Phillip Kennedy Johnson, Grant Morrison - dessinateurs : Daniel SAMPERE, Mikel JANIN
Aux confins de la galaxie, un peuple entier s'abîme dans la servitude. Les hordes du Warworld sont tombées sous la coupe de Mongul et agonisent sous le poids des chaînes. Accompagné de l'équipe de The Authority, Superman s'est mis en devoir de leur porter secours. Mais le Dernier Fils de Krypton est loin de s'attendre à une telle résistance. Et l'enjeu est de taille, car c'est le destin de la planète entière qui se joue dans cet affrontement !
Contenu vo : Action Comics #1036-1041
Le second acte de la saga de Warworld commence très fort puis prend son temps pour développer la révolte, en explorant et développant l'univers du Warworld qui est passionnant à découvrir. L'auteur réussi aussi à sublimer le rôle de Superman par des scènes très humaines. La partie graphique ne faiblit pas avec le fantastique style réaliste de Riccardo Federic pour la majorité des épisodes. Un titre toujours aussi captivant à suivre.
La saga Warworld débute alors que Superman se retrouve prisonnier sur la planère-arène de Mongul. Phillip Kennedy Johnson prend le temps d'installer son histoire et de nous présenter le fonctionnement de la planète, donnant dans un premier temps un aspect très pessimiste au récit, avant bien sûr que les choses puissent s'inverser. Un concept forcément épique et intéressant, qui est peut-être un peu plus barbant qu'il ne devrait par moment, mais qui s'appuie tout de même sur une belle écriture, assez humaine et sensible, et une partie graphique de haute volée.
Une bonne histoire de Batman qui permet de revoir Kubert au dessin. Le récit a l'originalité de nous échanger les buildings américains par notre bonne vieille Europe. Une lecture efficace et agréable, mais qui ne laissera pas une marque indélébile dans l'univers de Batman.
Après une vie passée à combattre le crime, Bruce Wayne n'est plus le même homme, ses nombreuses cicatrices en sont le douloureux rappel. Malgré la perte de ses amis les plus chers, son serment est toujours marqué au fer rouge dans son esprit. Mais aujourd'hui, le manoir est vide, et Batman est plus seul que jamais. Qu'est-ce qui peut encore retenir le Chevalier Noir à Gotham ? D'autant qu'à l'autre bout du monde, un avion vient de se crasher, des centaines d'innocents à son bord. En Angleterre, une mystérieuse organisation qui opère sous le nom d'Equilibrium réclame en effet toute son attention. Peut-être est-il temps pour la chauve-souris de quitter la Batcave... pour toujours ?
Contenu vo : Batman: The Detective #1-6
Une bonne histoire de Batman qui permet de revoir Kubert au dessin. Le récit a l'originalité de nous échanger les buildings américains par notre bonne vieille Europe. Une lecture efficace et agréable, mais qui ne laissera pas une marque indélébile dans l'univers de Batman.
Un opus qui n'est pas forcément indispensable pour comprendre Injustice mais qui reste dans la même veine que le titre originel. Sans être extraordinaire, on peut dire que la qualité reste au rendez-vous.
Au cours de sa carrière de criminelle, Harley Quinn a toujours vécu dans l'ombre de son amant, Monsieur J. Mais quand le Joker décide de s'en prendre à Superman, le poussant à commettre l'impensable et à s'autoproclamer souverain implacable de la Terre, s'en est trop pour elle. Elle rejoint alors la résistance aux côtés de héros menés par Batman, que sa présence plaise ou non. Pour la première fois de sa vie, l'ancienne psychiatre vit pour elle-même et ses propres idéaux moraux.
Contenu vo : Injustice Ground Zero #1-12
Un opus qui n'est pas forcément indispensable pour comprendre Injustice mais qui reste dans la même veine que le titre originel. Sans être extraordinaire, on peut dire que la qualité reste au rendez-vous.
Un tome de transition qui prépare les chamboulements à venir pour le titre. On retrouve la recette de Taylor qui fonctionne toujours avec quelques changements pour Nightwing. C'est l'occasion d'avoir des team-ups avec d'autres héros qui sont funs à lire, mais qui ne font pas progresser l'intrigue des masses. Heureusement Bruno Redondo continue à proposer des pages bluffantes, preuve en est l'épisode rempli de doubles pages qui simulent un plan-séquence continue.
Si l'histoire est simple et agréable, la lecture vaut surtout pour les superbes dessins de Bruno Redondo qui donnent tout son intérêt à la narration. Comme le dit Uraphire, il y a notamment un chapitre incroyable !
A présent que le milliardaire Dick Grayson a dévoilé qu'il comptait utiliser sa fortune, héritée d'Alfred Pennyworth, pour faire de Blüdhaven une ville plus sûre, il est devenu l'homme le plus en vue de la ville. Mais également le plus recherché ! Il s'agit maintenant de réussir à ne pas trop attirer l'attention des foules, qu'il puisse continuer à opérer sous le costume de Nightwing sans prendre le risque de révéler sa double identité. Car avec les criminels Sans-Coeur et Blockbuster dans les rues, qui en ont fait leur cible numéro un, la ville a plus que jamais besoin de son justicier masqué !
Contenu vo : Nightwing #87-92 + Superman Son of Kal El #9 + Nightwing 2021 Annual #1 + Batman Urban Legends #10
Un tome de transition qui prépare les chamboulements à venir pour le titre. On retrouve la recette de Taylor qui fonctionne toujours avec quelques changements pour Nightwing. C'est l'occasion d'avoir des team-ups avec d'autres héros qui sont funs à lire, mais qui ne font pas progresser l'intrigue des masses. Heureusement Bruno Redondo continue à proposer des pages bluffantes, preuve en est l'épisode rempli de doubles pages qui simulent un plan-séquence continue.
Si l'histoire est simple et agréable, la lecture vaut surtout pour les superbes dessins de Bruno Redondo qui donnent tout son intérêt à la narration. Comme le dit Uraphire, il y a notamment un chapitre incroyable !
Une très bonne relance du personnage, avec une série qui se consacre énormément à ses personnages et aux dialogues, ce qui est plutôt rafraichissant. C'est fun et coloré, mais ça sait être sérieux et profond quand il faut. Une vraie réussite.
Très bonne reprise du personnage qui s'attarde sur la vie privée de She-Hulk, proposant des scènes, ainsi que des dialogues inattendus et très réussis à lire. Dommage que ce tome 1 s'attarde sur le retour d'un vieux personnage. Même s'il est intéressant, ça prend de la place et on aimerai voir plus de scènes sur She-hulk.
Rainbow Rowell, Roge Antonio, Luca Maresca
Jennifer Walters est redevenue la Sensationnelle Miss Hulk ! La voilà avec toute une carrière à reconstruire et des amis à retrouver. Mais en aura-t-elle l'occasion lorsque le retour de personnages inattendus la conduit dans une aventure qui pourrait transformer à jamais l'univers Marvel ?
(Contient les épisodes US She-Hulk (2022) 1-5, inédits)
Une très bonne relance du personnage, avec une série qui se consacre énormément à ses personnages et aux dialogues, ce qui est plutôt rafraichissant. C'est fun et coloré, mais ça sait être sérieux et profond quand il faut. Une vraie réussite.
Très bonne reprise du personnage qui s'attarde sur la vie privée de She-Hulk, proposant des scènes, ainsi que des dialogues inattendus et très réussis à lire. Dommage que ce tome 1 s'attarde sur le retour d'un vieux personnage. Même s'il est intéressant, ça prend de la place et on aimerai voir plus de scènes sur She-hulk.
Un évènement Marvel qui comme souvent aurait dû en rester à un arc de la série Daredevil. On a la mauvaise impression d'assister à une redite de Civil War, mais sans l'impact ni les enjeux de celui-ci. C'est plutôt sympa à suivre, et on ne crache pas sur Checchetto au dessin, mais c'est sans doute un peu paresseux, on nous livre le strict minimum de ce qu'on peut attendre de ce Devil's Reign.
Un arc de Daredevil qui n’en dit pas le nom. C'est un event qui reste accessible, mais il parlera plus à ceux qui suivent le run de Zardsky sur Daredevil. Comme beaucoup d’event Marvel il commence sur de bonnes bases avant de redevenir très classique vers la fin. Au moins comme d’habitude, la partie graphique est superbe avec Checchetto.
Chip Zdarsky, Gerry Duggan, Marco Checchetto, Rafael De Latorre…
Wilson Fisk, le maire de New York, déclare la guerre aux super-héros Marvel. Une loi rend hors-la-loi toute personne costumée ou détentrice de super-pouvoirs et une nouvelle équipe de Thunderbolts doit emprisonner les héros masqués. Daredevil et ses alliés vont devoir unir leurs forces.
(Contient les épisodes US Devil's Reign (2022) 1-3, Devil's Reign: Superior Four (2022) 1, Devil's Reign: Villains For Hire (2022) 1, Daredevil: Woman Without Fear (2022) 1 et Devil's Reign: X-Men (2022) 1, inédits)
Un évènement Marvel qui comme souvent aurait dû en rester à un arc de la série Daredevil. On a la mauvaise impression d'assister à une redite de Civil War, mais sans l'impact ni les enjeux de celui-ci. C'est plutôt sympa à suivre, et on ne crache pas sur Checchetto au dessin, mais c'est sans doute un peu paresseux, on nous livre le strict minimum de ce qu'on peut attendre de ce Devil's Reign.
Un arc de Daredevil qui n’en dit pas le nom. C'est un event qui reste accessible, mais il parlera plus à ceux qui suivent le run de Zardsky sur Daredevil. Comme beaucoup d’event Marvel il commence sur de bonnes bases avant de redevenir très classique vers la fin. Au moins comme d’habitude, la partie graphique est superbe avec Checchetto.
Fin de la première partie du run de Zardsky sur Dardevil. Si jusqu’à maintenant vous avez aimé le run ça ne changera pas avec ce tome. Certes ce run fait déjà vu, et on pourra regretter une intrigue avec Bullseye pas passionnantes à suivre. Toutefois, le traitement de certains événements fonctionne bien et Elektra en Daredevil propose une direction intéressante. Le bémol, ce sont les dessins qui sont quelconques à voir sans Checchetto derrière.
Dernier arc de ce volume de la série Daredevil, qui se termine sur une bonne note avec ce "Lockdown". On a vraiment Elektra en Daredevil ici et l'écriture du personnage est intéressante, son opposition à Bullseye y ajoutant du piquant. C'est un peu plus faible du côté de Matt et de son intrigue en prison. Et les dessins font un peu défaut au titre, qui nous avait habitué à bien mieux avec Checchetto.
Chip Zdarsky, Mike Hawthorne
Bullseye fait son grand retour. De quoi faire vaciller le nouveau code d’honneur d’Elektra qui a endossé le costume de Daredevil. Parviendra-t-elle à se maîtriser face à celui qui l’a déjà vaincue et humiliée ?
(Contient les épisodes US Daredevil (2019) 31-36, inédits)
Fin de la première partie du run de Zardsky sur Dardevil. Si jusqu’à maintenant vous avez aimé le run ça ne changera pas avec ce tome. Certes ce run fait déjà vu, et on pourra regretter une intrigue avec Bullseye pas passionnantes à suivre. Toutefois, le traitement de certains événements fonctionne bien et Elektra en Daredevil propose une direction intéressante. Le bémol, ce sont les dessins qui sont quelconques à voir sans Checchetto derrière.
Dernier arc de ce volume de la série Daredevil, qui se termine sur une bonne note avec ce "Lockdown". On a vraiment Elektra en Daredevil ici et l'écriture du personnage est intéressante, son opposition à Bullseye y ajoutant du piquant. C'est un peu plus faible du côté de Matt et de son intrigue en prison. Et les dessins font un peu défaut au titre, qui nous avait habitué à bien mieux avec Checchetto.
Bonne fin de série où Soule a réussi à trouver le bon rythme. Ici, le fil rouge de la série se termine de façon captivante et on finit avec un arc embrayant sur l'après-épisode 8. Ce dernier tome à le mérite de mettre en avant les membres de l'équipe Black Squadron qui ont bien été développés et de proposer de chouettes moments entre personnages. Les dessins sont réussis, reproduisant fidèlement les vaisseaux malgré l'aspect figé des visages par moments.
Charles Soule, Jody Houser, Angel Unzueta, Andra Broccardo
La mission de Poe Dameron et de l'Escadron Black est la même depuis le départ : retrouver Lor San Tekka… et ils sont sur le point de l’accomplir ! Mais tout peut encore arriver dans ces aventures qui se déroulent juste avant Star Wars : Le Réveil de la Force et après Les derniers Jedi.
(Contient les épisodes US Poe Dameron (2016) 20-31 et Annual 2, précédemment publiés dans 100% STAR WARS : POE DAMERON 5-6)
Bonne fin de série où Soule a réussi à trouver le bon rythme. Ici, le fil rouge de la série se termine de façon captivante et on finit avec un arc embrayant sur l'après-épisode 8. Ce dernier tome à le mérite de mettre en avant les membres de l'équipe Black Squadron qui ont bien été développés et de proposer de chouettes moments entre personnages. Les dessins sont réussis, reproduisant fidèlement les vaisseaux malgré l'aspect figé des visages par moments.
Ce nouveau numéro de Batman bimestriel est important, non pas pour les numéros de Batman et Detective Comics, déjà publié en albums, mais pour les premiers numéros de la série Deathstroke Inc qui est importante pour les publication de Williamson. Quand on sait que ça sert pour le crossover Shadow War qui sera bientôt publié mais aussi pour Dark Crisis qui arrivera plus tard, on ne peut pas le manquer. En plus, c'est hyper intéressant, notamment pour le team-up entre Deathstroke et Black Canary.
Batman est-il encore le protecteur de Gotham City ? La question peut se poser alors que de nouvelles forces profitent des méfaits de l'Épouvantail afin d'imposer un ordre autoritaire, par James TYNION IV et Jorge JIMENEZ. Parallèlement, le Chevalier Noir croise à nouveau le chemin de Huntress, une alliée aux méthodes expéditives, dont la présence lui sera bien utile lors de son enquête dans « les beaux quartiers », par Mariko TAMAKI et Viktor BOGDANOVIC. De son côté, le mercenaire Deathstroke s'est alliée à la justicière Black Canary. Ensemble, ils affrontent les super-vilains les plus retors lors d'aventures qui les entraînent dans l'espace ou dans d'autres dimensions. Un parcours atypique et surprenant auquel nous invitent Joshua WILLIAMSON, Howard PORTER et Paolo PANTALENA.
Contenu VO: BATMAN #109 et 110 • DETECTIVE COMICS #1037 à 1039 • DEATHSTROKE INC #1 à #7
Ce nouveau numéro de Batman bimestriel est important, non pas pour les numéros de Batman et Detective Comics, déjà publié en albums, mais pour les premiers numéros de la série Deathstroke Inc qui est importante pour les publication de Williamson. Quand on sait que ça sert pour le crossover Shadow War qui sera bientôt publié mais aussi pour Dark Crisis qui arrivera plus tard, on ne peut pas le manquer. En plus, c'est hyper intéressant, notamment pour le team-up entre Deathstroke et Black Canary.
Si vous n'avez pas encore l'une des 324 éditions de Harley Quinn époque renaissance par Palmiotti et Conner, c'est le moment. La première partie du run décrit une Harley très fidèle à celle que l'on connait. Entre provocation, lgéfereté, amusement et sérieux, le duo avait réussi à tenir le cap. Bon depuis, ce n'est pas le cas, et le run a été allongé pour au final s'écrouler. Mais la premipre partie ? Comme dit avant, c'est vraiment pas mal.
L'ex-psychiatre Harleen Quinzel n'est pas le genre de femme à se satisfaire d'une vie convenable et tranquille. Elle fuit la routine comme la peste et cherche par tous les moyens à faire de sa vie une aventure. Sa toute fraîche installation à Coney Island est donc l'occasion rêvée d'en commencer un nouveau chapitre ! Avec son entrée fracassante dans l'équipe locale de roller derby, l'approche de la Saint-Valentin et la découverte d'un contrat mis sur sa tête, la mortelle et pétillante Harley Quinn aura beaucoup à faire. Apparue dans les dessins animés, Harley Quinn est désormais l'un des personnages DC les plus populaires, comme en témoigne son succès dans les cosplay. Le scénariste Jimmy PALMIOTTI et la dessinatrice Amanda CONNER mettent au service de l'héroïne leur sens de l'humour, frappadingue, décalé mais également touchant.
Contenu vo : Harley Quinn #0 + #1-13 + Secret Origins #4 + Futures End #1 + Annual #1 + San Diego Special
Si vous n'avez pas encore l'une des 324 éditions de Harley Quinn époque renaissance par Palmiotti et Conner, c'est le moment. La première partie du run décrit une Harley très fidèle à celle que l'on connait. Entre provocation, lgéfereté, amusement et sérieux, le duo avait réussi à tenir le cap. Bon depuis, ce n'est pas le cas, et le run a été allongé pour au final s'écrouler. Mais la premipre partie ? Comme dit avant, c'est vraiment pas mal.
Un arc de transition, qui sert surtout à relancer l'équipe de Batman Inc. Il y a quelques idées intéressantes et les dessins sont de qualité, mais globalement on n'est jamais emportée par l'intrigue ou par ce nouveau personnage qu'est Abyss.
Un arc de transition sympathique mais plutôt anecdotique. Cela démarre très bien pour devenir confus vers la fin. Les dessins sont bons, même si là aussi le dessinateur principal se fera vite seconder. Il faudra attendre le tome suivant pour retourner vers une histoire d’envergure.
Tandis que Gotham célèbre sa survie à l'État de terreur, Batman se replie dans l'ombre. Mais ce terrain pourtant bien connu par le Chevalier Noir s'avère hostile alors que les abysses deviennent soudainement mortelles. Un bienfaiteur de Batman Inc. nouvellement apparu pourrait bien aider à y remédier, à moins qu'il n'en soit la cause ? Pour le savoir, Batman n'a d'autres choix que de plonger complètement dans les ténèbres de Gotham.
Contenu : Batman #118-121 + back-ups + #124
Un arc de transition, qui sert surtout à relancer l'équipe de Batman Inc. Il y a quelques idées intéressantes et les dessins sont de qualité, mais globalement on n'est jamais emportée par l'intrigue ou par ce nouveau personnage qu'est Abyss.
Un arc de transition sympathique mais plutôt anecdotique. Cela démarre très bien pour devenir confus vers la fin. Les dessins sont bons, même si là aussi le dessinateur principal se fera vite seconder. Il faudra attendre le tome suivant pour retourner vers une histoire d’envergure.
Nouvelle série où on alterne entre les épisodes d’Hickman qui développe le statut cosmique de Krakoa avec des épisodes plutôt fun, et les épisodes de Brisson moins intéressants à suivre pour le coup en comparaison. Un tome en demi-teinte, mais qui bénéficie du graphisme particulier de Rod Reis qui fait des merveilles.
Ed Brisson, Jonathan Hickman, Rod Reis, Flaviano
Les Nouveaux Mutants reviennent et cherchent l’aide de quelques amis afin de partir à la recherche de Rocket, perdu dans l’espace. Mais le périple prend une autre tournure lorsqu’ils sont accusés de crimes contre l’empire Shi’ar.
(Contient les épisodes US New Mutants (2019) 1-12, précédemment publiés dans DAWN OF X 1-7, 9-11 et 15)
Nouvelle série où on alterne entre les épisodes d’Hickman qui développe le statut cosmique de Krakoa avec des épisodes plutôt fun, et les épisodes de Brisson moins intéressants à suivre pour le coup en comparaison. Un tome en demi-teinte, mais qui bénéficie du graphisme particulier de Rod Reis qui fait des merveilles.
Goeff Johns + Gary Frank, c'est un peu la recette du succès ! Ça ne peut pas être aussi simple bien sûr, mais c'est une nouvelle fois une très bonne série que signent le duo. Du post-apocalyptique maitrisé, avec un aspect toujours très humain et de l'émotion, amené par l'écriture de Johns. L'univers est riche, il y a du potentiel, et c'est évidemment superbe.
Un comics signé Geof Johns et Gary Frank, ça ne se refuse pas, d'autant plus que l'histoire racontée est plutôt sympathique avec un héros attachant malgré son status et l'univers post-apo est bien traité. On espère toujours qu'il y aura une suite d'ailleurs. Graphiquement, c'est aussi du très bon boulot. Bref, une bonne lecture pour ce mois-ci.
Avec l'équipe créative de Doomsday Clock, on aurait pu s'attendre à un très bon comics, mais c'est loin d'être le cas. Alors, c’est super beau, et Geiger à un look d'enfer à voir. Toutefois, pour le premier titre indé de Geoff Johns, ça manque d'impact. L'univers est juste un monde post-apo des plus classiques comme on peut en voir. Il n'y a rien qui se démarque d'autres histoires du même genre. Néanmoins, l'histoire se suit bien et il y a des bons moments.
Lorsque le feu nucléaire embrasa le monde, certains parvinrent à se mettre à l'abri, mais pas Tariq Geiger. S'il réussit à placer sa famille en lieu sûr, il n'eut jamais le temps de les rejoindre. Vingt ans plus tard, dans un monde ravagé où des hors-la-loi se battent pour survivre, la loi du plus fort règne. Mais tous ont appris à craindre un homme... Ou plutôt une légende. Il se murmure qu'un guerrier phosphorescent serait parvenu à échapper au nouvel ordre mondial... Un guerrier obsédé par la protection d'un certain bunker...
Contenu vo : Geiger #1-6 + Geiger 80-page Giant #1
Goeff Johns + Gary Frank, c'est un peu la recette du succès ! Ça ne peut pas être aussi simple bien sûr, mais c'est une nouvelle fois une très bonne série que signent le duo. Du post-apocalyptique maitrisé, avec un aspect toujours très humain et de l'émotion, amené par l'écriture de Johns. L'univers est riche, il y a du potentiel, et c'est évidemment superbe.
Un comics signé Geof Johns et Gary Frank, ça ne se refuse pas, d'autant plus que l'histoire racontée est plutôt sympathique avec un héros attachant malgré son status et l'univers post-apo est bien traité. On espère toujours qu'il y aura une suite d'ailleurs. Graphiquement, c'est aussi du très bon boulot. Bref, une bonne lecture pour ce mois-ci.
Avec l'équipe créative de Doomsday Clock, on aurait pu s'attendre à un très bon comics, mais c'est loin d'être le cas. Alors, c’est super beau, et Geiger à un look d'enfer à voir. Toutefois, pour le premier titre indé de Geoff Johns, ça manque d'impact. L'univers est juste un monde post-apo des plus classiques comme on peut en voir. Il n'y a rien qui se démarque d'autres histoires du même genre. Néanmoins, l'histoire se suit bien et il y a des bons moments.
Le personnage de Spider-Woman est tellement sous-etimé, qu'il serait vraiment dommage de ne pas la découvrir à travers ses premiers récits en intégrale. Je ne peux que conseiller chaque lecteur, de la première ou de la dernière heure, à jeter un oeil à cette héroïne.
Mark Gruenwald, Michael Fleisher, Carmine Infantino, Trevor Von Eeden
Les aventures de Jessica Drew se poursuivent, et Spider-Woman rencontre pour la première fois Spider-Man ! Elle devra affronter les adversaires les plus atypiques de l'univers Marvel, depuis les Frères Grimm jusqu'à la maléfique Nekra.
(Contient les épisodes US Spider-Woman (1978) 9-25, précédemment publiés dans Nova 41-54 et inédits)
Le personnage de Spider-Woman est tellement sous-etimé, qu'il serait vraiment dommage de ne pas la découvrir à travers ses premiers récits en intégrale. Je ne peux que conseiller chaque lecteur, de la première ou de la dernière heure, à jeter un oeil à cette héroïne.
Un dernier tome bien décevant qui malgré un postulat de base excitant, devient moins intéressant à suivre. Notamment à cause de Ribic qui ne dessine plus tout le tome. Gillen continue de développer la société des éternels et de préparer son futur event. Néanmoins, on se retrouve avec un tome plus frustrant dans sa résolution et qui marque déjà la fin de la série. Une habitude chez Marvel.
Un second bien moins maitrisé et haletant que le premier. Le twist de fin du premier et le concept de ce second sont pourtant intéressants, mais on a la sensation que Gillen se perd peut-être un peu dans toute cette mythologie qu'il tente de redéfinir, ou en tout cas a du mal à nous la présenter de manière claire. Il y a malgré tout des éléments très intéressants, c'est un plaisir de suivre tout l'aspect politique derrière ce peuple des Eternals, et également celui des Deviants. Ce sont également les premières briques de l'event AXE Judgment Day qui arrive.
Kieron Gillen, Esad Ribic, Guiu Vilanova
Les Éternels savent maintenant qu'à chaque fois qu'ils sont ressuscités, un humain meurt. Comment peuvent-ils survivre à cette révélation ? Mais ont-ils vraiment le choix ? La situation peut-elle encore plus se détériorer à cause de Thanos ?
(Contient les épisodes US Eternals (2021) 7-12, inédits)
Un dernier tome bien décevant qui malgré un postulat de base excitant, devient moins intéressant à suivre. Notamment à cause de Ribic qui ne dessine plus tout le tome. Gillen continue de développer la société des éternels et de préparer son futur event. Néanmoins, on se retrouve avec un tome plus frustrant dans sa résolution et qui marque déjà la fin de la série. Une habitude chez Marvel.
Un second bien moins maitrisé et haletant que le premier. Le twist de fin du premier et le concept de ce second sont pourtant intéressants, mais on a la sensation que Gillen se perd peut-être un peu dans toute cette mythologie qu'il tente de redéfinir, ou en tout cas a du mal à nous la présenter de manière claire. Il y a malgré tout des éléments très intéressants, c'est un plaisir de suivre tout l'aspect politique derrière ce peuple des Eternals, et également celui des Deviants. Ce sont également les premières briques de l'event AXE Judgment Day qui arrive.
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L'Avis de la rédaction (1)
Uraphire Staff MDCU
il y a 3 ans
Après des tomes surprenants, l’auteur continue sur la même lignée. L'histoire reste imprévisible et l'auteur montre que personne n’est à l’abri jusqu’à la fin. Les personnages sont toujours passionnants à suivre et réussissent à continuer à surprendre après autant de numéros. Au final, un nouveau tome toujours aussi jouissif à lire.