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Yarem est arrivé en ville il y a longtemps.
Après une existence de captivité, il s'est trouvé un nouveau but dans le voyage et la découverte ... mais ce qu'il trouvera à Yharnam testera les limites non seulement de son désir, mais aussi de sa raison. Alors que la cité maudite s'effondre, il comprend que sa propre perception du temps et de l'espace se modifient radicalement. Les murs de la réalité se plient alors que la Lune se remplit de sang...
Contenu vo : Bloodborne #13-16
Après avoir testé les limites de son anneau de pouvoir et péri au contact d'un unique membre du corps des Lanternes Antimatière, Hal Jordan se retrouve face au jugement dernier des Jeunes Gardiens qui lui permettront de revenir à la vie pour poursuivre son oeuvre. Pris dans les feux de l'Ultraguerre, entre armes millénaires et Graal cosmique, le plus grand de tous les Green Lantern va se heurter à une véritable conspiration universelle et affronter la mort, puis et la renaissance, pour espérer sauver l'univers... une fois de plus.
Contenu vo : The Green Lantern Season Two #7-12
Fin du run de Morrison, qui se sera démarqué des précédentes titres Green Lantern. On lui reconnaîtra d'avoir proposé une ambiance silver-age surprenante, offrant ainsi un bol d'air frais dans la franchise. Cependant, il n'est pas toujours facile de rentrer dans ces histoires, ce qui peut en rebuter plus d'un. Sans compter le dessin de Liam Sharp, ayant énormément évolué pour proposer un style de dessin particulier, proche de la peinture.
S'il y a bien un univers dont la mythologie avait été développée de manière assez magistrale, c'est bien Green Lantern. Tout d'abord avec Johns puis avec les suivants, l'arrivée de Morrison marque néanmoins une rupture avec ce côté mythologique et, finalement, la montée en puissance spatiale pour repartir sur quelque chose de plus... terre à terre, de plus accessible en terme d'imagination dans le sens où il s'agit d'enquêtes policières spatiales. Autant dire que les fans du taff de Johns sur l'univers ont senti passer cette approche radicalement différente.
Une fin en demi-teinte pour le run de Morrison. L'histoire est vite oubliable une fois la lecture terminée et on est nullement investi par le récit. C'est encore une fois Liam Sharp qui rend le tout intéressant, avec une évolution ébourriffante par rapport aux premiers numéros. On sent qu'il a tenté tout ce qu'il avait en tête et l'a retranscrit dans chaque planche du tome.
Après avoir quitté son petit coin douillet de Fableville pour les rues cruelles d'Hollywood, l'incomparable Jack Horner (alias Jack B. Nimble, alias Jack the Giant Killer, alias Jack of the Tales) a trouvé une renommée et une fortune sans précédent en tirant avantage de sa propre légende. Rattrapé par les collecteurs d'impôts de Fableville, Jack est maintenant dépouillé de sa richesse et contraint à l'exil. Réduit au statut de vaurien en quête d'argent et de femmes faciles, ce charmant voleur, pourtant rompu dans l'art de la tromperie, réalise les dangers auxquels le monde réel l'expose désormais...
Urban a décidé d'être assez complet sur cet event Batman en proposant les one-shot et les tie-in de Nightwing avec la série. Le problème c'est que ce n'est pas très bon, Batman subit encore une fois toute l'intrigue, et les one-shot sont pas tous de qualité et surtout, racontent souvent le passé des personnages, ce n'est pas essentiel, même si celui sur Miracel Molly est plutôt sympa, contrairement à celui de Peacekeeper. Bref, à réserver pour les complétistes de Batman.
Début de l'event Fear State. James Tynion réserve quelques surprises au fil de son récit, notamment concernant Simon Saint qui n’est pas si infaillible que ça. En revanche, ça prend son temps, et les différents tie-ins rendent la lecture un peu lourde, même s'ils permettent de développer les acteurs de l’event. À noter l'intégration des numéros tie-ins Nightwing à ce tome (et le suivant) pour une meilleure cohérence. Ils constituent un bon complément se déroulant en parallèle aux numéros Batman. Les dessins restent entre de bonnes mains, notamment avec Jimenez qui continue à se déchaîner.
Le scénario est manque unn peu de punch, les dessins de Jorge Jimenez sont toujours aussi bons.
Ce tome est consacré au crossover Fear State.
Batman & PeaceKeeper ont tous 2 été infectés par Scarecrow & tentent, chacun à leur façon, de protéger Gotham. Avec l'aide d'Oracle & de Ghost-Maker, le Chevalier Noir devra en plus lutter contre les Peacekeepers de Simon Saint.
Les origines de Miracle Molly & de Peacekeeper sont également dévoilés dans les 2 numéros Batman Secret Files.
James Tynion IV continue de nous proposer de bons épisodes sur Batman (dessiné par Jorge Jimenez), tout en nous dévoilant les origines de Miracle Molly ( dessiné par Dani) & de Peacekeeper (épaulé par Ed Vrisson & dessiné par Joshua Hixson), ainsi qu'un épisode "Alpha" mettant en scène, entre autre, Poison Ivy, magnifiquement illustré par Riccardo Federici.
Un tome tout aussi prenant que le précédent.
Bien que le trait de Jimenez me plaise énormément, les 2 Batman Secret Files, au dessin bien différent m'ont très agréablement surpris, me faisant penser à Mazzuchelli et à Mallev.
Gotham City est en passe d'instaurer la loi martiale ! Bien malgré lui, Batman a fait le jeu de l'Épouvantail qui, après un an de préparation, a déclenché une attaque coordonnée sur Gotham City en manipulant Simon Saint et Peacekeeper-01. Mais d'autres forces sont à l'oeuvre avec l'émergence d'un Anti-Oracle qui diffuse des fake news sur tous les canaux et appelle les habitants de Gotham à céder à la terreur et à la violence dans les rues de la ville !
Contenu vo : Batman Secret Files - Miracle Molly #1, Batman - Fear State - Alpha #1, Batman #112, Batman Secret Files - Peacekeeper-01 #1, Batman #113, Nightwing #84, Batman #114
Urban a décidé d'être assez complet sur cet event Batman en proposant les one-shot et les tie-in de Nightwing avec la série. Le problème c'est que ce n'est pas très bon, Batman subit encore une fois toute l'intrigue, et les one-shot sont pas tous de qualité et surtout, racontent souvent le passé des personnages, ce n'est pas essentiel, même si celui sur Miracel Molly est plutôt sympa, contrairement à celui de Peacekeeper. Bref, à réserver pour les complétistes de Batman.
Début de l'event Fear State. James Tynion réserve quelques surprises au fil de son récit, notamment concernant Simon Saint qui n’est pas si infaillible que ça. En revanche, ça prend son temps, et les différents tie-ins rendent la lecture un peu lourde, même s'ils permettent de développer les acteurs de l’event. À noter l'intégration des numéros tie-ins Nightwing à ce tome (et le suivant) pour une meilleure cohérence. Ils constituent un bon complément se déroulant en parallèle aux numéros Batman. Les dessins restent entre de bonnes mains, notamment avec Jimenez qui continue à se déchaîner.
Le scénario est manque unn peu de punch, les dessins de Jorge Jimenez sont toujours aussi bons.
Ce tome est consacré au crossover Fear State.
Batman & PeaceKeeper ont tous 2 été infectés par Scarecrow & tentent, chacun à leur façon, de protéger Gotham. Avec l'aide d'Oracle & de Ghost-Maker, le Chevalier Noir devra en plus lutter contre les Peacekeepers de Simon Saint.
Les origines de Miracle Molly & de Peacekeeper sont également dévoilés dans les 2 numéros Batman Secret Files.
James Tynion IV continue de nous proposer de bons épisodes sur Batman (dessiné par Jorge Jimenez), tout en nous dévoilant les origines de Miracle Molly ( dessiné par Dani) & de Peacekeeper (épaulé par Ed Vrisson & dessiné par Joshua Hixson), ainsi qu'un épisode "Alpha" mettant en scène, entre autre, Poison Ivy, magnifiquement illustré par Riccardo Federici.
Un tome tout aussi prenant que le précédent.
Bien que le trait de Jimenez me plaise énormément, les 2 Batman Secret Files, au dessin bien différent m'ont très agréablement surpris, me faisant penser à Mazzuchelli et à Mallev.
Une nouvelle série centrée sur Damian qui s'apprête à participer à un tournoi, ça pouvait faire peur mais c'est plutôt bien exécuté de la part de Williamson. On (re)découvre pas mal de personnages et on a quelques révélations intéressantes. Urban ajoute les back-up qui servent de prologue à la série en prime. Graphiquement, c'est assez cartoony et ça colle parfaitement au récit. Une belle découverte de la période Infinite.
J'ai commencé cette série 'juste pour voir", me basant sur le nom du scénariste, mais pensant l'abandonner rapidement. Finalement, la lecture est super plaisante, Damian reste un personnage intéressant. Du coup, j'ai continué !
Damian a disparu ! Malgré les recherches intensives lancées par sa famille, plus une trace du rejeton démoniaque de Bruce Wayne... Sur les traces de l'obscure Ligue de Lazare, une faction dissidente de la Ligue des Ombres de son grand-père Ra's al Ghul, Damian accède à un tournoi d'arts martiaux établi sur une île secrète. En parallèle, Batman redoute ce que son fils prépare et se demande s'ils pourront un jour se réconcilier après leurs récents différends. Tandis que Damian s'enfonce dans les machinations de la Ligue de Lazare, le fils de la chauve-souris découvre qu'il a peut-être trouvé la seule épreuve qu'il ne pourra surmonter seul...
Contenu vo : #1-6 + back-ups Batman #106 + Detective Comics #1034
Une nouvelle série centrée sur Damian qui s'apprête à participer à un tournoi, ça pouvait faire peur mais c'est plutôt bien exécuté de la part de Williamson. On (re)découvre pas mal de personnages et on a quelques révélations intéressantes. Urban ajoute les back-up qui servent de prologue à la série en prime. Graphiquement, c'est assez cartoony et ça colle parfaitement au récit. Une belle découverte de la période Infinite.
J'ai commencé cette série 'juste pour voir", me basant sur le nom du scénariste, mais pensant l'abandonner rapidement. Finalement, la lecture est super plaisante, Damian reste un personnage intéressant. Du coup, j'ai continué !
Bart Simms est un ado un peu perdu, coincé dans son rôle de sportif du lycée, après avoir abandonné ses rêves de science à la mort de sa mère. Mais son existence va basculer en rencontrant le héros le plus puissant de l’univers Valiant… lui-même !? Embarqué dans une quête pour vaincre aussi bien ses peurs qu’une menace interdimensionnelle, Bart sera-t-il à la hauteur du Doctor Tomorrow, son alter ego du futur ?
Contient la mini-série Doctor Tomorrow #1-5. Récit Complet.
Rien ne va plus au Lycée Morris : les jumeaux Zan et Jayna doutent de leur capacité à sauver le monde ! Mais ils n'ont pas le temps de se poser de questions, car le danger est toujours là. Un météore menace de détruire la Terre, une crise migratoire secoue la Zagronie, Polly Math s'évade, une intelligence artificielle des années 1980 s'empare d'Internet et la Ligue des Désagréables se reforme. Et pour couronner le tout, les deux jeunes héros risquent d'être exclus de la Ligue de Justice ! Pas facile d'être un ado, même avec des super-pouvoirs !
Dans Transformers War World, assistez au début de la guerre civile sur Cybertron et découvrez comment Optimus Prime est né ! Mégatron et ses Decepticons fraîchement formés retiennent Sentinel Prime, le dirigeant de Cybertron, et le sénateur Autobot Orion Pax prisonniers à l´intérieur du Sénat. Un commando est formé pour les libérer tandis que la nouvelle du coup d´État se répand à travers la planète... Cet album peut servir de point d´entrée aux nouveaux lecteurs. Il s´ouvre sur un résumé des 4 premiers volumes parus précédemment et passe en revue les personnages principaux. Couvertures interconnectés : les deux tomes de TRANSFORMERS WAR WORLD forment une fresque de Freddie E. Williams II.
L'histoire du Ranger Slayer. Dans l'univers parallèle de Lord Drakkon, le double du Ranger Rose Kimberly Hart est le Ranger Slayer : un redoutable exterminateur de Rangers. Dans un monde qui la craint, pourra-t-elle prouver qu'elle est devenue une héroïne... et est-ce la bonne chose à faire ? Alors que Drakkon a disparu, la place sur son trône est vacante et elle pourrait bien revenir à Kimberly... mais il a aussi laissé derrière lui un sombre secret, caché dans sa prison : un Ranger inconnu. TIE-IN : Cet album étend l'univers des Power Rangers en approfondissant ses personnages et leurs histoires, et s'intègre dans la série Vestron Power Rangers Unlimited.
Pour son retour aux commandes de sa license culte, James O'Barr nous livre quelque chose de radicalement différent de l'image habituel du vengeur au corbeau. La démarche est intéressante et le récit se laisse suivre facilement (bien aidé par l'ambiance graphique très immersive d'Antoine Dodé). Malgré tout, je regrette un peu le manque d'originalité d'un scénario qui se contente de cocher la plupart des clichés inhérents à ce genre d'histoire.
James O'Barr, le créateur original du comic-book culte The CROW redonne vie au mythe du corbeau ramenant les morts à la vie en compagnie de l'artiste français Antoine Dodé (Chen, Armelle, Pierrot Lunaire...). « Joe était policier à Détroit. Aujourd'hui à la retraite, il reste hanté par le meurtre d'une fillette dont il n'a pas su retrouver le coupable. Son obsession lui a coûté sa sérénité et son mariage. Lorsque la jeune victime lui réapparait, ramenée par le Corbeau, leurs tristes destins se croisent à nouveau. Trop petite pour exercer sa vengeance, incapable de mettre des mots sur ce qu'elle a subi, Joe devient son bras armé... ». James O'Barr revient à sa célèbre création en explorant une nouvelle facette du mythe du Corbeau passeur d'âmes, emmenant ce récit dans une direction jusqu'alors inexplorée. Les dessins d'Antoine Dodé donnent corps à cette poésie macabrement charmante et criminellement noire.
Pour son retour aux commandes de sa license culte, James O'Barr nous livre quelque chose de radicalement différent de l'image habituel du vengeur au corbeau. La démarche est intéressante et le récit se laisse suivre facilement (bien aidé par l'ambiance graphique très immersive d'Antoine Dodé). Malgré tout, je regrette un peu le manque d'originalité d'un scénario qui se contente de cocher la plupart des clichés inhérents à ce genre d'histoire.
Le juge Dredd est enfin venu à bout des Juges Noirs, libérant le secteur un et Mega-City One. Mais voilà qu'il se retrouve en cavale pour échapper au juge Cal, bien décidé à le remettre en détention à perpétuité.
Will Eisner est un maître de la bande dessinée. Durant des années, il s´est réuni pour discuter avec d´autres maîtres du comics. De ces rencontres, il en est résulté une collection d´informations vitales pour tous ceux qui travaillent dans l´industrie, et indispensables pour tous ceux qui cherchent à y entrer. Will Eisner s´est entretenu avec Jack Kirby, Joe Simon, Gil Kane, Joe Kubert, Jack Davis, Neal Adams, C.C. Beck, Milton Caniff, Gill Fox, Harvey Kurtzman et le gourou de la distribution Phil Seuling. Shop Talk est une mine d´informations sur la bande dessinée. Entre anecdotes et secrets de conception, Will Eisner présente l´envers du décor, celui qui passionne chaque amoureux du 9e Art soucieux de comprendre comment une oeuvre prend forme. Cette édition comprend une introduction spécialement écrite par Denis Kitchen pour la version française.
Washington ne compte plus ses morts et c'est un spectacle apocalyptique qui vient de s'achever, à peine à quelques centaines de mètres de la Maison Blanche. Le Président Bush ne peut réprimer l'expression d'un grand soulagement quand il apprend que l'opération spéciale s'achève sur un succès. Le Behemoth de Swen le Jaune est mort. Son corps est étendu sur un bloc d'immeubles dont il ne reste plus grand chose. Et si George W. Bush, en fervent catholique, remercie Le Seigneur-Tout-Puissant, l'équipe autour de lui qui a coordonné la défense de la ville suggère que ses remerciement aillent à Frankenstein. Un nom qui, depuis 200 ans, est devenu un symbole. Un conte pour certains, un avertissement pour d'autres, allant du blasphème à la plaisanterie... Mais ce nom renvoie à ce qui s'est déroulé « par une lugubre nuit de novembre » et appelle à la compréhension de la morale édifiée par son créateur, alors qu'il cousait ensemble, avec une minutie maniaque, le cadavre pourrissant du sacré au rêve inextinguible du profane... Un nom qui renvoie à l’héroïsme, même s'il doit rester secret...
Les soeurs Wachowski (Matrix, Sense8, Speed Racer) et le dessinateur Steve Skroce (X-Men, Spiderman) s'emparent du mythe de la créature de Frankenstein ! 240 pages de folie furieuse et graphique pour raconter la vie de ce monstre, de la fin du roman de Mary Shelley jusqu'à nos jours. « Provoquant, profond et ridiculement violent, Doc Frankenstein est la créature des plus grands storytellers du moment » - Brian K.Vaughan (Saga, Y le dernier homme)
![[Sorties Comics] Vendredi 11 Juillet](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
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![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
Avis (3)
Uraphire Staff MDCU
il y a 3 ans
Fin du run de Morrison, qui se sera démarqué des précédentes titres Green Lantern. On lui reconnaîtra d'avoir proposé une ambiance silver-age surprenante, offrant ainsi un bol d'air frais dans la franchise. Cependant, il n'est pas toujours facile de rentrer dans ces histoires, ce qui peut en rebuter plus d'un. Sans compter le dessin de Liam Sharp, ayant énormément évolué pour proposer un style de dessin particulier, proche de la peinture.
Jeff Staff MDCU
il y a 3 ans
S'il y a bien un univers dont la mythologie avait été développée de manière assez magistrale, c'est bien Green Lantern. Tout d'abord avec Johns puis avec les suivants, l'arrivée de Morrison marque néanmoins une rupture avec ce côté mythologique et, finalement, la montée en puissance spatiale pour repartir sur quelque chose de plus... terre à terre, de plus accessible en terme d'imagination dans le sens où il s'agit d'enquêtes policières spatiales. Autant dire que les fans du taff de Johns sur l'univers ont senti passer cette approche radicalement différente.
The Batman
il y a 3 ans
Une fin en demi-teinte pour le run de Morrison. L'histoire est vite oubliable une fois la lecture terminée et on est nullement investi par le récit. C'est encore une fois Liam Sharp qui rend le tout intéressant, avec une évolution ébourriffante par rapport aux premiers numéros. On sent qu'il a tenté tout ce qu'il avait en tête et l'a retranscrit dans chaque planche du tome.