Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Ed Brubaker, Michael Lark
C’était impensable et pourtant, c’est arrivé : Matt Murdock est accusé par le FBI d’être Daredevil et il est poursuivi en justice. En attendant son procès, l’avocat aveugle est enfermé dans une cellule de Rykers, parmi des malfrats qu’il a lui-même envoyés là et qui sont impatients de se venger.
(Contient les épisodes US Daredevil (1998) 82-93, nouvelle édition)
Le run de Bendis était vraiment excellent, et le changement de scénariste pouvait faire peur. Mais la suite est assurée par le très bon Brubaker, et ce qui est impressionnant, c'est qu'il arrive à garder l'ambiance que Bendis avait apporté à la série. Pourtant la tache n'était pas facile, car le run de Bendis se terminait sur une conclusion très ouverte. Bref, si vous avez aimé le Daredevil de Bendis, jetez-vous sur celui de Brubaker, vous ne serez pas déçu !
Ram V et Albuquerque débarquent sur Batman, et quelle merveilleuse association que cette paire ! Ils arrivent d'emblée à détacher ce titre de toutes les nombreuses publications Batman, avec une ambiance bien particulière et une intrigue assez mystérieuse, qui semble parti pour se construire sur le long terme. On pensera un peu à la Cour des Hiboux sur le fond de l'histoire, mais avec une forme bien différente, dans l'écriture comme dans les superbes dessins d'Albuquerque. La série Batman la plus rafraichissante et prometteuse du moment.
Il y a quelque chose de pourri au royaume de Gotham. Peu importe les épreuves que Bruce surmonte, et les pistes qu'il poursuit, le plus grand détective du monde n'arrive pas à trouver la source de la peur rampante qu'il ressent - comme si ses démons intérieurs s'emballaient et lui annonçaient sa mort imminente. Pendant ce temps, de vrais démons rôdent dans l'ombre et enveloppent la Cité de leurs ténèbres alors qu'une mélodie séculaire hante la nuit de Gotham. Le rideau se lève, la complainte sinistre s'élève... et Batman pourrait cette fois rester à terre.
Contenu vo : Detective comics #1062-1065 + back up (1062-1064) + Detective Comics Annual 2022
Ram V et Albuquerque débarquent sur Batman, et quelle merveilleuse association que cette paire ! Ils arrivent d'emblée à détacher ce titre de toutes les nombreuses publications Batman, avec une ambiance bien particulière et une intrigue assez mystérieuse, qui semble parti pour se construire sur le long terme. On pensera un peu à la Cour des Hiboux sur le fond de l'histoire, mais avec une forme bien différente, dans l'écriture comme dans les superbes dessins d'Albuquerque. La série Batman la plus rafraichissante et prometteuse du moment.
Une mini-série des plus audacieuses à tout point de vue !
Ram V et Christian Ward nous livrent une version très originale du personnage d'Aquaman. Le récit puise ses inspirations dans la science-fiction, l'horreur et le thriller psychologique, qui n'est pas sans rappeler quelques oeuvres du genre, telles qu'Abyss pour n'en citer qu'une.
Ram V explore avec poésie, les tourments les plus profond de l'humanité et le danger qu'elle peut finalement représenter. On lui pardonnera toute fois quelques longueurs puisqu'il est accompagné par un artiste des plus talentueux, Christian Ward, qui nous livre ici un spectacle visuel saisissant. Son style si particuier et sa généreuse palette de couleur, retransmettent parfaitement cette ambiance terrifiante et fantastique des fonds marins, avec des planches d'une incroyable beauté. Même sans être attâché au personnage d'Aquaman, faites confiance au duo d'artiste et plongez vous d'urgence dans cette mini série.
Ram V nous propose un récit différent de ce qu’on a l’habitude de lire sur le personnage avec un angle horrifique intéressant. Le travail des personnages est réussi et bien travaillé. C’est surtout le dessin sublime de Christian Ward qui permet de donner une ambiance unique à l’histoire. Au final, un récit complet de très bonne facture !
Au plus profond de l'océan Pacifique se trouve l'endroit le plus éloigné de toute terre : le Point Nemo. Depuis la course à l'espace, les nations du monde entier y ont envoyé leurs vaisseaux s'écraser pour couler sous les mers silencieuses. Mais il y a quelque chose... d'autre à Point Nemo. Une structure qui n'a pas été construite par des mains humaines. Et cette structure semble se réveiller. L'équipage du sous-marin expérimental Andromeda a été choisi pour enquêter sur ce mystère, mais ils ne sont pas seuls à écumer les fonds marins...
Contenu vo : Aquaman Andromeda #1-3
Une mini-série des plus audacieuses à tout point de vue !
Ram V et Christian Ward nous livrent une version très originale du personnage d'Aquaman. Le récit puise ses inspirations dans la science-fiction, l'horreur et le thriller psychologique, qui n'est pas sans rappeler quelques oeuvres du genre, telles qu'Abyss pour n'en citer qu'une.
Ram V explore avec poésie, les tourments les plus profond de l'humanité et le danger qu'elle peut finalement représenter. On lui pardonnera toute fois quelques longueurs puisqu'il est accompagné par un artiste des plus talentueux, Christian Ward, qui nous livre ici un spectacle visuel saisissant. Son style si particuier et sa généreuse palette de couleur, retransmettent parfaitement cette ambiance terrifiante et fantastique des fonds marins, avec des planches d'une incroyable beauté. Même sans être attâché au personnage d'Aquaman, faites confiance au duo d'artiste et plongez vous d'urgence dans cette mini série.
Ram V nous propose un récit différent de ce qu’on a l’habitude de lire sur le personnage avec un angle horrifique intéressant. Le travail des personnages est réussi et bien travaillé. C’est surtout le dessin sublime de Christian Ward qui permet de donner une ambiance unique à l’histoire. Au final, un récit complet de très bonne facture !
Sans doute l'un des runs les plus connus et appréciés de Daredevil. Il s'agit du genre d'oeuvre qui est réédité tous les 3-4 ans sous un nouveau format et aujourd'hui encore, on comprend pourquoi.
Si vous aimez les super-héros urbains et que vous n'avez pas encore lu le travail de Frank Miller, c'est à se procurer au plus vite !
Un classique parmi les classiques, qui reprend le run de Miller sur Daredevil, hors Born Again et Man Without Fear. Précèdemment publié au format Icons, vous avez là un joli omnibus avec l'intégral.
Frank Miller, Roger McKenzie, David Michelinie
Lorsque Elektra revient à New York, Daredevil découvre que son amour de jeunesse est devenu un assassin. Par ailleurs, alors que le secret de sa double identité est menacé, Matt Murdock est la cible du Caïd. Et depuis sa cellule, Bullseye, un vilain arrêté par Daredevil, nourrit aussi sa vengeance.
(Contient les épisodes US Daredevil (1964) 158-161, 163-191 et What If…? (1977) 28, précédemment publiés dans MARVEL LES GRANDES ALLIANCES 4 – DAREDEVIL ET ELEKTRA, LES TRESORS DE MARVEL 10 : 1980, MARVEL ICONS : DAREDEVIL PAR MCKENZIE/MILLER et MARVEL ICONS : DAREDEVIL PAR FRANK MILLER 1-2)
Sans doute l'un des runs les plus connus et appréciés de Daredevil. Il s'agit du genre d'oeuvre qui est réédité tous les 3-4 ans sous un nouveau format et aujourd'hui encore, on comprend pourquoi.
Si vous aimez les super-héros urbains et que vous n'avez pas encore lu le travail de Frank Miller, c'est à se procurer au plus vite !
Un classique parmi les classiques, qui reprend le run de Miller sur Daredevil, hors Born Again et Man Without Fear. Précèdemment publié au format Icons, vous avez là un joli omnibus avec l'intégral.
Une lecture toujours aussi plaisante et addictive, dans la lignée des tomes précèdents. Lorsqu'on arrive à la fin, on en veut encore. Pas de baisse de qualité sur la série pour le moment.
Erica Slaughter pensait-elle vraiment pouvoir se détourner si facilement de l'Ordre de Saint-Georges et rompre le pacte de sang qui la liait à sa famille d'adoption ? Une chose est sûre, le Vieux Dragon a bien l'intention d'éliminer cet agent renégat en envoyant à ses trousses sa plus impitoyable chasseuse. Après s'être débarrassée de Big Gary, l'ultime allié d'Erica, Miss Cutter est désormais en route pour Tribulation, Nouveau Mexique. Que la traque commence.
Contenu vo : Something is Killing the Children #26-30
Une lecture toujours aussi plaisante et addictive, dans la lignée des tomes précèdents. Lorsqu'on arrive à la fin, on en veut encore. Pas de baisse de qualité sur la série pour le moment.
Une maxi-série très sympathique à lire, signée par un duo devenu une référence en matière de polar et d'écriture des personnages féminins. On regrettera peut-être que l'intrigue n'aille pas encore plus loin et nous laisse un peu sur notre faim. Un récit qui s'imbrique dans l'époque Bendis, où Superman avait révélé son identité, mais qui est totalement lisible indépendamment.
Une publication surprise qui permet de retrouver Greg Rucka sur du DC récent. Néanmoins, le comics arrive un peu en retard, car cette maxi-série avait lieu durant la période de Bendis sur Superman. Toutefois, ça reste du Greg Rucka en grande forme qui renoue avec ses thématiques favorites pour proposer une histoire captivante et des personnages féminins fortes. Le dessinateur est bien choisi et colle à l’ambiance polar du récit.
"Lois Lane - ennemie du peuple" propose une sorte de "polar" prenant et richement mis en valeur par sa partie graphique. La base de l'histoire reste quelque peu annecdotique (corruption blablabla). Hormis ce point, le rythme des investigations menées par nos héroines est très bien géré. Le tandem fonctionne merveilleusement bien. Cela change un peu des affrontements habituels qui opposent nos héros costumés et reste au final, bien plus terre à terre...
Alors qu'elle enquête sur des informations confidentielles, sur lesquelles même la Maison Blanche refuse de communiquer, Lois Lane va se retrouver embarquée dans une enquête particulièrement éprouvante. Elle découvrira qu'une menace plane au-dessus de son mari et que les ramifications de cette dernière atteignent les plus hautes sphères du pouvoir mondial, tant politiques qu'économiques. Et le secret qu'elle partage avec son mari pourrait bien jouer un rôle décisif dans la vie de l'Homme de Demain...
Contenu vo : The Story – Lois Lane – Enemy of the People #1-12
Une maxi-série très sympathique à lire, signée par un duo devenu une référence en matière de polar et d'écriture des personnages féminins. On regrettera peut-être que l'intrigue n'aille pas encore plus loin et nous laisse un peu sur notre faim. Un récit qui s'imbrique dans l'époque Bendis, où Superman avait révélé son identité, mais qui est totalement lisible indépendamment.
Une publication surprise qui permet de retrouver Greg Rucka sur du DC récent. Néanmoins, le comics arrive un peu en retard, car cette maxi-série avait lieu durant la période de Bendis sur Superman. Toutefois, ça reste du Greg Rucka en grande forme qui renoue avec ses thématiques favorites pour proposer une histoire captivante et des personnages féminins fortes. Le dessinateur est bien choisi et colle à l’ambiance polar du récit.
"Lois Lane - ennemie du peuple" propose une sorte de "polar" prenant et richement mis en valeur par sa partie graphique. La base de l'histoire reste quelque peu annecdotique (corruption blablabla). Hormis ce point, le rythme des investigations menées par nos héroines est très bien géré. Le tandem fonctionne merveilleusement bien. Cela change un peu des affrontements habituels qui opposent nos héros costumés et reste au final, bien plus terre à terre...
Ghost Rider reste l'une des séries Marvel les plus appréciables et qui se démarquent le plus, par son ambiance et son aspect horrifique. Si vous avez aimé le déjà très bon tome 1, on reste dans la même lignée, avec une écriture de qualité, une nouvelle compagne à Johnny plus qu'intéressante et encore une fois, une ambiance mortelle soignée par les dessins.
Benjamin Percy, Brent Peeples, Cory Smith
Blackheart est de retour et une horde de démons l’accompagne. L’Amérique plonge dans le chaos et seul Ghost Rider peut encore entraver l’invasion infernale. Mais Johnny Blaze est au plus mal. Il ne peut plus compter que sur Wolverine pour l’aider ou l’achever.
(Contient les épisodes Ghost Rider (2022) 6-10 et Ghost Rider: Vengeance Forever (2022) 1, inédits)
Ghost Rider reste l'une des séries Marvel les plus appréciables et qui se démarquent le plus, par son ambiance et son aspect horrifique. Si vous avez aimé le déjà très bon tome 1, on reste dans la même lignée, avec une écriture de qualité, une nouvelle compagne à Johnny plus qu'intéressante et encore une fois, une ambiance mortelle soignée par les dessins.
Dernier tome du space opéra d'Al Ewing et de Simone Di Meo !
Après un Tome 2 un peu trop cryptique, qui aura pu en laisser certains sur la touche, moi le premier... ce dernier arc a toute les chances de vous réconciler avec la série, en apportant son lot de réponses aux multiples interrogations laissés en suspens depuis la fin du premier tome. Al Ewing clore avec brio son univers de science fiction, un univers riche, ambitieux avec une identité visuelle forte assurée par le talentueux Simone Di Meo. Au delà de son univers inspiré et de son esthétique, cette série mérite que l'on s'y intéresse par les thèmes qu'elle aborde et les questions qu'elle soulève sur la société et nos croyances.
Si vous n'avez pas encore eu l'occasion de vous plonger dans cette saga, c'est le moment idéal avec la sortie de ce troisième et dernier tome, de vous faire la série coup sur coup sans avoir à subir la frustration de l'attente.
2452. Cinquante ans après les événements sur la planète l’Envolée de Malik...
Thierry-9, intelligence artificielle créée à partir du corps du Dieu Malik se réveille face à Jason Hauer. La discussion qu’ils entament embarque Thierry-9 dans un voyage à travers l’espace, le temps et les souvenirs de Malik, et revient sur le vol tragique du Vihaan II. Une quête qui les mènera, définitivement, à l’origine des Dieux.
Les frontières entre l’humanité et le divin s’estompent encore davantage dans cet arc final magistral de Al Ewing (Immortal Hulk, Avengers…) et Simone Di Meo (Tortues Ninjas & Power Rangers) de la série multi-nommée aux Eisner Awards.
Dernier tome du space opéra d'Al Ewing et de Simone Di Meo !
Après un Tome 2 un peu trop cryptique, qui aura pu en laisser certains sur la touche, moi le premier... ce dernier arc a toute les chances de vous réconciler avec la série, en apportant son lot de réponses aux multiples interrogations laissés en suspens depuis la fin du premier tome. Al Ewing clore avec brio son univers de science fiction, un univers riche, ambitieux avec une identité visuelle forte assurée par le talentueux Simone Di Meo. Au delà de son univers inspiré et de son esthétique, cette série mérite que l'on s'y intéresse par les thèmes qu'elle aborde et les questions qu'elle soulève sur la société et nos croyances.
Si vous n'avez pas encore eu l'occasion de vous plonger dans cette saga, c'est le moment idéal avec la sortie de ce troisième et dernier tome, de vous faire la série coup sur coup sans avoir à subir la frustration de l'attente.
Une édition qui a fait beaucoup de bruits lors de son annonce puisqu'elle va reprendre la série principale qui venait pourtant tout juste de se terminer en VF tout en y ajoutant quelques inédits.
Pour ceux qui suivent les Tortues depuis le début, c'est donc 3/4 de doublons. Ou alors vous revendez tout ce que vous avez et vous basculez sur cette nouvelle édition qui contiendra quelques histoires que n'aurez pas autrement (selon les derniers dires de l'éditeur).
Pour les nouveaux lecteurs, c'est le jackpot ! Foncez !
Très bonne relance des Tortues Ninja, et une excellente série qui démarre très bien. Cette collection reprend la série déjà publiée par Hi Comics, mais avec quelques inédits. Ca en fait probablement la collection ultime, mais les acheteurs de la première heure sont un peu déçus... Le prix est aussi un poil cher, et pour avoir tout le premier volume, il faudra compter 13 tomes normalement.
Très bonne initiative de la part d’HiComics de sortir la version “ultime” des comics Tortues Ninjas d’IDW. C’est un excellent point d’entrée sur l’univers des Tortue Ninjas pour une série qui se révèle excellente à ses débuts et sur la durée. Le point fort de cette édition est d’avoir tout ce qui a été publié sur les tortues, notamment les one-shot et mini-séries qui peuvent se révéler complémentaire à la série principale. On pourra reprocher des dessins pas toujours très beaux à voir.
Excellente lecture. Je ne connaissais les tortues qu'avec les films des années 90.
Une montée en puissance au fil des pages qui ne faiblit pas tout du long.
Cette intégrale comprend tout ce qu’un lecteur débutant la série pourrait avoir besoin de lire et tout ce qu'un inconditionnel pourrait vouloir collectionner sur l’univers des Tortues Ninja. Dans l’ordre chronologique des histoires de la série, cette collection renferme l’ensemble des one-shot, crossover et tomes événementiels publiés par IDW.
Les 12 premiers numéros de la série régulière des Tortues Ninja, ainsi que les micro-séries Raphael, Michelangelo, Donatello, Leonardo et Splinter sont réunis dans ce volume, revenant sur les origines et regroupant le début des histoires épiques créées par Kevin Eastman et Tom Waltz !
Une édition qui a fait beaucoup de bruits lors de son annonce puisqu'elle va reprendre la série principale qui venait pourtant tout juste de se terminer en VF tout en y ajoutant quelques inédits.
Pour ceux qui suivent les Tortues depuis le début, c'est donc 3/4 de doublons. Ou alors vous revendez tout ce que vous avez et vous basculez sur cette nouvelle édition qui contiendra quelques histoires que n'aurez pas autrement (selon les derniers dires de l'éditeur).
Pour les nouveaux lecteurs, c'est le jackpot ! Foncez !
Très bonne relance des Tortues Ninja, et une excellente série qui démarre très bien. Cette collection reprend la série déjà publiée par Hi Comics, mais avec quelques inédits. Ca en fait probablement la collection ultime, mais les acheteurs de la première heure sont un peu déçus... Le prix est aussi un poil cher, et pour avoir tout le premier volume, il faudra compter 13 tomes normalement.
Très bonne initiative de la part d’HiComics de sortir la version “ultime” des comics Tortues Ninjas d’IDW. C’est un excellent point d’entrée sur l’univers des Tortue Ninjas pour une série qui se révèle excellente à ses débuts et sur la durée. Le point fort de cette édition est d’avoir tout ce qui a été publié sur les tortues, notamment les one-shot et mini-séries qui peuvent se révéler complémentaire à la série principale. On pourra reprocher des dessins pas toujours très beaux à voir.
Excellente lecture. Je ne connaissais les tortues qu'avec les films des années 90.
Une montée en puissance au fil des pages qui ne faiblit pas tout du long.
Urban ose sortir ce tome de la Justice League et c'est une bonne nouvelle. La Justice League Dark a été réduite à un back-up dans le titre de Justice League. L'histoire proposée par Ram V est très bonne et très riche. Elle tourne autour de Merlin et met à mal l'équipe. C'est entraînant et surtout c'était bien meilleur que la JL de Bendis publiée avec . Graphiquement, Xermanico fait un très bon boulot.
La JL Dark revient le temps d’un récit “complet” qu’Urban a décidé de publier. S'il est indéniable que l’histoire est bien narrée, que les dessins proposent une mise en page réussie et que Ram V montre sa maîtrise des personnages, l'histoire n’est pas sans défaut. Le plus gros problème est qu’elle reste frustrante pour sa fin qui appelle à une suite qui n’est toujours pas arrivée.
Justice League Dark "Infinite" sort un peu tard (puisque "l'âge" Rebirth est terminé). Ce volume manque clairement d'éléments pour apprécier pleinement sa lecture. Plus de contexte & de consistance narratifs auraient aidé à situer cette histoire dans la chronologie "Justice League Rebirth". En résumé, on peine à réellement saisir les enjeux de cette histoire - à savoir si cet event à l'atout d'une mini-crise et si elle a (ou aura) un impact sur la continuité DC Rebirth / Infinite. Pas sûr. Et cela enlève quelque peu l'intérêt du titre. On ne sait pas trop où on nous emmène. De plus, toute la tension accumulée au fil de l'aventure s'essoufle d'un coup car la fin est expédiée (une belle queue de poisson !). Enfin, si on peut appeler ça une fin, hein. Bref, frustrant. Par ailleurs, entre le chapitre Justice League Dark Annual #1 et Future State Justice League Dark, il manque selon moi un passage. Le lecteur est tranbahuté dans le temps. On ne sait au final que peu de choses sur les événements passés si ce n'est un "résumé" sous forme de dialogue / monologue. Difficile de savoir si une suite est prévue. Si cet event reste tel quel, vous pouvez passez votre chemin. Justice League Dark "Infinite" n'a en finalité rien de percutant si ce n'est de faire un "flop" ?
Le road-trip de Zatanna et John Constantine au Nouveau-Mexique est interrompu par un incendie d'où émerge une vieille connaissance. À plusieurs kilomètres de là, dans l'antre d'une cité perdue du Pays de Galles, ce sont des flammes tout aussi dévastatrices qui brûlent dans le regard de Merlin, dont le retour fera pâlir chaque membre de la Ligue de Justice. Pour sauver l'humanité, ils devront percer les mystères d'une bibliothèque possédée. Une nouvelle légende serait-elle en train d'être écrite ?
Contenu vo : Justice League #59-71 Back-ups + Justice League Dark Annual #1 + Future State Justice League Dark #1-2
Urban ose sortir ce tome de la Justice League et c'est une bonne nouvelle. La Justice League Dark a été réduite à un back-up dans le titre de Justice League. L'histoire proposée par Ram V est très bonne et très riche. Elle tourne autour de Merlin et met à mal l'équipe. C'est entraînant et surtout c'était bien meilleur que la JL de Bendis publiée avec . Graphiquement, Xermanico fait un très bon boulot.
La JL Dark revient le temps d’un récit “complet” qu’Urban a décidé de publier. S'il est indéniable que l’histoire est bien narrée, que les dessins proposent une mise en page réussie et que Ram V montre sa maîtrise des personnages, l'histoire n’est pas sans défaut. Le plus gros problème est qu’elle reste frustrante pour sa fin qui appelle à une suite qui n’est toujours pas arrivée.
Justice League Dark "Infinite" sort un peu tard (puisque "l'âge" Rebirth est terminé). Ce volume manque clairement d'éléments pour apprécier pleinement sa lecture. Plus de contexte & de consistance narratifs auraient aidé à situer cette histoire dans la chronologie "Justice League Rebirth". En résumé, on peine à réellement saisir les enjeux de cette histoire - à savoir si cet event à l'atout d'une mini-crise et si elle a (ou aura) un impact sur la continuité DC Rebirth / Infinite. Pas sûr. Et cela enlève quelque peu l'intérêt du titre. On ne sait pas trop où on nous emmène. De plus, toute la tension accumulée au fil de l'aventure s'essoufle d'un coup car la fin est expédiée (une belle queue de poisson !). Enfin, si on peut appeler ça une fin, hein. Bref, frustrant. Par ailleurs, entre le chapitre Justice League Dark Annual #1 et Future State Justice League Dark, il manque selon moi un passage. Le lecteur est tranbahuté dans le temps. On ne sait au final que peu de choses sur les événements passés si ce n'est un "résumé" sous forme de dialogue / monologue. Difficile de savoir si une suite est prévue. Si cet event reste tel quel, vous pouvez passez votre chemin. Justice League Dark "Infinite" n'a en finalité rien de percutant si ce n'est de faire un "flop" ?
Un récit plutôt sympa dans ces One Bad Day, avec un Joshua Williamson qui essaie de montrer un Bane qui veut faire sa rédemption. On est vite embarqué dans l'histoire du personnage en bout de chemin. On s'attache même à Bane. Graphiquement, on retrouve Howard Porter avec le style qu'on lui connait.
Pas le meilleur de la série, mais qui plaira aux fans du personnage, avec une facette de Bane que l'on voit moins souvent. Une histoire qui permet aussi de savoir où en est le personnage actuellement, alors qu'on le voit un peu moins depuis le run de Tom King sur Batman. Howard Porter divisera forcément au dessin, il faut accrocher à son style, personnellement ce n'est pas trop ma tasse de thé.
"Batman One Bad Day - Bane" est un titre plutôt convaincant dans son ensemble... Ce n'est pas le pire ni le meilleur de la série. La rédemption de Bane est plaisante à suivre, quoique rapide (vu le format). Une fois n'est pas coutume, cette collection s'adresse davantage aux puristes avides de remplir leur bibliothèque. Pour les autres, vous pouvez aisement vous abstenir, il y a bien mieux à lire.
Si Eduardo Dorrance doit sa stature colossale au venom, c'est également à ce stéroïde qu'il doit ses plus gros ennuis. Sevré depuis longtemps maintenant, Bane a définitivement raccroché son masque de criminel pour se parer de celui d'un catcheur sur le déclin. Aussi, quand il apprend qu'une nouvelle source de venom existe, il va tout faire pour la détruire, afin que personne ne soit victime du poison qui a ruiné sa vie.
Contenu vo : Contenu : Batman - One Bad Day : Bane
Un récit plutôt sympa dans ces One Bad Day, avec un Joshua Williamson qui essaie de montrer un Bane qui veut faire sa rédemption. On est vite embarqué dans l'histoire du personnage en bout de chemin. On s'attache même à Bane. Graphiquement, on retrouve Howard Porter avec le style qu'on lui connait.
Pas le meilleur de la série, mais qui plaira aux fans du personnage, avec une facette de Bane que l'on voit moins souvent. Une histoire qui permet aussi de savoir où en est le personnage actuellement, alors qu'on le voit un peu moins depuis le run de Tom King sur Batman. Howard Porter divisera forcément au dessin, il faut accrocher à son style, personnellement ce n'est pas trop ma tasse de thé.
"Batman One Bad Day - Bane" est un titre plutôt convaincant dans son ensemble... Ce n'est pas le pire ni le meilleur de la série. La rédemption de Bane est plaisante à suivre, quoique rapide (vu le format). Une fois n'est pas coutume, cette collection s'adresse davantage aux puristes avides de remplir leur bibliothèque. Pour les autres, vous pouvez aisement vous abstenir, il y a bien mieux à lire.
Depuis le tome 4, Alyssa Wong entame un nouveau statut quo très captivant pour Aphra qui change de ce qu’on a l'habitude de lire avec le personnage. Il y a un renouvellement de suspens et d’imprévisibilité pour l’histoire avec des personnages toujours intéressants à suivre pour l’aspect feuilleton de la série. Le bémol, c’est l’intrigue de Crimson Reign qui s'immisce dans l’intrigue principale et peut nuire à sa compréhension. Une réussite pour une série qui monte en puissance depuis quelques tomes.
Alyssa Wong, Minkyu Jung
L'Étincelle Éternelle corrompt tout ce qu'elle touche… même le Docteur Aphra ! Maintenant qu’elle est piégée dans son propre esprit, le seul espoir d'évasion de l’archéologue se trouve dans ses souvenirs. Mais pourra-t-elle s'échapper avant que l'Étincelle ne la consume totalement ?
(Contient les épisodes US Doctor Aphra (2020) 21-25, précédemment publiés dans 100% STAR WARS : CRIMSON REIGN 1-4)
Depuis le tome 4, Alyssa Wong entame un nouveau statut quo très captivant pour Aphra qui change de ce qu’on a l'habitude de lire avec le personnage. Il y a un renouvellement de suspens et d’imprévisibilité pour l’histoire avec des personnages toujours intéressants à suivre pour l’aspect feuilleton de la série. Le bémol, c’est l’intrigue de Crimson Reign qui s'immisce dans l’intrigue principale et peut nuire à sa compréhension. Une réussite pour une série qui monte en puissance depuis quelques tomes.
Suite et fin de cette série Hulk, en partie écrite par Cates et terminée par Ottley. Un arc qui débute de manière intéressante mais devient assez vite brouillon, pour finir de manière assez chaotique. On regrette que cette série avortée ne restera pas dans les annales du personnage.
C’est déjà la fin pour ce court run un peu fun, mais au final bien décevant. On peut saluer Ryan Ottley pour ses dessins irréprochable et d’avoir réussi à proposer une fin satisfaisante, malgré le départ de Donny Cates et le sentiment de rush sur la fin. Bref, une parenthèse étrange sur Hulk qui n'aura pas duré longtemps au moins.
Donny Cates, Ryan Ottley
Parti dans l’espace après avoir transformé son corps de Hulk en une sorte de vaisseau spatial, Bruce Banner échoue sur une drôle de planète. Il y rencontre toute une population d’êtres comme lui, vivant sous les rayonnements gamma d’une étoile bienfaitrice.
(Contient les épisodes US Hulk (2021) 9-14, inédits)
Suite et fin de cette série Hulk, en partie écrite par Cates et terminée par Ottley. Un arc qui débute de manière intéressante mais devient assez vite brouillon, pour finir de manière assez chaotique. On regrette que cette série avortée ne restera pas dans les annales du personnage.
C’est déjà la fin pour ce court run un peu fun, mais au final bien décevant. On peut saluer Ryan Ottley pour ses dessins irréprochable et d’avoir réussi à proposer une fin satisfaisante, malgré le départ de Donny Cates et le sentiment de rush sur la fin. Bref, une parenthèse étrange sur Hulk qui n'aura pas duré longtemps au moins.
Scott Snyder s'avère être très irrégulier sur ses dernières séries, et il s'agit sans doute ici de l'une des plus appréciables dans le lot. Il n'a plus grand chose à prouver dans le genre de l'horreur, qu'il affectionne particulièrement, et on le retrouve dans son jardin avec une intrigue assez prenante, qui mêle des mythes de l'horreur à la fascination pour le cinéma et la créativité. Francavilla est évidemment lui aussi fait pour ce genre d'ambiances et de récits, comme il l'avait déjà prouvé au côté de Snyder sur Detective Comics. Ce n'est pas exempt de défauts, Snyder a encore tendance à en faire un peu trop, ce qui impacte le rythme et l'efficacité de ses dernières créations, mais on est quand même face à du très bon comic book.
Scott Snyder & Francesco Francavilla s'associent pour ce récit de pure horreur, où il est question d'un film d'horreur classique disparu qui produit des effets surnaturels comme "The Ring", mais avec une créature digne de celle du Lagon noir.
Un passionné enquête sur un ancien studio de cinéma qui aurait brûlé et finit par tomber sur ce projet. Il remonte la piste du réalisateur, qui vit reclus dans une maison de retraite. Selon lui, une goule hanterait son hospice, et la découverte d'une vieille bobine de La Nuit de la Goule risque bien de réveiller la bête, que le film soi-disant disparu avait détruit.
Scott Snyder s'avère être très irrégulier sur ses dernières séries, et il s'agit sans doute ici de l'une des plus appréciables dans le lot. Il n'a plus grand chose à prouver dans le genre de l'horreur, qu'il affectionne particulièrement, et on le retrouve dans son jardin avec une intrigue assez prenante, qui mêle des mythes de l'horreur à la fascination pour le cinéma et la créativité. Francavilla est évidemment lui aussi fait pour ce genre d'ambiances et de récits, comme il l'avait déjà prouvé au côté de Snyder sur Detective Comics. Ce n'est pas exempt de défauts, Snyder a encore tendance à en faire un peu trop, ce qui impacte le rythme et l'efficacité de ses dernières créations, mais on est quand même face à du très bon comic book.
Lazarus est une excellente série de Rucka, et très bien mis en image avec les dessins réalistes de Lark. Les auteurs construisent un univers cohérent, maitrisé et intéressant, qui annonce une intrigue sur la durée. Au-delà de ça, les personnages ne sont pas très attachant, ce qui donne un récit assez froid. Ce tome 1 est vraiment une grosse mis en place de l'univers et de l'intrigue, et la série décollera réellement au tome suivant.
Dans un futur dystopique où les gouvernements sont devenus des concepts d'un autre temps, une poignée de familles règne, par l'argent et le pouvoir, gardant jalousement ce qu'elles possèdent et exploitant les personnes n'ayant rien, les "déchets". La famille Carlyle est l'une des plus puissantes d'entre elles, grâce à un atout de poids : Forever Carlyle, leur protectrice, leur Lazare, entraînée depuis l'enfance pour défendre les biens de sa famille par la ruse et la force. Manipulée aussi bien génétiquement que psychiquement, ses capacités exceptionnelles font d'elle un atout redoutable... tant que les secrets qui l'entourent ne se révèlent pas au grand jour.
Contenu vo : Lazarus Book 1 (Lazarus #1-9)
Lazarus est une excellente série de Rucka, et très bien mis en image avec les dessins réalistes de Lark. Les auteurs construisent un univers cohérent, maitrisé et intéressant, qui annonce une intrigue sur la durée. Au-delà de ça, les personnages ne sont pas très attachant, ce qui donne un récit assez froid. Ce tome 1 est vraiment une grosse mis en place de l'univers et de l'intrigue, et la série décollera réellement au tome suivant.
Une belle histoire proposée par Jeff Lemire. On suit les déboires d'une famille qui a une maladie bien particulière liée au titre de l'oeuvre. Jeff Lemire nous fait nous attacher aux personnages comme il sait si bien le faire, et les fait aussi disparaitre. L'histoire est prenante et s'offre même le luxe de proposer une ellipse de plusieurs années sans que ce soit dérangeant. La partie graphique pourra par contre faire grincer des dents car Phil Hester peut avoir du mal à convaincre.
Jeff Lemire, Phil Hester
Quand Meg, huit ans, commence à littéralement se transformer en arbre, sa mère stressée, son grand frère tourmenté et son grand-père qui semble mentalement instable s’embarquent dans une odyssée à travers les États-Unis pour tenter de la guérir avant qu’il ne soit trop tard.
(Contient les épisodes US Family Tree (2019) 1-12, inédits)
Une belle histoire proposée par Jeff Lemire. On suit les déboires d'une famille qui a une maladie bien particulière liée au titre de l'oeuvre. Jeff Lemire nous fait nous attacher aux personnages comme il sait si bien le faire, et les fait aussi disparaitre. L'histoire est prenante et s'offre même le luxe de proposer une ellipse de plusieurs années sans que ce soit dérangeant. La partie graphique pourra par contre faire grincer des dents car Phil Hester peut avoir du mal à convaincre.
Nouvel ajout dans la collection Marvel Intégrale avec New Warriors. C’est une très bonne série centrée sur une équipe de jeunes super-héros qui reflète bien son époque. Les thématiques abordées sont bien traitées (et toujours d’actualité). Le point fort de cette série sera les personnages qui sont bien écrits et variés. Les menaces même si elles manquent d'envergure propose des idées inattendues. La série bénéficie d’un jeune Mark Bagley aux dessins qui était déjà très bon à l'époque. Bref une série coup de cœur pour ma part.
Fabian Nicieza, Mark Bagley
Après la mort de ses parents, Dwayne Taylor alias Night Fighter décide de se créer une nouvelle famille… les New Warriors ! Ses nouveaux compagnons s’appellent Marvel Boy, Firestar, Namorita, Nova et Speedball. Jeunes et passionnés, ils ont bien l’intention de changer le monde.
(Contient les épisodes US Mighty Thor (1966) 411-412 et New Warriors (1990) 1-10, précédemment publiés dans MARVEL OMNIBUS : ACTS OF VENGEANCE et Spécial Strange 75-82)
Nouvel ajout dans la collection Marvel Intégrale avec New Warriors. C’est une très bonne série centrée sur une équipe de jeunes super-héros qui reflète bien son époque. Les thématiques abordées sont bien traitées (et toujours d’actualité). Le point fort de cette série sera les personnages qui sont bien écrits et variés. Les menaces même si elles manquent d'envergure propose des idées inattendues. La série bénéficie d’un jeune Mark Bagley aux dessins qui était déjà très bon à l'époque. Bref une série coup de cœur pour ma part.
Une mini-série pas franchement convaincante qui présente un jeune héros qui se découvre des pouvoirs. Le problème c'est que l'auteur ne fait pour rendre attachant le personnage, il subit sa vie et tout le monde semble le détester. C'est vraiment dommage. Le vilain n'est pas plus hyper original. Reste la partie graphique qui est vraiment pas mal et qui a fait que j'ai quand même terminer cette mini.
15 ans et seulement dix minutes pour pouvoir sauver le monde!
Vous avez 15 ans et des super pouvoirs ? Cool ? Sauf que ça ne dure que 10 min par jour. Il faut donc en faire usage avec parcimonie. Oliver se retrouve à affronter diverses menaces, à garder son identité secrète, à combattre des criminels, le tout en évitant de redoubler !
Une mini-série pas franchement convaincante qui présente un jeune héros qui se découvre des pouvoirs. Le problème c'est que l'auteur ne fait pour rendre attachant le personnage, il subit sa vie et tout le monde semble le détester. C'est vraiment dommage. Le vilain n'est pas plus hyper original. Reste la partie graphique qui est vraiment pas mal et qui a fait que j'ai quand même terminer cette mini.
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L'Avis de la rédaction (1)
Adrien L. Staff MDCU
il y a 2 ans
Le run de Bendis était vraiment excellent, et le changement de scénariste pouvait faire peur. Mais la suite est assurée par le très bon Brubaker, et ce qui est impressionnant, c'est qu'il arrive à garder l'ambiance que Bendis avait apporté à la série. Pourtant la tache n'était pas facile, car le run de Bendis se terminait sur une conclusion très ouverte. Bref, si vous avez aimé le Daredevil de Bendis, jetez-vous sur celui de Brubaker, vous ne serez pas déçu !