Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Un retrait total de la réalité se pare de nombreux charmes, surtout en bonne compagnie. Un havre de paix loin de tout bruit, cupidité et haine. Mais un tel endroit tranquille existe-t-il vraiment ? Et si tel est le cas, n'est-il pas voué à bien des convoitises et une destruction très brutale ?
Contenu vo : #53-57
Dernier tome de la série la plus personnelle de l’auteur à ce jour où Marcus devient un véritable reflet de l’auteur dans ce dernier arc. Rick Remender continue de nous écrire ses réflexions personnelles, mais n'oublie pas de proposer une très bonne histoire captivante. Chaque numéro est différent et nous surprend jusqu’au bout pour proposer une conclusion satisfaisante pour les lecteurs. Il ne faut pas non plus oublier Wesley Craig qui a participé au succès de cette superbe série.
Malgré le fait que tous les gens énervants sur les réseaux vous citeront All-Star Superman pour prouver que le Superman que vous aimez n'est pas vraiment Superman, le récit de Grant Morrison, illustré par Frank Quitely est tout simplement un classique incontournable pour l'Homme d'Acier.
Cette réédition à petit prix et petit format est donc l'occasion parfaite pour vous plonger dans le récit des derniers jours de Clark sur Terre.
L'un des meilleurs récit sur Superman qui ne synthétise pas forcément ce qui est le plus connu sur le personnage. Les références sont nombreuses, mais c'est passionnant à lire, avec de magnifiques dessins.
Encore un récit aux superlatifs multiples !
Grant Morrison et Frank Quitely, une affiche 5 étoiles pour un récit qui l'est tout autant.
Une histoire très touchante d'un Homme hors normes avec un grand H pour son humanté. Le trait de Frank Quitely n'est plus à démontré mais si vous ne connaissez pas tournez vous peut-être sur une édition qui rendra un peu plus honneur à son travail qui est souvent très détaillé.
Mais à 7,90€ c'est vraiment l'occasion de découvrir cette oeuvre de se mettre aux comics, non !?
Lex Luthor a commis l'impensable : condamner à mort Superman, via un empoisonnement. Avec à peine quelques semaines à vivre, le héros décide de consacrer le temps qui lui reste à la réalisation de douze travaux surhumains, et de laisser un legs inédit à sa planète d'adoption.
Malgré le fait que tous les gens énervants sur les réseaux vous citeront All-Star Superman pour prouver que le Superman que vous aimez n'est pas vraiment Superman, le récit de Grant Morrison, illustré par Frank Quitely est tout simplement un classique incontournable pour l'Homme d'Acier.
Cette réédition à petit prix et petit format est donc l'occasion parfaite pour vous plonger dans le récit des derniers jours de Clark sur Terre.
L'un des meilleurs récit sur Superman qui ne synthétise pas forcément ce qui est le plus connu sur le personnage. Les références sont nombreuses, mais c'est passionnant à lire, avec de magnifiques dessins.
Encore un récit aux superlatifs multiples !
Grant Morrison et Frank Quitely, une affiche 5 étoiles pour un récit qui l'est tout autant.
Une histoire très touchante d'un Homme hors normes avec un grand H pour son humanté. Le trait de Frank Quitely n'est plus à démontré mais si vous ne connaissez pas tournez vous peut-être sur une édition qui rendra un peu plus honneur à son travail qui est souvent très détaillé.
Mais à 7,90€ c'est vraiment l'occasion de découvrir cette oeuvre de se mettre aux comics, non !?
Ce comics est une bonne surprise, où il ne faut pas se fier aux dessins cartoons. C’est un comics assez glauque où la tension marche à merveille et l’auteur propose une intrigue dérangeante où on s’attache aux chiens avec réussite.
Le coup de coeur du mois. Derrière des dessins aux aspect de Disney, on rtouve une histoire loin d'être marrante sur des chiens qui sont recueillis par un homme. On apprend à le découvrir et à s'attacher à eux. Panini à la bonne idée de publier la deuxième mini-série en même temps, pour approfondir l'histoire des différents chiens. Le seul petit bémol concerne l'édition et la profusion de variante pour ce titre...
Tony Fleecs, Trish Forstner
Sophie ne se souvient plus de ce qu'il s'est passé. Comment est-elle arrivée dans cette maison ? Qui est ce nouveau maître qui prend tellement bien soin de tous ces chiens ? Où est passée sa maîtresse ? Il n'y a pas de mauvais chiens, juste de mauvais maîtres.
(Contient les épisodes US Stray Dogs (2021) 1-5, Stray Dogs FCBD 2021 1 et Stray Dogs: Dog Days (2021) 1-2, inédits)
Ce comics est une bonne surprise, où il ne faut pas se fier aux dessins cartoons. C’est un comics assez glauque où la tension marche à merveille et l’auteur propose une intrigue dérangeante où on s’attache aux chiens avec réussite.
Le coup de coeur du mois. Derrière des dessins aux aspect de Disney, on rtouve une histoire loin d'être marrante sur des chiens qui sont recueillis par un homme. On apprend à le découvrir et à s'attacher à eux. Panini à la bonne idée de publier la deuxième mini-série en même temps, pour approfondir l'histoire des différents chiens. Le seul petit bémol concerne l'édition et la profusion de variante pour ce titre...
The Goon 3e Intégrale sur 5 !
Toujours Eric Powell aux commandes qui s'emploient à mélanger les genres entre polar, action, horreur et comédie presque tout y passe et on sent que l'auteur prend totalement son pied à le faire. Une série qui se lit sans modération, souvent très drôle, rempli de bonnes bagarres et teinté d'émotion. L'auteur continue ici de développer un univers foisonnant de bonnes idées, servi par un style graphique bien à lui. C'est le genre de série qui frappe par son identité bien à elle ou devrait-je dire par sa "gueule" si particulière à l'image de son protagoniste.
Les intégrales Delcourt sont un excellent moyen de découvrir ce titre, des éditions toujours soignées qui profitent de bonus qui s'attachent à contextualiser la mise en chantier de type de projet.
Eric Powell - auteur de Chimichanga, Hillbilly et Les Seigneurs de la misère - est un des piliers du catalogue Contrebande. Nous le prouvons en rééditant sa série phare The Goon, dans cette intégrale prévue en cinq volumes.
La peur et la misère affligent la ville sans nom à la lisière du bois des mangeurs de chevaux. Une ancienne malédiction y attire les créatures les plus puissantes et les plus viles... Le Goon est le seul protecteur possible. Mais quand un ennemi que l'on croyait disparu refait surface, même le prêtre zombie est soumis à la volonté maléfique de son pouvoir...
The Goon 3e Intégrale sur 5 !
Toujours Eric Powell aux commandes qui s'emploient à mélanger les genres entre polar, action, horreur et comédie presque tout y passe et on sent que l'auteur prend totalement son pied à le faire. Une série qui se lit sans modération, souvent très drôle, rempli de bonnes bagarres et teinté d'émotion. L'auteur continue ici de développer un univers foisonnant de bonnes idées, servi par un style graphique bien à lui. C'est le genre de série qui frappe par son identité bien à elle ou devrait-je dire par sa "gueule" si particulière à l'image de son protagoniste.
Les intégrales Delcourt sont un excellent moyen de découvrir ce titre, des éditions toujours soignées qui profitent de bonus qui s'attachent à contextualiser la mise en chantier de type de projet.
Ce Must-have marque les débuts en grandes pompes des Gardiens de la Galaxie telle qu’on les connaît. Les enjeux sont importants, les histoires sont très bien rythmées et il se passe beaucoup d'événements en 6 épisodes. Les personnages sont bien écrits et toujours intéressants à découvrir.
Toutefois avoir lu Annihilation et Annihilation Conquest permet d’encore mieux apprécier ce premier arc qui découle de ces events.
Un titre Must-Have qui n'aura pas usurpé sa dénomination !
Longtemps indisponible voilà enfin une réédition d'un très bon récit qui fait partie de mes premières lectures sur les Gardiens avant d'arriver sur la saga Annihilation. Un récit qui marque en 6 numéros le point de départ de la fameuse équipe que tout le monde connaît maintenant grâce aux films. Diablement efficace, on y retrouve l'ambiance, le ton et la dynamique des personnages dont s'inspirent grandement le MCU. Une lecture qui vous est chaudement recommandée pour tous ceux souhaitant se lancer dans l'univers cosmique des Gardiens.
Dan Abnett, Andy Lanning, Paul Pelletier
Après avoir défendu la galaxie contre Ultron, le terrien Peter Quill, alias Star-Lord, rassemble une équipe improbable : Adam Warlock, Drax le Destructeur, Gamora, Mantis, Groot et Rocket Raccoon vont vivre des aventures épiques qui vont changer à jamais le cosmos Marvel.
(Contient les épisodes US Guardians of the Galaxy (2008) 1-6, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : LES GARDIENS DE LA GALAXIE 1)
Ce Must-have marque les débuts en grandes pompes des Gardiens de la Galaxie telle qu’on les connaît. Les enjeux sont importants, les histoires sont très bien rythmées et il se passe beaucoup d'événements en 6 épisodes. Les personnages sont bien écrits et toujours intéressants à découvrir.
Toutefois avoir lu Annihilation et Annihilation Conquest permet d’encore mieux apprécier ce premier arc qui découle de ces events.
Un titre Must-Have qui n'aura pas usurpé sa dénomination !
Longtemps indisponible voilà enfin une réédition d'un très bon récit qui fait partie de mes premières lectures sur les Gardiens avant d'arriver sur la saga Annihilation. Un récit qui marque en 6 numéros le point de départ de la fameuse équipe que tout le monde connaît maintenant grâce aux films. Diablement efficace, on y retrouve l'ambiance, le ton et la dynamique des personnages dont s'inspirent grandement le MCU. Une lecture qui vous est chaudement recommandée pour tous ceux souhaitant se lancer dans l'univers cosmique des Gardiens.
Un bon retour pour cette série reliée à l'univers Krakoa. On retrouve un Wolverine classique sujet aux raleries et à la violence pour résoudre les problèmes rencontrés. Le vrai plus est que la série nous montre un côté plus gris du Krakoa développé avec la relance des titres X men.
Le travail de Adam Kubert est génial et permet de dynamiser l'histoire avec son trait Brut. La colorisation rajoute un plus.
C’est un retour réussi pour Wolverine avec l’ère Krakoa. On retrouve les fondamentaux du personnage avec sa part d’humanité désabusée qui fonctionne bien. On a des intrigues politiques en lien avec la nation mutante qui permettent d’explorer la face sombre de Krakoa. C’est conseillé de lire la série en parallèle d’X-force, les deux séries se répondent très souvent et offrent une expérience de lecture encore meilleure. Le duo Adam Kubert et Viktor Bogdanovich ont des styles qui se répondent bien et proposent un résultat réussi, mais pas des plus renversants.
Benjamin Percy, Adam Kubert, Scott Eaton, Viktor Bogdanovich
Wolverine a traversé bien des épreuves. Il vit maintenant avec les autres mutants sur l’île de Krakoa, où il peut enfin être… heureux ? Ce guerrier hors pair saura-t-il se battre pour préserver son nouveau foyer de toutes les menaces… même celles du passé ?
(Contient les épisodes US Wolverine (2020) 1-5 et 8-13, précédemment publiés dans DAWN OF X 7-8, 14-15 et REIGN OF X 3-4, 9-10)
Un bon retour pour cette série reliée à l'univers Krakoa. On retrouve un Wolverine classique sujet aux raleries et à la violence pour résoudre les problèmes rencontrés. Le vrai plus est que la série nous montre un côté plus gris du Krakoa développé avec la relance des titres X men.
Le travail de Adam Kubert est génial et permet de dynamiser l'histoire avec son trait Brut. La colorisation rajoute un plus.
C’est un retour réussi pour Wolverine avec l’ère Krakoa. On retrouve les fondamentaux du personnage avec sa part d’humanité désabusée qui fonctionne bien. On a des intrigues politiques en lien avec la nation mutante qui permettent d’explorer la face sombre de Krakoa. C’est conseillé de lire la série en parallèle d’X-force, les deux séries se répondent très souvent et offrent une expérience de lecture encore meilleure. Le duo Adam Kubert et Viktor Bogdanovich ont des styles qui se répondent bien et proposent un résultat réussi, mais pas des plus renversants.
Dernier tome de la série indé de Chris Samnee !
Jonna fait partie de ces petites séries indés aux plaisirs simples. Difficile de ne pas y voir ici un hommage appuyé aux oeuvres telles que Dragon Ball dans la caractérisation de Jonna et des affrontements servis par les planches de Chris Samnee. Une histoire simple qui se lit très vite mais qui apporte son lot d'action et de surprise.
Une oeuvre qui se partage en famille idéale pour transférer sa passion pour les comics et la bande dessinnée en générale.
Les superbes éditions de 404 Comics apportent un soin tout particulier à leurs publications qui au prix de 14,95€ valent vraiment le détour d'autant qu'en 3 tomes c'est plié.
Dans le dernier arc de cette aventure incroyable, nous apprenons les origines des étranges créatures qui ont envahi la planète la vidant de ses ressources, ainsi que celle des compagnons aventuriers Gor et Nomi. Tous les fils convergent à l'intérieur du mystérieux œuf géant ! Avec le sort de leur famille et peut-être du monde entier en jeu, Jonna et Rainbow pourront-ils sauver leur père ?
Dernier tome de la série indé de Chris Samnee !
Jonna fait partie de ces petites séries indés aux plaisirs simples. Difficile de ne pas y voir ici un hommage appuyé aux oeuvres telles que Dragon Ball dans la caractérisation de Jonna et des affrontements servis par les planches de Chris Samnee. Une histoire simple qui se lit très vite mais qui apporte son lot d'action et de surprise.
Une oeuvre qui se partage en famille idéale pour transférer sa passion pour les comics et la bande dessinnée en générale.
Les superbes éditions de 404 Comics apportent un soin tout particulier à leurs publications qui au prix de 14,95€ valent vraiment le détour d'autant qu'en 3 tomes c'est plié.
La série continue d’être un titre fun, surprenant et passionnant à suivre pour ses personnages. Les dessins sont bons, malgré quelques petits défauts. Le seul bémol, c’est de devoir lire Dark Crisis pour compléter le trou de ce tome. À part ça, c’est une vraie bouffée d’air pour la franchise qui mérite d’être suivi.
Tout comme la série Nightwing Infinite, Flash Infinite (et ce tome en particulier) dispose de bons ingrédients pour assurer une recette savoureuse. C'est dynamique, parfois loufoque / drôle sans virer au "nanard" et le titre propose des chapitres intéressants. On suit la Flash Family avec grand plaisir et on en redemande encore !
Être l'homme le plus rapide du monde exige de grandes responsabilités. Wally West, également connu sous le nom de Flash, décide d'enseigner au nouveau Kid Flash son savoir-faire. Mais les agissements du Bolide Écarlate ne sont pas du goût de Gregory Wolfe, le directeur de la prison d'Iron Heights qui accède au poste de maire de Keystone City. Afin d'assurer la sécurité en ville, celui-ci décide de confier le maintien de l'ordre aux Lascars. Et comme si cela ne suffisait pas. Linda, l'épouse de Wally, a une surprise pour lui...
Contenu vo : Contenu : The Flash #780-782, #787-789, The Flash Annual 2022 #1
La série continue d’être un titre fun, surprenant et passionnant à suivre pour ses personnages. Les dessins sont bons, malgré quelques petits défauts. Le seul bémol, c’est de devoir lire Dark Crisis pour compléter le trou de ce tome. À part ça, c’est une vraie bouffée d’air pour la franchise qui mérite d’être suivi.
Tout comme la série Nightwing Infinite, Flash Infinite (et ce tome en particulier) dispose de bons ingrédients pour assurer une recette savoureuse. C'est dynamique, parfois loufoque / drôle sans virer au "nanard" et le titre propose des chapitres intéressants. On suit la Flash Family avec grand plaisir et on en redemande encore !
Ce tome contient 3 one-shots. Le premier est centré sur Astronema, l'antagoniste des Power Rangers dans l'Espace, que l'on a vu dans le tome 2 de Power Rangers. Ce numéro révèle sa jeunesse et c'est intéressant pour l'univers Power Ranger comics mais aussi télé. Le second one-shot est centré sur le Phantom Ranger et se situe à la fois dans le présent, après le tome 2 de Power Rangers mais auussi dans le passé où on le voit sauver une jeune Rita. Là aussi c'est bien mené, notamment pour la partie dans le passé. Enfin, le troisième prépare le futur de la série Power Rangers avec la révélation des origines des Power Rangers dans l'Espace et notamment Andros et Zhane.
Cet album contient 3 histoires, dévoilant les secrets de 3 personnages importants de l'univers des Power Rangers : Le Ranger Fantôme, Astronema... et un nouveau venu : le Ranger Mort ! Répondant à l’appel de Zordon, le Phantom ranger se rend sur les lieux d’une attaque Empyreal et découvre un lien avec un mal ancien auquel il a déjà été confronté… et qui pourrait revenir pour menacer l’univers tout entier, tandis que le passé d’Astronema est révélé. Attendez-vous à faire des découvertes renversantes sur ces personnages, des révélations qui joueront un rôle décisif dans l’avenir des équipes de Mighty Morphin et Power Rangers dans la double série Power Rangers Unlimited !
Ce tome contient 3 one-shots. Le premier est centré sur Astronema, l'antagoniste des Power Rangers dans l'Espace, que l'on a vu dans le tome 2 de Power Rangers. Ce numéro révèle sa jeunesse et c'est intéressant pour l'univers Power Ranger comics mais aussi télé. Le second one-shot est centré sur le Phantom Ranger et se situe à la fois dans le présent, après le tome 2 de Power Rangers mais auussi dans le passé où on le voit sauver une jeune Rita. Là aussi c'est bien mené, notamment pour la partie dans le passé. Enfin, le troisième prépare le futur de la série Power Rangers avec la révélation des origines des Power Rangers dans l'Espace et notamment Andros et Zhane.
La suite de l'unviers parallèle de Sean Murphy initié avec White Knight. On retrouve l'aspect graphique toujours aussi bien travaillé, et on ressent également l'amour que porte Murphy pour Batman dans toute ses incarnations, que ce soit sur papier, télévision ou film.
Le récit n'atteint cependant pas les mêmes hauteurs que les deux premières runs de Murphy, mais les 8 numéros se laissent lire avec plaisir, et le développement des personnages est assez touchant et intéressant pour vouloir continuer d'explorer cet univers au-delà de Beyond The White Knight.
Le "Murphyverse" continue de s'étendre et s'étoffe encore un peu plus. La qualité (scénaristique et graphique) est toujours au rendez-vous. Sean Murphy nous propose des séquences touchantes, portées par des personnages profonds et caractéristiques. Quelques plans nous feront arrêter la lecture pour mieux contempler les décors immersifs et ses couleurs tapantes. Batman White Knight, et ses suites, sont certainement une valeur sûre. A ne pas manquer !
Dix ans après que Gotham s'est interrogée sur l'efficacité réelle du Chevalier Noir, Derek Powers a pris le contrôle des actifs de la famille Wayne et utilise l'unité anti-terroriste de la ville pour protéger les citoyens... mais à quel prix ? Le justicier de Gotham est toujours en prison et, en son absence, c'est à Terry McGinnis de prendre la relève. Mais dans cette ville futuriste dystopique, seul le vrai Batman est conscient des dangers à venir...
La suite de l'unviers parallèle de Sean Murphy initié avec White Knight. On retrouve l'aspect graphique toujours aussi bien travaillé, et on ressent également l'amour que porte Murphy pour Batman dans toute ses incarnations, que ce soit sur papier, télévision ou film.
Le récit n'atteint cependant pas les mêmes hauteurs que les deux premières runs de Murphy, mais les 8 numéros se laissent lire avec plaisir, et le développement des personnages est assez touchant et intéressant pour vouloir continuer d'explorer cet univers au-delà de Beyond The White Knight.
Le "Murphyverse" continue de s'étendre et s'étoffe encore un peu plus. La qualité (scénaristique et graphique) est toujours au rendez-vous. Sean Murphy nous propose des séquences touchantes, portées par des personnages profonds et caractéristiques. Quelques plans nous feront arrêter la lecture pour mieux contempler les décors immersifs et ses couleurs tapantes. Batman White Knight, et ses suites, sont certainement une valeur sûre. A ne pas manquer !
Ce genre de plaisir régressif !
Le titre et la couverture le suggèrent, des héros et des méchants DC transposés en Dino qui se mettent sur la tronche ni plus ni moins... mais qu'est ce que c'est fun. C'est le genre de bombon acidulé que l'on aime prendre de temps en temps, ce genre de plaisirs simples qui ne vont pas cherchez bien loin. Daniel Warren Johnson s'associe avec Juan Gedeon qui ont eu carte blanche pour nous servir des affrontements débridés. L'histoire est ultra basique mais cela suffit pour nous laisser profiter de planches somptueuses et dynamiques.
Un gros point noir tout de même avec l'arrivée de Rafa Garres aux dessins seulement pour le 3e épisode, la suite reprend cependant de plus belle !
Une mini-série plaisante qui transpose l'univers DC dans un monde de dinosaures. C'est fun, on retrouve énormament de personnages, chaque héros ayant son au minimum un de ses vilains présent. Ca ne changera pas l'univers DC mais ça reste un bon boulot de Daniel Warren Johnson. Gaphiquement, c'est très sympathique avec les trait des dinosaures bien représenté, on arrive à identifier les différentes espèces sans problèmes.
Jurassic League ne brille pas par son scénario simpliste. Si on le lit, c'est plus par curiosité (?). "Batman en dinosaure, sérieusement ?!"
Voir nos héros favoris et habituels transposés à l'époque des dinausores c'est tout de même de l'inédit. Cet attrait apporte au titre un élan de fraicheur dans un univers déjà saturé. Bonne idée DC Comis ! Jurassic League reste un petit plaisir coupable. On retomberait presque en enfance avec nos jouets en plastique de T-Rex et Diplodocus... La lecture est fluide, les dessins sont de bonnes factures, colorés (sauf pour le 3ème chapitre).
L'histoire est connue : un nourrisson échappe à la destruction de sa planète natale et atterri sur Terre pour être élevé par des parents humains. Une déesse d'une cité perdue défend la vérité. Un théropode revêt un costume de chauve-souris pour semer la terreur dans le coeur des méchants. Cette trinité héroïque, ainsi qu'une Ligue d'autres dinosaures surpuissants, unissent leurs forces pour sauver une Terre préhistorique des sinistres machinations de Darkyloseid... Attends...quoi ? Ok, peut-être que vous ne connaissez pas l'histoire. Alors soyez témoin d'une toute nouvelle aventure plus ancienne que le temps, et découvrez la Ligue de Justice comme vous ne l'avez jamais vue auparavant !
Contenu vo : The Jurassic League #1-6
Ce genre de plaisir régressif !
Le titre et la couverture le suggèrent, des héros et des méchants DC transposés en Dino qui se mettent sur la tronche ni plus ni moins... mais qu'est ce que c'est fun. C'est le genre de bombon acidulé que l'on aime prendre de temps en temps, ce genre de plaisirs simples qui ne vont pas cherchez bien loin. Daniel Warren Johnson s'associe avec Juan Gedeon qui ont eu carte blanche pour nous servir des affrontements débridés. L'histoire est ultra basique mais cela suffit pour nous laisser profiter de planches somptueuses et dynamiques.
Un gros point noir tout de même avec l'arrivée de Rafa Garres aux dessins seulement pour le 3e épisode, la suite reprend cependant de plus belle !
Une mini-série plaisante qui transpose l'univers DC dans un monde de dinosaures. C'est fun, on retrouve énormament de personnages, chaque héros ayant son au minimum un de ses vilains présent. Ca ne changera pas l'univers DC mais ça reste un bon boulot de Daniel Warren Johnson. Gaphiquement, c'est très sympathique avec les trait des dinosaures bien représenté, on arrive à identifier les différentes espèces sans problèmes.
Jurassic League ne brille pas par son scénario simpliste. Si on le lit, c'est plus par curiosité (?). "Batman en dinosaure, sérieusement ?!"
Voir nos héros favoris et habituels transposés à l'époque des dinausores c'est tout de même de l'inédit. Cet attrait apporte au titre un élan de fraicheur dans un univers déjà saturé. Bonne idée DC Comis ! Jurassic League reste un petit plaisir coupable. On retomberait presque en enfance avec nos jouets en plastique de T-Rex et Diplodocus... La lecture est fluide, les dessins sont de bonnes factures, colorés (sauf pour le 3ème chapitre).
Avant-dernier numéro avec la fin du deuxième acte et le début du troisième de l’event. La notion de jugement reste particulière, mais l’intrigue avance bien malgré la rapidité de certains événements. Gillen surprend énormément avec réussite et pousse à lire la suite ! Les personnages mis en avant sont bien écrits et l'auteur les utilise efficacement. Les dessins restent toujours aussi bons avec des planches sublimes.
Par contre, les tie-ins autre que par Gillen sont largement dispensable. Si vous voulez lire de meilleurs tie-ins, privilégiez ceux de Destiny of X.
Kieron Gillen, Valerio Schiti, Juann Cabal, Guiu Vilanova…
À l’origine, il s’agissait d’un conflit entre les mutants et les Éternels, puis les Avengers sont intervenus. Ils ont fabriqué un dieu, le Céleste Géniteur, dans l’espoir qu’il fasse cesser l’affrontement. Mais celui-ci a décidé de juger l’humanité tout entière !
(Contient les épisodes US AXE: Judgment Day (2022) 4-5, Fantastic Four (2018) 47, AXE: Avengers (2022) 1, AXE: Iron Fist (2022) 1 et AXE: Death to the Mutants (2022) 3, inédits)
Avant-dernier numéro avec la fin du deuxième acte et le début du troisième de l’event. La notion de jugement reste particulière, mais l’intrigue avance bien malgré la rapidité de certains événements. Gillen surprend énormément avec réussite et pousse à lire la suite ! Les personnages mis en avant sont bien écrits et l'auteur les utilise efficacement. Les dessins restent toujours aussi bons avec des planches sublimes.
Par contre, les tie-ins autre que par Gillen sont largement dispensable. Si vous voulez lire de meilleurs tie-ins, privilégiez ceux de Destiny of X.
Je n'ai pas tout lu de la série, mais le début est très bon. L'ambiance psychédélique du Silver Surfer est retrouvée, tout en s'inspirant beaucoup de Doctor Who. La lecture était bonne, et c'est visuellement magnifique.
Dan Slott, Mike Allred
Au cours de l’une de ses missions, le Silver Surfer fait la connaissance de la terrienne Dawn Greenwood. Ensemble, ils vont vivre des aventures fantastiques, rencontrer des peuples insolites et entamer une relation repoussant les barrières du possible.
(Contient les épisodes US All-New Marvel NOW! Point One (2014) 1, Silver Surfer (2014) 1-15 et Silver Surfer (2016) 1-16, précédemment publiés dans MARVEL NOW! : SILVER SURFER 1-3 et 100% MARVEL : SILVER SURFER 1-2)
Je n'ai pas tout lu de la série, mais le début est très bon. L'ambiance psychédélique du Silver Surfer est retrouvée, tout en s'inspirant beaucoup de Doctor Who. La lecture était bonne, et c'est visuellement magnifique.
Très bon début de série, qui arrive à retrouver l'ambiance des premiers films, ce qui n'était pas gagné d'avance.
Jason Aaron, John Cassaday
Nous sommes au lendemain de la grande victoire de l'Alliance Rebelle sur l'Empire : Luke Skywalker a rallié les Rebelles et l'Étoile de la Mort a été détruite. Mais l'Empire est loin d'être vaincu ! Suivez Luke, Leia, Han Solo et les autres dans leurs efforts pour contrecarrer l'Empereur et Dark Vador.
(Contient les épisodes US Star Wars (2015) 1-6, précédemment publiés dans STAR WARS DELUXE: STAR WARS 1)
Très bon début de série, qui arrive à retrouver l'ambiance des premiers films, ce qui n'était pas gagné d'avance.
L'arc Fils de Dathomir est un immanquable pour les fans de Clone Wars ou de Maul. Une histoire qui aide à mettre du contexte et de la profondeur dans le parcours du seigneur Sith vers la fin de la prélogie, et qui est aussi courte qu'intense.
Jeremy Barlow, Juan Frigeri
Coupé en deux par Obi-Wan Kenobi, sauvé par les sorcières de Dathomir mais rejeté par son ancien maître Dark Sidious, Dark Maul est prêt à tout pour se venger de ses ennemis. Quitte à affronter toute la galaxie !
(Contient les épisodes US Darth Maul: Son of Dathomir (2014) 1-4, précédemment publiés dans 100% STAR WARS : DARK MAUL – FILS DE DATHOMIR)
L'arc Fils de Dathomir est un immanquable pour les fans de Clone Wars ou de Maul. Une histoire qui aide à mettre du contexte et de la profondeur dans le parcours du seigneur Sith vers la fin de la prélogie, et qui est aussi courte qu'intense.
Un titre exceptionnel que tout lecteur de comics devrait avoir lu. Pour ceux qui hésitaient encore, ce petit prix est l'occasion ou jamais de vous le procurer !
Agiles, furtifs et mortels, 1, 2 et 3 sont les dernières machines de guerre révolutionnaires que la science et l'armée ont conçues. Mais 1, 2 et 3 sont également un chien, un chat et un lapin : autrefois simples animaux domestiques, ils ont été capturés puis transformés en cyborgs futuristes et belliqueux. Mais le jour où une scientifique au coeur trop tendre les relâche, les soldats se lancent à leurs trousses, gardant en dernier recours, le terrible et imposant 4.
Un titre exceptionnel que tout lecteur de comics devrait avoir lu. Pour ceux qui hésitaient encore, ce petit prix est l'occasion ou jamais de vous le procurer !
Un grand classique de l'écurie DC Comics. Une histoire intelligente, bien construite, sombre et perturbante. La partie graphique n'a rien à envier au scénario.
Excellente Histoire qui est un grand classique. On voit des super héros faillibles et en proie aux doutes.
Prologue à l'évènement Infinite Crisis.
Un classique qui a bouleversé DC Comics et lancé son univers vers une période plus sombre mais passionnante à lire. Une enquête à dimension humaine bien narrée qui questionne les Super-héros. Accompagné par une superbe partie graphique, c’est un immanquable à lire.
Cette période de DC essayait d'introduire plus d'humanité chez les super-héros DC, et cette Crise d'Identité en est pour moi l'apothéose. C'est très bien écrit, très émouvant et très bien mis en image. L'une des meilleures histoires de la Justice League.
Sue Dibny la femme d'Extensiman, l'un des membres de la Ligue de Justice, a été assassinée. Le meurtrier a pu déjouer les systèmes de sécurité installés par les plus grands héros de la Terre. L'enquête menée par les justiciers va mettre à jour un complot au sein même de la Ligue et un terrible secret concernant leur traitement des super-vilains !
Un grand classique de l'écurie DC Comics. Une histoire intelligente, bien construite, sombre et perturbante. La partie graphique n'a rien à envier au scénario.
Excellente Histoire qui est un grand classique. On voit des super héros faillibles et en proie aux doutes.
Prologue à l'évènement Infinite Crisis.
Un classique qui a bouleversé DC Comics et lancé son univers vers une période plus sombre mais passionnante à lire. Une enquête à dimension humaine bien narrée qui questionne les Super-héros. Accompagné par une superbe partie graphique, c’est un immanquable à lire.
Cette période de DC essayait d'introduire plus d'humanité chez les super-héros DC, et cette Crise d'Identité en est pour moi l'apothéose. C'est très bien écrit, très émouvant et très bien mis en image. L'une des meilleures histoires de la Justice League.
Avant DCeased, les zombies chez DC c'était avec Blackest Night ! L'événement réunnissant tout l'univers DC Comics autour du point culminant du travail de Geoff Johns sur Green Lantern, est épique et réussit à exploiter des personnages secondaires pour en faire les héros principaux du récit. Un travail graphique titanesque au service d'une histoire dantesque centrée sur la Terre mais aussi l'histoire cosmqique de DC, les Lanterns étant à l'honneur dans ces deux tomes.
Arc de Geoff Johns lancé dans la continuité du Sinestro Corps War. A ce moment-là, nous sommes vraiment dans la "grande époque" des Green Lantern et sans doute à l'apogée de la carrière de Johns du point de créatif. Il s'agit d'une excellente lecture sublimée par les dessins d'Ivan Reis.
Avec Blackest Night, on atteint le point d’orgue du run de Johns sur Green Lantern. L’auteur nous propose un event épique qui exploite l’histoire de l’univers DC et des personnages inattendus pour un récit riche en rebondissements. C'est sans compter les incroyables dessins d’Ivan Reis qui en font un immanquable à lire.
Je trouve ça un peu dommage de lire directement Blackest Night sans lire le run passionnant de Geoff Johns sur Green Lantern. Dans la continuité, il s'agit du point culminant de son run, entrainant tout l'univers DC avec lui. Un excellent crossover, très bien en image.
Suite à son suicide, le super-criminel, Black Hand devient l'agent d'une mystérieuse entité, et ressuscite à ses côtés des super-héros décédés. Le Corps des Green Lantern et la Ligue de Justice pourront-ils repousser cette invasion de zombies surpuissants ?
Contenu vo : (contient Blackest Night #0-4, Green Lantern #43-47)
Avant DCeased, les zombies chez DC c'était avec Blackest Night ! L'événement réunnissant tout l'univers DC Comics autour du point culminant du travail de Geoff Johns sur Green Lantern, est épique et réussit à exploiter des personnages secondaires pour en faire les héros principaux du récit. Un travail graphique titanesque au service d'une histoire dantesque centrée sur la Terre mais aussi l'histoire cosmqique de DC, les Lanterns étant à l'honneur dans ces deux tomes.
Arc de Geoff Johns lancé dans la continuité du Sinestro Corps War. A ce moment-là, nous sommes vraiment dans la "grande époque" des Green Lantern et sans doute à l'apogée de la carrière de Johns du point de créatif. Il s'agit d'une excellente lecture sublimée par les dessins d'Ivan Reis.
Avec Blackest Night, on atteint le point d’orgue du run de Johns sur Green Lantern. L’auteur nous propose un event épique qui exploite l’histoire de l’univers DC et des personnages inattendus pour un récit riche en rebondissements. C'est sans compter les incroyables dessins d’Ivan Reis qui en font un immanquable à lire.
Je trouve ça un peu dommage de lire directement Blackest Night sans lire le run passionnant de Geoff Johns sur Green Lantern. Dans la continuité, il s'agit du point culminant de son run, entrainant tout l'univers DC avec lui. Un excellent crossover, très bien en image.
Un récit qui réussit à capturer le côté détective du Chevalier Noir. Jeph Loeb et Tim Sale est une équipe qui fonctionne à chaque fois, et Un Long Halloween ne fait pas exception !
Un incontournable pour les fans de Batman, à lire juste après Année Un de Frank Miller.
L'un des grands classiques de l'univers Batman. Que cela soit en petit ou en grand format, il se doit d'être dans votre bibliothèque dès lors que vous êtes un "bat-fan".
Je suis partagé. Un Long Halloween est un classique de Batman que tout le monde appréciant le personnage doit avoir lu, et c'est une très bonne chose de le rendre si accessible. Mais les dessins de Tim Sale à ce format, n'est-ce pas un peu dommage ?
C'est une lecture indispensable et si vous n'aviez pas encore sauter le pas, foncez !
Des éditions de cette oeuvre il en existe pléthore mais à 9.99€... pour un récit de grande qualité qui intègre le Chevalier Noir dans le registre du polar noir... l'affiche de Jeph Loeb et Tim Sale aurait déjà dû suffire à vous convaincre.
L'ambiance des palnches de Tim Sale est diablement efficace et fait honneur à la dimension gothique et sombre de l'univers de Batman.
Tout le monde connaît un temps soit peu Batman pas besoin prérequis pour apprécier cette oeuvre, à ce prix là tentez-le, lisez-le, offrez-le, partagez-le !!!
Quelques mois après sa première victoire contre l'empire du crime qui phagocyte. La cité de Gotham, le vigilant Batman enquête sur une série de meurtres perpétrés uniquement lors des fêtes. Travaillant en parallèle avec le jeune procureur Harvey Dent et le Lieutenant James Gordons, le Chevalier Noir engage une course contre ce calendrier morbide qui égrène chaque mois une victime supplémentaire. Une quête dont la conclusion pourrait bien sonner la chute du plus grand espoir de Gotham, et la naissance de l'un de ses pires monstres de foire...
Un récit qui réussit à capturer le côté détective du Chevalier Noir. Jeph Loeb et Tim Sale est une équipe qui fonctionne à chaque fois, et Un Long Halloween ne fait pas exception !
Un incontournable pour les fans de Batman, à lire juste après Année Un de Frank Miller.
L'un des grands classiques de l'univers Batman. Que cela soit en petit ou en grand format, il se doit d'être dans votre bibliothèque dès lors que vous êtes un "bat-fan".
Je suis partagé. Un Long Halloween est un classique de Batman que tout le monde appréciant le personnage doit avoir lu, et c'est une très bonne chose de le rendre si accessible. Mais les dessins de Tim Sale à ce format, n'est-ce pas un peu dommage ?
C'est une lecture indispensable et si vous n'aviez pas encore sauter le pas, foncez !
Des éditions de cette oeuvre il en existe pléthore mais à 9.99€... pour un récit de grande qualité qui intègre le Chevalier Noir dans le registre du polar noir... l'affiche de Jeph Loeb et Tim Sale aurait déjà dû suffire à vous convaincre.
L'ambiance des palnches de Tim Sale est diablement efficace et fait honneur à la dimension gothique et sombre de l'univers de Batman.
Tout le monde connaît un temps soit peu Batman pas besoin prérequis pour apprécier cette oeuvre, à ce prix là tentez-le, lisez-le, offrez-le, partagez-le !!!
Nous entrons dans la deuxième moitié du récit. Les surprises liées aux débuts ne sont plus là mais Vaughan continue de maîtriser son récit de bout en bout et à multiplier les bonnes idées. Rien à dire pour ce qui est du travail de Pia Guerra qui aura toujours été assez incroyable.
Yorick, le dernier homme sur Terre, accompagné de son petit singe Esperluette, traverse les Etats-Unis. Au cours de son périple, il a fait la connaissance d'agents gouvernementaux chargés de le protéger des tentatives d'enlèvements... mais Yorick n'est toujours pas à l'abri des menaces. Cette fois, le danger pourrait bien être invisible et signer l'arrêt de mort de l'humanité entière !
Nous entrons dans la deuxième moitié du récit. Les surprises liées aux débuts ne sont plus là mais Vaughan continue de maîtriser son récit de bout en bout et à multiplier les bonnes idées. Rien à dire pour ce qui est du travail de Pia Guerra qui aura toujours été assez incroyable.
![[VF] Sélection MDCU d'août 2025](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_39375_vf-selection-mdcu-d-aout-2025_1753640373.jpg)
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L'Avis de la rédaction (1)
Uraphire Staff MDCU
il y a 2 ans
Dernier tome de la série la plus personnelle de l’auteur à ce jour où Marcus devient un véritable reflet de l’auteur dans ce dernier arc. Rick Remender continue de nous écrire ses réflexions personnelles, mais n'oublie pas de proposer une très bonne histoire captivante. Chaque numéro est différent et nous surprend jusqu’au bout pour proposer une conclusion satisfaisante pour les lecteurs. Il ne faut pas non plus oublier Wesley Craig qui a participé au succès de cette superbe série.