Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
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Affaire #1 : Une série de meurtres effroyables a provoqué une onde de choc à Gotham. La piste mène tout droit vers un sinistre tueur en série, au corps percé d’innombrables clous et baptisé l’écorché. Mais s'agit-il des agissements d’un seul désaxé, ou y a-t-il quelque chose d’encore plus sinistre en jeu ?
Une nouvelle série Batman à l'ambiance assez folle, alternant entre le polar et l'horreur. Ce sont à chaque fois des "affaires" racontées en trois numéros, avec des scénarios originaux et de superbes dessins de Hayden Sherman. Un vrai vent de fraicheur dans l'univers du Dark Knight.
Un magnifique run sur les Avengers, qui va être un vrai plaisir à lire ou relire en intégralité. Foncez.
Contrairement à Bendis par exemple, Hickman instaure tout de suite une ambiance cosmique et épique aux Avengers. Toute son intrigue complexe est racontée à cheval sur deux séries, réunies ici. Si vous n'avez pas peur des Omnibus, c'est vraiment un run à posséder. L'event Infinity est en plus excellent, et tout ça mènera vers l'encore plus fou Secret Wars. Bref, la lecture est captivante, les dessins très bons, jetez-vous dessus !
Jonathan Hickman, Dustin Weaver, Stefano Caselli…
Voici l’équipe de héros la plus puissante, mais aussi la plus imposante de l’histoire des Avengers. Mais les menaces qu’elle doit affronter le sont tout autant. Un peuple d’aliens nommé les Bâtisseurs se dirige vers la Terre et l’ensemble du Multivers est au bord de l’effondrement
(Contient les épisodes US Avengers (2013) 1-23, New Avengers (2013) 1-12, Ininity (2013) 1-6, Astonishing Tales: Mojoworld (2008) 1-6 et Shang-Chi: Master of Kung Fu (2009) 1 (extrait), précédemment publiés dans AVENGERS : LA COLLECTION ANNIVERSAIRE 6, MARVEL DELUXE : NEW AVENGERS 1-2, MARVEL DELUXE : AVENGERS 1-2, MARVEL DELUXE : INFINITY 1-2, MARVEL SAGA (V2) 2 et X-MEN (V4) 13-14)
Un magnifique run sur les Avengers, qui va être un vrai plaisir à lire ou relire en intégralité. Foncez.
Contrairement à Bendis par exemple, Hickman instaure tout de suite une ambiance cosmique et épique aux Avengers. Toute son intrigue complexe est racontée à cheval sur deux séries, réunies ici. Si vous n'avez pas peur des Omnibus, c'est vraiment un run à posséder. L'event Infinity est en plus excellent, et tout ça mènera vers l'encore plus fou Secret Wars. Bref, la lecture est captivante, les dessins très bons, jetez-vous dessus !
Il s'agit là de la première mini-série qui a introduit le personnage dans l'univers Marvel. C'est un récit absolument génial, qui joue avec le quatrième mur, et nous montre un super-héros que tout le monde a oublié, même nous ! Bref, une petite pétite à lire !
Paul Jenkins, Jae Lee
Robert Reynolds mène une vie tranquille, quoique morne, jusqu'à ce qu'il découvre qu'il est en réalité Sentry, l'un des plus grands héros de l'univers Marvel, oublié par tous depuis des décennies. Les Fantastiques, les Avengers ou encore les X-Men se penchent sur ce mystère…
(Contient les épisodes Sentry (2000) 1-5, Sentry: Fantastic Four (2000), Sentry: Spider-Man (2000), Sentry: Hulk (2000), Sentry: X-Men (2000) et Sentry Vs the Void (2000), précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : SENTRY)
Il s'agit là de la première mini-série qui a introduit le personnage dans l'univers Marvel. C'est un récit absolument génial, qui joue avec le quatrième mur, et nous montre un super-héros que tout le monde a oublié, même nous ! Bref, une petite pétite à lire !
Un excellent premier tome qui nous propose une Wonder Woman radicalement différente. Le côté guerrier est amplifié grâce à son armure et son arsenal pour des aventures assez incroyables où la magie est, elle aussi, bien plus présente. Le récit est bon, les limitées sont repoussées, la partie graphique est très bonne bref WW passe l'examen Absolute avec succès !
Début d'Absolute Wonder Woman par Kelly Thompson et c'est une très bonne introduction. On retrouve une Diana hors de son ile mais plutôt élevée par Circé en Enfers. Elle pratique plus la magie que ce qu'on a l'habitude de voir, en plus de ses autres caractéristiques. L'autrice nous réservent d'autres surprises en bonus. Côté personnages habituels de Wonder Woman, on retrouve bien évidemment Steve Trevor, mais d'autres personnages sont aussi présents dans des rôles plus différents. En tout cas, c'est sans doute la série la plus réussie des trois pour l'instant.
Une jolie approche de Wonder Woman, coupée de son mon d'origine et des Amazones. Kelly Thompson développe de belle manière la relation entre Diana et sa mère adoptive et l'arrivée dans notre monde est très intéressante aussi. On retrouve toutes les qualités et valeurs du personnage dans un contexte très différent, magnifiquement mis en scène par Hayden Sherman, que beaucoup vont découvrir ici, et qui n'hésite pas à faire preuve de grande créativité dans son découpage et sa narration.
Excellente revisite de Wonder Woman. La force de la ligne Absolute est de nous montrer une version plus sombre des personnages, mais sans les dénaturer. Le travail sur Wonder Woman est malin, et très bien raconté, avec des dessins magnifiques ! Une belle réussite !
Depuis des millénaires, les Amazones ont protégé l’humanité dans l’ombre au fil de son développement, empêchant les incursions de monstres venus d’ailleurs. Mais quand les dieux leur tournent le dos, la Princesse des Amazones, Diana, est exilée aux Enfers et le nom même des Amazones est rayé de l’histoire… Sans île du Paradis, sans la sororité qui l’a forgée en tant qu’héroïne, et sans même son rôle d’émissaire de paix... Diana reste Wonder Woman ! Contenu : Absolute Wonder Woman #1-5
Un excellent premier tome qui nous propose une Wonder Woman radicalement différente. Le côté guerrier est amplifié grâce à son armure et son arsenal pour des aventures assez incroyables où la magie est, elle aussi, bien plus présente. Le récit est bon, les limitées sont repoussées, la partie graphique est très bonne bref WW passe l'examen Absolute avec succès !
Début d'Absolute Wonder Woman par Kelly Thompson et c'est une très bonne introduction. On retrouve une Diana hors de son ile mais plutôt élevée par Circé en Enfers. Elle pratique plus la magie que ce qu'on a l'habitude de voir, en plus de ses autres caractéristiques. L'autrice nous réservent d'autres surprises en bonus. Côté personnages habituels de Wonder Woman, on retrouve bien évidemment Steve Trevor, mais d'autres personnages sont aussi présents dans des rôles plus différents. En tout cas, c'est sans doute la série la plus réussie des trois pour l'instant.
Une jolie approche de Wonder Woman, coupée de son mon d'origine et des Amazones. Kelly Thompson développe de belle manière la relation entre Diana et sa mère adoptive et l'arrivée dans notre monde est très intéressante aussi. On retrouve toutes les qualités et valeurs du personnage dans un contexte très différent, magnifiquement mis en scène par Hayden Sherman, que beaucoup vont découvrir ici, et qui n'hésite pas à faire preuve de grande créativité dans son découpage et sa narration.
Excellente revisite de Wonder Woman. La force de la ligne Absolute est de nous montrer une version plus sombre des personnages, mais sans les dénaturer. Le travail sur Wonder Woman est malin, et très bien raconté, avec des dessins magnifiques ! Une belle réussite !
Début de Absolute Superman par Jaosn Aaron et c'est une petite surprise. Si le premier numéro est plutôt plat et peu attractif, la série se révèle au fur et à mesure avec des informations sur les derniers jours de Krypton et en parallèle la lutte dans le présent contre l'organisation Lazarus. On nous repose les Kent, Lois Lane et des ennemis dans un contexte différent. Reste à voir comment la série évoluera mais ce premier arc est plutôt prometteur.
Si le côté jeune adulte solitaire et un peu rebelle (qui s'améliore au fil des numéros) n'est pas des plus attractifs sur le personnage, tout ce qui concerne Krypton et son passé est par contre extrêmement bien écrit et offre une approche très originale qui vaut le détour. Un titre qui monte clairement en puissance et qui possède un vrai potentiel. Rafa Sandoval est, sans surprise, excellent au dessin.
Mon coup de coeur de la ligne Absolute ! Superman est cette fois assez discret et en retrait, le but étant de mettre en avant l'oppression des peuples par une entreprise. La nouvelle Krypton s'éloigne encore plus du paradis qu'on aurait pu imaginer, avec un système de classes assez rigide. Bref, du Superman sur fond de lutte des classes, l'idée est très bonne en ces temps compliqués, et même si le sujet politique ne va jamais très loin dans les comics, je suis curieux de voir où va aller Aaron.
Une série qui alterne le présent sur Terre avec le passé sur Krypton. Sur Terre, il y a des choses à redire. Par contre, sur Krypton, c'est franchement dingue. Le côté lutte des classes est une approche que l'on n'attendait pas forcément sur un titre Superman et qui, pourtement, et foutrement efficace !
Que serait devenu Superman s’il avait été élevé sur Krypton ? S’il avait dû fuir sa famille pour échapper au destin tragique de sa civilisation ? S’il n’avait pas reçu le code moral de la famille humaine des Kent ? C’est ce que propose de découvrir ce récit mettant en scène l’histoire épique et tragique du dernier fils de Krypton dans un univers plus sombre et réaliste ! Contenu : Absolute Superman #1-6
Début de Absolute Superman par Jaosn Aaron et c'est une petite surprise. Si le premier numéro est plutôt plat et peu attractif, la série se révèle au fur et à mesure avec des informations sur les derniers jours de Krypton et en parallèle la lutte dans le présent contre l'organisation Lazarus. On nous repose les Kent, Lois Lane et des ennemis dans un contexte différent. Reste à voir comment la série évoluera mais ce premier arc est plutôt prometteur.
Si le côté jeune adulte solitaire et un peu rebelle (qui s'améliore au fil des numéros) n'est pas des plus attractifs sur le personnage, tout ce qui concerne Krypton et son passé est par contre extrêmement bien écrit et offre une approche très originale qui vaut le détour. Un titre qui monte clairement en puissance et qui possède un vrai potentiel. Rafa Sandoval est, sans surprise, excellent au dessin.
Mon coup de coeur de la ligne Absolute ! Superman est cette fois assez discret et en retrait, le but étant de mettre en avant l'oppression des peuples par une entreprise. La nouvelle Krypton s'éloigne encore plus du paradis qu'on aurait pu imaginer, avec un système de classes assez rigide. Bref, du Superman sur fond de lutte des classes, l'idée est très bonne en ces temps compliqués, et même si le sujet politique ne va jamais très loin dans les comics, je suis curieux de voir où va aller Aaron.
Une série qui alterne le présent sur Terre avec le passé sur Krypton. Sur Terre, il y a des choses à redire. Par contre, sur Krypton, c'est franchement dingue. Le côté lutte des classes est une approche que l'on n'attendait pas forcément sur un titre Superman et qui, pourtement, et foutrement efficace !
Suite au crossover Shattered Grid, la série se concentre le temps d'un long arc sur un groupe de rangers venu d'équipes différentes et qui voyagent dans un vaisseau spatial. Le titre est repris par Marguerite Bennett qui fait du très bon travail, on s'attache aux différents personnages que l'on connait ou non, et elle en profite pour créer une nouvelle équipe de Rangers qui sera réutilisée plus tard, les rangers solaires. L'arc est dessiné par Simone Di Meo, qui ne fait pas l'unanimité avec son style, mais pour une histoire dans l'espace, il est à la bonne place.
Après la destruction du réseau de transmutation dans l’épique Shattered Grid, une équipe de Power Rangers est réunie à travers le temps et l’espace pour combattre un mal inédit. Mais même avec la Ranger Slayer (une version alternative de Kimberly Hart, le Ranger Rose original) à la tête de certains des membres les plus puissants de Zeo, Dino Charge, Ninja Storm, Lost Galaxy et In Space, ce nouveau groupe de héros pourra-t-il trouver un moyen de vaincre ce nouvel ennemi inconnu et terrifiant ? Qui est le mystérieux Dark Ranger ? Et quel est le secret du tout nouveau Ranger Solaire ? Un tout nouveau départ pour une nouvelle équipe de Power Rangers pas comme les autres !
Écrit par Marguerite Bennett (Batwoman, Animosity), dessiné par Simone di Meo (We Only Find Them When They’re Dead).
Cette intégrale regroupe les épisodes #31-39 (l’arc narratif « Beyond the Grid » au complet), l’histoire épilogue, une galerie d’illustrations et, en bonus, l’histoire complète « les aventures de Blue Senturion et Ninjor ».
Suite au crossover Shattered Grid, la série se concentre le temps d'un long arc sur un groupe de rangers venu d'équipes différentes et qui voyagent dans un vaisseau spatial. Le titre est repris par Marguerite Bennett qui fait du très bon travail, on s'attache aux différents personnages que l'on connait ou non, et elle en profite pour créer une nouvelle équipe de Rangers qui sera réutilisée plus tard, les rangers solaires. L'arc est dessiné par Simone Di Meo, qui ne fait pas l'unanimité avec son style, mais pour une histoire dans l'espace, il est à la bonne place.
Un troisième tome qui conclue le premier gros arc de la série. C'est toujours aussi qualitatif et raconté de manière toujours aussi originale par Tom King, avec une narration qui paye sur la longueur, offrant des moments forts et puissants.
Le run de Tom King me plait, mais m'inquiète par moment. Au fur et à mesure que l'intrigue avance, on se demande où est-ce qu'il nous emmène, surtout avec Trinity. Dommage de ramener la plus grande des héroines à un rôle de mère. Bref, je prends beaucoup de plaisir à lire la série, surtout avec ces dessins de dingue, mais je suis curieux de la suite.
Emprisonnée et torturée pendant de longs mois, Wonder Woman est enfin libérée avec un objectif précis : mettre fin à son duel contre le Souverain. Alors que leur guerre prend une tournure dangereuse, ses proches sont plus que jamais au coeur du danger, à commencer par Steve Trevor... Dans un futur proche, la naissance de Trinity se profile, et le destin de Diana en sera à jamais changé : comment s'adapter à son nouveau rôle de mère après tant de tragédies et d'effusions de sang ?
Contenu vo : Wonder Woman (2023) #14-19
Un troisième tome qui conclue le premier gros arc de la série. C'est toujours aussi qualitatif et raconté de manière toujours aussi originale par Tom King, avec une narration qui paye sur la longueur, offrant des moments forts et puissants.
Le run de Tom King me plait, mais m'inquiète par moment. Au fur et à mesure que l'intrigue avance, on se demande où est-ce qu'il nous emmène, surtout avec Trinity. Dommage de ramener la plus grande des héroines à un rôle de mère. Bref, je prends beaucoup de plaisir à lire la série, surtout avec ces dessins de dingue, mais je suis curieux de la suite.
Fin du run de Zdarsky sur la série Batman et ce dernier arc ne sera clairement pas ce qu'il a fait de mieux. C'est assez brouillon, on a l'impression qu'il a casé toutes les idées qu'il lui restait avant son départ (peut-être un peu précipité pour laisser la place à Hush 2) et on a un peu de mal à trouver une cohérence à cette intrigue finale, même s'il y a de bons moments. Le dessin est lui très bon.
Vraiment de bonnes idées pour proposer un nouveau départ à la série. La première partie de l'album est excellente, et la conclusion est correcte, mais effectivement, on sent la probable contrainte de calendrier. Dommage, j'aurais préféré que Zdarsky ait plus de temps pour développer ses idées.
Après une longue et éprouvante absence, Bruce Wayne est de retour à Gotham pour traquer les criminels sous les traits de Batman et continuer d’investir financièrement dans la ville pour la rendre meilleure. C’était sans compter sur le Sphinx qui prétend s’être repenti et souhaite devenir le principal bienfaiteur de la ville... S’agit-il d’un nouveau départ pour l'un des plus grands criminels de Gotham ou bien d'une énigme plus importante que seul Batman peut résoudre ?
Contenu VO : Batman #153-157.
Fin du run de Zdarsky sur la série Batman et ce dernier arc ne sera clairement pas ce qu'il a fait de mieux. C'est assez brouillon, on a l'impression qu'il a casé toutes les idées qu'il lui restait avant son départ (peut-être un peu précipité pour laisser la place à Hush 2) et on a un peu de mal à trouver une cohérence à cette intrigue finale, même s'il y a de bons moments. Le dessin est lui très bon.
Vraiment de bonnes idées pour proposer un nouveau départ à la série. La première partie de l'album est excellente, et la conclusion est correcte, mais effectivement, on sent la probable contrainte de calendrier. Dommage, j'aurais préféré que Zdarsky ait plus de temps pour développer ses idées.
Un nouveau tome qui aura connu du retard, mais qui arrive enfin. Si la recette qui a fait le succès de la série est toujours là (dont un dernier numéro qui promet de chambouler l’univers), la série devient un peu longue à suivre et n'est peut-être plus aussi passionnante qu'avant.
Hazel a désormais douze ans et vit avec sa mère, son frère Écuyer et bien d'autres, au sein d'un cirque itinérant. Chacun tente à sa façon de surmonter les traumatismes du passé, mais la disparition de Marko reste encore et toujours une douleur bien difficile à apaiser. Un tourment partagé par Le Testament et Gwendolyn, que la perte de Sophie plonge dans un désespoir sans précédent. Chacun devra trouver la force de s'ouvrir à l'autre et de faire de nouveau confiance. Malheureusement, ces périodes de fragilité profitent bien souvent aux gens les bien moins intentionnés.
Contenu vo : SAGA #68-72
Un nouveau tome qui aura connu du retard, mais qui arrive enfin. Si la recette qui a fait le succès de la série est toujours là (dont un dernier numéro qui promet de chambouler l’univers), la série devient un peu longue à suivre et n'est peut-être plus aussi passionnante qu'avant.
C'est une claque graphique qui arrive en grand format. L'auteur rend hommage à Godzilla à travers ses différentes périodes avec un dessin sublime et détaillé. Les récits bonus sont un ajout bienvenu et approprié pour prolonger la thématique. À ne pas manquer pour les fans de beaux dessins et de Kaijus !
GODZILLA, le suprême Roi des Monstres, prend vie en bande dessinée à travers l’esprit unique et les crayons du talentueux auteur-artiste visionnaire James STOKOE !
Cet album grand format, relié, à couverture cartonnée épaisse, réunit toutes les planches scénarisées et dessinées par James STOKOE sur GODZILLA :
- l’intégralité du récit épique GODZILLA : La Guerre d’un demi-siècle (Godzilla : The Half-Century War) considéré par les fans comme la meilleure B.D. GODZILLA jamais réalisée en grand format
- l’arrivée de GODZILLA en Enfer (le récit qui a ouvert l’album complet Godzilla in Hell) en grand format
- une galerie regroupant toutes les illustrations dessinées par James STOKOE et des croquis
- l’histoire courte inédite GODZILLA : La Galère d’un demi-siècle !
Dans GODZILLA : La Guerre d’un demi-siècle le lieutenant Ota Murakami est sur place lorsque GODZILLA débarque pour la première fois au Japon en 1954. Avec son ami Kentaro, Ota fait un pari désespéré pour sauver des vies. Commence alors une obsession pour le Roi des Monstres qui durera 50 ans…
Dans GODZILLA en Enfer, le Roi des Monstres entre dans l’au-delà, destiné à rester piégé dans les limbes… mais va-t-il se soumettre aux contraintes de l’Enfer ?
La Galerie regroupe les œuvres réalisées par James STOKOE sur Godzilla : toutes les couvertures et illustrations additionnelles de 2014 à 2024, et des croquis.
Dans l’histoire courte INÉDITE GODZILLA : La Galère d’un demi-siècle, deux recrues militaires sont assignées au nettoyage des dégâts provoqués par les monstres géants… ce sera pire que de nettoyer les écuries d’Augias, et aucun d’eux n’est Hercule ! Un complément sympathique à la grande histoire GODZILLA : La Guerre d’un demi-siècle !
C'est une claque graphique qui arrive en grand format. L'auteur rend hommage à Godzilla à travers ses différentes périodes avec un dessin sublime et détaillé. Les récits bonus sont un ajout bienvenu et approprié pour prolonger la thématique. À ne pas manquer pour les fans de beaux dessins et de Kaijus !
Il s'agit certainement la moins bonne des trois premières séries Absolute. Si le premier épisode est très bon, les suivants ne sont qu'une lente descente de qualité. C'est assez dommage. Snyder en fait beaucoup trop, comme si Batman avait besoin de coller son symbole partout. Graphiquement c'est plutôt bon par contre, même si on a plusieurs artistes. Les changements apportés à l'univers Batman peuvent être intéressants à exploiter. Reste à voir ce qui sera fait.
Pour le coup, Snyder et Dragotta n'y vont pas de main morte et nous offrent une version vraiment différente de tout ce que l'on a pu connaitre sur Batman, et ça fait mouche ! C'est bien écrit, plein de surprises et de prises de risque et le dessin est assez dingue, que ce soit dans son dynamisme ou dans les choix graphiques qui sont faits. À ne pas manquer.
Je n'aime pas Snyder, mais je reconnais qu'il a ici de très bonnes idées. Il est difficile de faire du nouveau avec Batman, pourtant il y arrive, et il y arrive même très bien ! Niveau graphisme, c'est plutôt original et assez dingue. Il y a peut-être quelques moments un peu plus faciles, mais je me plais dans cette série.
Snyder sur Batman, cela peut être très bon ou très moyen. Ici, c'est du très bon. La lignée Absolute permet une revisite assez incroyable de Batverse avec une approche bien plus violente que d'ordinaire. Tout ceci est possible grâce à l'ambiance mise en place par Snyder mais également grâce aux dessins de Dragotta dont les revisites des personnages visuellement parlant nous laissent sans voix.
Bruce Wayne ne part de rien. Il n'est pas le descendant d'un riche empire de Gotham City, il est le fils d'un professeur d'école publique qui, enfant, a vécu l'horreur inimaginable d'une fusillade, changeant à jamais la trajectoire de sa vie. Sans ressources illimitées pour le financer, sans manoir ni majordome pour s'occuper de lui, Bruce est devenu un Batman d'un genre tout à fait différent, à la fois cérébral et ultra musclé, vivant dans les quartiers les plus difficiles et les plus défavorisés de Gotham, loin de la haute société. Et alors que le gang de Black Mask sème la terreur dans la ville, il n’hésitera pas à déchainer un torrent de violence contre ses adversaires pour que le message soit clair : il y a un nouveau Batman en ville. Contenu : Absolute Batman #1-6
Il s'agit certainement la moins bonne des trois premières séries Absolute. Si le premier épisode est très bon, les suivants ne sont qu'une lente descente de qualité. C'est assez dommage. Snyder en fait beaucoup trop, comme si Batman avait besoin de coller son symbole partout. Graphiquement c'est plutôt bon par contre, même si on a plusieurs artistes. Les changements apportés à l'univers Batman peuvent être intéressants à exploiter. Reste à voir ce qui sera fait.
Pour le coup, Snyder et Dragotta n'y vont pas de main morte et nous offrent une version vraiment différente de tout ce que l'on a pu connaitre sur Batman, et ça fait mouche ! C'est bien écrit, plein de surprises et de prises de risque et le dessin est assez dingue, que ce soit dans son dynamisme ou dans les choix graphiques qui sont faits. À ne pas manquer.
Je n'aime pas Snyder, mais je reconnais qu'il a ici de très bonnes idées. Il est difficile de faire du nouveau avec Batman, pourtant il y arrive, et il y arrive même très bien ! Niveau graphisme, c'est plutôt original et assez dingue. Il y a peut-être quelques moments un peu plus faciles, mais je me plais dans cette série.
Snyder sur Batman, cela peut être très bon ou très moyen. Ici, c'est du très bon. La lignée Absolute permet une revisite assez incroyable de Batverse avec une approche bien plus violente que d'ordinaire. Tout ceci est possible grâce à l'ambiance mise en place par Snyder mais également grâce aux dessins de Dragotta dont les revisites des personnages visuellement parlant nous laissent sans voix.
Un classique de chez classique pour le personnage, qui monte crescendo vers les sommets.
Frank Miller sur Daredevil, c'est comme de la crème anglaise sur un brownie au chocolat. C'est indissociable. Des questions ?
Frank Miller
La redoutable Elektra Natchios est de retour à New York, au grand dam de Matt Murdock qui doit empêcher son ancien amour de commettre des crimes. Mais même sous le costume de Daredevil, il peine à contrôler ses sentiments…
(Contient les épisodes US Daredevil (V1) 173-185, précédemment publiés dans MARVEL OMNIBUS : DAREDEVIL PAR FRANK MILLER)
Un classique de chez classique pour le personnage, qui monte crescendo vers les sommets.
Frank Miller sur Daredevil, c'est comme de la crème anglaise sur un brownie au chocolat. C'est indissociable. Des questions ?
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L'Avis de la rédaction (1)
Julien Staff MDCU
il y a 3 jours
Une nouvelle série Batman à l'ambiance assez folle, alternant entre le polar et l'horreur. Ce sont à chaque fois des "affaires" racontées en trois numéros, avec des scénarios originaux et de superbes dessins de Hayden Sherman. Un vrai vent de fraicheur dans l'univers du Dark Knight.