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SCÉNARISTE : KING TOM - DESSINATEUR : BAGENDA BARNABY
Aux confins de l'espace existe le système de Vega, une coalition de planètes organisée autour de l'extraction d'un minerai, le stellarium, seul capable d'empêcher ces mondes d'exploser et de connaître le sort fatidique de la planète Krypton.
Mais cette alliance est basée sur un terrible secret et les Omega Men, un groupement terroriste activiste est prêt à tout pour exposer ces exactions... quitte pour cela à transformer le Green Lantern Kyle Rayner en bombe humaine !
Contenu vo : Omega Men: The End Is Here (#1-12)
Dans la même veine que Mister Miracle dans le traitement du sujet. Tom King se concentre sur ses personnages, notamment Kyle Rayner. Il y a toujours l'idée du gaufrier qui est selon moi essentiel au récit.
Une histoire qui pouvait être manichéen dans son traitement mais qui comporte énormement de niveau de lecture. Un léger ventre mou sur le numéro 10 et 11 mais le numéro 12 m'a capté et médusé dans son final qui est très marquant.
A lire si vous aimez le genre et notamment si vous avez aimé Mister Miracle
La Citadelle détient une ressource permettant à d'autres planètes de ne pas subir le même sort que Krypton mais les Omega Men se sont donné pour mission de révéler les secrets du système Vega.
Un premier tome qui propose de bonnes idées autour de copycats de Catwoman. C'est assez intéressant. Malheureusement, l'arc traine un peu en longeur et aurait mérité d'être écourté d'un chapitre. Graphiquement, rien à redire, Joëlle Jones fait de l'excellent travail. Elle est parfois aidée par Fernando Blanco mais sa présence se justifie très bien dans l'historie et ne dérange pas du tout.
On avait déjà pu apprécier les dessins de Joëlle Jones sur Catwoman dans la série Batman, et on retrouve ses qualités ici, aucun problème à ce niveau. C'est au scénario que l'artiste n'est pas à la hauteur et que ça pêche grandement. C'est très brouillon, assez lent dans l'exécution et on a du mal à comprendre où veut en venir la scénariste avec son histoire. Selina Kyle méritait mieux pour sa série solo après son passage sous la plume de Tom King.
Avec ce premier tome, Joëlle Jones invite aussi bien les anciens lecteurs que les nouveaux à découvrir une Catwoman plus aboutie. Le personnage ne nous a jamais paru aussi humain que sous le trait de Jones. La touche accordée à la vie personnelle de la jeune femme ouvre la possibilité d’avoir un récit plus intimiste mais toujours avec assez d’action pour nous faire passer un très bon moment de lecture. Affaire à suivre !
SCÉNARISTE : JONES JOËLLE - DESSINATEURS : JONES JOËLLE, BLANCO FERNANDO
À peine remise de sa relation avec Bruce Wayne, Selina Kyle est maintenant de retour dans les rues de Gotham, et pour cause : une imitatrice semble y multiplier les cambriolages.
Mais en luttant pour reprendre sa place, Catwoman attire malencontreusement l'attention du G.C.P.D... et comme si cela ne suffisait pas, elle va bientôt croiser la route d'un tout nouveau vilain, bien déterminé à lui ruiner la vie... ou plutôt ses neuf vies.
Contenu vo : Catwoman #1-6
Un premier tome qui propose de bonnes idées autour de copycats de Catwoman. C'est assez intéressant. Malheureusement, l'arc traine un peu en longeur et aurait mérité d'être écourté d'un chapitre. Graphiquement, rien à redire, Joëlle Jones fait de l'excellent travail. Elle est parfois aidée par Fernando Blanco mais sa présence se justifie très bien dans l'historie et ne dérange pas du tout.
On avait déjà pu apprécier les dessins de Joëlle Jones sur Catwoman dans la série Batman, et on retrouve ses qualités ici, aucun problème à ce niveau. C'est au scénario que l'artiste n'est pas à la hauteur et que ça pêche grandement. C'est très brouillon, assez lent dans l'exécution et on a du mal à comprendre où veut en venir la scénariste avec son histoire. Selina Kyle méritait mieux pour sa série solo après son passage sous la plume de Tom King.
Avec ce premier tome, Joëlle Jones invite aussi bien les anciens lecteurs que les nouveaux à découvrir une Catwoman plus aboutie. Le personnage ne nous a jamais paru aussi humain que sous le trait de Jones. La touche accordée à la vie personnelle de la jeune femme ouvre la possibilité d’avoir un récit plus intimiste mais toujours avec assez d’action pour nous faire passer un très bon moment de lecture. Affaire à suivre !
Un arc qui fait suite aux événements de Batman Métal (en tout cas, c'est justifié comme cela) et qui marque aussi la fin du run de James Robinson. L'arc est assez intéressant et marque le retour d'un groupe de personnes que l'on n'avait pas vu depuis longtemps. Par contre, il y a clairement un manque d'unité graphique dans le tome. On peut regretter que James Robinson range les jouets avant de partir alors qu'il avait mis en place des choses intéressantes.
Un dernier arc pour James Robinson qui s'en sort un peu mieux que sur ses précèdents. Des concepts intéressants, une menace originale et une meilleure gestion des personnages. Graphiquement, on reste sur une bonne qualité avec Segovia et Lupacchino aux manettes, ils sont à la hauteur des moments épiques et de l'ampleur de l'histoire. On regretterait presque que l'équipe quitte le titre.
SCÉNARISTE : ROBINSON JAMES - DESSINATEURS : COLLECTIF, PAGULAYAN CARLO
Après le combat de la Ligue de Justice contre Barbatos, le Mur Source qui retenait les plus terribles secrets de l'univers a été détruit, relâchant dans le même temps de nombreuses menaces à même de pervertir l'équilibre du cosmos.
Ainsi, les Dieux Sombres se rendent sur Terre avec pour objectif de vaincre la seule capable de les contrer : Diana, Princesse des Amazones !
Contenu vo : Wonder Woman vol.8 : Dark Gods (#46-50 + Annual #2)
Un arc qui fait suite aux événements de Batman Métal (en tout cas, c'est justifié comme cela) et qui marque aussi la fin du run de James Robinson. L'arc est assez intéressant et marque le retour d'un groupe de personnes que l'on n'avait pas vu depuis longtemps. Par contre, il y a clairement un manque d'unité graphique dans le tome. On peut regretter que James Robinson range les jouets avant de partir alors qu'il avait mis en place des choses intéressantes.
Un dernier arc pour James Robinson qui s'en sort un peu mieux que sur ses précèdents. Des concepts intéressants, une menace originale et une meilleure gestion des personnages. Graphiquement, on reste sur une bonne qualité avec Segovia et Lupacchino aux manettes, ils sont à la hauteur des moments épiques et de l'ampleur de l'histoire. On regretterait presque que l'équipe quitte le titre.
Une nuit, un chat et une taupe attirés par l'appât du gain, s'enfoncent dans la forêt à la recherche d'une plante aussi précieuse que capricieuse : la mandragore. Seulement, cette dernière va être plus difficile à arracher qu'un simple bouquet de marguerites ! L'Heroic Fantasy version Comics par Aurélien Ducoudray (The Grocery, Bots, La Troisième Population, Amère Russie...) et A.Dan (Le Oki d'Odzala, Pour un peu de bonheur, Tahya El-Djazaïr...) avec une participation de Laurent Lefeuve (Fox-Boy, Comme une odeur de Diable...) et de Josselin Billard (Gregory Sand).
Avis (3)
Preacher_74
il y a 5 ans
Un bijou, Une ouverture juste incroyable qui vous laisse sans voix. Après la lecture de l'introduction on se dit juste " Mais qu'est ce que j'ai entre les mains? C'est un ricain qui à écrit ça"
Sylarth
il y a 5 ans
Dans la même veine que Mister Miracle dans le traitement du sujet. Tom King se concentre sur ses personnages, notamment Kyle Rayner. Il y a toujours l'idée du gaufrier qui est selon moi essentiel au récit.
Une histoire qui pouvait être manichéen dans son traitement mais qui comporte énormement de niveau de lecture. Un léger ventre mou sur le numéro 10 et 11 mais le numéro 12 m'a capté et médusé dans son final qui est très marquant.
A lire si vous aimez le genre et notamment si vous avez aimé Mister Miracle
KidWestComics
il y a 4 ans
La Citadelle détient une ressource permettant à d'autres planètes de ne pas subir le même sort que Krypton mais les Omega Men se sont donné pour mission de révéler les secrets du système Vega.