En acceptant la face cachée de Barry Allen, le jeune Wally West s'est imposé comme le digne héritier de son mentor dans le rôle de Flash, l'homme le plus rapide du monde. Juste à temps pour affronter les Lascars, ses ennemis de toujours, dont les différends mettent la ville de Keystone City à feu et à sang. Emporté par le conflit qui oppose les super-vilains, Flash est sur le point d'assister au retour de deux figures venues de son passé. Il ne lui reste plus qu'à déterminer s'il s'agit d'alliés ou d'adversaires.
Contenu vo : The Flash #220-225, Final Crisis: Rogues' Revenge #1-3, The Flash: Rebirth #1-6, Blackest Night: Flash #1-3
Après un 5ème tome certes divertissant mais pas aussi créatif et ambitieux que les précédents, Geoff Johns nous fournit ici un final regroupant toutes les idées qu'il avait instaurées dans ce run et le résultat est pour le moins réussi. On est pris par l'histoire et les quelques rebondissements nous tiennent en haleine jusqu'au bout. On retrouve ensuite les numéros du Flash Rebirth dans lesquels Geoff Johns pousse jusqu'au boutisme le concept de la Force Véloce, à un point tel qu'on se retrouve un peu déboussolé parfois durant la lecture, et les planches d'Ethan Sciver nous montrent la très grande mâitrise graphique et conceptuelle du dessinateur. Les pages liées aux évènements Final Crisis et Blackest Night seront les plus difficiles à suivre, étant donné le contexte de leur conception, le rôle de back-ups qu'ils tenaient à l'époque de leur sortie et le manque de clarité au niveau de l'évolution des personnages entre chaque évènement, vu l'écart de sortie entre chaque évènement.
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