Vous trouverez ci-dessous l'avis de l'équipe MDCU sur les sorties du mois qu'ils ont déjà lues, soit en VO soit dans une précédente édition VF. L'absence d'un titre ne signifie donc pas qu'il est mauvais, mais juste que personne ne l'a lu chez MDCU.
N'oubliez pas qu'il est possible de soutenir MDCU et notre partenaire la librairie indépendante BDFugue en faisant vos achats de comics en passant par nous. Pour cela, il n'y a rien de plus simple. Si un comics vous intéresse, il vous suffit d'aller sur sa fiche sur MDCU et de cliquer sur "acheter sur BDFugue".
Mark Millar, Bryan Hitch
Nick Fury a réuni une équipe de héros afin de contrer les menaces hors-normes ! Captain America, Iron Man, Thor, la Guêpe, Giant-Man, Hawkeye, Black Widow, Vif-Argent et la Sorcière Rouge intègrent la formation, mais ces fortes personnalités peuvent-elles vraiment travailler ensemble ?
(Contient les épisodes US The Ultimates (2002) 1-13 et the Ultimates 2 (2005) 1-13 et Annual, précédemment publiés dans MARVEL PRINTEMPS 5 – ULTIMATES, MARVEL ICONS : ULTIMATES PAR MILLAR ET HITCH et MARVEL ICONS : ULTIMATES 2 PAR MILLAR ET HITCH)
C'est un immanquable à lire qui arrive en Omnibus pour connaître la saga qui a modernisé l'univers Marvel et inspiré les films du MCU. L'histoire reste toujours bien construite même si certains aspects peuvent avoir mal vieilli avec le temps. On retrouve un Bryan Hitch au sommet de son art avec certaines de ses planches les plus impressionnantes de sa carrière.
Les Avengers version Ultimate ont vraiment mis une claque à sa sortie. Il ne s'agit pas juste d'une modernisation, il y a une vrai réflexion pour les rendre crédibles et cohérents avec cette nouvelle époque. L'ampleur de ces séries est dément, et les dessins donne une ambiance blockbuster hollywoodien. Cet album regroupe les deux premirères séries, et incontestablement les meilleures. A ne pas rater si vous ne les avez pas encore.
Un bijou, tout simplement. Une version moderne, osée et intelligente des Avengers, servie par un Hitch au sommet. Un immanquable.
Un grand classique de la Maison des Idées. Pour ceux qui ne l'auraient pas encore, c'est à ne pas manquer !
Les Avengers de l'univers Ultimates !
Un incontournable à n'en pas douter, une version très rafraîchissante qui s'affranchit de la continuité. Un excellent point de départ en somme si vous voulez débuté l'univers Marvel, ou tout simplement replonger dans une des périodes phares de l'éditeur.
Tom Taylor et Bruno Redondo réussissent la tâche ardue de réaliser une série dérivée d'un jeu-vidéo et de bien le faire. En bonus, les histoires des comics sont souvent plus intéressantes que celle du jeu. Fan de l'univers ? Allez-y sans sans hésitations !
Sans doute le meilleur taff de Tom Taylor qui réussit l'exploit de faire un comics de qualité avec, pour base, un jeu vidéo. C'est osé, bien pensé et très bien dessiné. Il n'y a aucune raison pour ne pas lui donner sa chance.
Condamné sur une planète prison par les Gardiens d'Oa, Hal Jordan finit par accepter sa part de responsabilité dans le régime du tyran Superman. Alors qu'il est hanté par des visions du passé et malmené par sa gardienne, Soranik, l'ancien Green Lantern se voit assigné son éternel ennemi – Sinestro – comme compagnon de cellule. Mais la prison est la cible d'Atrocitus et de son redouté Corps des Red Lantern...
Contenu vo : Injustice 2 #26 à 36, Injustice 2 Annual #2
Tom Taylor et Bruno Redondo réussissent la tâche ardue de réaliser une série dérivée d'un jeu-vidéo et de bien le faire. En bonus, les histoires des comics sont souvent plus intéressantes que celle du jeu. Fan de l'univers ? Allez-y sans sans hésitations !
Sans doute le meilleur taff de Tom Taylor qui réussit l'exploit de faire un comics de qualité avec, pour base, un jeu vidéo. C'est osé, bien pensé et très bien dessiné. Il n'y a aucune raison pour ne pas lui donner sa chance.
Un récit d'enquête de tentative d'assassinat qui revisite le passé de la Ligue des Justiciers Internationale, celle des années 90, quand la Ligue était un peu ringarde et pas très puissante. Aussi étrange que ce synopsis puisse paraitre, Human Target est excellent, tant dans sa narration que dans son dessin. Tom King et Greg Smallwood ont très bien retransmis l'atmosphère de film de détective des années 30, tout en l'adaptant à l'univers DC dans toutes caractéristiques, épique comme loufoque.
Foncez, foncez, foncez !
Un véritable chef d'oeuvre ! Un polar aux allures de film noir à la Hitchcock avec une ambiance incroyable signée par l'excellent Greg Smallwood. Un Tom King qui se surpasse encore en termes d'écriture, que ce soit dans la maitrise de son intrigue ou dans les relations entre les personnages.
Ne vous laissez pas freiner par le fait que ce soit Human Target, on y retrouve de nombreux personnages DC, notamment ceux de la JLI, et c'est un récit totalement accessible même si l'on ne connait pas forcément Christopher Chase. L'immanquable du mois !
La réputation de Christopher Chance n'est plus à faire. Il a gagné sa vie en devenant une cible vivante professionnelle, un homme engagé pour endosser l'apparence et la psychologie de ses clients afin d'inviter les assassins potentiels à tenter de le tuer. Un parcours remarquable... jusqu'à sa dernière mission en date, la protection de Lex Luthor, au cours de laquelle les choses ont dérapé. Une tentative d'assassinat que Chance n'a pas vu venir le rend vulnérable et l'oblige à essayer de résoudre son propre meurtre. Il a 12 jours pour découvrir qui, dans l'univers DC, haïssait Luthor au point de vouloir le tuer via un poison à action lente. Et les principaux suspects sont... la Ligue de Justice Internationale !
Contenu vo : #1-12 + Tales of the Human Target #1
Un récit d'enquête de tentative d'assassinat qui revisite le passé de la Ligue des Justiciers Internationale, celle des années 90, quand la Ligue était un peu ringarde et pas très puissante. Aussi étrange que ce synopsis puisse paraitre, Human Target est excellent, tant dans sa narration que dans son dessin. Tom King et Greg Smallwood ont très bien retransmis l'atmosphère de film de détective des années 30, tout en l'adaptant à l'univers DC dans toutes caractéristiques, épique comme loufoque.
Foncez, foncez, foncez !
Un véritable chef d'oeuvre ! Un polar aux allures de film noir à la Hitchcock avec une ambiance incroyable signée par l'excellent Greg Smallwood. Un Tom King qui se surpasse encore en termes d'écriture, que ce soit dans la maitrise de son intrigue ou dans les relations entre les personnages.
Ne vous laissez pas freiner par le fait que ce soit Human Target, on y retrouve de nombreux personnages DC, notamment ceux de la JLI, et c'est un récit totalement accessible même si l'on ne connait pas forcément Christopher Chase. L'immanquable du mois !
Dans la lignée du premier tome, désormais libérée de ses démons et de Jason Woodrue, Pamela continue sa route et va rencontrer de nouveaux personnags importants qui vont la faire évoluer dans le bon sens... sans oublier le retour d'Harley Quinn ! Les numéros dessinés par Takara sont toujours superbes et apportent une vraie plus-value à l'écriture déjà qualitative.
Cette série est une vrai bonne surprise pour moi qui m'a réconcilié avec le personnage !
Je me suis pris d'affection pour Ivy, finalement plus humaine que jamais avec le soin tout particulier que lui accorde G. Willow Wilson dans son écriture, servi par les magnifiques planches de Marci Takara.
Un road trip qui suit son cours sous fond d'horreur, avec le retour très appréciable de Harley Quinn qui apporte de la légèreté au personnage, sans lui voler la vedette.
Une suite dans la lignée du premier tome. Le personnage de Poison Ivy est toujours aussi bien traité et développé. Ses (més)aventures sont prenantes et intéressantes. J'attends la suite avec la même impatience. Le côté "écolo-moralisateur" est toujours présent dans ce titre. Poison Ivy s'interroge sur ses actes et sur la direction qu'elle doit prendre. Ainsi, en partageant son point de vue et sa sensibilité, le lecteur peut (si tant est qu'il se sent investi ou concerné) j(a)uger ses actes de consommateur / pollueur... ;)
Si la confrontation de Pamela Isley avec Jason Woodrue, l'homme responsable de sa mutation en Poison Ivy, l'a amenée aux portes de la mort, elle a aussi changé la nature de sa fuite en avant destructrice. Ayant renoncé à réduire en cendres l'Humanité tout entière, elle demeure néanmoins bien résolue à faire payer aux responsables de l'état catastrophique de la planète le tribut que Mère Nature exige. Ses retrouvailles avec Harley Quinn parviendront-elles à calmer ses envies de meurtre... ou l'odyssée sanglante ne fait-elle que commencer ?
Contenu vo : Poison Ivy #7-12
Dans la lignée du premier tome, désormais libérée de ses démons et de Jason Woodrue, Pamela continue sa route et va rencontrer de nouveaux personnags importants qui vont la faire évoluer dans le bon sens... sans oublier le retour d'Harley Quinn ! Les numéros dessinés par Takara sont toujours superbes et apportent une vraie plus-value à l'écriture déjà qualitative.
Cette série est une vrai bonne surprise pour moi qui m'a réconcilié avec le personnage !
Je me suis pris d'affection pour Ivy, finalement plus humaine que jamais avec le soin tout particulier que lui accorde G. Willow Wilson dans son écriture, servi par les magnifiques planches de Marci Takara.
Un road trip qui suit son cours sous fond d'horreur, avec le retour très appréciable de Harley Quinn qui apporte de la légèreté au personnage, sans lui voler la vedette.
Une suite dans la lignée du premier tome. Le personnage de Poison Ivy est toujours aussi bien traité et développé. Ses (més)aventures sont prenantes et intéressantes. J'attends la suite avec la même impatience. Le côté "écolo-moralisateur" est toujours présent dans ce titre. Poison Ivy s'interroge sur ses actes et sur la direction qu'elle doit prendre. Ainsi, en partageant son point de vue et sa sensibilité, le lecteur peut (si tant est qu'il se sent investi ou concerné) j(a)uger ses actes de consommateur / pollueur... ;)
De par son histoire mais aussi son aspect graphique, Frère des Sang est un conte. Un récit dans un autre temps, et un autre lieu, qui nous démontre qu'il n'est pas toujours bon d'obtenir de ce que l'on veut... et qu'il faut faire face aux conséquences des actions prises pour y parvenir.
Court mais efficace, le caractère unique du dessin de Ribic vaut à lui seul le prix d'achat, mais heuresement l'histoire est également au niveau.
Robert Rodi, Esad Ribic
Loki, après avoir comploté des années pour récupérer le trône d’Asgard, a vu ses rêves accomplis. Son frère Thor est enchaîné, et le dieu de la Malice règne. Mais lorsque Héla lui ordonne de prendre la vie à Thor, Loki est pris d’un doute. La victoire mérite-t-elle tous les sacrifices ?
(Contient les épisodes US Loki (2004) 1-4, précédemment publiés dans MARVEL : LES GRANDES BATAILLES – THOR VS LOKI)
De par son histoire mais aussi son aspect graphique, Frère des Sang est un conte. Un récit dans un autre temps, et un autre lieu, qui nous démontre qu'il n'est pas toujours bon d'obtenir de ce que l'on veut... et qu'il faut faire face aux conséquences des actions prises pour y parvenir.
Court mais efficace, le caractère unique du dessin de Ribic vaut à lui seul le prix d'achat, mais heuresement l'histoire est également au niveau.
Quelle rapidité dans la parution ! Une nouvelle série du très prolifique Jeff Lemire, pour laquelle il signe également les dessins. On retrouve ici tout le charme des récits de Lemire plus intimiste, qui nous fait découvrir de petites villes du Canada et ses habitants... insectes compris ! Comme toujours l'ambiance est superbe, il y a des touches de poésie et tout est dans la sensibilité et le développement des personnages. On aime !
Élevée par son père, agriculteur à Bell River, au cœur de l’Ontario, Franny Fox mène une vie morne d’adolescente mal dans sa peau. Alors que la bourgade est envahie de millions d’insectes, un drame surgit. Un malfrat en fuite abat par erreur un jeune camarade de Fran. Recherché, le criminel, également blessé, se réfugie dans la ferme familiale. Et alors qu’il se métamorphose physiquement, une curieuse amitié va pourtant naitre entre Fran et lui.
Suivant au plus près le rythme de parution aux USA (la série débutera en juillet et paraitra en six fascicules sur un an), cette nouvelle mini-série ambitieuse de Jeff Lemire ravira ses amateurs et sera une merveilleuse porte d’entrée pour ceux qui ne le connaissent pas encore.
Après le succès du Labyrinthe inachevé, Jeff Lemire, au sommet de son art, revient sur ses terres de prédilection, la campagne canadienne, l’enfance et le fantastique.
Quelle rapidité dans la parution ! Une nouvelle série du très prolifique Jeff Lemire, pour laquelle il signe également les dessins. On retrouve ici tout le charme des récits de Lemire plus intimiste, qui nous fait découvrir de petites villes du Canada et ses habitants... insectes compris ! Comme toujours l'ambiance est superbe, il y a des touches de poésie et tout est dans la sensibilité et le développement des personnages. On aime !
Troisième Tom King du mois, qui nous offre à nouveau un retour en arrière, mais cette fois dans les comics de romance ! Nous y suivons le personnage de Joan, qui semble vivre histoire d'amour idyllique après histoire d'amour idyllique... mais sans trop de conviction ! King imite parfaitement et avec beaucoup de décalage le style d'écriture des comics de romance de l'époque, le tout pris dans une intrigue très mystérieuse, voire mystique, qui nous tient en haleine. Et quel choix parfait que d'avoir Elsa Charretier au dessin, avec ce style très frais et légèrement cartoonesque, qui permet toutes les exagérations sans en faire trop. Son style est très travaillé ici, elle a rarement été aussi juste.
La vie paraît simple de prime abord. Rencontrer quelqu'un, tomber amoureux, se marier, et vivre heureux jusqu'à ce que la mort nous sépare. Mais pas pour Joan Peterson. Chaque fois qu'une idylle naît, elle est arrachée à son monde et projetée dans une autre vie, avec d'autres problèmes, d'autres tourments. Piégée dans un cycle de romances perpétuelles, repartant toujours de zéro, avec des hommes différents, elle va tenter de se frayer un chemin jusqu'à - s'il existe - trouver « l'amour éternel ».
Contenu vo : Love Everlasting #1-5
Troisième Tom King du mois, qui nous offre à nouveau un retour en arrière, mais cette fois dans les comics de romance ! Nous y suivons le personnage de Joan, qui semble vivre histoire d'amour idyllique après histoire d'amour idyllique... mais sans trop de conviction ! King imite parfaitement et avec beaucoup de décalage le style d'écriture des comics de romance de l'époque, le tout pris dans une intrigue très mystérieuse, voire mystique, qui nous tient en haleine. Et quel choix parfait que d'avoir Elsa Charretier au dessin, avec ce style très frais et légèrement cartoonesque, qui permet toutes les exagérations sans en faire trop. Son style est très travaillé ici, elle a rarement été aussi juste.
Après une première année en demi-teinte, le titre bénéficie d’une très bonne reprise de la part de Vita Ayala qui propose un regard pertinent sur Krakoa. Les intrigues fonctionnent bien, son écriture sur les personnages et leurs relations fonctionne à merveille. C'est le gros point fort de ce tome. La série continue de bénéficier des dessins particuliers de Rod Reis qui font le charme du titre.
Vita Ayala, Rod Reis
En marge de la société krakoane, les Nouveaux Mutants se déchaînent à la Chasse Sauvage. Ils grandissent, ils explosent et mélangent leurs pouvoirs afin de savoir qui parmi eux sera le plus fort. Mais quelque chose d’ancien et d’affamé se cache dans les bois…
(Contient les épisodes US New Mutants (2019) 14-24, précédemment publiés dans MARVEL DELUXE : HELLFIRE GALA et X-MEN : REIGN OF X 2-3, 7, 9, 15, 18, 21-22)
Après une première année en demi-teinte, le titre bénéficie d’une très bonne reprise de la part de Vita Ayala qui propose un regard pertinent sur Krakoa. Les intrigues fonctionnent bien, son écriture sur les personnages et leurs relations fonctionne à merveille. C'est le gros point fort de ce tome. La série continue de bénéficier des dessins particuliers de Rod Reis qui font le charme du titre.
Dernier tome des X-men par Hickman. L’auteur continue de poser les graines des intrigues à venir. Ce qui ne l'empêche pas de proposer des épisodes sympathiques avec des dialogues forts par moment. On sent que l’auteur aime cet univers. Il est accompagné par de très bons dessinateurs qui apportent une ambiance différente à chaque épisode. En bonus Panini a ajouté la mini-série Empyre: X-Men très dispensable à lire malgré quelques moments sympas.
Jonathan Hickman, Tini Howard, Mahmud Asrar, Phil Noto…
Des extraterrestres végétaux envahissent la Terre. Cyclope prend une décision affectant tous les habitants de Krakoa. Deux des plus grandes menaces pour les mutants reviennent au premier plan. Les portes de la Chambre Forte s’ouvrent et Nemrod est mis en ligne.
(Contient les épisodes US X-Men (2019) 16-21 et Empyre: X-Men (2020) 1-4, précédemment publiés dans MARVEL ABSOLUTE : EMPYRE, X-MEN : REIGN OF X 1-2, 6, 8 et MARVEL DELUXE : HELLFIRE GALA)
Dernier tome des X-men par Hickman. L’auteur continue de poser les graines des intrigues à venir. Ce qui ne l'empêche pas de proposer des épisodes sympathiques avec des dialogues forts par moment. On sent que l’auteur aime cet univers. Il est accompagné par de très bons dessinateurs qui apportent une ambiance différente à chaque épisode. En bonus Panini a ajouté la mini-série Empyre: X-Men très dispensable à lire malgré quelques moments sympas.
Un tome qui mêle des épisodes des mini séries, l'ongoing et l'Histoire secrète du Clan Foot. Les mini-séries et l'Histoire secrète du Clan Foot sont bons.
Concernant l'on going, on quitte le tome 0 de la précédente édition qui était, sans doute, un peu en dessous en terme de qualité. Avec ce tome, on commence donc tout doucement à entrer dans le vif du sujet. Il sera sûrement décisif pour savoir si oui ou non cet univers est fait pour vous.
C’est déjà la seconde intégrale des tortues ninjas avec du contenu déjà publié, mais ça reste le point d'entrée idéal pour découvrir l’univers des tortues dans toute sa splendeur. Les auteurs développent avec efficacité cet univers malgré un style très bavard et certains épisodes plus faibles que d'autres. C'est pareil pour les dessins dont la qualité varie beaucoup.
Reprenant les fondements de l’histoire des personnages cultes des années 1980, Kevin Eastman et Tom Waltz nous embarquent dans les bas-fonds et égouts de Manhattan, aux côtés de quatre Tortues mutantes bien connues, d’un rat géant et du terrible Shredder. Leonardo, Raphael, Michelangelo et Donatello ont commencé leurs aventures dans un laboratoire avant de devenir les héros que l’on connaît, destinés à déjouer les innombrables menaces qui pèsent sur le monde. Représentant bien plus que des figures bienveillantes, impossible de ne pas s’attacher à ces reptiles pleins d’humanité et à l’univers complexe dans lequel ils évoluent, de New-York à Northampton en passant par les confins de l'espace.
Contenu VO : TMNT #13-20 + Casey Jones, April, le Fugitoïde, Krang, Baxter Stockman + Secret History Of The Foot Clan #1-4
Un tome qui mêle des épisodes des mini séries, l'ongoing et l'Histoire secrète du Clan Foot. Les mini-séries et l'Histoire secrète du Clan Foot sont bons.
Concernant l'on going, on quitte le tome 0 de la précédente édition qui était, sans doute, un peu en dessous en terme de qualité. Avec ce tome, on commence donc tout doucement à entrer dans le vif du sujet. Il sera sûrement décisif pour savoir si oui ou non cet univers est fait pour vous.
C’est déjà la seconde intégrale des tortues ninjas avec du contenu déjà publié, mais ça reste le point d'entrée idéal pour découvrir l’univers des tortues dans toute sa splendeur. Les auteurs développent avec efficacité cet univers malgré un style très bavard et certains épisodes plus faibles que d'autres. C'est pareil pour les dessins dont la qualité varie beaucoup.
Un récit de Swamp Thing vraiment sympa qui ne se concentre pas tant sur Swamp Thing mais qui nous fait découvrir un monde post-apocalyptique où l'on suit quelques survivant qui vont devoir trouver Swamp Thing pour lutter contre un autre avatar. C'est franchement prenant. Dommage que la publication VO ait subi de long retard, mais tout avoir un tome permettra de bien profiter du récit. Et même Doug Mahnke qui ne me plait pas d'habitude est très bon quand il s'agit d'horreur.
Nouveau récit du Black Label, nouveau futur post-apocalyptique mettant en avant Swamp Thing. L'histoire est très entraînante à lire au début, même si ça devient plus classique à lire sur la fin et sans surprise. Une histoire surtout à lire pour les dessins magnifiques de Doug Mahnke qui ne lésine pas la violence des scènes. Un récit violent avec des thématiques typiques de Lemire qui plaira aux fans de l’auteur et de Swamp Thing.
Ce huis-clos à l'ambiance sombre et violente demeure une lecture qualitative. Outre le scénario peu novateur, Swamp Thing - Green Hell est un titre horrifique prenant et maîtrisé. Il est sans conteste un des meilleurs titres du Black Label de cette année 2023.
La Terre est dévastée, immergée dans les eaux depuis l'infinie crue qui l'y a plongée. Les quelques humains restants survivent sur une île désolée, perdue dans l'immensité de l'océan. Le Parlement réunissant la Sève, le Sang et la Nécrose a tranché, il est temps de repartir de zéro afin de lancer un nouveau cycle de vie. Pour ce faire, ils ont uni leurs pouvoirs pour créer un nouvel avatar, l'un des monstres les plus terrifiants jusqu'alors. Face à une telle créature, toute lutte est inutile... sauf pour un soldat qui comprend l'ennemi. Qui a déjà usé des mêmes tactiques. Quelqu'un comme Alec Holland. Dommage qu'il soit mort depuis des dizaines d'années...
Contenu vo : Swamp Thing - Green Hell #1-3
Un récit de Swamp Thing vraiment sympa qui ne se concentre pas tant sur Swamp Thing mais qui nous fait découvrir un monde post-apocalyptique où l'on suit quelques survivant qui vont devoir trouver Swamp Thing pour lutter contre un autre avatar. C'est franchement prenant. Dommage que la publication VO ait subi de long retard, mais tout avoir un tome permettra de bien profiter du récit. Et même Doug Mahnke qui ne me plait pas d'habitude est très bon quand il s'agit d'horreur.
Nouveau récit du Black Label, nouveau futur post-apocalyptique mettant en avant Swamp Thing. L'histoire est très entraînante à lire au début, même si ça devient plus classique à lire sur la fin et sans surprise. Une histoire surtout à lire pour les dessins magnifiques de Doug Mahnke qui ne lésine pas la violence des scènes. Un récit violent avec des thématiques typiques de Lemire qui plaira aux fans de l’auteur et de Swamp Thing.
Ce huis-clos à l'ambiance sombre et violente demeure une lecture qualitative. Outre le scénario peu novateur, Swamp Thing - Green Hell est un titre horrifique prenant et maîtrisé. Il est sans conteste un des meilleurs titres du Black Label de cette année 2023.
Dans la veine des premiers tomes, un crossover qui sent bon les années 90, plutôt fun mais qui reste assez limité dans ce qu'il propose de nouveau. Le final est assez attendu sur l'ensemble, mais on se régalera tout de même avec le Dark Web: X-Men, qui travaille merveilleusement la relation entre Madelyne et Jean.
Zeb Wells, Al Ewing, Ed McGuinness, Bryan Hitch…
Bedlam veut finir ce qu’il a commencé : tuer Dylan Brock et Venom une bonne fois pour toutes. Prisonnière de son clone Madelyne Pryor, Jean Grey reste néanmoins une mutante oméga et elle entend bien le prouver.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (2022) 18, Venom (2021) 15-16, Dark Web: X-Men (2022) 3, Mary Jane/Black Cat (2022) 4-5, Gold Goblin (2022) 5 et Dark Web: Finale (2023) 1, inédits)
Dans la veine des premiers tomes, un crossover qui sent bon les années 90, plutôt fun mais qui reste assez limité dans ce qu'il propose de nouveau. Le final est assez attendu sur l'ensemble, mais on se régalera tout de même avec le Dark Web: X-Men, qui travaille merveilleusement la relation entre Madelyne et Jean.
Après un premier tome à cent à l'heure, le rythme retombe pour nous proposer une histoire plus terre-à-terre. Le début est intrigant et a le mérite de donner envie de poursuivre sauf que Zdarsky retombe vite dans les travers du tome précédent avec des menaces toujours plus dangereuses, un Batman assez caricatural et un côté over-the-top pas très agréable. Malgré quelques pics de surprises au niveau du scénario, ça ne reste pas ce qu’il y a de plus fameux à lire sur le personnage. Les dessins ne sont pas mieux, avec un dessinateur qui ne propose pas les planches les plus belles de la série.
Le premier tome était tellement dingue, qu'on se doutait que la suite allait paraître molle. Et c'est effectivement le cas. Batman se retrouve dans un énième monde parallèle, et l'histoire n'a au final rien de très originale. Ca reste plutôt bien écrit, mais on s'ennuie un peu.
Un tome vraiment pas incroyable, surtout que Zdarsky décde d'emmener Batman sur une Terre parallèle avec un retour à zéro pour Bruce Wayne. On retrouve pas mal de personnages changés dans un monde sans Batman, mais c'est pas franchement ce qu'on a envie de lire alors que l'auteur vient d'arriver sur le titre. Il y a quand même quelques bonnes idées mais trop peu pour que ça sauve l'arc. Les dessins aussi ne sont pas top... Dommage.
Ce qui entâche en grande partie de ce second arc de Zdarsky, c'est le changement de dessinateur. Passé derrière Jimenez n'est pas simple, mais Mike Hawthorne est difficilement à la hauteur et tire le titre vers le bas. Ce qui ne veut pas dire que cette histoire de Terre parallèle aurait été un succès avec un autre dessinateur, puisque le scénariste nous ressert des choses que l'on a déjà vu beaucoup trop de fois, sans y apporter une touche d'originalité. Heureusement, le numéro 135 qui conclue l'arc est assez fou et nous montre vraiment là où Zdarsky voulait en venir, avec un concept tout aussi fou. Ça ne sauve pas l'arc, mais ça améliore clairement le sentiment général.
Depuis la disparition de Batman, les rues malfamées de Gotham sont aux mains des pires criminels, et des individus tels que Killer Croc ou Harvey Dent brutalisent la population en toute impunité. Qu'est-il arrivé au Chevalier Noir ? Comment peut-il rester sourd aux appels de ceux qu'il s'était pourtant juré de protéger ? Traqué par un certain « Red Mask », reste-t-il même à Bruce Wayne une infime possibilité de sauver sa peau avant de voir sa ville s'écrouler ?
Contenu vo : Batman #131-135
Après un premier tome à cent à l'heure, le rythme retombe pour nous proposer une histoire plus terre-à-terre. Le début est intrigant et a le mérite de donner envie de poursuivre sauf que Zdarsky retombe vite dans les travers du tome précédent avec des menaces toujours plus dangereuses, un Batman assez caricatural et un côté over-the-top pas très agréable. Malgré quelques pics de surprises au niveau du scénario, ça ne reste pas ce qu’il y a de plus fameux à lire sur le personnage. Les dessins ne sont pas mieux, avec un dessinateur qui ne propose pas les planches les plus belles de la série.
Le premier tome était tellement dingue, qu'on se doutait que la suite allait paraître molle. Et c'est effectivement le cas. Batman se retrouve dans un énième monde parallèle, et l'histoire n'a au final rien de très originale. Ca reste plutôt bien écrit, mais on s'ennuie un peu.
Un tome vraiment pas incroyable, surtout que Zdarsky décde d'emmener Batman sur une Terre parallèle avec un retour à zéro pour Bruce Wayne. On retrouve pas mal de personnages changés dans un monde sans Batman, mais c'est pas franchement ce qu'on a envie de lire alors que l'auteur vient d'arriver sur le titre. Il y a quand même quelques bonnes idées mais trop peu pour que ça sauve l'arc. Les dessins aussi ne sont pas top... Dommage.
Ce qui entâche en grande partie de ce second arc de Zdarsky, c'est le changement de dessinateur. Passé derrière Jimenez n'est pas simple, mais Mike Hawthorne est difficilement à la hauteur et tire le titre vers le bas. Ce qui ne veut pas dire que cette histoire de Terre parallèle aurait été un succès avec un autre dessinateur, puisque le scénariste nous ressert des choses que l'on a déjà vu beaucoup trop de fois, sans y apporter une touche d'originalité. Heureusement, le numéro 135 qui conclue l'arc est assez fou et nous montre vraiment là où Zdarsky voulait en venir, avec un concept tout aussi fou. Ça ne sauve pas l'arc, mais ça améliore clairement le sentiment général.
La série continue son chemin après les révélations du précédent tome. Ram V propose ses meilleurs numéros (ainsi que derniers) sur la série avec un Dylan plus touchant à lire. Malgré les tie-ins à Dark Web, les auteurs s’en sortent bien pour s’intégrer à l’event et continuer le fil rouge de la série. Bryan Hitch dessine ses derniers épisodes sur le titre, pour un résultat toujours régulier avec ses forces et faiblesses. Bref, un tome plus tranquille mais toujours aussi bien à suivre.
Ram V, Al Ewing, Bryan Hitch
Toujours aucune trace d’Eddie Brock, le Venom originel, alors que la vie de son fils Dylan est en jeu. Celui qui s’est hissé au rang de Roi en Noir à la place de Knull tente de s’échapper d’un paradoxe temporel dans le Jardin du Temps de Meridius.
(Contient les épisodes US Venom (2019) 11-16 et Free Comic Book Day 2022: Spider-Man/Venom (2022) 1, précédemment publiés dans 100% MARVEL: DARK WEB 3 et inédits)
La série continue son chemin après les révélations du précédent tome. Ram V propose ses meilleurs numéros (ainsi que derniers) sur la série avec un Dylan plus touchant à lire. Malgré les tie-ins à Dark Web, les auteurs s’en sortent bien pour s’intégrer à l’event et continuer le fil rouge de la série. Bryan Hitch dessine ses derniers épisodes sur le titre, pour un résultat toujours régulier avec ses forces et faiblesses. Bref, un tome plus tranquille mais toujours aussi bien à suivre.
Un polar se déroulant dans le passé de Gotham City, mais ne vous fiez pas au titre, il ne s'agit pas d'une origine de la ville, mais simplement de l'histoire d'un détective privé, qui touche plus ou moins à la famille Wayne. C'est un peu décevant quand on voit ce qu'à pu faire Tom King par le passé, et les dessins de Phil Hester ne seront pas forcément la tasse de thé de tout le monde. Reste l'ambiance polar et retro et la qualité d'écriture de King pour sauver un peu le tout.
"Gotham City - Année Un" de Tom King est un polar maîtrisé et efficace de bout en bout. J'ai particulièrement apprécié la qualité du dessin de Phil Hester. Nous décrouvons la ville de Gotham des années '60. Le détective privé Slam Bradley nous embarque avec lui dans une enquête au demeurant "banale" mais qui prend rapidement de l'ampleur. Le titre est immersif (point de vue / narration de S.B) et c'est remarquablement mis en scène. Certaines planches méritent de s'arrêter pour les contempler. Le rythme de l'histoire est fluide. Le suspens est géré finement avec des rebondissements inattendus. Certaines croyances / légendes sont mis à mal et cela à de quoi surprendre voire nous laisser pantois en refermant le volume... "Gotham City - Année Un" est un immanquable de cette fin d'année, qui saura également étayer un peu plus l'histoire de cette ville troublante et fascinante !
Deux générations avant Batman, le détective privé Slam Bradley se retrouve mêlé au "kidnapping du siècle" lorsque l'enfant héritier des Wayne disparaît dans la nuit... Lancé à sa recherche, il découvre vite que les faux-semblants se multiplient, et que les justes ne sont peut-être pas ceux que l'on croit. Ainsi débute l'histoire brutale d'une Gotham devenue moderne, cité d'abord radieuse abritant en son sein le vice, la violence et la corruption, et prête à déverser le chaos sur ses habitants.
Contenu vo : Gotham City: Year One #1-6
Un polar se déroulant dans le passé de Gotham City, mais ne vous fiez pas au titre, il ne s'agit pas d'une origine de la ville, mais simplement de l'histoire d'un détective privé, qui touche plus ou moins à la famille Wayne. C'est un peu décevant quand on voit ce qu'à pu faire Tom King par le passé, et les dessins de Phil Hester ne seront pas forcément la tasse de thé de tout le monde. Reste l'ambiance polar et retro et la qualité d'écriture de King pour sauver un peu le tout.
"Gotham City - Année Un" de Tom King est un polar maîtrisé et efficace de bout en bout. J'ai particulièrement apprécié la qualité du dessin de Phil Hester. Nous décrouvons la ville de Gotham des années '60. Le détective privé Slam Bradley nous embarque avec lui dans une enquête au demeurant "banale" mais qui prend rapidement de l'ampleur. Le titre est immersif (point de vue / narration de S.B) et c'est remarquablement mis en scène. Certaines planches méritent de s'arrêter pour les contempler. Le rythme de l'histoire est fluide. Le suspens est géré finement avec des rebondissements inattendus. Certaines croyances / légendes sont mis à mal et cela à de quoi surprendre voire nous laisser pantois en refermant le volume... "Gotham City - Année Un" est un immanquable de cette fin d'année, qui saura également étayer un peu plus l'histoire de cette ville troublante et fascinante !
3 arcs autour d'une même intrigue dans ce quatrième tome, alors que Dr Psycho, Cheetah, et quelques dieux mal intentionnés. Ce n'est plus les grandes heures de la série, mais c'est plutôt sympa à suivre et les dessins sont toujours de qualité.
Malgré le couronnement de la nouvelle reine des amazones, Nubia, la quiétude n'était que temporaire... Cheetah a pris le contrôle de Themyscira et Wonder Woman est contrainte d'y revenir pour le combat final. Mais ce n'est pas la seule rivale de l'amazone : Paula Von Gunther, alias Warmaster, a rassemblé ses quatre cavalières de l'apocalypse...
Contenu vo : Wonder Woman vol.4 (#787-796) + 799-800
3 arcs autour d'une même intrigue dans ce quatrième tome, alors que Dr Psycho, Cheetah, et quelques dieux mal intentionnés. Ce n'est plus les grandes heures de la série, mais c'est plutôt sympa à suivre et les dessins sont toujours de qualité.
Une série qui se lit plutôt rapidement et qui ne restera pas dans les esprits. Il y a quelques aspects politiques intéressants, mais ils sont passés au second plan pour se concentrer sur les combats et l'action à foison. Contrairement à Sam, ça ne vole pas très très haut en termes d'intrigue, mais ça prépare bien le crossover Cold War.
Tochi Onyebuchi, Ig Guara, R.B. Silva
Qu’est-ce que Sam Wilson est prêt à sacrifier pour porter le bouclier de Captain America ? Sam se rend aux Nations Unies afin d’assurer la protection de la nouvelle première ministre du Mohannda. Mais les plans du Loup Blanc viennent menacer les proches alliés de Sam, ainsi que le Mohannda.
(Contient les épisodes US Captain America: Symbol of Truth (2022) 6-11, inédits)
Une série qui se lit plutôt rapidement et qui ne restera pas dans les esprits. Il y a quelques aspects politiques intéressants, mais ils sont passés au second plan pour se concentrer sur les combats et l'action à foison. Contrairement à Sam, ça ne vole pas très très haut en termes d'intrigue, mais ça prépare bien le crossover Cold War.
Une intégrale pour l'un des bijoux horreur/fantastique de l'année, histoire de l'apprécier pleinement. Je ne sais pas ce que donne le noir et blanc sur les dessins de Martinez Bueno, mais cette édition va encore être superbe, et c'est surtout une série addictive à ne pas rater si vous ne l'avez pas encore lue.
Walter est un garçon doux, gentil, extrêmement empathique et qui a su s'entourer d'amis bienveillants. D'aussi loin qu'ils se souviennent, Reg, Norah, Veronica, David et les autres ont toujours pu compter sur lui à un moment ou à un autre de leur vie. Et, cette curieuse obsession pour les scénarios de fin du monde mise à part, tous s'accordent à dire que Walter attire immédiatement la sympathie. Aussi, lorsqu'ils reçurent l'invitation de Walter les conviant, le temps d'un week-end, dans une somptueuse propriété, tous répondirent présents... Au terme de leur première soirée, ce qui s'annonçait comme un séjour idyllique tourne au cauchemar éveillé lorsqu'ils assistent, impuissants, à la fin du monde...
Contenu vo : Contenu : Nice House on the Lake #1-12 en noir et blanc
Une intégrale pour l'un des bijoux horreur/fantastique de l'année, histoire de l'apprécier pleinement. Je ne sais pas ce que donne le noir et blanc sur les dessins de Martinez Bueno, mais cette édition va encore être superbe, et c'est surtout une série addictive à ne pas rater si vous ne l'avez pas encore lue.
Brubaker et Phillips font une petite pause dans leur saga Reckless pour nous proposer un récit indépendant qui nous plonge dans les soirées select et costumées de notre bonne vieille ville de Paris. La recette est toujours la même et le résultat est toujours aussi appréciable. Si vous aimez le duo et le polar en général, foncez.
NIGHT FEVER est un palpitant thriller au coeur du monde de la nuit qui met en scène - à la manière d'un Docteur Jekyll et Mister Hyde - un homme confronté à l'obscurité tapie au fond de lui. Par la dream team Brubaker & Phillips !
En voyage d'affaires en Europe, Jonathan Webb n'arrive pas à dormir. Au lieu de cela, il se retrouve à errer la nuit dans une ville étrangère, avec son nouvel ami, le mystérieux et violent Rainer comme guide. Rainer montre à Jonathan le monde caché de la nuit, un monde sans règles ni limites. Mais lorsque le plaisir se transforme en danger, Jonathan risque de se retrouver piégé dans le noir...
Brubaker et Phillips font une petite pause dans leur saga Reckless pour nous proposer un récit indépendant qui nous plonge dans les soirées select et costumées de notre bonne vieille ville de Paris. La recette est toujours la même et le résultat est toujours aussi appréciable. Si vous aimez le duo et le polar en général, foncez.
Plus qu’un hommage, Moore se sert de l’oeuvre incroyable de Lovecraft pour en faire une relecture tout aussi géniale. D’une grande richesse, vous ne sortirez pas indemne de cette aventure aux portes de l’occulte et du fantastique. Du pur génie. En revanche, le prix interroge. Cet album regroupe Neonomicon (22€ chez Panini) et Providence (37€ en intégrale). Espérons que le grand format luxueux justifie la différence de prix.
Alan Moore, Jacen Burrows
Providence est une œuvre qui laisse sans voix et sur laquelle Alan Moore a travaillé durant de nombreuses années. Retrouvez également dans cette magnifique édition intégrale les deux autres récits de Moore et Jacen Burrows inspirés par Lovecraft : Neonomicon et Côté cour.
(Contient les épisodes US Providence 1-2, Neonomicon et , précédemment publiés dans PROVIDENCE : L'INTÉGRALE et NEONOMICON)
Plus qu’un hommage, Moore se sert de l’oeuvre incroyable de Lovecraft pour en faire une relecture tout aussi géniale. D’une grande richesse, vous ne sortirez pas indemne de cette aventure aux portes de l’occulte et du fantastique. Du pur génie. En revanche, le prix interroge. Cet album regroupe Neonomicon (22€ chez Panini) et Providence (37€ en intégrale). Espérons que le grand format luxueux justifie la différence de prix.
Attention ceci n'est pas une BD de Q mais bien une série qui vous est chaudement recomandée !
Si vous avez aimé Harleen, vous devriez vous intéresser à cette oeuvre qui est une véritable démonstration du talent de Stjepan Sejic. Au delà de son aspect aguicheur, il y développe une histoire d'amour et de respect envers l'autre. L'auteur/artiste compose autour de personnages très attachants, servi par des dialogues d'une justesse.. qui résonneront forcément à tout un chacun sur ses expériences sentimentales.
Son trait incroyable, met en avant la beauté des corps dans des planches sublimes, sans tomber dans le pornographique et le grotesque.
Une excellente note pour Panini qui nous livre l'oeuvre dans une édition très soignées avec un deuxième tome qui vient clôturer la série principale.
Stjepan Sejić
Nouvelle étape pour Ally et Lisa ! Après leur rencontre en ligne puis dans la vraie vie, les deux jeunes femmes commencent à avoir de réels sentiments. Mais si, effrayées par l'ampleur de cette passion, elles ne s'avouent pas la vérité, est-ce qu'elles ne risquent pas de tout perdre ?
(Contient les épisodes US Sunstone HC 4-5, précédemment publiés dans SUNSTONE 4-5)
Attention ceci n'est pas une BD de Q mais bien une série qui vous est chaudement recomandée !
Si vous avez aimé Harleen, vous devriez vous intéresser à cette oeuvre qui est une véritable démonstration du talent de Stjepan Sejic. Au delà de son aspect aguicheur, il y développe une histoire d'amour et de respect envers l'autre. L'auteur/artiste compose autour de personnages très attachants, servi par des dialogues d'une justesse.. qui résonneront forcément à tout un chacun sur ses expériences sentimentales.
Son trait incroyable, met en avant la beauté des corps dans des planches sublimes, sans tomber dans le pornographique et le grotesque.
Une excellente note pour Panini qui nous livre l'oeuvre dans une édition très soignées avec un deuxième tome qui vient clôturer la série principale.
Clayface a toujours été un personnage extrêmement intéressant à travailler, et ce n'est pas l'histoire la plus inspirée qui nous est proposée dans ce One Bad Day. Pour autant, on y retrouve ce qui fait le coeur du personnage de Karlo, avec une bonne histoire autour d'Hollywood et de ses démons qui le quittent pas. C'est également très beau avec un Xermanico qui continu de ne pas décevoir.
Un tome qui respecte bien le personnage de Clayface mais un peu moins celui des One Bad Day au sens large. C'est dommage. La lecture n'en reste pas agréable. Les dessins sont, cette fois encore, assez dingues.
Batman One Bad Day : Gueule d'Argile fait partie des titres les plus qualitatifs de la série (top 4 selon moi). Les dessins de Xermanico sont sublimes ! Le personnage de G.A. est bien exploité et traité. Il gagne en profondeur. On se confondrait presque avec lui pour explorer ses tourments, ses questions... C'est un volume efficace qui cloture plutôt bien cette collection. C'est un personnage dont les apparitions se font rares (hormis dans Batman Detective Comics) alors ne boudons pas notre plaisir !
Basil Karlo a toujours rêvé d'être acteur... ou plutôt d'être le plus grand acteur de tous les temps. Mais lorsqu'il est devenu Gueule d'Argile, sa vie a pris un tournant inattendu. Aujourd'hui, après bien des années de lutte face à Batman, il a décidé de changer d'air. Arrivé dans la capitale mondiale du cinéma, loin de l'atmosphère viciée de Gotham, il s'y forge une nouvelle identité et reprend son rêve où il l'avait laissé. Mais pour arriver à être la star qu'il souhaite devenir, il va devoir façonner Los Angeles à son image...
Contenu vo : Batman - One Bad Day: Clayface #1
Clayface a toujours été un personnage extrêmement intéressant à travailler, et ce n'est pas l'histoire la plus inspirée qui nous est proposée dans ce One Bad Day. Pour autant, on y retrouve ce qui fait le coeur du personnage de Karlo, avec une bonne histoire autour d'Hollywood et de ses démons qui le quittent pas. C'est également très beau avec un Xermanico qui continu de ne pas décevoir.
Un tome qui respecte bien le personnage de Clayface mais un peu moins celui des One Bad Day au sens large. C'est dommage. La lecture n'en reste pas agréable. Les dessins sont, cette fois encore, assez dingues.
Batman One Bad Day : Gueule d'Argile fait partie des titres les plus qualitatifs de la série (top 4 selon moi). Les dessins de Xermanico sont sublimes ! Le personnage de G.A. est bien exploité et traité. Il gagne en profondeur. On se confondrait presque avec lui pour explorer ses tourments, ses questions... C'est un volume efficace qui cloture plutôt bien cette collection. C'est un personnage dont les apparitions se font rares (hormis dans Batman Detective Comics) alors ne boudons pas notre plaisir !
Tom King a fini son run sur Batman mais n'arrive pas à lâcher le personnage. Et pourtant il devrait... Il livre un récit sur un braquage centré sur Riddler et Catwoman mais c'est très pénible à lire. L'auteur oscille entre plein de temporalités, c'est pire que dans Batman/Catwoman. Et on a du coup énormément de narration à base de "8h plus tard", "5 secondes avant", "5000 ans plus tôt". C'est illisible même si tout trouve son explication dans le dernier numéro. Dommage, parce que graphiquement, David Marquez fait du très bon boulot, notamment sur le combat final.
Un braquage millimétré mis en scène aux petits oignons par le talent de Tom King et David Marquez. Ne vous attendez pas à grand chose d'autre, c'est une histoire totalement indépendante, qui n'est pas en lien avec le précèdent run du scénariste sur Batman. C'est un récit qui sera au final assez anecdotique, mais qui est rudement efficace et maitrisé.
Batman - Killing Time est un titre passable voire oubliable. Le titre manque d'enjeu (ça n'est qu'un braquage, foiré qui plus est). Son plus gros point faible demeure la lecture qui est fouillie, trop découpée... Le narrateur est insupportable ! On ne comprend qu'à la fin pourquoi on se coltine l'heure de chaque case qui compose le comics. Seule la partie graphique - il faut le souligner - sauve cet opus.
Gotham City, 4 mars, 16h46. Banque centrale. Un étrange client fait son apparition. Personne ne le sait, mais le braquage du siècle est sur le point d'avoir lieu, dans cette banque précisément. Trois malfrats — Catwoman, le Pingouin et le Riddler — s'associent pour mener à bien leur mission, juste histoire de tuer le temps...
Contenu vo : Contenu : Batman Killing Time #1-#6
Tom King a fini son run sur Batman mais n'arrive pas à lâcher le personnage. Et pourtant il devrait... Il livre un récit sur un braquage centré sur Riddler et Catwoman mais c'est très pénible à lire. L'auteur oscille entre plein de temporalités, c'est pire que dans Batman/Catwoman. Et on a du coup énormément de narration à base de "8h plus tard", "5 secondes avant", "5000 ans plus tôt". C'est illisible même si tout trouve son explication dans le dernier numéro. Dommage, parce que graphiquement, David Marquez fait du très bon boulot, notamment sur le combat final.
Un braquage millimétré mis en scène aux petits oignons par le talent de Tom King et David Marquez. Ne vous attendez pas à grand chose d'autre, c'est une histoire totalement indépendante, qui n'est pas en lien avec le précèdent run du scénariste sur Batman. C'est un récit qui sera au final assez anecdotique, mais qui est rudement efficace et maitrisé.
Batman - Killing Time est un titre passable voire oubliable. Le titre manque d'enjeu (ça n'est qu'un braquage, foiré qui plus est). Son plus gros point faible demeure la lecture qui est fouillie, trop découpée... Le narrateur est insupportable ! On ne comprend qu'à la fin pourquoi on se coltine l'heure de chaque case qui compose le comics. Seule la partie graphique - il faut le souligner - sauve cet opus.
Période assez culte sur le tisseur, qui a permis à McFarlane de devenir une star, et de lancer sa série Spawn plus tard. C'est du pur Spidey : mélange de problèmes personnels et de ses combats sous le masque. Une très bonne lecture.
Roger Stern, John Romita Jr, Marie Severin, Mike Zeck
À la fin des années 1980, David Michelinie reprend les scénarios d'Amazing Spider-Man et il est associé au jeune Todd McFarlane. C’est le début d’un nouvel âge d’or pour Peter Parker, qui évolue au fil des intrigues palpitantes et des dessins dynamiques de ce nouveau duo artistique.
(Contient les épisodes US Amazing Spider-Man (1963) 296-329, Spectacular Spider-Man Annual (1979) 10 et What the...?! (1988) 3, précédemment publiés dans SPIDER-MAN : L'INTÉGRALE 1987-1988 et 1988-1989, VENOM : L'INTÉGRALE 1984-1991, MARVEL ICONS : AMAZING SPIDER-MAN PAR MCFARLANE 1-2 et inédit)
Période assez culte sur le tisseur, qui a permis à McFarlane de devenir une star, et de lancer sa série Spawn plus tard. C'est du pur Spidey : mélange de problèmes personnels et de ses combats sous le masque. Une très bonne lecture.
Toujours un bon moyen de faire un tour d'horizon d'un personnages, avant de se plonger plus en profondeur dans ses publications. C'est un joli sommaire, qui couvre toutes les périodes et toutes les versions du personnage aux nombreuses facettes.
Une collection qui a déjà fait ses preuves. C'est avec plaisir que nous accueillons cet opus qui couvre toutes les périodes du Dieu de la malice.
Ennemi terrible et allié précieux, Dieu de la Malice et Dieu des Histoires… Voici quelques-unes des facettes qui composent le personnage de Loki. Le frère adoptif du dieu du Tonnerre a vécu d’innombrables aventures, tant au service des forces du bien que du mal.
(Contient les épisodes US Journey Into Mystery (1952) 85 et 626.1, Avengers (1963) 1, Thor (1966) 175-177, 364-366 et 432, Thor (2007) 9 et 12, Loki: Agent of Asgard (2014) 5, Loki (2019) 5 et Thor (2020) 4 (V), précédemment publiés dans MARVEL ANTHOLOGIE : NOUS SOMMES LES AVENGERS, MARVEL : LES GRANDES BATAILLES – THOR VS LOKI, MARVEL DELUXE : LOKI – JOURNEY INTO MYSTERY, 100% MARVEL : LOKI – LE DIEU TOMBÉ SUR TERRE, MARVEL DELUXE : LOKI – AGENT D'ASGARD 1, MARVEL ICONS : THOR PAR SIMONSON 2, MARVEL SELECT : THOR 2, MARVEL COMICS 12 et Thor 27)
Toujours un bon moyen de faire un tour d'horizon d'un personnages, avant de se plonger plus en profondeur dans ses publications. C'est un joli sommaire, qui couvre toutes les périodes et toutes les versions du personnage aux nombreuses facettes.
Une collection qui a déjà fait ses preuves. C'est avec plaisir que nous accueillons cet opus qui couvre toutes les périodes du Dieu de la malice.
Nos avis sur les dernières sorties
C'est une possibilité
Rejoignez-nous et partagez votre avis !
![[VF] Sélection MDCU d'octobre 2023](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_37392_vf-selection-mdcu-d-octobre-2023_1695916182.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
L'Avis de la rédaction (5)
Uraphire Staff MDCU
il y a 2 ans
C'est un immanquable à lire qui arrive en Omnibus pour connaître la saga qui a modernisé l'univers Marvel et inspiré les films du MCU. L'histoire reste toujours bien construite même si certains aspects peuvent avoir mal vieilli avec le temps. On retrouve un Bryan Hitch au sommet de son art avec certaines de ses planches les plus impressionnantes de sa carrière.
Adrien L. Staff MDCU
il y a 2 ans
Les Avengers version Ultimate ont vraiment mis une claque à sa sortie. Il ne s'agit pas juste d'une modernisation, il y a une vrai réflexion pour les rendre crédibles et cohérents avec cette nouvelle époque. L'ampleur de ces séries est dément, et les dessins donne une ambiance blockbuster hollywoodien. Cet album regroupe les deux premirères séries, et incontestablement les meilleures. A ne pas rater si vous ne les avez pas encore.
Julien Staff MDCU
il y a 2 ans
Un bijou, tout simplement. Une version moderne, osée et intelligente des Avengers, servie par un Hitch au sommet. Un immanquable.
Jeff Staff MDCU
il y a 2 ans
Un grand classique de la Maison des Idées. Pour ceux qui ne l'auraient pas encore, c'est à ne pas manquer !
Fantasioud Staff MDCU
il y a 2 ans
Les Avengers de l'univers Ultimates !
Un incontournable à n'en pas douter, une version très rafraîchissante qui s'affranchit de la continuité. Un excellent point de départ en somme si vous voulez débuté l'univers Marvel, ou tout simplement replonger dans une des périodes phares de l'éditeur.