Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires !
C'est parti pour les sorties du 9 novembre! Chez Marvel, on a lu l'épilogue de A.X.E.: Judgment Day et la suite de Venom. Chez DC Comics, on a testé WildC.A.T.S. et The New Golden Age et on continue de suivre I Am Batman , Dark Crisis et The Nice House on the Lake.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
Cet avant-dernier numéro de Dark Crisis est marqué par le retour de la Justice League tandis que les forces ennemies ne font que s'agrandir. On suit toujours la lutte des héros restants. Ce numéro permet de se débarasser d'une des deux grosses menaces de l'event. On a aussi quelques morts à compter dans le camp des héros mais espérons qu'elles seront effacées rapidement. Côté graphique, c'est toujours le top du top, espérons que Daniel Sampere héritera d'un titre de premier plan après ça, comme une relance de la Justice League par exemple
Un numéro marqué par la grande bataille obligatoire d’event. Si c’est malheureusement toujours aussi bavard et qu’on retombe dans certains défauts propres à l’auteur, la résolution de certains événements sont satisfaisants (malgré des facilités) et Williamson écrit de très belles scènes pour les personnages, notamment Green Arrow et Jon Kent, qui gagne ses lettres de noblesse avec ce numéro. La fin surprend, mais est logique, reste à savoir comment l’histoire va se conclure et ce qu’elle va lancer derrière. Daniel Sampere assure toujours aux dessins en proposant des scènes épiques, même si on sent un début de fatigue. Par exemple, il n’y a presque plus de décors en arrière-plan.
Un épilogue consacré au run de Gillen sur les Eternals que de l’event Judgment Day. C’est une bonne conclusion qui fait évoluer son univers, où l’auteur fait aussi le bilan de son travail en lançant les personnages sur une nouvelle direction. Reste à voir si un autre auteur reprendra le travail de Gillen, mais les personnages semblent bien parti pour être oubliés pour un moment. Reste le dessin qui est le point faible du numéro, il a son style, mais il ne plaira pas à tout le monde.
Un épilogue consacré au run de Gillen sur les Eternals que de l’event Judgment Day. C’est une bonne conclusion qui fait évoluer son univers, où l’auteur fait aussi le bilan de son travail en lançant les personnages sur une nouvelle direction. Reste à voir si un autre auteur reprendra le travail de Gillen, mais les personnages semblent bien parti pour être oubliés pour un moment. Reste le dessin qui est le point faible du numéro, il a son style, mais il ne plaira pas à tout le monde.
Nouveau numéro qui aborde les révélations du final du second arc. Malgré le retour d’Ewing, il semble moins riche que les numéros précédents, car après des scènes de dialogues intrigantes, on tombe sur de l’action peu captivante qui va servir à amener Venom au crossover Dark Web qui ne survient qu’à la toute fin. Il faudra attendre de lire le crossover en question pour voir comment Venom va être mêlée aux événements.
Nouveau numéro qui aborde les révélations du final du second arc. Malgré le retour d’Ewing, il semble moins riche que les numéros précédents, car après des scènes de dialogues intrigantes, on tombe sur de l’action peu captivante qui va servir à amener Venom au crossover Dark Web qui ne survient qu’à la toute fin. Il faudra attendre de lire le crossover en question pour voir comment Venom va être mêlée aux événements.
Geoff Johns continue son retour avec ce numéro rempli de promesses qui seront tenues ou non. On a un fil rouge autour de la JSA et surtout du Dr Fate ton se balade à diverses époques pour voir les incarnation de l'équipe entre autre. On a même comme pour Flashpoint Beyond 6 une page de Gary Frank pour faire suite à Doomsday Clock. On a aussi énormément de choses sur Huntress qui sera un membre de la JSA. Le numéro se termine même par un who's who sur des personnages mentionnés ici et qui auront de l'importance dans les prochains titres de l'auteur. Grpahiquement, c'est toujours dommage d'avoir autant de dessinateurs différents même si chacun à son segment.
Geoff Johns continue son retour avec ce numéro rempli de promesses qui seront tenues ou non. On a un fil rouge autour de la JSA et surtout du Dr Fate ton se balade à diverses époques pour voir les incarnation de l'équipe entre autre. On a même comme pour Flashpoint Beyond 6 une page de Gary Frank pour faire suite à Doomsday Clock. On a aussi énormément de choses sur Huntress qui sera un membre de la JSA. Le numéro se termine même par un who's who sur des personnages mentionnés ici et qui auront de l'importance dans les prochains titres de l'auteur. Grpahiquement, c'est toujours dommage d'avoir autant de dessinateurs différents même si chacun à son segment.
Un numéro tie-in idéal pour explorer la psychologie de Jace Fox. L’auteur a la bonne idée de le confronter à Sinestro, ça permet de le sortir des ennemis humains qu'il affronte. Le combat et les dialogues sont réussis et continuent à construire un nouveau Batman intéressant à suivre. Petit bonus, l’auteur fait le pont avec le numéro 6 de l’event de façon satisfaisante. Le dessinateur est bien choisi pour jouer sur l’aspect psychédélique de l’histoire malgré un dessin particulier.
Un numéro tie-in idéal pour explorer la psychologie de Jace Fox. L’auteur a la bonne idée de le confronter à Sinestro, ça permet de le sortir des ennemis humains qu'il affronte. Le combat et les dialogues sont réussis et continuent à construire un nouveau Batman intéressant à suivre. Petit bonus, l’auteur fait le pont avec le numéro 6 de l’event de façon satisfaisante. Le dessinateur est bien choisi pour jouer sur l’aspect psychédélique de l’histoire malgré un dessin particulier.
Le retour des Wildc.a.t.s. tombe à pic pour les 30 ans d’Image après un prélude publié l’année dernière, malheureusement le résultat est mitigé. L'enchaînement des événements est rapide, les nouveaux objectifs d’Halo sont flous et le reste des membres de l’équipe ont peu de temps pour exister. C’est surtout Grifter qui profite le plus de visibilité, ce qui est dommage, car le reste de l’équipe est intéressant visuellement et semblent différent de leurs versions d’origine. Stephen Segovia livre un travail réussi avec des dessins très agréables visuellement. Bref, si vous voulez un titre avec de l’action sans prise de tête et de beaux dessins, cette série est faite pour vous.
Le retour des Wildc.a.t.s. tombe à pic pour les 30 ans d’Image après un prélude publié l’année dernière, malheureusement le résultat est mitigé. L'enchaînement des événements est rapide, les nouveaux objectifs d’Halo sont flous et le reste des membres de l’équipe ont peu de temps pour exister. C’est surtout Grifter qui profite le plus de visibilité, ce qui est dommage, car le reste de l’équipe est intéressant visuellement et semblent différent de leurs versions d’origine. Stephen Segovia livre un travail réussi avec des dessins très agréables visuellement. Bref, si vous voulez un titre avec de l’action sans prise de tête et de beaux dessins, cette série est faite pour vous.
On approche de la conclusion et ça traîne franchement des pieds. Les personnages ont retrouvé leur mémoire suite à la fin du précédent numéro mais sorti de ça et de la volonté de se venger de Walter, on a rien de neuf. On nous représente même la machine qu'on nous a déjà présenté longuement dans le numéro précédent. Graphiquement, ça devient aussi compliqué à suivre, tout est sombre et on a du mal à distinguer les différents personnages qui sont heureusement nommé pour qu'on sache qui est en train de parler. Un numéro plutôt décevant.
On approche de la conclusion et ça traîne franchement des pieds. Les personnages ont retrouvé leur mémoire suite à la fin du précédent numéro mais sorti de ça et de la volonté de se venger de Walter, on a rien de neuf. On nous représente même la machine qu'on nous a déjà présenté longuement dans le numéro précédent. Graphiquement, ça devient aussi compliqué à suivre, tout est sombre et on a du mal à distinguer les différents personnages qui sont heureusement nommé pour qu'on sache qui est en train de parler. Un numéro plutôt décevant.
Avis (2)
BartAllen Staff MDCU
il y a 3 ans
Cet avant-dernier numéro de Dark Crisis est marqué par le retour de la Justice League tandis que les forces ennemies ne font que s'agrandir. On suit toujours la lutte des héros restants. Ce numéro permet de se débarasser d'une des deux grosses menaces de l'event. On a aussi quelques morts à compter dans le camp des héros mais espérons qu'elles seront effacées rapidement. Côté graphique, c'est toujours le top du top, espérons que Daniel Sampere héritera d'un titre de premier plan après ça, comme une relance de la Justice League par exemple
Uraphire Staff MDCU
il y a 3 ans
Un numéro marqué par la grande bataille obligatoire d’event. Si c’est malheureusement toujours aussi bavard et qu’on retombe dans certains défauts propres à l’auteur, la résolution de certains événements sont satisfaisants (malgré des facilités) et Williamson écrit de très belles scènes pour les personnages, notamment Green Arrow et Jon Kent, qui gagne ses lettres de noblesse avec ce numéro. La fin surprend, mais est logique, reste à savoir comment l’histoire va se conclure et ce qu’elle va lancer derrière. Daniel Sampere assure toujours aux dessins en proposant des scènes épiques, même si on sent un début de fatigue. Par exemple, il n’y a presque plus de décors en arrière-plan.