Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires, le Zap' MDCU !
C'est parti pour les sorties du 1er janvier ! Une première semaine assez calme avec seulement Olympia en indé et les suites de Detective Comics et Flash chez DC Comics. Chez Marvel, on poursuit la lecture de X-Men de Jonathan Hickman et Leinil Francis Yu et on teste Hawkeye: Freefall de Matthew Rosenberg et Otto Schmidt et Tarot d'Alan Davis et Paul Renaud.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles appaaraitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
Un numéro plus calme pour cette avant-dernière partie. Les Rogues et les Flashes discutent. Williamson met surtout en avant les Rogues et la famille de substitution qu'ils forment, ce qui explique leur rebellion contre Cold. On a du coup des dialogues très intéressants et assez peu d'actions. On voit aussi que Flash réussit à contrôler la Speed Force plus facilement grâce à Glider, à voir si cela peut durer. Par contre,o n change d'artiste sur l'arc et c'est assez dommage, car on voit la différence de style entre Christian Duce et Rafa Sandoval.
On plonge en plein coeur de la nouvelle direction des X-Men offerte par Jonatham Hickman avec un numéro très politique, qui s'avère passionnant dans le message qu'il fait passer et dans toutes les perspectives promises par cette nouvelle position de la nation des mutants. Le scénariste se lâche et se sert de ses mutants, et notamment Magneto, pour nous sortir un pamphlet anti-capitaliste à en faire trembler les grandes puissances du monde. Leinil Yu assure toujours au dessin, même quand il s'agit de faire essentiellement des gros plans autour d'un diner.
On plonge en plein coeur de la nouvelle direction des X-Men offerte par Jonatham Hickman avec un numéro très politique, qui s'avère passionnant dans le message qu'il fait passer et dans toutes les perspectives promises par cette nouvelle position de la nation des mutants. Le scénariste se lâche et se sert de ses mutants, et notamment Magneto, pour nous sortir un pamphlet anti-capitaliste à en faire trembler les grandes puissances du monde. Leinil Yu assure toujours au dessin, même quand il s'agit de faire essentiellement des gros plans autour d'un diner.
Suite de la mini-série qui se pose un peu plus vu que Olympia essaie de comprendre ce qu'il se passe et le héros cherche les réponses dans les comics, sauf que la série a été annulée. On verra dans le prochain numéro comment la situation va changer, mais cet épisode reste symathique et on a un passage de comic book dans le comic book, avec un style graphique très différent du reste du numéro.
Suite de la mini-série qui se pose un peu plus vu que Olympia essaie de comprendre ce qu'il se passe et le héros cherche les réponses dans les comics, sauf que la série a été annulée. On verra dans le prochain numéro comment la situation va changer, mais cet épisode reste symathique et on a un passage de comic book dans le comic book, avec un style graphique très différent du reste du numéro.
Un numéro assez fun, qui correspond bien au personnage de Clint Barton, et qui a son lot d'humour et d'intrigues intéressantes. On pourra regretter la facilité d'aller à nouveau fouiller dans le passé du personnage avec Ronin, mais ça marche plutôt bien avec l'ajout d'autres personnages Marvel. Otto Schmidt propose des dessins qui servent complètement le scénario assez décalé de Rosenberg, avec des scènes d'action très réussies.
Un numéro assez fun, qui correspond bien au personnage de Clint Barton, et qui a son lot d'humour et d'intrigues intéressantes. On pourra regretter la facilité d'aller à nouveau fouiller dans le passé du personnage avec Ronin, mais ça marche plutôt bien avec l'ajout d'autres personnages Marvel. Otto Schmidt propose des dessins qui servent complètement le scénario assez décalé de Rosenberg, avec des scènes d'action très réussies.
Un premier numéro où l'on comprend le rapport avec le titre de la mini-série. Cependant, on peut regretter de se retrouver avec une histoire où on va voir des héros s'affronter une fois de plus. Il y a des liens avec les Invaders pour brasser toutes les époques de Marvel. Paul Renaud fait le taff sans être à son meilleur niveau.
Un premier numéro où l'on comprend le rapport avec le titre de la mini-série. Cependant, on peut regretter de se retrouver avec une histoire où on va voir des héros s'affronter une fois de plus. Il y a des liens avec les Invaders pour brasser toutes les époques de Marvel. Paul Renaud fait le taff sans être à son meilleur niveau.
Un nouvel arc qui commence de façon intriguante. On a un nouveau vilain qui tue des gens pour un espèce de rituel. On n'en sait pas plus pour l'instant mais Tomasi arrive à installer le personnage et l'ambiance de l'arc. On verra dans le prochain numéro ce qu'il en est surtout vu la prochaine cible. On voit aussi un peu l'état psychologique de Bruce suite à la disparition d'Alfred. Un numéro plutôt encourageant après l'arc pas très intéressant sur Freeze.
Un nouvel arc qui commence de façon intriguante. On a un nouveau vilain qui tue des gens pour un espèce de rituel. On n'en sait pas plus pour l'instant mais Tomasi arrive à installer le personnage et l'ambiance de l'arc. On verra dans le prochain numéro ce qu'il en est surtout vu la prochaine cible. On voit aussi un peu l'état psychologique de Bruce suite à la disparition d'Alfred. Un numéro plutôt encourageant après l'arc pas très intéressant sur Freeze.
Avis (1)
BartAllen Staff MDCU
il y a 6 ans
Un numéro plus calme pour cette avant-dernière partie. Les Rogues et les Flashes discutent. Williamson met surtout en avant les Rogues et la famille de substitution qu'ils forment, ce qui explique leur rebellion contre Cold. On a du coup des dialogues très intéressants et assez peu d'actions. On voit aussi que Flash réussit à contrôler la Speed Force plus facilement grâce à Glider, à voir si cela peut durer. Par contre,o n change d'artiste sur l'arc et c'est assez dommage, car on voit la différence de style entre Christian Duce et Rafa Sandoval.