Retrouvez ci-dessous toutes les sorties comics prévues aujourd'hui !
Vous pouvez laisser votre avis et une note sous chaque sortie ou via la fiche du comics. Il pourra ainsi apparaitre dans cette actu dans la partie "Les Avis de la Communauté".
A noter également que vous pouvez vous inscrire aux alertes par mail via la page Liste d'Achats de votre profil pour ne louper aucune sortie !
Auteurs : Valentino, West, Gallagher
Vance Astro peut enfin se délester du costume qui lui permettait de survivre, mais à condition de ne plus avoir de contact physique avec qui que ce soit. Alors qu’il aspire à profiter d’une vie à peu près normale, sa compagne, Aleta, disparaît. Découvrez la suite des aventures des Gardiens de la Galaxie du futur dans des épisodes inédits en France.
(Contient les épisodes US Guardians of the Galaxy (1990) 20-31 et Annual 2, inédits)
Auteurs : Brubaker, McNiven, Davis
Steve Rogers est de nouveau Captain America. L’enterrement d'un vieil ami lance le héros dans une course contre la montre où se joue le sort du monde. La Légende Vivante devra aussi affronter l'Hydra avec l'aide du Faucon et de Sharon Carter.Pour ce nouveau numéro 1 d'Ed Brubaker, il est accompagné par Steve McNiven (Civil War) et Alan Davis (Thanos).
(Contient les épisodes US Captain America (2011) 1-10, publiés précédemment dans les revues AVENGERS (V2) 1-6 et AVENGERS (V3) 1-4)
Inévitable, le retour de Steve Rogers marque aussi le début de la fin pour le run Brubaker. L'intérêt de la série finira par décroître au fil des épisodes après ce volume. Ce tome reste appréciable, notamment grâce à une partie graphique de haute volée.
Pas ce que Burbaker aura fait de mieux sur le personnage, ça sent un peu le run qui tire en longueur, mais ça reste Brubaker tout de même... et Steve McNiven... et Alan Davis. Oui, si, c'est du bon Captain America !
Ils ont enlevé les couleurs pour cette édition. C'est plutôt les bulles qu'il aurait fallu supprimer car le scénario de commande n'a aucun intérêt. A n'acheter que si vous voulez admirer les planches d'Immonen.
Oui pour les dessins d'Immonen en noir et blanc, mais ça n'ira pas plus loin. Un event qui est vite tombé dans les oubliettes de Marvel tellement il est médiocre et mal géré de bout en bout. Si vous l'avez déjà, ne vous posez même pas la question, si vous êtes curieux, ce Fear Itself vous réserve tout de même quelques bons moments équipes et le retour de la trinité Marvel Steve Rogers/Tony Stark/Thor côte à côte.
Auteurs : Fraction, Immonen
Lorsqu'elle empoigne un marteau mystique tombé du ciel, Sin, la fille démente de Crâne Rouge, se transforme en héraut du Serpent. Aidé de ses huit Dignes, des héros et des criminels devenus ses servants, le Serpent plonge la planète dans le chaos et les ténèbres, sa puissance augmentant au fur et à mesure que la peur se répand. Captain America, Thor, Iron Manet les autres Avengers doutent d'être en mesure de pouvoir arrêter cette terrible menace. Une réédition en noir & blanc de la saga de 2011 pour redécouvrir les dessins de Stuart Immonen(Empress).
(Contient les épisodes US Fear Itself 1-7, publiés précédemment dans l'album MARVEL SELECT: FEAR ITSELF)
Ils ont enlevé les couleurs pour cette édition. C'est plutôt les bulles qu'il aurait fallu supprimer car le scénario de commande n'a aucun intérêt. A n'acheter que si vous voulez admirer les planches d'Immonen.
Oui pour les dessins d'Immonen en noir et blanc, mais ça n'ira pas plus loin. Un event qui est vite tombé dans les oubliettes de Marvel tellement il est médiocre et mal géré de bout en bout. Si vous l'avez déjà, ne vous posez même pas la question, si vous êtes curieux, ce Fear Itself vous réserve tout de même quelques bons moments équipes et le retour de la trinité Marvel Steve Rogers/Tony Stark/Thor côte à côte.
Lemire ressort Sentry pour cette mini-série et s'en sort plutôt bien. L'idée de base est bonne, et permet de savoir ce que devient le personnage. Les dessins ultra-dynamiques de Jacinto captivent, et la fin ouverte donne envie d'avoir une suite. Si vous aimez le personnage, c'est une très bonne lecture.
Auteurs :Lemire, Jacinto
Fresh Start ! Pour chaque bonne action de Sentry, son double maléfique équilibre la balance en commettant un mauvais coup. Pour éviter ce genre de déconvenue, Iron Man a imaginé un système empêchant les alter ego de Robert Reynolds de causer plus de dommages. Malheureusement, tout ne va pas se passer comme prévu…
(Contient les épisodes US Sentry (2018) 1-5, inédits)
Lemire ressort Sentry pour cette mini-série et s'en sort plutôt bien. L'idée de base est bonne, et permet de savoir ce que devient le personnage. Les dessins ultra-dynamiques de Jacinto captivent, et la fin ouverte donne envie d'avoir une suite. Si vous aimez le personnage, c'est une très bonne lecture.
Auteurs : Cates, Olivetti
Un adversaire mystérieux a pris pour cible les Inhumains et les élimine les uns après les autres dans cette mini-série signée par Donny Cates, le scénariste de Thanos et Venom.
(Contient les épisodes US Death of the Inhumans 1-5, inédits)
Un chef-d'œuvre méconnu. S'appuyant sur un coup de com' risqué (un super-héros inédit de Stan Lee qu'on aurait retrouvé dans un carton), Paul Jenkins et Jae Lee invente un personnage fascinant et unique à coup de rétrocontinuité. Alliant le fond et la forme, Jenkins pousse le concept très loin et nous livre un de ses récits les plus audacieux et les plus ambitieux. Métatextuel, mélancolique et même parfois effrayant, Sentry est un bijou d'écriture magnifiquement illustré par un Jae Lee inspiré. Un pari fou et réussi.
Excellent récit complet avec les excellentes origines de Sentry. Une idée de génie pour introduire un personnage très intéressant. Intelligent et merveilleusement mis en image, c'est un petit bijou à lire de toute urgence !
Je viens littéralement de me prendre une claque !!! Le dessin de Jae Lee peut rebuter mais une fois le regard accoutumé l'histoire vous embarque et c'en est impossible de lâcher le bouquin. Sentry est clairement un personnage à part dans la mythologie Marvel et vous louperiez quelque chose en passant à côté de cette œuvre. Pour ma part c'est un “must have".
Evolution
Attention ! Vous êtes prêt pour de la baston, de la vraie ? des ennemis et des affrontements sans merci, entre les forces du bien et les « méchants » ? Des doubles pages de versus rassemblants vos héros préférés ?
Alors Sentry par Jenkins n’est pas fait pour vous. Ce récit est un questionnement psychologique de longue haleine, une remise en question, une interrogation, une quête intérieure profonde de l’individu cherchant à se comprendre et à se faire comprendre, par ses pairs (héros également). Comment se faire comprendre lorsque les preuves ne sont plus ? se perd-t-on soi même au fil du temps et lorsque notre chemin de vie avance ? Tant de question rhétorique interrogées par l’auteur dans ce récit, plutôt génialement raconté. Le héros y vit une progression continuelle et tel un pokemon qui prend des niveaux, son évolution se retrouve sur le plan scénario mais également et c’est pour moi une des belles réussites de cet ouvrage, sur le plan visuel (sa cape tient au début du récit à l’aide de pince à linge, puis……).
Jae lee Parfois décrié voit son style parfaitement accordé avec le fil de l’histoire. Son style nous plonge aisément dans l’univers de Sentry, dans cet espoir qu’a le héros d‘être compris, de se retrouver, à la frontière entre l’interne et l’environnement (au sens social).
Un seul chapitre du récit consacré à l’amitié (touchante) entre Hulk et Sentry, est en dessous niveau dessin (Bruce Banner hashtag FRANKENSTEIN).
En bref, bien loin de la baston traditionnelle des Events survendu par Marvel ces derniers temps, Sentry est d’un versant plus psychologique et mérite d’être lu par tous, en tout cas tous ceux qui cherche dans le comics un moyen de comprendre (de façon globale).
« Qu’évoquent les souvenirs que tu retrouves peu à peu ? Tu étais un héros. Il y a eu un problème. » (Robert Reynolds)
Scénario *.*.*.*.*
Dessins *.*.*.*
Tout simplement magistral ! J'ai tout simplement adoré. Cette histoire de super-héro oublié à coup de retcon marche très bien. La narration de Paul Jenkins retranscrit parfaitement la psychologie de Robert Reynolds durant sa remise en question. Et que dire du style de Jea Lee qui utilise toute la part inconnu de Sentry pour dessiner des planches qui dépeignent toute la complexité du personnage.
Un incontournable.
Auteurs : Jenkins, Lee
Un héros de l'âge d'or, oublié par ses pairs, refait surface. Mais qui est Sentry ? Pourquoi a-t-il disparu pendant des décennies ? Ce retour était-il souhaitable ? Les Quatre Fantastiques, les Avengers, les X-Men et Spider-Man ne vont pas tarder à répondre.
(Contient les épisodes US Sentry (2000) 1-5 et Sentry/Spider-Man,Sentry/Fantastic Four, Sentry/Hulk, Sentry/Angel et Sentry vs The Void, publiés précédemment dans les albums 100% MARVEL : SENTRY 1-2)
Un chef-d'œuvre méconnu. S'appuyant sur un coup de com' risqué (un super-héros inédit de Stan Lee qu'on aurait retrouvé dans un carton), Paul Jenkins et Jae Lee invente un personnage fascinant et unique à coup de rétrocontinuité. Alliant le fond et la forme, Jenkins pousse le concept très loin et nous livre un de ses récits les plus audacieux et les plus ambitieux. Métatextuel, mélancolique et même parfois effrayant, Sentry est un bijou d'écriture magnifiquement illustré par un Jae Lee inspiré. Un pari fou et réussi.
Excellent récit complet avec les excellentes origines de Sentry. Une idée de génie pour introduire un personnage très intéressant. Intelligent et merveilleusement mis en image, c'est un petit bijou à lire de toute urgence !
Je viens littéralement de me prendre une claque !!! Le dessin de Jae Lee peut rebuter mais une fois le regard accoutumé l'histoire vous embarque et c'en est impossible de lâcher le bouquin. Sentry est clairement un personnage à part dans la mythologie Marvel et vous louperiez quelque chose en passant à côté de cette œuvre. Pour ma part c'est un “must have".
Evolution
Attention ! Vous êtes prêt pour de la baston, de la vraie ? des ennemis et des affrontements sans merci, entre les forces du bien et les « méchants » ? Des doubles pages de versus rassemblants vos héros préférés ?
Alors Sentry par Jenkins n’est pas fait pour vous. Ce récit est un questionnement psychologique de longue haleine, une remise en question, une interrogation, une quête intérieure profonde de l’individu cherchant à se comprendre et à se faire comprendre, par ses pairs (héros également). Comment se faire comprendre lorsque les preuves ne sont plus ? se perd-t-on soi même au fil du temps et lorsque notre chemin de vie avance ? Tant de question rhétorique interrogées par l’auteur dans ce récit, plutôt génialement raconté. Le héros y vit une progression continuelle et tel un pokemon qui prend des niveaux, son évolution se retrouve sur le plan scénario mais également et c’est pour moi une des belles réussites de cet ouvrage, sur le plan visuel (sa cape tient au début du récit à l’aide de pince à linge, puis……).
Jae lee Parfois décrié voit son style parfaitement accordé avec le fil de l’histoire. Son style nous plonge aisément dans l’univers de Sentry, dans cet espoir qu’a le héros d‘être compris, de se retrouver, à la frontière entre l’interne et l’environnement (au sens social).
Un seul chapitre du récit consacré à l’amitié (touchante) entre Hulk et Sentry, est en dessous niveau dessin (Bruce Banner hashtag FRANKENSTEIN).
En bref, bien loin de la baston traditionnelle des Events survendu par Marvel ces derniers temps, Sentry est d’un versant plus psychologique et mérite d’être lu par tous, en tout cas tous ceux qui cherche dans le comics un moyen de comprendre (de façon globale).
« Qu’évoquent les souvenirs que tu retrouves peu à peu ? Tu étais un héros. Il y a eu un problème. » (Robert Reynolds)
Scénario *.*.*.*.*
Dessins *.*.*.*
Tout simplement magistral ! J'ai tout simplement adoré. Cette histoire de super-héro oublié à coup de retcon marche très bien. La narration de Paul Jenkins retranscrit parfaitement la psychologie de Robert Reynolds durant sa remise en question. Et que dire du style de Jea Lee qui utilise toute la part inconnu de Sentry pour dessiner des planches qui dépeignent toute la complexité du personnage.
Un incontournable.
Auteurs : Zub, Daniel
Depuis qu’elle endosse le costume de Kick-Ass, Patience Lee a pu faire beaucoup de bien pour son quartier. Mais tout le monde ne fait pas preuve de bienveillance à l’égard de l’héroïne. Violencia par exemple attend de s'échapper de sa prison pour se venger de son ennemie.
(Contient les épisodes US Kick-Ass : The New Girl 7-12, inédits)
En espérant que ce sera le dernier GN sur Thanos...
Deuxième partie de la trilogie légendaire qui a redéfini le Marvel cosmique. Un poil moins percutant que le précédent volet, ça reste quand même un indispensable. Même Ron Lim n'arrive pas à gâcher le plaisir de la lecture.
La comparaison avec le gant de l’infini est inévitable et malheureusement ce sont les mêmes ficelles, mais en moins bien. C’est tout de même une bonne lecture, mais tout est moins bien amené, la source de la puissance de l’antagoniste révélée tardivement aurait dû être introduite plus tôt, car je me suis souvent demandé comment il pouvait être aussi puissant, à distance en plus, et cela me sortait du récit. De plus, sur la fin la résolution me paraît bien confuse.
Auteurs : Starlin, Lim
Adam Warlock est désormais en possession du Gant de l'Infini. Pour ne pas être corrompu par cette puissance, il confie chacune des six gemmes à des alliés tels que Drax et Gamora. Mais Adam décide également de se séparer du Bien et du Mal qui sont en lui. Ainsi réapparaît son double maléfique Magus,qui n'a d'autre intention que de conquérir l'univers ! Le deuxième volet de la trilogie culte de Jim Starlin et Ron Lim en grand format !
(Contient les épisodes US Infinity War (1992) 1-6, publiés précédemment dans les albums MARVEL EVENTS : INFINITY WAR)
En espérant que ce sera le dernier GN sur Thanos...
Deuxième partie de la trilogie légendaire qui a redéfini le Marvel cosmique. Un poil moins percutant que le précédent volet, ça reste quand même un indispensable. Même Ron Lim n'arrive pas à gâcher le plaisir de la lecture.
La comparaison avec le gant de l’infini est inévitable et malheureusement ce sont les mêmes ficelles, mais en moins bien. C’est tout de même une bonne lecture, mais tout est moins bien amené, la source de la puissance de l’antagoniste révélée tardivement aurait dû être introduite plus tôt, car je me suis souvent demandé comment il pouvait être aussi puissant, à distance en plus, et cela me sortait du récit. De plus, sur la fin la résolution me paraît bien confuse.
Suite et fin de l'incroyable parcours de Grant Morrison qui a bouleversé le monde des mutants. Un très grand classique moderne qui fera grincer beaucoup de dents mais qui aura eu le mérite de secouer la maison X. D'excellents concepts et quelques touches de mauvais goût. Du révolutionnaire. Du contestataire. Du Morrison, quoi
L'un des runs les plus dingues sur les X-Men et nous n'êtes pas au bout de vos surprises avec cette deuxième moitié. Un indispensable.
Bonjour, merci pour votre avis. Mais juste une question ce Run est bien complet en 2 tomes ?
Oui
Auteurs : Morrison, Quitely, Bachalo, Silvestri
Dans ce deuxième tome de la prestation de Grant Morrison, vous assisterez à une révolte au sein de l'Institut de Charles Xavier, suivie d'un étrange homicide sur lequel va enquêter Bishop. Puis, après que Wolverine, Cyclope et Fantomex se soient penchés sur les mystérieuses origines de Logan et sur le programme Arme Plus, un ennemi des X-Men lance une attaque d'envergure sur New-York.
(Contient les épisodes US New X-Men 135-154, publiés précédemment dans les albums MARVEL SELECT: X-MEN 3-4)
Suite et fin de l'incroyable parcours de Grant Morrison qui a bouleversé le monde des mutants. Un très grand classique moderne qui fera grincer beaucoup de dents mais qui aura eu le mérite de secouer la maison X. D'excellents concepts et quelques touches de mauvais goût. Du révolutionnaire. Du contestataire. Du Morrison, quoi
L'un des runs les plus dingues sur les X-Men et nous n'êtes pas au bout de vos surprises avec cette deuxième moitié. Un indispensable.
Bonjour, merci pour votre avis. Mais juste une question ce Run est bien complet en 2 tomes ?
Oui
Duggan continue de creuser son sillon et d'apporter la dose de fun et d'aventures cosmiques que l'on est en droit d'attendre de ce titre. Bref, il retrouve l'esprit de la série, propose une grande saga et réussit là où Bendis s'est planté.
Auteurs : Duggan, Hawthorne, Kuder, Boschi, Reis
Les Novas affrontent les Talons, les Gardiens de la Galaxie confrontent les Doyens de l'Univers et on en découvre davantage sur le passé de Groot, Rocket et Drax. Enfin, les héros recrutent de nouveau un super-héros terrien dans l'équipe !
(Contient les épisodes US All-New Guardians of the Galaxy 7-12, publiés précédemment dans les revues MARVEL UNIVERSE (2017) 5 et MARVEL EPICS 1)
Duggan continue de creuser son sillon et d'apporter la dose de fun et d'aventures cosmiques que l'on est en droit d'attendre de ce titre. Bref, il retrouve l'esprit de la série, propose une grande saga et réussit là où Bendis s'est planté.
Le rythme ne change pas après le tome 1 qui voit l'équipe se former, nous voyageons cette fois à Raveloft et c'est toujours bon
Auteurs : Zub, Daniel
Le groupe de Minsc (et Bouh, son célèbre hamster) est envoyé dans le demi-plan gothique de Ravenloft. Dans le Royaume de la Terreur les aventuriers devront faire face à des hordes de morts-vivants !
(Contient les épisodes US Dungeons & Dragons : Shadow of the Vampire 1-5, inédits)
Le rythme ne change pas après le tome 1 qui voit l'équipe se former, nous voyageons cette fois à Raveloft et c'est toujours bon
Les Champions sont une équipe avec un casting intéressant, un scénariste reconnu et un dessinateur très efficace. Bref, tous les ingrédients du succès sont là. Et pourtant, ça a beau être plaisant, il manque un je ne sais quoi pour que la mayonnaise prenne et pour que le série décolle. Sympathique mais pas mémorable.
Auteurs : Waid, Ramos
Les Champions, l'équipe créée par Miss Marvel, Nova et Miles Morales, doivent faire face à des problèmes familiaux et aux Freelancers. Ils doivent aussi trouver comment réagir alors que le pays est bouleversé par les événements de Secret Empire.
(Contient les épisodes US Champions (2016) 6-12, publiés précédemment dans les revues AVENGERS (2017) 6-12)
Les Champions sont une équipe avec un casting intéressant, un scénariste reconnu et un dessinateur très efficace. Bref, tous les ingrédients du succès sont là. Et pourtant, ça a beau être plaisant, il manque un je ne sais quoi pour que la mayonnaise prenne et pour que le série décolle. Sympathique mais pas mémorable.
Duggan exploite intelligemment le contexte de Secret Empire pour bouleverser encore une fois la vie du mercenaire disert juste avant la fin de sa prestation. Un volume assez sombre et moins porté sur l'humour, pour ma plus grande joie.
Auteurs : Duggan, Hawthorne, Lolli
Après des vacances à l'autre bout de la galaxie, Deadpool revient aux États-Unis tandis que le pays est aux mains de l'Hydra. Mais si Captain America est à la tête du pays, c'est qu'il doit y avoir de bonnes raisons, non ? Wade Wilson fait confiance au meilleur des hommes. Dommage que ce soit au pire moment !
(Contient les épisodes US Deadpool (2016) 25 & 30-36, publiés précédemment dans les revues DEADPOOL (2017) 4, 7-13)
Duggan exploite intelligemment le contexte de Secret Empire pour bouleverser encore une fois la vie du mercenaire disert juste avant la fin de sa prestation. Un volume assez sombre et moins porté sur l'humour, pour ma plus grande joie.
Les alliés de Lord Baltimore revivent leur trouble passé, tandis qu'ils enterrent leurs amis tombés lors du combat contre les forces vampiriques. Pourront-ils découvrir les origines de la sorcière écarlate, avant qu'elle parvienne à réveiller le Roi Rouge, celui qui semble être derrière toutes les misères du monde ? Suivez le parcours de Lord Baltimore dans ce pénultième récit de ses aventures !
Scénaristes
Al Feldstein, Bill Gaines
Dessinateurs
Jack Kamen, Jack Davis, Graham Ingels, Joe Orlando, Wally Wood, George Evans, Reed Crandall
Anthologie de récits à suspense, Shock Suspenstories était un bimestriel publié par le label américain indépendant EC Comics. En 1952, face au succès de ses différentes séries et à la demande croissante des lecteurs, William Gaines décide de lancer un nouveau magazine servant d’introduction aux différents genres abordés par les EC Comics. Chaque numéro comprend une histoire d’horreur, une histoire de science-fiction, une histoire policière et une histoire de guerre. Toutefois, la formule évolue très vite pour remplacer l’histoire de guerre, puis les histoires de SF et d’horreur par une histoire abordant un thème de société souvent extrêmement polémique pour l’époque comme le racisme, la corruption policière, l’autodéfense, la drogue ou le viol. Ces histoires « choc » sont particulièrement marquantes et gardent leur impact et leur audace plus d’un demi-siècle après leur publication.
Ce troisième volume reprend les derniers numéros, soit 24 récits. Il propose des histoires classiques illustrées par des artistes tels que Jack Kamen, Jack Davis, Joe Orlando, Graham Ingels et Wally Wood. Un livret reprenant les couvertures originales est proposé avec l’album.
![[Sorties Comics] Mercredi 24 Avril](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_sorties-comics.jpg)
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
Qu'avez-vous prévu d'acheter ?
![[Sorties Comics] Mercredi 12 Juin](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/img_une_sorties-comics.jpg)
![[Dossier] 10 ans de New 52 : Les oubliés de la VF](https://www.mdcu-comics.fr/upload/news/unes/thumbs/img_une_35477_dossier-10-ans-de-new-52-les-oublies-de-la-vf_1636630341.jpg)
Avis (2)
AfA Staff MDCU
il y a 5 ans
Inévitable, le retour de Steve Rogers marque aussi le début de la fin pour le run Brubaker. L'intérêt de la série finira par décroître au fil des épisodes après ce volume. Ce tome reste appréciable, notamment grâce à une partie graphique de haute volée.
Julien Staff MDCU
il y a 5 ans
Pas ce que Burbaker aura fait de mieux sur le personnage, ça sent un peu le run qui tire en longueur, mais ça reste Brubaker tout de même... et Steve McNiven... et Alan Davis. Oui, si, c'est du bon Captain America !