Scénario: BUCCELLATO Brian,Manapul Francis – Dessin: Manapul Francis
Frappé par la foudre et aspergé de divers produits chimiques, l’agent de police scientifique Barry Allen devient subitement l’homme le plus rapide du monde. Il décide alors de mettre ses pouvoirs extraordinaires au service de la justice, sous l’identité du Flash. Et l’occasion d’éprouver ses nouveaux talents ne se fait pas attendre : le criminel Mob Rule vient tout juste de plonger la ville de Central City dans l’obscurité…
(contenu : Flash #1-8)
Retour gagnant pour Flash avec une nouvelle conception de ses pouvoirs, un mélange réussi de classicisme et de modernité et surtout le découpage ébouriffant et le graphisme si particulier de Manapul, véritable star du titre. Une réédition s'imposait, Urban s'en est chargé. A vous de jouer désormais.
Un véritable renouveau pour ce personnage dont l'absence dans les publications d'Urban l'a hissé au statut de mythe. Des dessins et un scénario portés par le duo Manapul et Buccellato, qui leur ouvriront les portes de la série "Detective Comics", bien après avoir posé de nouvelles bases pour Flash. Une publication qui permet de trouver un point positif à la série TV éponyme... Mais évidemment, Flash en comics, c'est mieux
Lorsque jFrancis Manapul a quitté la série Witchblade, j’espérerais le revoir sur une série plus mainstream. Je suis ravi de le voir sur Flash. Il s'approprie l'univers du héros, et nous offre un dessin léger et extrêmement agréable. Le scénario est exactement dans la même lignée. On ne se prend pas trop la tête, Flash se renouvelle tout en gardant l'esprit pré-New 52, c'est donc une lecture hautement recommandée. D'ailleurs, on se demande bien pourquoi Urban ne l'a pas sorti plus tôt en librairie.
Je connais Flash depuis que je suis enfant, mes premières expériences avec lui ont eu lieu avec la première série TV et la série Justice League mais la première fois que j'ai eu l'occasion de lire des choses sur lui ce fut dans Flashpoint, depuis j'étais comme un dingue dans l'attente qu'Urban nous propose du Flash et maintenant c'est fait ! Et je dois dire que je suis absolument ravi de cette série qui est une pure tuerie :D Je la conseille à toutes les personnes qui aiment le bolide écarlate et l'univers DC Comics ^^ Un scénario au poil qui ne traine pas trop en longueur et conviens à l'homme le plus rapide du monde, les dessins sont tout aussi bon et lui convienne tout aussi bien :D A lire, lire et relire et à posséder :D
#1 à #4 Je me devais absolument lire le début du relaunch de Flash. Barry Allen, scientifique de la police de Central City, a été victime d’un accident mêlant foudre et produit chimique. Il apprend à maîtriser ses nouveaux pouvoirs en portant le costume du justicier surnommé le Flash. Il se retrouve au milieu d’une histoire où est impliqué un vieil ami d’enfance entre clonage et ex-barbouzes de la CIA. Des dessins très beaux et originaux servant un bon scénario. Un cliffhanger monstrueux à la fin du #03 pour une explication à la fin du #04. 4,5/5 #5 La fin de l’arc où Central City est victime d’une panne électrique due aux clones de la Mob Rule. Le Bolide Ecarlate Flash doit sauver la ville et son vieil ami Manuel Lago. Bonne conclusion d l’arc avec l’excellent duo Manapul/Buccellato aux mannettes. 5/5 #6 Avec de nouveaux pouvoirs, le Captain Cold, ennemi juré du Bolide Ecarlate, prépare sa vengeance. Un duo d’artistes toujours bons sur le relaunch du Flash. 5/5 #7 Fin du combat entre le Flash et Captain Cold mais durant la bataille, un trou de ver est formé par la Speed Force et une proche du super héros y disparaît. Il décide alors de la retrouver coûte que coûte. Encore un bon numéro par le duo aux manettes depuis le début du New 52.4,5/5 #8 Flash se retrouve dans la Force Véloce, qui lui donne ses super-pouvoirs, et il apprend qu'il n'y est pas seul ! Ce numéro introduit Turbine, un prisonnier de la Force Véloce qui ne cherche qu'à en sortir, même si ça implique d'échanger sa place avec Flash. Le Flash est toujours enfermé dans la Force de Vélocité avec un pilote US vétéran de la 2nde Guerre Mondiale prisonnier depuis 70 ans. Ce dernier, ayant acquis également un mystérieux pouvoir, délivre une vérité surprenante au Bolide Ecarlate. Le 1st Lieutenant Hynes alias Turbine veut tout comme Flash retourné chez lui. Leur bagarre les entraînera quelque part en Afrique à Gorilla City où Grodd lutte pour le pouvoir. Toujours très beau et divertissant.4,5/5 Urban Comics a souvent été critiqué de ne pas développer les recueils librairie sur le Bolide Écarlate de DC Comics. La chose est désormais réparée en 2015 à l'occasion des 75 ans du Flash né en 1940 sous la houlette de Gardner Fox et Harry Lampert. A cette époque, Flash est campé par Jay Garrick et est habillé de jaune et rouge avec le casque de métal évoquant le dieu Hermès. Le Flash qui nous intéresse ici, et sans doute le plus connu de tous, est Barry Allen, un jeune policier scientifique de Central City victime d'un accident liant foudre et produits chimiques. Il acquiert alors la possibilité de se déplacé grâce à la Force Véloce et devient l'Homme le plus rapide du monde. Il profite de ce talent pour endosser le costume masqué du Flash et rendre justice autant dans sa ville de Central City que sur la planète. En 2011, DC Comics relance/"relaunch" son univers super héroïque avec le New 52 (édité en VF chez Urban sous la collection DC Renaissance). Flash/Barry Allen n'échappe pas à la règle. C'est le duo Brian Buccellato et Francis Manapul qui est chargé par la Distinguée Concurrence de récréer les bases de l'histoire "relaunchée" de l'Homme le plus rapide du monde. Manapul gère également les dessins avec la colorisation de son compère Buccellato. Le duo réussit ce pari d'apporter de la fraîcheur et des traits inédits au Bolide Écarlate de Central City. Le tout est fluide, dynamique et sensationnel avec une exploitation du personnage et de son univers assez hors norme. C'est très beau, fidèle au super-héros rouge et jaune, on en redemande. Ca tombe bien, Urban a déjà prévu les prochains tomes. A noter en bonus, les crayonnés de Francis Manapul, toutes ses couvertures ainsi que les variantes signées Ivan Reis, Greg Capullo et Jim Lee, entre autres... Note globale de 5/5
Frappé par la foudre et aspergé de divers produits chimiques, l’agent de police scientifique Barry Allen devient subitement l’homme le plus rapide du monde. Il décide alors de mettre ses pouvoirs extraordinaires au service de la justice, sous l’identité du Flash. Et l’occasion d’éprouver ses nouveaux talents ne se fait pas attendre : le criminel Mob Rule vient tout juste de plonger la ville de Central City dans l’obscurité…
Ce tome 1 de Flash est en réalité le premier volume qui nous narre les histoires du bolide de DC depuis sa revisite en 2011 lors du New 52. Pour cette nouvelle version du personnages, pas mal de changements sont à noter.
Le scénariste Francis Manapul n'y est pas allé de mains mortes puisque notre ami Flash a développé de nouvelles capacités. Si nous en avons eu qu'un bref aperçu dans ce premier volume, il y a fort à parier qu'il en fera bon usage par la suite. Ainsi, le Super-héros apprend que s'il ne peut pas courir plus vite c'est parce que son cerveau ne suit pas. Cette prise de conscience fait que le personnage est à présent capable de penser plus vite et donc d'anticiper, de voir ce qui va se passer un poil en avance. Autre avancée, le personnage est également capable de faire vibrer les molécules d'objets à présent. Du coup, non seulement Flash traverse la matière (ça, cela ne change pas) mais en plus il peut faire que des objets avec lesquels il est en contact aient cette même caractéristique. De bons points pour le personnage.
Concernant le scénario à proprement parlé, c'est plutôt bon aussi. Une remise en contexte plus que bienvenue nous permet d'apprendre que Flash combat le crime depuis 5 ans et que, du coup, il a déjà croisé une bonne poignée d'adversaires avec, entre autre, Captain Cold et ses Lascars. Pour ce qui est du reste, tout ce qui concerne Flash est bien travaillé. La limitation de ses pouvoirs est plutôt bien trouvé tout comme le principe des failles dans l'espace-temps. Les histoires s'enchaînent bien et il y a une certaine continuité plutôt bien trouvée qui fait que l'on ne passe pas du coq à l'âne. Les personnages de Manuel Lago et de Turbine piquent rapidement notre curiosité mais, bien évidemment, la palme en revient au Captain Cold. Pour ceux qui l'ignorent, ce dernier est l'un des plus grands adversaires de Flash. Le personnage a droit à une petite histoire bien sympathique dans laquelle on a déjà intégré la sœur du vilain. On n'a pas oublié non plus de préciser la différence entre un super-vilain DC et un Lascar à savoir qu'un super-vilain n'a aucune morale, aucune limite, tandis qu'un lascar attaque, vole, s'enfuit, mais ne tue pas. Un autre très bon point. Sa nouvelle capacité donne également un bon petit coup de fouet au personnage. Plus de pistolet, de la glace où on veut, comme on veut, c'est toujours sympa. Concernant le pourquoi du comment, ce n'est pas pour tout de suite, par contre (pour cela, voyez les autres apparitions du vilain notamment dans Forever Evil). Finalement, la seule ombre au tableau concernant ce personnage est que seules quelques pages lui sont consacrées mais il y a fort à parier que ce point sera très rapidement réglé.
Niveau dessin, c'est plutôt impressionnant. Les scènes d'action sont très bien représentées et l'héroïsme de Flash est omniprésent. Il y a un réel travail de la part de Brian Buccellato concernant les déplacements à grande vitesse de Flash qui fait que l'on est jamais perdu. Autrement dit, on parvient à suivre l'intégralité de ses mouvements et donc de l'action, chose qui n'est pas forcément systématique dans cet univers un peu particulier. Le tout est renforcé par un découpage très imaginatif et percutant. Les cases volent très fréquemment en éclat pour laisser place à des doubles pages plus que bienvenues. C'est notamment le cas lorsque nous découvrons les nouvelles capacités de Flash. Une excellente idée. Pour ce qui est des autres personnages, chaque super-vilain est facilement identifiable et les légers changements concernant le costume de Captain Cold ne sont pas mauvais. On notera, par exemple, l'apparition de glace au niveau de ses mains maintenant qu'il n'a plus son pistolet réfrigérant. Un petit détail qui fait toujours plaisir. Enfin, les covers sont efficaces et la colorisation maîtrisée.
Vous l'aurez compris, il n'y a pas grand-chose à jeter dans ce volume de Flash. L'attente aura été longue mais cela en valait la peine.
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