Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires !
C'est parti pour les sorties du 15 mars ! Chez Marvel, on continue de suivre Wolverine et Sins of Sinister dans Immoral X-Men. Chez DC Comics, on a testé Lazarus Planet: Revenge of the Gods et on est retourné voir WildC.A.T.S. et Justice Society of America. Chez Image, on est allé lire l'avant-dernier numéro de l'anthologie Image!
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
Huntress continue son voyage dans le temps et retrouve la JSA actuelle pour avancer dans son enquête et trouver qui a tuer la JSA de son époque. On a des révélations sur la personne et ce n'est pas franchement surprenant. Mais le comment de l'affaire l'est plus. Johns continue doucement de faire avancer son histoire mais c'est long et les retards n'aident pas alors qu'on est sur une mini-série en 6. L'auteur en profite pour faire des références à d'autres numéros de la JSA et se paie le luxe de référencer Lazarus Planet. Graphiquement, c'est très beau mais bon, il vaudrait mieux que ça sorte à l'heure...
L'histoire avance doucement, on en apprend plus sur Per Degaton, le vilain de l'histoire. Comme souvent avec Geoff Johns, c'est assez référencé. On découvre sa relecture de la version Terre 2 de Huntress, ou des origines de Degaton, faisant le lien avec sa création en 1947. Après l'exploration des différents univers, l'auteur semble s'amuser sur le temps, dans la continuité de Flashpoint. Ce numéro est un peu plus posé, mais on a hâte de voir où il veut nous amener.
Un second numéro bien meilleur que le précédent. L’auteur propose un numéro dans une ambiance très Star Trek, qui se révèle cryptique par moments avec quelques surprises qui pimente la lecture. L’aspect SF de cette période fonctionne bien et la caractérisation de Mr. Sinister surprend. Le dessin est plutôt bon et fait le job.
Un second numéro bien meilleur que le précédent. L’auteur propose un numéro dans une ambiance très Star Trek, qui se révèle cryptique par moments avec quelques surprises qui pimente la lecture. L’aspect SF de cette période fonctionne bien et la caractérisation de Mr. Sinister surprend. Le dessin est plutôt bon et fait le job.
Nouvel arc pour Wolverine qui s’attarde sur la traque de Beast. Le personnage est devenu imbuvable, on se demande si la rédemption est possible vu sa direction. Si vous aimez le gore, ainsi que les récits d'espionnage, ce nouvel arc est fait pour vous. Les dessins ont un style réaliste, mais sont très chargés visuellement.
Nouvel arc pour Wolverine qui s’attarde sur la traque de Beast. Le personnage est devenu imbuvable, on se demande si la rédemption est possible vu sa direction. Si vous aimez le gore, ainsi que les récits d'espionnage, ce nouvel arc est fait pour vous. Les dessins ont un style réaliste, mais sont très chargés visuellement.
L’arc approche de sa fin, et même si Grifter n’est plus là, il continue à parasiter l'histoire. Le titre part un peu dans tous les sens et l’histoire devient nébuleuse à suivre. Néanmoins, ça fait plaisir de mettre d’autres personnages Wildstorm en avant. Le style de l’auteur très pop corn à lire propose une lecture agréable, mais sans plus. Quand à Stephen Segovia, il est toujours stable dans ses dessins, même s'il s’occupe moins des décors.
L’arc approche de sa fin, et même si Grifter n’est plus là, il continue à parasiter l'histoire. Le titre part un peu dans tous les sens et l’histoire devient nébuleuse à suivre. Néanmoins, ça fait plaisir de mettre d’autres personnages Wildstorm en avant. Le style de l’auteur très pop corn à lire propose une lecture agréable, mais sans plus. Quand à Stephen Segovia, il est toujours stable dans ses dessins, même s'il s’occupe moins des décors.
Début de cet event post-Lazarus Planet et ce n'est pas incroyable. On voit les dieux vouloir se venger d'avoir été délaissé au profit des héros. Wonder Woman va les voir pour parlementer et c'est tout, en 30 pages, c'est assez peu. On a un back-up centré sur Nubia et les Amazones qui vont devoir faire face à la venue d'un vidéaste maintenant que leur île est à découvert.
Dans les deux histoires, on a un personnage encapuchonné (histoire d'ajouter du mystère....). Pour l'instant, on n'apprend rien de plus que ce que laisse entendre le titre et c'est dommage.
Début de cet event post-Lazarus Planet et ce n'est pas incroyable. On voit les dieux vouloir se venger d'avoir été délaissé au profit des héros. Wonder Woman va les voir pour parlementer et c'est tout, en 30 pages, c'est assez peu. On a un back-up centré sur Nubia et les Amazones qui vont devoir faire face à la venue d'un vidéaste maintenant que leur île est à découvert.
Dans les deux histoires, on a un personnage encapuchonné (histoire d'ajouter du mystère....). Pour l'instant, on n'apprend rien de plus que ce que laisse entendre le titre et c'est dommage.
Avis (2)
BartAllen Staff MDCU
il y a 2 mois
Huntress continue son voyage dans le temps et retrouve la JSA actuelle pour avancer dans son enquête et trouver qui a tuer la JSA de son époque. On a des révélations sur la personne et ce n'est pas franchement surprenant. Mais le comment de l'affaire l'est plus. Johns continue doucement de faire avancer son histoire mais c'est long et les retards n'aident pas alors qu'on est sur une mini-série en 6. L'auteur en profite pour faire des références à d'autres numéros de la JSA et se paie le luxe de référencer Lazarus Planet. Graphiquement, c'est très beau mais bon, il vaudrait mieux que ça sorte à l'heure...
Adrien L. Staff MDCU
il y a 2 mois
L'histoire avance doucement, on en apprend plus sur Per Degaton, le vilain de l'histoire. Comme souvent avec Geoff Johns, c'est assez référencé. On découvre sa relecture de la version Terre 2 de Huntress, ou des origines de Degaton, faisant le lien avec sa création en 1947. Après l'exploration des différents univers, l'auteur semble s'amuser sur le temps, dans la continuité de Flashpoint. Ce numéro est un peu plus posé, mais on a hâte de voir où il veut nous amener.