Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires !
C'est parti pour les sorties du 1er juin! Chez Image, on a testé The Closet, une mini-série de James Tynion IV. Chez DC Comics, on a lu Road to Dark Crisis et Shadow War Omega. Chez Marvel, on a uniquement lu Carnage.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
Bonne conclusion de l’event même si très classique au final. Les personnages sont bien écrits et l’identité du vilain est bien trouvée et cohérente. L’event aurait pu être raccourcie d’un numéro ou deux, mais le récit sera resté divertissant et bien construit jusqu'au bout. Williamson aura réussi à conclure correctement son récit tout en teasant Dark Crisis qui promet de l'épique. Pour les dessins, ils sont bons même si ça n'est pas l'intérêt principal du numéro.
Conclusion du crossover Shadow War avec une grosse scène d'explication et une d'action. On reste dans le classique mais c'est bien écrit et Williamson continue d'utiliser la continuité. Chaque personnage ressort avec une intrigue qui pourra être développée ou non. Il en profite pour caser de la préparation pour Dark Crisis concernant Deathstroke. Il est juste dommage d'avoir 3 dessinateurs sur ce numéro.
Les motivations de Carnage s'éclaircissent avec ce numéro. L’intrigue progresse bien, l’auteur à l'intelligence de ne pas se limiter au schéma imposé par les numéros précédents et de rajouter de l'enjeu à la menace de Carnage. Notamment par des moments de violences qui surprennent grâce aux personnages secondaires bien humains nous aident à nous ancrer dans le récit. Il est par contre dommage de déjà changer de dessinateur, mais la différence se voit presque pas.
Les motivations de Carnage s'éclaircissent avec ce numéro. L’intrigue progresse bien, l’auteur à l'intelligence de ne pas se limiter au schéma imposé par les numéros précédents et de rajouter de l'enjeu à la menace de Carnage. Notamment par des moments de violences qui surprennent grâce aux personnages secondaires bien humains nous aident à nous ancrer dans le récit. Il est par contre dommage de déjà changer de dessinateur, mais la différence se voit presque pas.
James Tynion IV débute une série en trois parties. Si le pitch n'est pas encore clair, l'auteur nous livre une histoire d'horreur avec un monstre dans le placard. Le problème c'est qu'il prend son temps pour installer les personnages et arrivé à la moitié, on enchaîne sur une scène angoissante pour la fille de la famille. Reste à savoir si c'est son imagination ou non. Graphiquement, Gavin Fullerton a un style bien sombre qui aide à cette ambiance.
James Tynion IV débute une série en trois parties. Si le pitch n'est pas encore clair, l'auteur nous livre une histoire d'horreur avec un monstre dans le placard. Le problème c'est qu'il prend son temps pour installer les personnages et arrivé à la moitié, on enchaîne sur une scène angoissante pour la fille de la famille. Reste à savoir si c'est son imagination ou non. Graphiquement, Gavin Fullerton a un style bien sombre qui aide à cette ambiance.
Dernier prélude avant le début des hostilités. Une anthologie avec différents récits pour nous présenter les réactions à la mort de la ligue pour un résultat mitigé. Les idées sont bonnes, mais il manque quelque chose de captivant pour être pris dedans, malgré 1-2 histoires intéressantes, mais sans plus. Pareille pour la partie graphique, la qualité est très variable avec des rendus différents qui ne convainquent pas tout le temps.
On a ici l'ultime prélude à Dark Crisis qui regroupe plusieurs récits courts sur les héros et vilains que l'on verra bien en avant dans Dark Crisis. Les deux premières histoires sont très sympathiques et permettent de mettre en avant les différences entre les générations par rapport à la disparition de la Justice League, les suivantes sont moins prenantes. On a du mal à ressentir quoi que ce soit pour Pariah malgré le récit sur sa famille, et la dernière partie sur Nocturna n'est pas une surprise vu les différents visuels qu'on avait déjà eu.
Dernier prélude avant le début des hostilités. Une anthologie avec différents récits pour nous présenter les réactions à la mort de la ligue pour un résultat mitigé. Les idées sont bonnes, mais il manque quelque chose de captivant pour être pris dedans, malgré 1-2 histoires intéressantes, mais sans plus. Pareille pour la partie graphique, la qualité est très variable avec des rendus différents qui ne convainquent pas tout le temps.
On a ici l'ultime prélude à Dark Crisis qui regroupe plusieurs récits courts sur les héros et vilains que l'on verra bien en avant dans Dark Crisis. Les deux premières histoires sont très sympathiques et permettent de mettre en avant les différences entre les générations par rapport à la disparition de la Justice League, les suivantes sont moins prenantes. On a du mal à ressentir quoi que ce soit pour Pariah malgré le récit sur sa famille, et la dernière partie sur Nocturna n'est pas une surprise vu les différents visuels qu'on avait déjà eu.
Avis (2)
Uraphire Staff MDCU
il y a 3 ans
Bonne conclusion de l’event même si très classique au final. Les personnages sont bien écrits et l’identité du vilain est bien trouvée et cohérente. L’event aurait pu être raccourcie d’un numéro ou deux, mais le récit sera resté divertissant et bien construit jusqu'au bout. Williamson aura réussi à conclure correctement son récit tout en teasant Dark Crisis qui promet de l'épique. Pour les dessins, ils sont bons même si ça n'est pas l'intérêt principal du numéro.
BartAllen Staff MDCU
il y a 3 ans
Conclusion du crossover Shadow War avec une grosse scène d'explication et une d'action. On reste dans le classique mais c'est bien écrit et Williamson continue d'utiliser la continuité. Chaque personnage ressort avec une intrigue qui pourra être développée ou non. Il en profite pour caser de la préparation pour Dark Crisis concernant Deathstroke. Il est juste dommage d'avoir 3 dessinateurs sur ce numéro.