Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires !
C'est parti pour les sorties du 27 avril ! Chez DC Comics, c'est la fin de Justice League et de Trial of the Amazons et on continue de lire Shadow War dans Deathstroke Inc. Chez Marvel, on a testé la relance de Amazing Spider-Man et Knights of X et on poursuit la lecture de Punisher, Silk et Marauders. Chez Boom!, on approche de la conclusion de Power Rangers Universe. Chez IDW, on a lu la suite du crossover Godzilla/Power Rangers.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
Nouvelle conclusion de crossover qui déçoit un peu. La menace renvoie à un élément un peu oublié de la série Wonder Woman qui est déstabilisant et semble un peu hors-sujet. Sans compter que la résolution de la menace est floue. Toutefois, ça augure du changement pour les Amazones en continuant la construction de Nubia et nous gratifie d'une rencontre réussie entre Diana et Yara. Aussi, malgré les différents dessinateurs attelés au numéro, cela reste très joli visuellement à voir. Au final, le crossover aurait été sympa pour mettre dignement en avant l’univers de Wonder Woman et donner envie d’en voir plus.
Un final assez convenu, mais ce n'est pas forcément une surprise. L'intérêt principal de ce crossover était de se faire rencontrer les différentes tribu, et d'unir le peuple des amazones autour d'une commune, et dans ce sens, c'est une réussite. Et également de redonner une dynamique à la franchise Wonder Woman, ce qui je pense est également une réussite. Si la menace globale reste un peu décevante, et si quelques éléments restent un peu flous et semblent peu cohérents (la mort d'Hippolyte ?), les interactions entre les différents personnages fonctionne bien et l'ensemble est plutôt bien écrit et dessiné, malgré le nombre important de créateurs sur ce crossover.
La relance du Punisher continue son chemin en développant le nouveau rôle de Frank Castle de façon réussie. Même si la raison derrière son basculement est étrange, plus cette volonté de recton autour de la jeunesse du personnage qui n'est pas nécessaire. On reste dans un numéro qui donne envie de lire la suite. On a des scènes sanglantes magnifiées par Jesus Saiz, le développement du rôle du Punisher propose des éléments intéressants à suivre et ça fait plaisir de revoir un Jason Aaron plus régulier en qualité.
Un second numéro un peu moins convaincant que le premier pour moi, mais qui continue tout de même d'installer une aura mystérieuse très intéressante autour de cette nouvelle version du Punisher. On a envie de tout savoir tout de suite, et c'est sans doute ce qui est frustrant, mais qui n'est en rien un défaut du récit. Jesus Saiz est toujours un plaisir pour les yeux.
La relance du Punisher continue son chemin en développant le nouveau rôle de Frank Castle de façon réussie. Même si la raison derrière son basculement est étrange, plus cette volonté de recton autour de la jeunesse du personnage qui n'est pas nécessaire. On reste dans un numéro qui donne envie de lire la suite. On a des scènes sanglantes magnifiées par Jesus Saiz, le développement du rôle du Punisher propose des éléments intéressants à suivre et ça fait plaisir de revoir un Jason Aaron plus régulier en qualité.
Un second numéro un peu moins convaincant que le premier pour moi, mais qui continue tout de même d'installer une aura mystérieuse très intéressante autour de cette nouvelle version du Punisher. On a envie de tout savoir tout de suite, et c'est sans doute ce qui est frustrant, mais qui n'est en rien un défaut du récit. Jesus Saiz est toujours un plaisir pour les yeux.
On a le gros combat que l'on attendait maintenant que les personnages ont enfin des morphers fonctionnels. Cela prend un bonne partie de l'histoire et on a une grosse révélation concernant l'ennemi qu'ils affrontaient. On a ensuite un discussion très tendue et qui tourne mal entre les protagonistes et la fin permet l'apparition d'un personnage que l'on connait et déjà vu mais cette fois sous sa véritable forme.
On a le gros combat que l'on attendait maintenant que les personnages ont enfin des morphers fonctionnels. Cela prend un bonne partie de l'histoire et on a une grosse révélation concernant l'ennemi qu'ils affrontaient. On a ensuite un discussion très tendue et qui tourne mal entre les protagonistes et la fin permet l'apparition d'un personnage que l'on connait et déjà vu mais cette fois sous sa véritable forme.
Nouveau relaunch pour le titre avec des élans de déjà vu et de déception. En soit ce premier numéro n’est pas mauvais, il est empli de mystère qui intrigue, l’auteur donne une bonne vision du monde criminel et rend ses différents protagonistes intéressants à suivre. Même Romita JR qui était dégueulasse sur ses derniers numéros chez DC propose de bien meilleurs dessins, ses personnages ont de bonnes proportions et on retrouve un petit peu son niveau d'antan. Mais c’est ce retour à un Peter Parker seul et sans chance, d’un niveau abusée qui devient épuisant à force. Surtout concernant la relation MJ et Peter avec ce cliffhanger qui risque de faire rouler les yeux des lecteurs servant surtout à pousser aux lecteurs de lire la suite. Si je ne suis pas le plus grand fan de Nick Spencer, son run avait le mérite de vouloir faire évoluer le personnage ce qui ne semble pas le cas ici. Bref, un numéro un que je ne recommande pas.
Une relance de Spider-man qui, comme je l'attendais, fait un joli flop tellement ce premier numéro est médiocre dans tous les sens. L'intrigue autour de la pègre a du mal à intéresser pour le moment et les twists et surprises du numéro sont assez maladroits et ne passent pas très bien. Mais surtout, c'est moche. Je sais que c'est facile de taper sur Romita, mais moi j'y arrive pas. J'y ai jeté un oeil par curiosité, je ne suis pas du tout sûr de continuer.
Nouveau relaunch pour le titre avec des élans de déjà vu et de déception. En soit ce premier numéro n’est pas mauvais, il est empli de mystère qui intrigue, l’auteur donne une bonne vision du monde criminel et rend ses différents protagonistes intéressants à suivre. Même Romita JR qui était dégueulasse sur ses derniers numéros chez DC propose de bien meilleurs dessins, ses personnages ont de bonnes proportions et on retrouve un petit peu son niveau d'antan. Mais c’est ce retour à un Peter Parker seul et sans chance, d’un niveau abusée qui devient épuisant à force. Surtout concernant la relation MJ et Peter avec ce cliffhanger qui risque de faire rouler les yeux des lecteurs servant surtout à pousser aux lecteurs de lire la suite. Si je ne suis pas le plus grand fan de Nick Spencer, son run avait le mérite de vouloir faire évoluer le personnage ce qui ne semble pas le cas ici. Bref, un numéro un que je ne recommande pas.
Une relance de Spider-man qui, comme je l'attendais, fait un joli flop tellement ce premier numéro est médiocre dans tous les sens. L'intrigue autour de la pègre a du mal à intéresser pour le moment et les twists et surprises du numéro sont assez maladroits et ne passent pas très bien. Mais surtout, c'est moche. Je sais que c'est facile de taper sur Romita, mais moi j'y arrive pas. J'y ai jeté un oeil par curiosité, je ne suis pas du tout sûr de continuer.
Relance de l'ancienne équipe Excalibur, avec un nouveau roster et une nouvelle mission. On conserve l'ambiance de la série et ses personnages majeurs. L'intégration des nouvelles recrues est plutôt intelligente, et l'équipe se présente comme assez surprenante et originale. En espérant que les intrigues soient à la hauteur par la suite.
Relance de l'ancienne équipe Excalibur, avec un nouveau roster et une nouvelle mission. On conserve l'ambiance de la série et ses personnages majeurs. L'intégration des nouvelles recrues est plutôt intelligente, et l'équipe se présente comme assez surprenante et originale. En espérant que les intrigues soient à la hauteur par la suite.
Conclusion de la série Justice League avec l'arrivée de Williamson qui continue son installation de Dark Crisis. On reprend la suite de Justice League Incarnate et les héros téléportent des membres de la League pour les aider à combattre la menace de The Great Darkness et Pariah. On a essentiellement une grosse scène de baston avec quelques révélations mais l'issue n'est pas une surprise. Cela n'empêche pas Williamson de bien raconter son histoire et on a hâte de voir ce qu'il se passera dans le one-shot Road to Dark Crisis et le FCBD de la semaine prochaine.
Ultime numéro continuant la construction de Dark Crisis avec une étape importante, ce qui n’enlève toutefois pas l’aspect décevant de l'histoire. Le numéro est prévisible, sans grande surprise et on n'apprend rien de nouveau. Les bases de l'event sont déjà posées depuis un moment et n'ont pas évolué. Alors, Il y a quelques bons moments de caractérisation et ça fait plaisir d’avoir un numéro décent après le run de Bendis. Sauf que ça n’enlève pas le manque de sentiment d'importance que devrait avoir ce numéro. Là, ça sert juste à montrer son baroud d'honneur sans nous en apprendre plus en particulier, on nous montre la mort de l’équipe et c’est tout. Heureusement, Rafa Sandoval ne déçoit pas en réussissant les quelques scènes épiques, même si les cheveux de ses personnages ressemblent plus à des tas qu'autre chose. Bref, reste plus qu’à découvrir Dark Crisis en espérant que le traitement de ce monde sans la Justice League soit plus réussi que ce numéro.
Un numéro qui va droit au but et qui ne s'embarrasse pas à essayer de construire quelque chose. La Justice League est là, POUF, elle est plus là. On a quelques liens intéressants avec tout le run de Williamson sur Infinite Frontier et Justice League Incarnate, mais ça reste mince. En soi, pourquoi pas, c'est pas plus dérangeant que ça et le numéro reste assez épique en soi. Par contre, j'ai un peu de mal avec les enjeux de cette crise, qui ne me semblent pas assez clairs et ne justifient pas pour le moment qu'on parle de crise, justement. C'est un prologue un peu bourrin qui lance les choses, voyons la suite.
Conclusion de la série Justice League avec l'arrivée de Williamson qui continue son installation de Dark Crisis. On reprend la suite de Justice League Incarnate et les héros téléportent des membres de la League pour les aider à combattre la menace de The Great Darkness et Pariah. On a essentiellement une grosse scène de baston avec quelques révélations mais l'issue n'est pas une surprise. Cela n'empêche pas Williamson de bien raconter son histoire et on a hâte de voir ce qu'il se passera dans le one-shot Road to Dark Crisis et le FCBD de la semaine prochaine.
Ultime numéro continuant la construction de Dark Crisis avec une étape importante, ce qui n’enlève toutefois pas l’aspect décevant de l'histoire. Le numéro est prévisible, sans grande surprise et on n'apprend rien de nouveau. Les bases de l'event sont déjà posées depuis un moment et n'ont pas évolué. Alors, Il y a quelques bons moments de caractérisation et ça fait plaisir d’avoir un numéro décent après le run de Bendis. Sauf que ça n’enlève pas le manque de sentiment d'importance que devrait avoir ce numéro. Là, ça sert juste à montrer son baroud d'honneur sans nous en apprendre plus en particulier, on nous montre la mort de l’équipe et c’est tout. Heureusement, Rafa Sandoval ne déçoit pas en réussissant les quelques scènes épiques, même si les cheveux de ses personnages ressemblent plus à des tas qu'autre chose. Bref, reste plus qu’à découvrir Dark Crisis en espérant que le traitement de ce monde sans la Justice League soit plus réussi que ce numéro.
Un numéro qui va droit au but et qui ne s'embarrasse pas à essayer de construire quelque chose. La Justice League est là, POUF, elle est plus là. On a quelques liens intéressants avec tout le run de Williamson sur Infinite Frontier et Justice League Incarnate, mais ça reste mince. En soi, pourquoi pas, c'est pas plus dérangeant que ça et le numéro reste assez épique en soi. Par contre, j'ai un peu de mal avec les enjeux de cette crise, qui ne me semblent pas assez clairs et ne justifient pas pour le moment qu'on parle de crise, justement. C'est un prologue un peu bourrin qui lance les choses, voyons la suite.
Les choses continuent d'avancer pour Deathstroke principalement. On découvre où il a été se cacher le temps de trouver l'imposteur. De son côté, Batman se retrouve face à Talia et certains membre de son équipe. Enfin, le cliffhanger concerne Robin et Ravager vu que la prochaine partie concerne sa série. Bref, le numéro se lit très vite, heureusement qu'on a deux parties cette semaine. Graphiquement, Paolo Pantanela ne signe pas un travail incroyable, c'est très cartoony et c'est dommage vu l'ambiance qu'il y a dans l'histoire.
Les choses continuent d'avancer pour Deathstroke principalement. On découvre où il a été se cacher le temps de trouver l'imposteur. De son côté, Batman se retrouve face à Talia et certains membre de son équipe. Enfin, le cliffhanger concerne Robin et Ravager vu que la prochaine partie concerne sa série. Bref, le numéro se lit très vite, heureusement qu'on a deux parties cette semaine. Graphiquement, Paolo Pantanela ne signe pas un travail incroyable, c'est très cartoony et c'est dommage vu l'ambiance qu'il y a dans l'histoire.
Un numéro où l'on voit plus les rangers et le mégazord vu qu'il a affrontement avec Godzilla et on peut dire que le monstre en a dans le ventre. Les choses tournent donc mal pour les Rangers mais aussi pour le monstre grâce aux machinations de Rita. La fin du numéro laisse le Mégazord en bien mauvaise posture, mais dommage que le numéro se lise si vite.
Un numéro où l'on voit plus les rangers et le mégazord vu qu'il a affrontement avec Godzilla et on peut dire que le monstre en a dans le ventre. Les choses tournent donc mal pour les Rangers mais aussi pour le monstre grâce aux machinations de Rita. La fin du numéro laisse le Mégazord en bien mauvaise posture, mais dommage que le numéro se lise si vite.
Avis (2)
Uraphire Staff MDCU
il y a 3 ans
Nouvelle conclusion de crossover qui déçoit un peu. La menace renvoie à un élément un peu oublié de la série Wonder Woman qui est déstabilisant et semble un peu hors-sujet. Sans compter que la résolution de la menace est floue. Toutefois, ça augure du changement pour les Amazones en continuant la construction de Nubia et nous gratifie d'une rencontre réussie entre Diana et Yara. Aussi, malgré les différents dessinateurs attelés au numéro, cela reste très joli visuellement à voir. Au final, le crossover aurait été sympa pour mettre dignement en avant l’univers de Wonder Woman et donner envie d’en voir plus.
Julien Staff MDCU
il y a 3 ans
Un final assez convenu, mais ce n'est pas forcément une surprise. L'intérêt principal de ce crossover était de se faire rencontrer les différentes tribu, et d'unir le peuple des amazones autour d'une commune, et dans ce sens, c'est une réussite. Et également de redonner une dynamique à la franchise Wonder Woman, ce qui je pense est également une réussite. Si la menace globale reste un peu décevante, et si quelques éléments restent un peu flous et semblent peu cohérents (la mort d'Hippolyte ?), les interactions entre les différents personnages fonctionne bien et l'ensemble est plutôt bien écrit et dessiné, malgré le nombre important de créateurs sur ce crossover.