Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires !
C'est parti pour les sorties du 16 février ! Chez DC Comics, pas mal de choses avec la suite de Justice League, Supergirl, Wonder Woman, Nubia, Batman: The Knight, Green Lantern et Flash ainsi que la conclusion de Aquaman: the Becoming. Chez Boom Studios, c'est la fin du crossover The Eltarian War dans Power Rangers et chez Image, on a lu la conclusion de Primordial et la suite de A Righteous Thirst for Vengeance. Chez Marvel, on continue de suivre Venom.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
L’arc touche enfin à sa fin et il le fait bien. C’est le numéro des caméos dans une ambiance catastrophe et épique bien gérée. L’auteur connaît bien l’univers DC et l’utilise à bon escient pour proposer une issue satisfaisante. Reste à voir comment la série va se conclure, la fin étant nébuleuse sur ce qu’elle signifie.
Pas de nouvelles de Green Lantern qui semble annulée après son 12ème numéro. On a ici la conclusion de l'arc principal de la série. On a pas mal de référence à l'univers DC, mais au final c'est pas plus mal que la série disparaisse, car on a pas vu des masses de Green Lantern à part les back-up sur Jo Mullein soit 8 pages par numéro. On a quand même ici une bataille très épique et espérons que cela ramènera l'univers de Green Lantern de l'époque Johns vu tout ce qui est référencé. Graphiquement, c'est pas la joie non plus malheureusement,
Fin du 1er arc et la série continue d’être explosif. Le numéro est brillant en terme de narration écrite et visuelle. C’est prenant, la tension est palpable tout au long du numéro et la délivrance n’arrive qu’à la toute dernière page. Le seul reproche qu'on pourrait faire, c'est le style graphique qui n'est pas toujours consistant.
Fin du 1er arc et la série continue d’être explosif. Le numéro est brillant en terme de narration écrite et visuelle. C’est prenant, la tension est palpable tout au long du numéro et la délivrance n’arrive qu’à la toute dernière page. Le seul reproche qu'on pourrait faire, c'est le style graphique qui n'est pas toujours consistant.
Un numéro important qui marque le retour d’Ewing au scénario, ainsi que le numéro qui apporte les premières révélations sur ce qui arrive à Eddie et des machinations de Meridius. L’auteur apporte une nouvelle dimension au titre King in Black, et apporte des réponses qui permettent de revoir les numéros précédents sous un autre angle. L'écriture d'Ewing est toujours aussi captivante à suivre et Meridius s'impose comme un ennemi mystérieux et redoutable. Bryan Hitch sur certaines planches, c'est sublime, mais des fois non.
Un numéro important qui marque le retour d’Ewing au scénario, ainsi que le numéro qui apporte les premières révélations sur ce qui arrive à Eddie et des machinations de Meridius. L’auteur apporte une nouvelle dimension au titre King in Black, et apporte des réponses qui permettent de revoir les numéros précédents sous un autre angle. L'écriture d'Ewing est toujours aussi captivante à suivre et Meridius s'impose comme un ennemi mystérieux et redoutable. Bryan Hitch sur certaines planches, c'est sublime, mais des fois non.
Dernier arc de la JL par Bendis et c’est un soulagement de le savoir bientôt partir, tant son run se sera révélé décevant alors qu’il partait bien. C’est donc un début d’arc dans le même ton que les arcs précédents. On a une menace qui est une création de Bendis et des dialogues qui ne sont pas naturels. Le numéro a très peu d’intérêt.
Les dessins relèvent le niveau même s'ils offrent un contraste de styles trop important. Szymon Kudranski ayant un style plus sombre (au sens littéral) et plus adulte, et Emanuela avec un style plus coloré et comics.
Début du dernier arc de Bendis sur la Justice League et c'est au niveau du reste : pas incroyable. On a une situation de départ et tout vrille super vite sans qu'on comprenne pourquoi. Les dialogues sont toujours pas ça. On a une menace qui pourrait être importante mais elle arrive trop vite et de toute façon l'arc ne fait que 3 parties. Graphiquement, on a deux artistes très différents mais globalement, chacun à sa partie, Lupacchino sur la partie JL et Kudranski sur la partie JL Dark
Dernier arc de la JL par Bendis et c’est un soulagement de le savoir bientôt partir, tant son run se sera révélé décevant alors qu’il partait bien. C’est donc un début d’arc dans le même ton que les arcs précédents. On a une menace qui est une création de Bendis et des dialogues qui ne sont pas naturels. Le numéro a très peu d’intérêt.
Les dessins relèvent le niveau même s'ils offrent un contraste de styles trop important. Szymon Kudranski ayant un style plus sombre (au sens littéral) et plus adulte, et Emanuela avec un style plus coloré et comics.
Début du dernier arc de Bendis sur la Justice League et c'est au niveau du reste : pas incroyable. On a une situation de départ et tout vrille super vite sans qu'on comprenne pourquoi. Les dialogues sont toujours pas ça. On a une menace qui pourrait être importante mais elle arrive trop vite et de toute façon l'arc ne fait que 3 parties. Graphiquement, on a deux artistes très différents mais globalement, chacun à sa partie, Lupacchino sur la partie JL et Kudranski sur la partie JL Dark
Un superbe numéro pour conclure cette non moins superbe série de King et Evely. Le face à face tant attendu a lieu, et l'écriture du scénariste rend le moment encore plus marquant et rempli d'émotions. On a droit à une vraie belle fin pour ce voyage épique et à une vraie conclusion pour les personnages, avec un twist final assez cynique et jouissif. Tous les numéros n'auront pas forcément été au même niveau, avec des parties un poil barbantes, mais on finit comme on a commencé, avec un petit bijou entre les mains, magnifié par les incroyables dessins de la talentueuse Bilquis Evely.
Un superbe numéro pour conclure cette non moins superbe série de King et Evely. Le face à face tant attendu a lieu, et l'écriture du scénariste rend le moment encore plus marquant et rempli d'émotions. On a droit à une vraie belle fin pour ce voyage épique et à une vraie conclusion pour les personnages, avec un twist final assez cynique et jouissif. Tous les numéros n'auront pas forcément été au même niveau, avec des parties un poil barbantes, mais on finit comme on a commencé, avec un petit bijou entre les mains, magnifié par les incroyables dessins de la talentueuse Bilquis Evely.
Une conclusion d'arc plutôt attendue, mais qui place tout de même quelques petites surprises au passage. Les combats sont plutôt chouettes, et les dessins de Marcio Takara sont vraiment bons. Les pièces du puzzle se mettent en place, notamment dans le back-up toujours aussi intéressant, et tout est prêt pour un Trial of the Amazons qui fait envie.
Une conclusion d'arc plutôt attendue, mais qui place tout de même quelques petites surprises au passage. Les combats sont plutôt chouettes, et les dessins de Marcio Takara sont vraiment bons. Les pièces du puzzle se mettent en place, notamment dans le back-up toujours aussi intéressant, et tout est prêt pour un Trial of the Amazons qui fait envie.
Batman qui débute sa formation à Paris aux côté d'une voleuse qui le prend sous son aile, on ne peut s'empêcher de trouver ça assez cliché. Pour autant, c'est de qualité, toujours très bien écrit par Chip Zdarsky, qui réussit à faire quelque chose de frais avec Bruce Wayne, et dieu sait que ce n'est pas simple. Mais une vraie fatigue autour de Batman m'empêche de vraiment me passioner pour cette série. Et ce n'est pas le style graphique de Di Giandomenico qui réussira à me convaincre d'avantage.
Batman qui débute sa formation à Paris aux côté d'une voleuse qui le prend sous son aile, on ne peut s'empêcher de trouver ça assez cliché. Pour autant, c'est de qualité, toujours très bien écrit par Chip Zdarsky, qui réussit à faire quelque chose de frais avec Bruce Wayne, et dieu sait que ce n'est pas simple. Mais une vraie fatigue autour de Batman m'empêche de vraiment me passioner pour cette série. Et ce n'est pas le style graphique de Di Giandomenico qui réussira à me convaincre d'avantage.
Après un ou deux premiers numéros un peu barbants, la série est vraiment devenue agréable à suivre et intéressante avec cette intrigue autour de Medusa et du puits des âmes. On s'intéresse également à d'autres amazones moins connues, et aux rouages internes de Themyscira, alors que Nubia tente d'imposer sa patte en tant que Reine. Une chouette lecture pour les fans de la franchise Wonder Woman, et un bon prélude au crossover qui arrive.
Après un ou deux premiers numéros un peu barbants, la série est vraiment devenue agréable à suivre et intéressante avec cette intrigue autour de Medusa et du puits des âmes. On s'intéresse également à d'autres amazones moins connues, et aux rouages internes de Themyscira, alors que Nubia tente d'imposer sa patte en tant que Reine. Une chouette lecture pour les fans de la franchise Wonder Woman, et un bon prélude au crossover qui arrive.
On pourra trouver la conclusion un peu hâtif et classique, mais les événements et l’action reste toujours qualitatif à suivre. L’auteur se paye le luxe de proposer une conclusion surprenante, mais dont il faudra attendre 2 mois avant d’avoir des réponses. C'est dommage par contre de ne pas avoir gardé un dessinateur unique, offrant des changements de styles pas toujours bien placés.
On pourra trouver la conclusion un peu hâtif et classique, mais les événements et l’action reste toujours qualitatif à suivre. L’auteur se paye le luxe de proposer une conclusion surprenante, mais dont il faudra attendre 2 mois avant d’avoir des réponses. C'est dommage par contre de ne pas avoir gardé un dessinateur unique, offrant des changements de styles pas toujours bien placés.
Conclusion de cette mini-série bourrée d'action et de confrontations intéressantes entre les personnages. Si jamais du mal à m'intéresser au personnage avant de me lancer dans cette mini, c'est déjà un peu mieux après. La mythologie du personnage et de la franchise prennent encore un peu d'epaisseur, avec de nouveaux personnages et de nouvelles intrigues, et je suis plutôt curieux de lire Aquamen. On n'est pas toujours sur du haut niveau en termes d'écriture et de dessins, mais l'ensemble reste divertissant, et m'a au final agréablement surpris.
Conclusion de cette mini-série bourrée d'action et de confrontations intéressantes entre les personnages. Si jamais du mal à m'intéresser au personnage avant de me lancer dans cette mini, c'est déjà un peu mieux après. La mythologie du personnage et de la franchise prennent encore un peu d'epaisseur, avec de nouveaux personnages et de nouvelles intrigues, et je suis plutôt curieux de lire Aquamen. On n'est pas toujours sur du haut niveau en termes d'écriture et de dessins, mais l'ensemble reste divertissant, et m'a au final agréablement surpris.
Conclusion du crossover the Eltarian War, ou pluôt épilogue car les menaces ont été vaincues dans le Mighty Morphin de la semaine dernière. Ici on traite les conséquences avec l'avenir de Zordon mal en point après le combat contre Zartus, on fait le point sur la mission des Omega Rangers maintenant que la menace de l'Empyreal est terminée, on voit ce que choisit de faire de le dernier Emissaire et même Lord Z et son équipe ont droit à leur nouvelle direction. Ca permet de se poser après les gros combats. Reste à savoir vers quoi iront les Mighty Morphin maintenant.
Conclusion du crossover the Eltarian War, ou pluôt épilogue car les menaces ont été vaincues dans le Mighty Morphin de la semaine dernière. Ici on traite les conséquences avec l'avenir de Zordon mal en point après le combat contre Zartus, on fait le point sur la mission des Omega Rangers maintenant que la menace de l'Empyreal est terminée, on voit ce que choisit de faire de le dernier Emissaire et même Lord Z et son équipe ont droit à leur nouvelle direction. Ca permet de se poser après les gros combats. Reste à savoir vers quoi iront les Mighty Morphin maintenant.
Conclusion de la mini-série avec une fin à laquelle on s'attendait au final. Peut-être que le format mensuel n'était pas fait pour elle. Je pense qu'en relisant tout d'une traite, la série sera bien plus appréciable car là c'est très compliqué à juger pour une fin. Graphiquement, Sorrentino fait toujours des merveilles.
Conclusion de la mini-série avec une fin à laquelle on s'attendait au final. Peut-être que le format mensuel n'était pas fait pour elle. Je pense qu'en relisant tout d'une traite, la série sera bien plus appréciable car là c'est très compliqué à juger pour une fin. Graphiquement, Sorrentino fait toujours des merveilles.
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Avis (2)
Uraphire Staff MDCU
il y a 3 ans
L’arc touche enfin à sa fin et il le fait bien. C’est le numéro des caméos dans une ambiance catastrophe et épique bien gérée. L’auteur connaît bien l’univers DC et l’utilise à bon escient pour proposer une issue satisfaisante. Reste à voir comment la série va se conclure, la fin étant nébuleuse sur ce qu’elle signifie.
BartAllen Staff MDCU
il y a 3 ans
Pas de nouvelles de Green Lantern qui semble annulée après son 12ème numéro. On a ici la conclusion de l'arc principal de la série. On a pas mal de référence à l'univers DC, mais au final c'est pas plus mal que la série disparaisse, car on a pas vu des masses de Green Lantern à part les back-up sur Jo Mullein soit 8 pages par numéro. On a quand même ici une bataille très épique et espérons que cela ramènera l'univers de Green Lantern de l'époque Johns vu tout ce qui est référencé. Graphiquement, c'est pas la joie non plus malheureusement,