Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires !
C'est parti pour les sorties du 9 février ! Chez Marvel, on poursuit la lecture de l'event Devil's Reign et de New Mutants. Chez Dark Horse, c'est No One Left to Fight II qui nous a attiré. Chez DC Comics, c'est une grosse semaine mais une semaine plutôt décevante avec le one-shot Strange Love Adventures, l'annual de Justice League et la suite des séries Black Manta, Batman/Catwoman et Detective Comics.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
L'histoire continue son chemin d'event classique, mais bien réalisé. Certains choix des personnages attirent l'attention et l'auteur continue à proposer de bons dialogues. Zdarsky gère bien les différentes intrigues, par contre on a plus l'impression de lire un arc de Daredevil qu'un event Marvel tant les intrigues de Daredevil continue et ne parleront qu'à ceux qui auront le run de Zdarsky. Les dessins restent sublimes, malgré une baisse de régime sur certaines pages, Checchetto propose des scènes réussies comme la toute dernière page. Renouvelant l'histoire pour une fin moins prévisible que prévue.
Fin de l'histoire (?) qui finit comme elle a commencé, en faisant hommage à l'esprit Dragon Ball. C'est la baston attendue entre les 2 protagonistes, et l'esprit Shonen est présent. Si c'est super bien dessinée par Fico Ossio avec ses aspirations mangas. Il reste un goût d'inachevé avec la fin de ce numéro.
Fin de l'histoire (?) qui finit comme elle a commencé, en faisant hommage à l'esprit Dragon Ball. C'est la baston attendue entre les 2 protagonistes, et l'esprit Shonen est présent. Si c'est super bien dessinée par Fico Ossio avec ses aspirations mangas. Il reste un goût d'inachevé avec la fin de ce numéro.
Une petite baisse de régime dans l'histoire notamment parce qu'on pas mal de redite de l'épisode précédent avec le point de vue du Dr Meridian. On continue de voir que tout n'est pas normal, et que les héros cherchent ce qui ne va pas. A ce stade, c'est dommage qu'on en sache beaucoup plus qu'eux, notamment avec les agissements d'un certain pirate. Le back up avance aussi, et le héros se rend compte de quelque chose qu'il est le seul à remarquer, ce qui interpelle. A voir comment cela avancera ensuite.
Une petite baisse de régime dans l'histoire notamment parce qu'on pas mal de redite de l'épisode précédent avec le point de vue du Dr Meridian. On continue de voir que tout n'est pas normal, et que les héros cherchent ce qui ne va pas. A ce stade, c'est dommage qu'on en sache beaucoup plus qu'eux, notamment avec les agissements d'un certain pirate. Le back up avance aussi, et le héros se rend compte de quelque chose qu'il est le seul à remarquer, ce qui interpelle. A voir comment cela avancera ensuite.
Conclusion de la première année d'Ayala sur le titre. On fait le bilan avec ses personnages et on prend en compte les conséquences amenées par d'autres titres. Chaque personnage est très bien caractérisé et l'autrice propose des dialogues brillants et humains. C'est surtout le dessin qui est décevant, avec un style plus grossier.
Conclusion de la première année d'Ayala sur le titre. On fait le bilan avec ses personnages et on prend en compte les conséquences amenées par d'autres titres. Chaque personnage est très bien caractérisé et l'autrice propose des dialogues brillants et humains. C'est surtout le dessin qui est décevant, avec un style plus grossier.
Comme d'habitude avec ces anthologies, on a du bon et du moins bon. On retiendra l'histoire de Flash et celles du Sergent Rock et sur Alfred, plutôt touchantes mais on pourra largement oublier celles d'Harley Quinn et de Shazam... On se retrouve une nouvelle fois avec énormément d'artistes peu ou pas connus et c'est vraiment dommage. Mais c'était une bien moins mauvaise lecture que d'autres dans la semaine, donc la note s'en sort améliorée
Comme d'habitude avec ces anthologies, on a du bon et du moins bon. On retiendra l'histoire de Flash et celles du Sergent Rock et sur Alfred, plutôt touchantes mais on pourra largement oublier celles d'Harley Quinn et de Shazam... On se retrouve une nouvelle fois avec énormément d'artistes peu ou pas connus et c'est vraiment dommage. Mais c'était une bien moins mauvaise lecture que d'autres dans la semaine, donc la note s'en sort améliorée
Fin de la mini qui aura été sympa à lire et dépeint un Black Manta plus nuancé que d'habitude, ce qui offre un aspect rafraîchissant au personnage. L'intrigue secondaire par contre on se demande son intérêt au final, elle aurait même pu être enlevée. Pour donner plus de temps à l’intrigue autour de Devil Ray qui aura été intéressante à suivre pour ses thématiques.
Reste le dessin avec style proche de Gess, mais pas toujours le plus solide. C'est dommage de ne pas avoir gardé le même dessinateur sur les épisodes.
Fin de la mini qui aura été sympa à lire et dépeint un Black Manta plus nuancé que d'habitude, ce qui offre un aspect rafraîchissant au personnage. L'intrigue secondaire par contre on se demande son intérêt au final, elle aurait même pu être enlevée. Pour donner plus de temps à l’intrigue autour de Devil Ray qui aura été intéressante à suivre pour ses thématiques.
Reste le dessin avec style proche de Gess, mais pas toujours le plus solide. C'est dommage de ne pas avoir gardé le même dessinateur sur les épisodes.
Une histoire sans grand intérêt, on nous a promis de fêter le retour de Wonder Woman dans l'équipe et on final on se retrouve avec tout autre chose, une histoire de voyage temporel avec OMAC, peu intéressante et qui sert surtout de prologue à la mini-série JL vs Legion, déjà commencée (et déjà en retard au passage). Graphiquement, Sanford Greene n'a pas un style qui colle aux super-héros et je le préfère largement sur ses projets indés. Dommage
Une histoire sans grand intérêt, on nous a promis de fêter le retour de Wonder Woman dans l'équipe et on final on se retrouve avec tout autre chose, une histoire de voyage temporel avec OMAC, peu intéressante et qui sert surtout de prologue à la mini-série JL vs Legion, déjà commencée (et déjà en retard au passage). Graphiquement, Sanford Greene n'a pas un style qui colle aux super-héros et je le préfère largement sur ses projets indés. Dommage
Plus ça va et moins cette maxi-série est interessante, Tom King devrait faire plus court, et on verra ce que ca donnera avec sa prochaine série justement en 6. Là, on a Catwoman dans les trois timelines, avec le même discours dans les trois timeline, dont 2 fois face au Joker et 1 ace à sa fille. C'est beaucoup de parlotte, c'est lent et le propos est le même dans les 3 parties, ça n'a du coup aucun sens, les phrases se répondent d'une époque à l'autre, c'est à la limite du lisble. Heureusement qu'il ne reste que 2 parties, même si à ce stade on ne sait pas où ça va finir
Plus ça va et moins cette maxi-série est interessante, Tom King devrait faire plus court, et on verra ce que ca donnera avec sa prochaine série justement en 6. Là, on a Catwoman dans les trois timelines, avec le même discours dans les trois timeline, dont 2 fois face au Joker et 1 ace à sa fille. C'est beaucoup de parlotte, c'est lent et le propos est le même dans les 3 parties, ça n'a du coup aucun sens, les phrases se répondent d'une époque à l'autre, c'est à la limite du lisble. Heureusement qu'il ne reste que 2 parties, même si à ce stade on ne sait pas où ça va finir
Avis (1)
Uraphire Staff MDCU
il y a 3 ans
L'histoire continue son chemin d'event classique, mais bien réalisé. Certains choix des personnages attirent l'attention et l'auteur continue à proposer de bons dialogues. Zdarsky gère bien les différentes intrigues, par contre on a plus l'impression de lire un arc de Daredevil qu'un event Marvel tant les intrigues de Daredevil continue et ne parleront qu'à ceux qui auront le run de Zdarsky. Les dessins restent sublimes, malgré une baisse de régime sur certaines pages, Checchetto propose des scènes réussies comme la toute dernière page. Renouvelant l'histoire pour une fin moins prévisible que prévue.