Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires!
C'est parti pour les sorties du 27 octobre! C'est une semaine centrée sur la nouveauté avec une critique des premiers numéros de Harbinger chez Valiant, The House of Slaughter, série dérivée de Something is Killing the Children chez Boom Studios, Task Force Z, Aquaman/Green Arrow: Deep Target et DC Vs Vampires chez DC Comics. On a aussi quelques one-shots avec Batman the long Halloween Special et Darkhold : Blade chez Marvel. Enfin, on continue de suivre Robin, Checkmate et Once and Future.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
Un nouveau titre horrifique DC qui s'intéresse aux vampires, et qui à défaut d'être vraiment original, est sauvé par sa qualité d'écriture. On ne peut s'empêcher de penser à DCeased, et à bien des titres, et pas forcément dans ses aspects les plus flatteurs. Mais la qualité d'écriture et de narration proposée par Tynion IV et Rosenberg, et l'utilisation centrale d'un personnage disparu depuis un moment, font de ce titre une jolie lecture. Reste à voir la direction que va prendre la série par la suite pour pouvoir mieux juger de l'ensemble.
Un premier numéro qui prend le temps d'exposer la situation vu qu'il y a le temps avec 12 numéros. On découvre ainsi ce qu'ils s'est passé pour certains personnages. Les auteurs utilisent un personnage pas vu depuis longtemps et lié aux vampires chez DC. On a quelques mystère placés comme un personnage dans l'ombre que l'on reconnait. Heureusement, on a un twist dans les dernières pages qui lance l'intérêt de la lecture et qui fait qu'on veut le prochain numéro. Graphiquement, Otto Schmidt fait du bon boulot à part sur les personnages morts que l'on a du mal à identifier.
Spin-off de Something is Killing the Children ! On y retrouve l'ambiance et la narration assez addictives de la série mère, tout en ouvrant la mythologie de la série et explorant le passé et la personnalité d'Aaron. C'est extrêmement plaisant à lire et on attend la suite pour que ça monte encore d'un cran.
Spin-off de Something is Killing the Children ! On y retrouve l'ambiance et la narration assez addictives de la série mère, tout en ouvrant la mythologie de la série et explorant le passé et la personnalité d'Aaron. C'est extrêmement plaisant à lire et on attend la suite pour que ça monte encore d'un cran.
Un numéro consacré à Blade avec très peu de Blade. Il n'empêche que le contexte de l'histoire et l'ambiance sont plutôt cool à suivre, et que cette version sans scrupule de Blade est plutôt intéressante. Une bonne lecture divertissante, mais qui comme l'ensemble de cet event depuis le début, a un intérêt très limité.
Un numéro consacré à Blade avec très peu de Blade. Il n'empêche que le contexte de l'histoire et l'ambiance sont plutôt cool à suivre, et que cette version sans scrupule de Blade est plutôt intéressante. Une bonne lecture divertissante, mais qui comme l'ensemble de cet event depuis le début, a un intérêt très limité.
Peut-être la surprise de la semaine, tellement on ne s'attendait pas à ce genre d'intrigue. Brandon Thomas trouve le moyen de rendre ce duo inédit intéressant, et propose une intrigue assez farfelue, qui reste encore mystérieuse au point de nous donner envie de revenir. On passera sur l'affrontement entre les deux héros qui comme souvent n'ont jamais de sens et ne servent qu'au fan service, et on retiendra son originalité et son humour.
Début classique pour cette mini-série, on nous proposant une team-up inattendu. Si on n'évite pas certains poncifs de ce genre de rencontre avec un affrontement entre héros pas très bien écrit. C'est rattrapé par une intrigue qui reste mystérieuse pour le moment, et des moments plaisants dans l'écriture. À voir dans les prochains numéros si le team-up et cette situation se révélera intéressant à suivre.
Peut-être la surprise de la semaine, tellement on ne s'attendait pas à ce genre d'intrigue. Brandon Thomas trouve le moyen de rendre ce duo inédit intéressant, et propose une intrigue assez farfelue, qui reste encore mystérieuse au point de nous donner envie de revenir. On passera sur l'affrontement entre les deux héros qui comme souvent n'ont jamais de sens et ne servent qu'au fan service, et on retiendra son originalité et son humour.
Début classique pour cette mini-série, on nous proposant une team-up inattendu. Si on n'évite pas certains poncifs de ce genre de rencontre avec un affrontement entre héros pas très bien écrit. C'est rattrapé par une intrigue qui reste mystérieuse pour le moment, et des moments plaisants dans l'écriture. À voir dans les prochains numéros si le team-up et cette situation se révélera intéressant à suivre.
C'est du Suicide Squad, ne cherchez pas beaucoup plus loin. Le fait que certains membres de l'équipe soit des zombies apporte une pincée d'originalité, mais pas au point de révolutionner la recette de la mission suicide. Le cliff tombe un peu dans la surenchère, et il n'y a pas grand chose qui me donne envie de revenir vers ce titre.
Un premier numéro en demi-teinte avec, comme l'indique le titre, une suicide squad avec des Zombies (il y a Z dans le titre, c'est pas très subtil). On retrouve Red Hood entouré d'une bande de vilains décédé. On voit qu'une pilule fluo rescente est utilisée pour les contrôler mais au delà, on apprend rien et ce n'est pas hyper engageant. Dommage car Eddy Barrows fait du bon travail et on le met toujours sur les projets les moins intéressants.
C'est du Suicide Squad, ne cherchez pas beaucoup plus loin. Le fait que certains membres de l'équipe soit des zombies apporte une pincée d'originalité, mais pas au point de révolutionner la recette de la mission suicide. Le cliff tombe un peu dans la surenchère, et il n'y a pas grand chose qui me donne envie de revenir vers ce titre.
Un premier numéro en demi-teinte avec, comme l'indique le titre, une suicide squad avec des Zombies (il y a Z dans le titre, c'est pas très subtil). On retrouve Red Hood entouré d'une bande de vilains décédé. On voit qu'une pilule fluo rescente est utilisée pour les contrôler mais au delà, on apprend rien et ce n'est pas hyper engageant. Dommage car Eddy Barrows fait du bon travail et on le met toujours sur les projets les moins intéressants.
Retour assez inespéré dans l'univers de The Long Halloween. Et on ne se moque pas de nous, puisque l'on retrouve tous les personnages importants qui ont fait le mythe de l'un des récits les plus plébiscités du catalogue Batman. L'histoire se tient bien et représente une suite crédible, et l'on se plonge avec grand plaisir dans la lecture de cette petite intrigue... qui en amènera peut-être d'autres ! On notera simplement un Tim Sale qui n'est pas au top de sa forme, mais rien qui ne saurait gâcher la lecture. C'est à ne pas rater.
Retour assez inespéré dans l'univers de The Long Halloween. Et on ne se moque pas de nous, puisque l'on retrouve tous les personnages importants qui ont fait le mythe de l'un des récits les plus plébiscités du catalogue Batman. L'histoire se tient bien et représente une suite crédible, et l'on se plonge avec grand plaisir dans la lecture de cette petite intrigue... qui en amènera peut-être d'autres ! On notera simplement un Tim Sale qui n'est pas au top de sa forme, mais rien qui ne saurait gâcher la lecture. C'est à ne pas rater.
Le tournoi avance bien et on arrive quasiment à la conclusion. On n'est pas trop surpris par les candidats qui se qualifient mais Williamson continue de placer des choses pour la suite comme l'identité secrète d'un personnage par exemple. On en découvre aussi plus sur la League of Lazarus et sur leur cheffe. En bref, Williamson fait du bon travail et la partie graphique reste assez cartoony malgré l'arivée d'un autre dessinateur.
Le tournoi avance bien et on arrive quasiment à la conclusion. On n'est pas trop surpris par les candidats qui se qualifient mais Williamson continue de placer des choses pour la suite comme l'identité secrète d'un personnage par exemple. On en découvre aussi plus sur la League of Lazarus et sur leur cheffe. En bref, Williamson fait du bon travail et la partie graphique reste assez cartoony malgré l'arivée d'un autre dessinateur.
Un numéro hyper décevant. On ouvre avec l'assaut du Leviathan sur le QG de Checkmate, et ce qui aurai du être une grosse scène d'action est résumé en moins de 10 cases illisibles juste pour faire une scène d'intro. On a ensuite les membres qui partent se cacher dans le hall de Justice pour blablater et regarder les caméras de surveillance. On a l'infiltration d'un membre de Leviathan dans le hall justement et une potentielle trahison qui n'est pas une surprise. Et d'un autre côté on a toujours Lois qui parle avec son frère sans que ça avance. Bref, vivement la fin au prochain numéro même si j'ai du mal à croire que Bendis concluera quoi que ce soit à ce stade
Un numéro hyper décevant. On ouvre avec l'assaut du Leviathan sur le QG de Checkmate, et ce qui aurai du être une grosse scène d'action est résumé en moins de 10 cases illisibles juste pour faire une scène d'intro. On a ensuite les membres qui partent se cacher dans le hall de Justice pour blablater et regarder les caméras de surveillance. On a l'infiltration d'un membre de Leviathan dans le hall justement et une potentielle trahison qui n'est pas une surprise. Et d'un autre côté on a toujours Lois qui parle avec son frère sans que ça avance. Bref, vivement la fin au prochain numéro même si j'ai du mal à croire que Bendis concluera quoi que ce soit à ce stade
Lancement réussi pour cette nouvelle série Harbinger. On a un récapitulatif compréhensible pour les lecteurs novices et vétérans, avec diverses mentions aux précédentes histoires. Si le poncif du héros amnésique est souvent usé, on se plaît à suivre ce Peter amnésique jusqu'à la révélation final très inattendu. Aussi, l'ambiance est réussie grâce aux dessins magnifiques de Robbi Rodriguez qui donne un aspect futuriste à l'univers.
Lancement réussi pour cette nouvelle série Harbinger. On a un récapitulatif compréhensible pour les lecteurs novices et vétérans, avec diverses mentions aux précédentes histoires. Si le poncif du héros amnésique est souvent usé, on se plaît à suivre ce Peter amnésique jusqu'à la révélation final très inattendu. Aussi, l'ambiance est réussie grâce aux dessins magnifiques de Robbi Rodriguez qui donne un aspect futuriste à l'univers.
Avis (2)
Julien Staff MDCU
il y a 4 ans
Un nouveau titre horrifique DC qui s'intéresse aux vampires, et qui à défaut d'être vraiment original, est sauvé par sa qualité d'écriture. On ne peut s'empêcher de penser à DCeased, et à bien des titres, et pas forcément dans ses aspects les plus flatteurs. Mais la qualité d'écriture et de narration proposée par Tynion IV et Rosenberg, et l'utilisation centrale d'un personnage disparu depuis un moment, font de ce titre une jolie lecture. Reste à voir la direction que va prendre la série par la suite pour pouvoir mieux juger de l'ensemble.
BartAllen Staff MDCU
il y a 4 ans
Un premier numéro qui prend le temps d'exposer la situation vu qu'il y a le temps avec 12 numéros. On découvre ainsi ce qu'ils s'est passé pour certains personnages. Les auteurs utilisent un personnage pas vu depuis longtemps et lié aux vampires chez DC. On a quelques mystère placés comme un personnage dans l'ombre que l'on reconnait. Heureusement, on a un twist dans les dernières pages qui lance l'intérêt de la lecture et qui fait qu'on veut le prochain numéro. Graphiquement, Otto Schmidt fait du bon boulot à part sur les personnages morts que l'on a du mal à identifier.