Nouveau numéro de la rubrique MDCU consacrée aux sorties VO hebdomadaires, le Zap' MDCU !
C'est parti pour les sorties du 28 juillet ! Chez DC Comics, on a lu Batman Secret Files consacré à Huntress, Wonder Woman: Black and Gold, Robin, Inifnite Frontier et Detective Comics. On a aussi testé Icon & Rocket Season One et Superman: Son of Kal-El . Chez Marvel, on a jeté un oeil à Amazing Fantasy et à la conclusion d'Avengers Mech Strike. Chez Valiant, on lit la suite de Shadowman.
Vous pouvez toujours participer à cette rubrique, il vous suffit pour ça de laisser vos critiques sur les fiches des numéros, que vous trouverez listées chaque semaine dans le calendrier des sorties VO. Elles apparaitront ensuite dans les numéros du Zap à la vue de tous.
J'espérais un bon one-shot indépendant sur le personnage d'Helena, mais ce n'est qu'un tie-in à la série Detective Comics, qui n'a ni vrai début, ni vraie fin, et qui en plus n'est vraiment pas folichon. Mariko Tamaki me déçoit de plus en plus dans ce qu'elle écrit, c'est assez pareusseux ici. On retiendra les dessins de Lapham, mais même là, c'est très (trop) classique, et les couleurs n'aident pas. On peut largement passer son chemin.
Un one-shot qui ne peut pas trop se lire comme ça, car il découle de la série Detective Comics. Même si Helene raconte ce qui lui est arrivé, on manque de détails. L'histoire racontée est par contre intreressante, le personnage reprend sa mission après sa "sortie" de l'hôpital et cherche Hue Vile et le parasite qui l'a contaminé. On va suivre cela et on a une révélation finale qui mène à nouveau à Detective Comics. C'est en fait ici plutôt un annual qu'un Secret File sur le personnage. Lisant Detective Comics, ce numéro ne m'a pas dérangé, mais il aurait été plus judicieux de le laisser dans la sphère de la série.
Un excellent final pour ce qui aura été un très bon premier arc pour cette nouvelle série Eternals. Si le traitre a été dévoilé lors du dernier numéro, ce final ne manque pas de surprises et de retournements pour autant, notamment sur le concept principal qu'a préparé Gillen tout au long de cet arc, et qui est introduit de manière très efficace, voir même assez choquante. C'est également un réel plaisir de voir les Eternals tous ensemble affronter Thanos dans un très bon combat. Le rythme est très bon, la tension monte crescendo, et c'est toujours aussi joliment écrit, avec beaucoup d'humour et de poésie. Sans parler des magnifiques planches de Ribic. Une superbe série pour le moment.
Un excellent final pour ce qui aura été un très bon premier arc pour cette nouvelle série Eternals. Si le traitre a été dévoilé lors du dernier numéro, ce final ne manque pas de surprises et de retournements pour autant, notamment sur le concept principal qu'a préparé Gillen tout au long de cet arc, et qui est introduit de manière très efficace, voir même assez choquante. C'est également un réel plaisir de voir les Eternals tous ensemble affronter Thanos dans un très bon combat. Le rythme est très bon, la tension monte crescendo, et c'est toujours aussi joliment écrit, avec beaucoup d'humour et de poésie. Sans parler des magnifiques planches de Ribic. Une superbe série pour le moment.
Conclusion du 1er arc. Si le combat n'est pas très passionnant, les dessins de David-Hunt reste le point fort de ce relaunch avec son style hyper-détaillé. L'identité de l'ennemi de l'arc est révélée et à le mérite d'être surprenant et d'étendre la mythologie de l'univers des Loa. La conclusion promet d'aller dans une nouvelle direction alléchante.
Conclusion du 1er arc. Si le combat n'est pas très passionnant, les dessins de David-Hunt reste le point fort de ce relaunch avec son style hyper-détaillé. L'identité de l'ennemi de l'arc est révélée et à le mérite d'être surprenant et d'étendre la mythologie de l'univers des Loa. La conclusion promet d'aller dans une nouvelle direction alléchante.
Beaucoup de choses dans ce numéro qui se déroule principalement sur deux fronts, alternant entre scènes de bataille et dîner d'affaires politiques entre Doom et Storm. En tout cas, Al Ewing est vraiment très doué. Il arrive à faire entrer la série dans son événement The Last Annihilation tout en n'oubliant pas qu'il s'agit d'une série mutante. D'autant qu'après ce qu'il s'est passé au Hellfire Gala, le moment est parfait pour que les mutants entrent sur la scène intergalactique et le scénariste nous dévoile un secret en fin de numéro qui pourrait avoir de lourdes répercussions par la suite. Stefano Caselli supplée parfaitement Valerio Schiti et rend une copie impeccable avec son style qui se marie très bien aux deux ambiances qui s'entrecoupent.
Beaucoup de choses dans ce numéro qui se déroule principalement sur deux fronts, alternant entre scènes de bataille et dîner d'affaires politiques entre Doom et Storm. En tout cas, Al Ewing est vraiment très doué. Il arrive à faire entrer la série dans son événement The Last Annihilation tout en n'oubliant pas qu'il s'agit d'une série mutante. D'autant qu'après ce qu'il s'est passé au Hellfire Gala, le moment est parfait pour que les mutants entrent sur la scène intergalactique et le scénariste nous dévoile un secret en fin de numéro qui pourrait avoir de lourdes répercussions par la suite. Stefano Caselli supplée parfaitement Valerio Schiti et rend une copie impeccable avec son style qui se marie très bien aux deux ambiances qui s'entrecoupent.
Kaare Andrews se fait plaisir avec ce premier numéro qui amène Captain América version WW2, Spider-Man version ado et Black Widow version Red Room sur une mystérieuse île avec des lions ailés, des tribus à tête d'oiseau, entre autres éléments introduits. C'est une vraie réussite graphique, l'artiste semble avoir épuré son dessin et s'amuse même à changer de style selon les situations, le travail des couleurs est magnifique et nous plonge parfaitement dans cette ambiance de fantasy. Côté scénario, c'est assez simple puisque les héros se réveillent dans cet univers et trouvent chacun leur tour des compagnons avant une révélation en fin de numéro dont on se doutait mais qui peut se révéler intéressante. Belle surprise en tout cas.
Kaare Andrews se fait plaisir avec ce premier numéro qui amène Captain América version WW2, Spider-Man version ado et Black Widow version Red Room sur une mystérieuse île avec des lions ailés, des tribus à tête d'oiseau, entre autres éléments introduits. C'est une vraie réussite graphique, l'artiste semble avoir épuré son dessin et s'amuse même à changer de style selon les situations, le travail des couleurs est magnifique et nous plonge parfaitement dans cette ambiance de fantasy. Côté scénario, c'est assez simple puisque les héros se réveillent dans cet univers et trouvent chacun leur tour des compagnons avant une révélation en fin de numéro dont on se doutait mais qui peut se révéler intéressante. Belle surprise en tout cas.
Nous savions que l'argument principal de cette mini-série allait être les planches fournies par Daniel Warren Johnson et autant dire qu'on en a pour notre argent. C'est l'heure de la grosse confrontation dans cet ultime numéro et l'artiste nous fait plaisir avec de belles splash pages et un combat spectaculaire. Si la conclusion pour Beta Ray Bill peut laisser un goût d'inachevé, le voyage aura été fort sympathique et nous verrons comment les changements présentés s'inscriront dans la durée.
Nous savions que l'argument principal de cette mini-série allait être les planches fournies par Daniel Warren Johnson et autant dire qu'on en a pour notre argent. C'est l'heure de la grosse confrontation dans cet ultime numéro et l'artiste nous fait plaisir avec de belles splash pages et un combat spectaculaire. Si la conclusion pour Beta Ray Bill peut laisser un goût d'inachevé, le voyage aura été fort sympathique et nous verrons comment les changements présentés s'inscriront dans la durée.
La série entre dans son grand final Sinister War avec un numéro plus centré sur les personnages périphériques à l'événement. Kindred est au coeur de ce numéro et les théories sur sa réelle identité semblent se confirmer peu à peu. Sans oublier un Mysterio à qui Spencer offre une petite retcon au passage. Le scénariste place ses pions là où il le souhaite pendant que Spider-Man a fort à faire face aux vilains réunis dans la mini-série annexe. Concernant les dessins, on a maintenant l'habitude Vincentini sur le titre et ce n'est pas désagréable malgré certaines cases qui font très vides.
La série entre dans son grand final Sinister War avec un numéro plus centré sur les personnages périphériques à l'événement. Kindred est au coeur de ce numéro et les théories sur sa réelle identité semblent se confirmer peu à peu. Sans oublier un Mysterio à qui Spencer offre une petite retcon au passage. Le scénariste place ses pions là où il le souhaite pendant que Spider-Man a fort à faire face aux vilains réunis dans la mini-série annexe. Concernant les dessins, on a maintenant l'habitude Vincentini sur le titre et ce n'est pas désagréable malgré certaines cases qui font très vides.
Conclusion de cette mini-série très moyenne, on s'attendait à voir des mecha, on en a pas eu tant que ça à part sur les couverture. On nous les remet ici sur une page, sans que ça ait une importance quelconque. L'histoire a dérivé sur du cosmique avec Kang et Eternity et c'est juste un gros combat final et surtout la fin est plus que isible, bref, passez votre chemin.
Conclusion de cette mini-série très moyenne, on s'attendait à voir des mecha, on en a pas eu tant que ça à part sur les couverture. On nous les remet ici sur une page, sans que ça ait une importance quelconque. L'histoire a dérivé sur du cosmique avec Kang et Eternity et c'est juste un gros combat final et surtout la fin est plus que isible, bref, passez votre chemin.
Un numéro assez tranquille où Bruce va se rendre au commisariat pour être laissé tranquille comme il l'a expliqué dans le numéro précédent. On suit donc sa garde à vue avec un autre détenu qui lui dit qu'il "sait" qu'il est Batman en racontant un passage du passé qui occupe pas mal le numéro. Mais le plus important est le back-up où comme son titre l'indique, on assite à la mort de Kirk Langstrom. C'est très bien écrit et fort en émotion, notamment avec le changement du personnage depuis qu'il a intégré la JLD. Reste à voir comment cela sera répercuté dans la série, car les back-up de Detective Comics ont en général une incidence dans l'histoire principale.
Un numéro assez tranquille où Bruce va se rendre au commisariat pour être laissé tranquille comme il l'a expliqué dans le numéro précédent. On suit donc sa garde à vue avec un autre détenu qui lui dit qu'il "sait" qu'il est Batman en racontant un passage du passé qui occupe pas mal le numéro. Mais le plus important est le back-up où comme son titre l'indique, on assite à la mort de Kirk Langstrom. C'est très bien écrit et fort en émotion, notamment avec le changement du personnage depuis qu'il a intégré la JLD. Reste à voir comment cela sera répercuté dans la série, car les back-up de Detective Comics ont en général une incidence dans l'histoire principale.
Un peu moins intéressant ce numéro, il donne l'impression d'être assez artificiel. Beaucoup d'apparitions de personnages et de retournements de situation qui frôlent la surenchère et décrédibilisent un peu le propros, à mon sens. Il commence à y avoir des liens entre les numéros, quelque chose se dessine en fond, ce qui est plutôt pas mal. On se concentre également plus sur les mêmes personnages, ce qui apporte de la cohérence. Mais ce n'est pas forcément toujours très bien réalisé, et ça manque encore de direction.
L'event prend son temps, mais le récit est parsemé de surprises et d'avancements qui ne font qu'augmenter le mystère et donne envie de lire la suite ! Là où le bât blesse, ce sont les dessins qui comportent beaucoup de dessinateurs différents qui empêche d'avoir une unité graphique même si les coupes de styles se font lors de scènes différentes et de façon logique.
Un peu moins intéressant ce numéro, il donne l'impression d'être assez artificiel. Beaucoup d'apparitions de personnages et de retournements de situation qui frôlent la surenchère et décrédibilisent un peu le propros, à mon sens. Il commence à y avoir des liens entre les numéros, quelque chose se dessine en fond, ce qui est plutôt pas mal. On se concentre également plus sur les mêmes personnages, ce qui apporte de la cohérence. Mais ce n'est pas forcément toujours très bien réalisé, et ça manque encore de direction.
L'event prend son temps, mais le récit est parsemé de surprises et d'avancements qui ne font qu'augmenter le mystère et donne envie de lire la suite ! Là où le bât blesse, ce sont les dessins qui comportent beaucoup de dessinateurs différents qui empêche d'avoir une unité graphique même si les coupes de styles se font lors de scènes différentes et de façon logique.
Un numéro un peu étrange (comme le sera le suivant), où Williamson laisse de côté le tournoi (en le faisant quand même passer à la phase suivante avec une mort) et il se concentre sur le repos de Robin sur une ile plus loin où il a été accueilli par son grand-père. On a une discussion entre les deux intéressante, bien qu'un peu longue et on fini par un début de scène d'action qui continuera dans le prochain numéro. Bref, un peu déconcertant, tellement même que l'on a un dessinateur invité plutôt que le régulier.
Un numéro un peu étrange (comme le sera le suivant), où Williamson laisse de côté le tournoi (en le faisant quand même passer à la phase suivante avec une mort) et il se concentre sur le repos de Robin sur une ile plus loin où il a été accueilli par son grand-père. On a une discussion entre les deux intéressante, bien qu'un peu longue et on fini par un début de scène d'action qui continuera dans le prochain numéro. Bref, un peu déconcertant, tellement même que l'on a un dessinateur invité plutôt que le régulier.
Un peu moins bon que le premier numéro, mais toujours agréable à suivre. Les deux premières histoires font figure de pilier du numéro avec du classique mais efficace, bien raconté et dessiné. Les trois suivantes font un peu plus "indés" et plus originales, mais ne marchent pas forcément aussi bien. C'est un plaisir de voir Tillie Walden ici, mais l'histoire est un peu légère et le storytelling pas toujours très clair. La dernière de Smythe/Carey est assez chouette, avec un duo Diana/Circe plein d'humour et un p'tit twist sympa à la fin.
Un peu moins bon que le premier numéro, mais toujours agréable à suivre. Les deux premières histoires font figure de pilier du numéro avec du classique mais efficace, bien raconté et dessiné. Les trois suivantes font un peu plus "indés" et plus originales, mais ne marchent pas forcément aussi bien. C'est un plaisir de voir Tillie Walden ici, mais l'histoire est un peu légère et le storytelling pas toujours très clair. La dernière de Smythe/Carey est assez chouette, avec un duo Diana/Circe plein d'humour et un p'tit twist sympa à la fin.
Premier épisode de cette mini-série et contrairement à Static, on découvre un peu les personnages, tellement qu'il n'y a rien de super-héroïque ici, juste l'évocation du fait qu'Icon pourrait en devenir un. C'est sympa à suivre et surtout la partie graphique est très bonne. A voir comment cela évoluera par la suite.
Premier épisode de cette mini-série et contrairement à Static, on découvre un peu les personnages, tellement qu'il n'y a rien de super-héroïque ici, juste l'évocation du fait qu'Icon pourrait en devenir un. C'est sympa à suivre et surtout la partie graphique est très bonne. A voir comment cela évoluera par la suite.
Un 1er numéro un peu décevant. La faute à une partie graphique pas exceptionnelle, mais aussi au fait que ce numéro est plus une introduction sans se mettre beaucoup sur la dent. Si l'idée de faire de Jon un Superman plus social est intéressant, l'enchaînement pour arriver à cette idée est assez cliché.
Un 1er numéro un peu décevant. La faute à une partie graphique pas exceptionnelle, mais aussi au fait que ce numéro est plus une introduction sans se mettre beaucoup sur la dent. Si l'idée de faire de Jon un Superman plus social est intéressant, l'enchaînement pour arriver à cette idée est assez cliché.
Je me suis lancé dans la lecture de ce premier numéro sans trop connaitre les précédents travaux de Mirka Andolfo, si ce n'est son penchant pour les personnages sexy et les récits érotiques. Eh bien c'est ce que ce récit nous offre en nous faisant découvrir Paprika, une jeune femme-diablesse et cheffe d'entreprise tyrannique mais qui a du mal avec les relations intimes. Un homme-ange débarque alors et ce blocage lui monte à la tête. Le premier numéro est assez simple mais efficace avec des enjeux très vite perçus et reste très agréable à lire grâce au trait de l'artiste et son univers très coloré. Pour autant, je ne continuerai pas l'aventure avec Paprika malgré les qualités du numéro, dont le rebondissement à la fin pourra offrir un peu plus de profondeur.
Je me suis lancé dans la lecture de ce premier numéro sans trop connaitre les précédents travaux de Mirka Andolfo, si ce n'est son penchant pour les personnages sexy et les récits érotiques. Eh bien c'est ce que ce récit nous offre en nous faisant découvrir Paprika, une jeune femme-diablesse et cheffe d'entreprise tyrannique mais qui a du mal avec les relations intimes. Un homme-ange débarque alors et ce blocage lui monte à la tête. Le premier numéro est assez simple mais efficace avec des enjeux très vite perçus et reste très agréable à lire grâce au trait de l'artiste et son univers très coloré. Pour autant, je ne continuerai pas l'aventure avec Paprika malgré les qualités du numéro, dont le rebondissement à la fin pourra offrir un peu plus de profondeur.
Avis (2)
Julien Staff MDCU
il y a 3 ans
J'espérais un bon one-shot indépendant sur le personnage d'Helena, mais ce n'est qu'un tie-in à la série Detective Comics, qui n'a ni vrai début, ni vraie fin, et qui en plus n'est vraiment pas folichon. Mariko Tamaki me déçoit de plus en plus dans ce qu'elle écrit, c'est assez pareusseux ici. On retiendra les dessins de Lapham, mais même là, c'est très (trop) classique, et les couleurs n'aident pas. On peut largement passer son chemin.
BartAllen Staff MDCU
il y a 3 ans
Un one-shot qui ne peut pas trop se lire comme ça, car il découle de la série Detective Comics. Même si Helene raconte ce qui lui est arrivé, on manque de détails. L'histoire racontée est par contre intreressante, le personnage reprend sa mission après sa "sortie" de l'hôpital et cherche Hue Vile et le parasite qui l'a contaminé. On va suivre cela et on a une révélation finale qui mène à nouveau à Detective Comics. C'est en fait ici plutôt un annual qu'un Secret File sur le personnage. Lisant Detective Comics, ce numéro ne m'a pas dérangé, mais il aurait été plus judicieux de le laisser dans la sphère de la série.