One-shot sur les origines de Faith dans le nouvel univers Buffy. Le numéro est assez déstabilisant avec une narration décousue qui, à mon sens, ne fonctionne pas totalement. On en ressort pas trop sûr d'avoir remis tous les évènements dans le bon ordre. Mais on en comprend en tout cas l'essentiel, et malgré ce défaut, l'écriture est vraiment plaisante et développe un personnage auquel on s'attache rapidement. Je suis moins convaincu par la dernière page, qui continue cette manie d'introduire beaucoup trop vite tous les éléments connus de la mythologie de Buffy. C'est plutôt fun et joli au dessin, on retrouve le trait assez moderne et plein d'énergie des autres titres. Ils donnent également à Faith un vrai style et une vraie personnalité.

Un numéro qui confirme la jolie surprise du premier. Et qui confirme également que les superbes dessins de Riley Rossmo y sont pour beaucoup. L'intrigue est intéressante et sans doute conclue de manière un peu trop rapide ici, mais c'est le souci avec un petit arc en deux numéros. Bendis a tendance à retomber dans ses travers et à blinder de dialogues pas forcément indispensable, mais dans l'ensemble, c'est une chouette lecture.

Après plus d’un an d’attente, on a la suite de l’intrigue du numéro 5. Et il faudra encore attendre avant d'en connaître sa finalité. On est dans un numéro typique d'Hickman depuis HoX/PoX. Il continue à avancer ses pions, il caractérise bien ses personnages (Si on accepte certains écarts) et permet de revoir une menace qui risque d'avoir de l'impact. À lire pour ceux qui sont friands de cette approche qui passe mieux en collectés par moments.

C'était de la m****, non vraiment là Spencer nous prend vraiment pour des c***. Oubliez Mary Jane, c'est encore une retrospective sur la vie de Peter Parker. Juste la fin du numéro est intéressante et encore, c'est amené trop tard. Vraiment, de la grosse m****. 60 numéros qu'on se coltine une menace inexistante et hormis procrastiner, je n'ai pas vu l'ombre d'un changement chez Peter Parker. Alors oui attention, nouveau costume à la prochaine issue, mais franchement, je comprendrai que les fans décident d'arrêter la série. Des mois qu'on nous tease un final dantesque et au final pour quoi ? Rien. En fait, si vous voulez une comparaison, c'est comme le run de Tom King sur Batman chez la concurrence. Enfin bref, achetez autre chose, ça sera déjà plus intéressant que ce numéro. Et je n'ai même pas fait gaffe aux dessins tellement j'ai été déçu mais il n'y avait rien qui m'ait percuté l'esprit donc bon.

Conclusion du Dark Detective de Tamaki et Dan Mora qui offre une fin à l'histoire de Bruce Wayne et Batman de amnière un peu trop définitve et qui en fait un futur qui n'arrivera certainement jamais et c'est un peu dommage. Par contre, l'intrigue reste prenante avec la résolution de ce qui a été posé dans le précédent épisode. Côté Red Hood, c'est aussi pas mal, même si on ne finit pas vraiment l'intrigue vu que le personnage aura finalement sa propre série Future State en mai. Par contre, graphiquement, c'est pas top

Un One-shot qui fonctionne très bien en nous présentant une situation de bataille final qui réussit à être épique et satisfaisante (Malgré une résolution assez brusque et facile). Et montre que l'auteur a réussi à saisir l'essence de Superman et de ce qu'il signifie. Seul bémol, on aurait envie d'en savoir plus sur certains membres de la Maison El ou de ce qui a mené aux événements actuel.

Dans la veine du premier numéro, c'est frais, ça se lit bien et c'est très beau. L'organisation du Magistrate est un peu plus présente sur ce second numéro, ce qui donne vraiment l'impression d'être dans Future State, là où ce n'était pas forcément le cas dans le premier. C'est intéressant aussi de se placer au début de la prise de pouvoir à Gotham, et expliquer pourquoi Superman n'est pas intervenu. Il reste quand même de grosses facilités et quelques tendances à tomber dans la surenchère.

La partie sur Suicide Squad est moins bonne que la dernière fois même si on a quelques surprises, on a quand mêmes quelques trucs pas expliqués et c'est dommage. Concernant Black Adam, on est toujours sur du bon, même si Gold Beetle est un peu énervante, comme Booster quoi mais dans une mini en deux partie, on n'a pas le temps. Par contre,on explore bien le monde de la magie et on a un dénouement qui peut amener à d'autres choses pour le présent si c'est exploité.

C'est la fin pour le titre FS : Aquaman (ou Aquawoman pour ce numéro), et comme pour d'autres mini-séries de cette event il est frustrant de ne pas avoir plus dans l'immédiat. L'univers développé est riche en possibilités, les dessins sont sublimes et les personnages assez attachants pour vouloir continuer à les suivre. Mais en même temps, l'histoire a du mal à tenir en 2 numéros sans que certains moments paraissent accélérés. Espérons que DC donne suite à ce titre ou a un retour de l'univers d'Aquaman, car ça serait du gâchis de ne pas plus développer ce potentiel.

On suit l'histoire d'une chienne qui va arriver dans une maison où il y a énormément de chiens receuillis par le propriétaire et on va découvrir les souvenirs de cette petite chienne appeurée qui va remettre en question la vie des autres chiens de la maison. L'histoire se base essentiellement sur la mémoire des animaux, à savoir ce qu'ils mémorisent ou non. Si ce qu'on voit ici s'avère vrai, on rique d'avoir une histoire assez glauque, ce qui contraste pas mal avec le style graphique assez cartoony. En tout cas, on a envie d'en savoir plus.