Arrêtez le massacre par pitié... Un tel retard pour un numéro pareil, heureusement que David Marquez rend le suppositoire jolie à regarder parce que l'histoire est toujours aussi incroyablement chiante et bourrée de twist qui ne veulent rien dire, la dernière page sort d'où ? Mon libraire a arraché des pages ou quoi ? C'est quoi cette merde ? C'est vraiment affreusement mauvais mais je sais pas pourquoi je me sens obligé de lire ce truc...
Cet event commence sérieusement à partir en eau de boudin, les prémisses et l'intrigue principale tenaient déjà peu la route pour un event tel que celui-ci mais il y avait au moins de la qualité dans l'écriture et la narration, rendant l'histoire plutôt agréable à suivre. Mais alors que l'heure du grand combat a enfin sonné, on passe totalement à côté, n'en comprenant ni les enjeux, ni les motivations. On se retrouve un peu comme dans le film, où le combat est plus là pour remplir le cahier des charges qu'autre chose. Tout le numéro fait très factice et le cliffhanger assez ridicule finit d'achever cet event, qui va avoir du mal à remonter la pente. Heureusement Marquez est au dessin, c'est déjà ça de pris.
Vive Marquez. Même s'il est responsable du retard du titre, il signe les dessins qui restent la seule chose à sauver du titre. Comme le laissait entendre le cliffhanger, on a un numéro de baston. A force, on en vient à se dire que c'est sans raison. Faire s'affronter deux "équipes" parce que Leader 1 veut utiliser des pouvoirs pour empêcher les potentiels futurs crimes alors que Leader 2 ne veut pas, c'est quand même limite. Encore une fois, ça n'a rien d'une Civil War. Et que font les X-Men dans la bataille ? Bref, on a attendu deux mois pour pas grand chose. Le cliffhanger ne surprend pas des masses vu qu'on a vu la couverture du numéro suivant.
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