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Financée par un homme dont on ignore jusqu'à l'identité, l'organisation spéciale Planetary réunit plusieurs équipes de terrain, dont celle du « Batteur » et des agents Wagner et Snow. Pour le bien de l'humanité, ou par simple curiosité, ces trois archéologues de l'étrange arpentent l'univers dans le but de lever le mystère sur une série de phénomènes paranormaux. Parmi leurs rivaux, un groupe de métahumains leur donne du fil à retordre, déterminé à utiliser les secrets ancestraux du monde pour leurs propres intérêts.
Contient : #1-12 + Planetary/Authority + Planetary/Batman
Attention : chef-d'oeuvre ! Avec Authority et Planetary, Warren Ellis révolutionnait les comics et atteignait le statut de scénariste-culte. Planetary est un titre ambitieux narrant les tribulations de trois explorateurs du surnaturel. A chaque épisode correspond une enquête qui permet d'explorer un pan de la culture populaire et des univers fantastiques bien connus des fans, de Godzilla aux aventuriers des pulps en passant par les super-héros. Un régal d'intelligence magnifiquement illustré par un Cassaday très en forme. Une saga méta devenue un grand classique.
J'ai emprunté les deux tomes à la médiathèque, par curiosité, n'ayant rien lue sur le sujet. Et quelle claque. Je crois que je n'avais rien lu d'aussi bon depuis un paquet de temps. Que ce soit au niveau du scénario ou du dessin nous avons l'impression de voyager à chaque épisode dans un pan de la pop culture. Certaines références me sont familières d'autres un peu moins. Pour moi l'un des meilleurs comics toutes époques confondues.
Première lecture pré-Infinite Crisis pour moi et ce fut quelque peu douloureux au début. Entre naïveté de l'histoire et des dessins très approximatifs avec des proportions plus qu'hasardeuses il faut vraiment s'accrocher s'il n'y a pas de fibre nostalgique. Progressivement ça devient bien meilleur, mais on ne peut pas dire que je sois le plus grand fan de ce style très daté. Je n'ai plus qu'à m'enchainer Crisis on Infinite Earths.
Au commencement était le Multivers : une multitude d'univers parallèles défendus ou tyrannisés par des centaines de surhommes. La Ligue de Justice a ainsi pu rencontrer au cours de voyages extra-dimensionnels les héros les plus réputés de ces différentes Terres : la Société de Justice, les Combattants de la Liberté, les Sept Soldats de la Victoire, le Syndicat du Crime ou la Famille Marvel.
Contenu : Justice League of America# 21-22, Justice League of America# 29-30, The Flash #179, Justice League of America# 100-102, Justice League of America# 107-108, Superman vs. Shazam (All New Collector's Edition C-28), Justice League of America# 183-185, Justice League of America# 207-209 / All Star Squadron #14-15
Première lecture pré-Infinite Crisis pour moi et ce fut quelque peu douloureux au début. Entre naïveté de l'histoire et des dessins très approximatifs avec des proportions plus qu'hasardeuses il faut vraiment s'accrocher s'il n'y a pas de fibre nostalgique. Progressivement ça devient bien meilleur, mais on ne peut pas dire que je sois le plus grand fan de ce style très daté. Je n'ai plus qu'à m'enchainer Crisis on Infinite Earths.
Fin de run pour Francis Manapul et Brian Buccelatto. Cet arc remonte en qualité après un arc sur Gorilla Grodd qui a un peu trainé en longueur. On y découvre le nouveau Reverse Flash et son histoire est bien trouvée. Le personnage ne sera réutilisé énormément sauf dans Suicide Squad. Certainement le dernier tome de la série vu la qualité du titre par la suite.
Francis Manapul est un excellent dessinateur, ça c'est un fait et il l'a prouvé tout au long de son run sur Flash. Pour autant, c'est un run assez médiocre (que j'ai lu d'une traite après m'être rendu compte que je n'avais finalement jamais lu de Flash) et cette partie Reverse Flash m'a spécifiquement écoeuré. Comme les précédents arcs il y a de grosses zones de flou, peu de réelles bonnes idées et Barry est toujours un peu chiant. Et contrairement à Bart ce Reverse Flash m'a laissé indifférent, alors qu'on nous en fait la promo tout l'arc, il va même jusqu'à clore une potentielle bonne intrigue le c**. Un scénario pas ouf donc mais la série semble avoir ses fans donc si vous avez aimé les 3 premiers... ben osef de mon avis ?
Un quatrième tome et une fin de run en demi-teinte. Si les dessins sont excellents et si Manapul assure toujours autant sur le personnage, le scénario est loin d'être transcendant et le personnage du Reverse-Flash laisse de froid, de part son écriture, son développement ou encore sa personnalité qui frôlent le néant et qui sont loin d'être originales. L'histoire est loin d'être passionnante, sent le réchauffé et souffre de nombreux problèmes de rythmes. Vous l'aurez compris, c'est loin d'être ce qui s'est fait de mieux sur le personnage, assez maltraité depuis le reboot de DC Comics (on est loin du rebirth de Geoff Johns).
Flash #20 Barry Allen enquête sur les morts successives de deux des personnes qui furent récemment encore prisonniers de la Force Véloce. L’assassin porte un symbole proche de celui du Bolide Ecarlate. Pour lui, un suspect lui vient en tête en la personne du Kid Flash. Mais il n’est pas vraiment sur la bonne piste en ignorant le retour du Nega-Flash. Le héros de Central City est toujours bien servi par le duo Manapul/Buccellato. Un régal. 5/5 Flash#21 Barry Allen, le Flash, enquête sur les morts mystérieuses de ses amis qui furent prisonniers de la Force Véloce. S’en suit une poursuite à travers le globe entre le Bolide Ecarlate et le membre des Teen Titans Kid Flash afin d’avoir des réponses. Durant ce temps, le Reverse-Flash continue son carnage. Toujours bien dessiné et colorisé par le duo Manapul/Buccelato mais un numéro sans vraiment d’intérêt sur la poursuite Flash/Kid Flash qui n’apporte rien de plus. 3,5/5 Flash #22 1ère confrontation entre le Bolide Ecarlate, Flash, et son ennemi négatif, le Reverse Flash dans le New 52. Encore du bon boulot du duo Manapul/Buccellato. On est triste de les voir bientôt quitter le titre. 4,5/5 Flash#23 Poursuite du combat acharné entre Barry Allen/Flash et son ennemi, le Reverse Flash dont l’identité est révélé dans ce numéro. Toujours des bons moments sur le Bolide Ecarlate par Manapul et Buccellato. 4,5/5 Flash 23.2 - Reverse Flash (Forever Evil) Les origines du Néga-Flash du New 52 très en lien avec des proches de Barry Allen. Bien que dessiné par un autre artiste, on retrouve la colorisation très familière de Buccellato. L’opposé du Bolide Ecarlate a acquit ses pouvoirs à cause de sa rencontre avec les Rogues et décide de remonter le temps pour modifier le passé. La suite dans le volet #24. 4/5 Flash #24 Ultime affrontement entre Flash et le Reverse Flash. Manapul et Buccellato nous servent toujours d’excellent numéro. Barry Allen connaît les dégâts des voyages temporels (lire Flashpoint), malgré tout il veut innocenté son père et connaître le réel meurtrier de sa mère. Un enquêté pour le scientifique de la police de Central City va débuter. Prochain volet sera un Zero Year. 4,5/5 Flash #25 - Zero Year Barry Allen qui n'est pas encore le Flash est en renfort auprès de la Police de Gotham suite aux événements de Zero Year. Il fait équipe avec Bullock et le co-équipier de celui-ci pour résoudre une investigation sur une nouvelle drogue mortelle. Un volet intéressant toujours signé Buccellato et Manapul avec l'apport des dessins du très bons Chris Sprouse et marquant la première rencontre des Barry Allen et Iris West du New 52. 4,5/5 Un très bon tome marquant la confrontation du Flash et du Néga-Flash de ce New 52. Le duo artistique Brian Buccellato et Francis Manapul fait toujours des merveilles sur le Bolide Écarlate même si on sent une certaine relâche et certaines facilités pour leur dernier tour de piste avec le super-héros de Central City.
Un tueur possédant la Force Véloce élimine plusieurs concurrents laissant une traînée de cadavres et un mystère insoluble pour le policier scientifique Barry Allen. Flash va ainsi enquêter sur tous les bolides de la communauté super-héroïque à commencer par Kid Flash des Teen Titans.
Contenu : Flash Vol.4: Reverse (Flash #20-25 + 23.2: Reverse Flash)
Fin de run pour Francis Manapul et Brian Buccelatto. Cet arc remonte en qualité après un arc sur Gorilla Grodd qui a un peu trainé en longueur. On y découvre le nouveau Reverse Flash et son histoire est bien trouvée. Le personnage ne sera réutilisé énormément sauf dans Suicide Squad. Certainement le dernier tome de la série vu la qualité du titre par la suite.
Francis Manapul est un excellent dessinateur, ça c'est un fait et il l'a prouvé tout au long de son run sur Flash. Pour autant, c'est un run assez médiocre (que j'ai lu d'une traite après m'être rendu compte que je n'avais finalement jamais lu de Flash) et cette partie Reverse Flash m'a spécifiquement écoeuré. Comme les précédents arcs il y a de grosses zones de flou, peu de réelles bonnes idées et Barry est toujours un peu chiant. Et contrairement à Bart ce Reverse Flash m'a laissé indifférent, alors qu'on nous en fait la promo tout l'arc, il va même jusqu'à clore une potentielle bonne intrigue le c**. Un scénario pas ouf donc mais la série semble avoir ses fans donc si vous avez aimé les 3 premiers... ben osef de mon avis ?
Un quatrième tome et une fin de run en demi-teinte. Si les dessins sont excellents et si Manapul assure toujours autant sur le personnage, le scénario est loin d'être transcendant et le personnage du Reverse-Flash laisse de froid, de part son écriture, son développement ou encore sa personnalité qui frôlent le néant et qui sont loin d'être originales. L'histoire est loin d'être passionnante, sent le réchauffé et souffre de nombreux problèmes de rythmes. Vous l'aurez compris, c'est loin d'être ce qui s'est fait de mieux sur le personnage, assez maltraité depuis le reboot de DC Comics (on est loin du rebirth de Geoff Johns).
Flash #20 Barry Allen enquête sur les morts successives de deux des personnes qui furent récemment encore prisonniers de la Force Véloce. L’assassin porte un symbole proche de celui du Bolide Ecarlate. Pour lui, un suspect lui vient en tête en la personne du Kid Flash. Mais il n’est pas vraiment sur la bonne piste en ignorant le retour du Nega-Flash. Le héros de Central City est toujours bien servi par le duo Manapul/Buccellato. Un régal. 5/5 Flash#21 Barry Allen, le Flash, enquête sur les morts mystérieuses de ses amis qui furent prisonniers de la Force Véloce. S’en suit une poursuite à travers le globe entre le Bolide Ecarlate et le membre des Teen Titans Kid Flash afin d’avoir des réponses. Durant ce temps, le Reverse-Flash continue son carnage. Toujours bien dessiné et colorisé par le duo Manapul/Buccelato mais un numéro sans vraiment d’intérêt sur la poursuite Flash/Kid Flash qui n’apporte rien de plus. 3,5/5 Flash #22 1ère confrontation entre le Bolide Ecarlate, Flash, et son ennemi négatif, le Reverse Flash dans le New 52. Encore du bon boulot du duo Manapul/Buccellato. On est triste de les voir bientôt quitter le titre. 4,5/5 Flash#23 Poursuite du combat acharné entre Barry Allen/Flash et son ennemi, le Reverse Flash dont l’identité est révélé dans ce numéro. Toujours des bons moments sur le Bolide Ecarlate par Manapul et Buccellato. 4,5/5 Flash 23.2 - Reverse Flash (Forever Evil) Les origines du Néga-Flash du New 52 très en lien avec des proches de Barry Allen. Bien que dessiné par un autre artiste, on retrouve la colorisation très familière de Buccellato. L’opposé du Bolide Ecarlate a acquit ses pouvoirs à cause de sa rencontre avec les Rogues et décide de remonter le temps pour modifier le passé. La suite dans le volet #24. 4/5 Flash #24 Ultime affrontement entre Flash et le Reverse Flash. Manapul et Buccellato nous servent toujours d’excellent numéro. Barry Allen connaît les dégâts des voyages temporels (lire Flashpoint), malgré tout il veut innocenté son père et connaître le réel meurtrier de sa mère. Un enquêté pour le scientifique de la police de Central City va débuter. Prochain volet sera un Zero Year. 4,5/5 Flash #25 - Zero Year Barry Allen qui n'est pas encore le Flash est en renfort auprès de la Police de Gotham suite aux événements de Zero Year. Il fait équipe avec Bullock et le co-équipier de celui-ci pour résoudre une investigation sur une nouvelle drogue mortelle. Un volet intéressant toujours signé Buccellato et Manapul avec l'apport des dessins du très bons Chris Sprouse et marquant la première rencontre des Barry Allen et Iris West du New 52. 4,5/5 Un très bon tome marquant la confrontation du Flash et du Néga-Flash de ce New 52. Le duo artistique Brian Buccellato et Francis Manapul fait toujours des merveilles sur le Bolide Écarlate même si on sent une certaine relâche et certaines facilités pour leur dernier tour de piste avec le super-héros de Central City.
A l'heure où DC passe à l'heure Rebirth, Urban réédite le récit qui est à l'origine du concept de Rebirth : garder le meilleur d'un personnage et revenir aux fondamentaux sans faire table rase du passé. Geoff Johns trouvait la formule gagnante avec cette mini-série qui allait conduire à l'une des plus belles sagas publiées par DC depuis 20 ans. Cette introduction réussie n'est certes pas indispensable pour se lancer dans le run de Johns sur Green Lantern mais il serait dommage de passer à côté, surtout qu'en bonus Urban a ajouté un récit dessiné par feu le grand Darwyn Cooke.
Urban nous gratifie de la sortie de Green Lantern Rebirth, qui aurait pu sortir un peu plus tôt mais bon. Ce titre marque l'arrivée de Johns sur la franchise et nous démontre ce que l'auteur sait faire de mieux : tirer le meilleur de la continuité d'un personnage. C'est bien écrit, c'est entrainant, ca peut sembler difficile à appréhende entre Parallax et le Spectre, mais la lecture vaut largement le coup. Achetez-le les yeux fermés.
Le Green Lantern préféré de Geoff Johns est Hal Jordan, et il décide de remettre le personnage dans le costume. Ça semblait un pari assez compliqué, mais l'auteur le réussit haut la main. Il faut voir cette mini-série comme la conclusion d'une ère où Hal a subi beaucoup de changement, mais aussi le début d'une saga incroyable qui est le run de Johns. Elle se trouve au croisement entre l'ancien et le nouveau. Bien sur, vous pouvez commencer le run de Johns sans lire cette mini, mais la lire permet de saisir, et de faire un point sur tout ce qu'a subi Hal. Bref, il n'y a que les comics pour nous offrir ce genre de récit, où la continuité de plusieurs dizaines d'années trouvent leur importance. Et les dessins d'Ethan Van Sciver ne gâche rien !
Ce que Geoff Johns faire sait de mieux, se servir de toute la richesse et l'héritage d'un personnage pour le remettre au goût, du vrai Rebirth, pas comme ce qui est en train de se profiler actuellement chez DC. Une lecture qui a fait date puisqu'elle a relancé le titre Green Lantern en grandes pompes, et on sait ce qu'il en est advenu ensuite. Le récit s'adresse aux anciens lecteurs passionnés comme aux nouveaux, qui auront par moments un peu de mal à tout ingurgiter mais rien de vraiment bloquant. Ethan Van Sciver est parfait. Un récit incontournable pour tout fan de la franchise. Par contre ce titre français, sérieux ? Renaissance, c'est sympa aussi.
Enfin, le prologue, le prélude, que dis-je le "véritable commencement" du run de Geoff Johns sur le personnage est publié. Comme mes compères, je ne peux que vous conseiller cette très bonne histoire, servi par les fabuleux dessins d'Ethan Van Sciver. Geoff Johns reprend à son compte et avec brio les éléments fondamentaux de la mythologie et de la continuité du GL-verse et les dépoussière, les modernise pour les remettre en avant de la plus belle manière. Une lecture indispensable !
En 1996, Hal Jordan n’est plus Green Lantern. Il est devenu Parallax et a perdu les pédales. Il détruit sa ville natale, Coast City, avant de s’en prendre au corps des Green Lantern, puis il tue son ennemi Sinestro et s'en prend aux Gardiens. Il meurt plus tard au cours du cross-over Final Night… avant de faire un premier retour sous l’apparence du Spectre, l'Esprit de la vengeance, le justicier fantômatique expéditif, qui puni violemment les criminels de tout poils. En 2004/2005, DC Comics charge Geoff Johns, qui a fait plusieurs travaux auparavant pour Marvel (notamment sur les Avengers), de redonner vie à Hal Jordan, le Green Lantern du secteur 2814, tout en le réhabilitant aux yeux des super-héros de la Distinguée Concurrence et des lecteurs. Pour un lecteur de comics néophyte ou pour un lecteur qui découvre Green Lantern avec ce titre, cela pourrait paraître un peu confus, surtout qu'il s'agit du début du run de Geoff Johns et que Urban Comics ne le publie que maintenant alors que tout le reste du run y compris celui du New 52/DC Renaissance est déjà sorti. Cela vient peut-être du fait que cette histoire avait été publiée par Panini Comics en 2011 ( en format DC Deluxe), juste avant que Urban récupère les droits VF d'exploitation de la Distinguée Concurrence. La confusion pourra aussi venir du fait trois personnages cohabitent dans le même corps : Hal Jordan, le Spectre et Parallax (l'entité cosmique de la Peur qui avait possédé Jordan avant sa mort). Si on ajoute les personnages de la Justice League, la Justice Society of America (rescapés de Terre-2), les autres Green Lantern de la Terre, John Stewart, Guy Gardner et Kyle Rayner, le tout peut paraître complexe. Même si ce recueil s'adresse surtout au fan du Chevalier D'Emeraude, Geoff Johns réussi à donner une certaine accessibilité à son récit aux non-initiés de par son soin à l'écriture et un divertissement assumé. Un des points forts de ce recueil est sans doute la méfiance de Batman envers Hal Jordan. Mais à vrai dire, la méfiance a toujours été un des caractères du Caped Crusader. Un divertissement plein d'action mis grandement en avant par les dessins de Ethan Van Sciver qui livre des planches détaillées, impressionnantes et vraiment parfaites. L'amour de l'artiste pour l'univers des Green Lantern et de Hal Jordan est bien connu (il renquille d'ailleurs pour le DC Rebirth). En résumé, un très bon comic-book qui fera le bonheur des fans dans cette réédition de Urban, 5 ans après celle DC Deluxe de Panini Comics. Cette histoire marque avec brio le début du run de Geoff Johns qui va crééer durant ces 8 années de travaux beaucoup de choses autour de l'univers du Green Lantern Corps. Toutefois, les lecteurs non-assidus de cet univers pourraient y être un peu perdus de part la complexité et le passif de la mythologie du "Corps" et de l'univers super-héroïque DC pré-New 52.
Il était le meilleur des Green Lantern, le premier Terrien à avoir accédé à cet honneur à travers la galaxie, mais un jour, Hal Jordan fut corrompu par une entité maléfique et devint le plus grand fléau de l'Univers. Aujourd'hui, Jordan répand la justice sous l'avatar du Spectre, mais le retour d'anciens ennemis va le forcer à réutiliser son anneau, en plein jour comme dans la nuit noire.
Contient : Green Lantern Rebirth (Green Lantern Rebirth #1-6 + Green Lantern Secret Files and Origins 2005)
A l'heure où DC passe à l'heure Rebirth, Urban réédite le récit qui est à l'origine du concept de Rebirth : garder le meilleur d'un personnage et revenir aux fondamentaux sans faire table rase du passé. Geoff Johns trouvait la formule gagnante avec cette mini-série qui allait conduire à l'une des plus belles sagas publiées par DC depuis 20 ans. Cette introduction réussie n'est certes pas indispensable pour se lancer dans le run de Johns sur Green Lantern mais il serait dommage de passer à côté, surtout qu'en bonus Urban a ajouté un récit dessiné par feu le grand Darwyn Cooke.
Urban nous gratifie de la sortie de Green Lantern Rebirth, qui aurait pu sortir un peu plus tôt mais bon. Ce titre marque l'arrivée de Johns sur la franchise et nous démontre ce que l'auteur sait faire de mieux : tirer le meilleur de la continuité d'un personnage. C'est bien écrit, c'est entrainant, ca peut sembler difficile à appréhende entre Parallax et le Spectre, mais la lecture vaut largement le coup. Achetez-le les yeux fermés.
Le Green Lantern préféré de Geoff Johns est Hal Jordan, et il décide de remettre le personnage dans le costume. Ça semblait un pari assez compliqué, mais l'auteur le réussit haut la main. Il faut voir cette mini-série comme la conclusion d'une ère où Hal a subi beaucoup de changement, mais aussi le début d'une saga incroyable qui est le run de Johns. Elle se trouve au croisement entre l'ancien et le nouveau. Bien sur, vous pouvez commencer le run de Johns sans lire cette mini, mais la lire permet de saisir, et de faire un point sur tout ce qu'a subi Hal. Bref, il n'y a que les comics pour nous offrir ce genre de récit, où la continuité de plusieurs dizaines d'années trouvent leur importance. Et les dessins d'Ethan Van Sciver ne gâche rien !
Ce que Geoff Johns faire sait de mieux, se servir de toute la richesse et l'héritage d'un personnage pour le remettre au goût, du vrai Rebirth, pas comme ce qui est en train de se profiler actuellement chez DC. Une lecture qui a fait date puisqu'elle a relancé le titre Green Lantern en grandes pompes, et on sait ce qu'il en est advenu ensuite. Le récit s'adresse aux anciens lecteurs passionnés comme aux nouveaux, qui auront par moments un peu de mal à tout ingurgiter mais rien de vraiment bloquant. Ethan Van Sciver est parfait. Un récit incontournable pour tout fan de la franchise. Par contre ce titre français, sérieux ? Renaissance, c'est sympa aussi.
Enfin, le prologue, le prélude, que dis-je le "véritable commencement" du run de Geoff Johns sur le personnage est publié. Comme mes compères, je ne peux que vous conseiller cette très bonne histoire, servi par les fabuleux dessins d'Ethan Van Sciver. Geoff Johns reprend à son compte et avec brio les éléments fondamentaux de la mythologie et de la continuité du GL-verse et les dépoussière, les modernise pour les remettre en avant de la plus belle manière. Une lecture indispensable !
En 1996, Hal Jordan n’est plus Green Lantern. Il est devenu Parallax et a perdu les pédales. Il détruit sa ville natale, Coast City, avant de s’en prendre au corps des Green Lantern, puis il tue son ennemi Sinestro et s'en prend aux Gardiens. Il meurt plus tard au cours du cross-over Final Night… avant de faire un premier retour sous l’apparence du Spectre, l'Esprit de la vengeance, le justicier fantômatique expéditif, qui puni violemment les criminels de tout poils. En 2004/2005, DC Comics charge Geoff Johns, qui a fait plusieurs travaux auparavant pour Marvel (notamment sur les Avengers), de redonner vie à Hal Jordan, le Green Lantern du secteur 2814, tout en le réhabilitant aux yeux des super-héros de la Distinguée Concurrence et des lecteurs. Pour un lecteur de comics néophyte ou pour un lecteur qui découvre Green Lantern avec ce titre, cela pourrait paraître un peu confus, surtout qu'il s'agit du début du run de Geoff Johns et que Urban Comics ne le publie que maintenant alors que tout le reste du run y compris celui du New 52/DC Renaissance est déjà sorti. Cela vient peut-être du fait que cette histoire avait été publiée par Panini Comics en 2011 ( en format DC Deluxe), juste avant que Urban récupère les droits VF d'exploitation de la Distinguée Concurrence. La confusion pourra aussi venir du fait trois personnages cohabitent dans le même corps : Hal Jordan, le Spectre et Parallax (l'entité cosmique de la Peur qui avait possédé Jordan avant sa mort). Si on ajoute les personnages de la Justice League, la Justice Society of America (rescapés de Terre-2), les autres Green Lantern de la Terre, John Stewart, Guy Gardner et Kyle Rayner, le tout peut paraître complexe. Même si ce recueil s'adresse surtout au fan du Chevalier D'Emeraude, Geoff Johns réussi à donner une certaine accessibilité à son récit aux non-initiés de par son soin à l'écriture et un divertissement assumé. Un des points forts de ce recueil est sans doute la méfiance de Batman envers Hal Jordan. Mais à vrai dire, la méfiance a toujours été un des caractères du Caped Crusader. Un divertissement plein d'action mis grandement en avant par les dessins de Ethan Van Sciver qui livre des planches détaillées, impressionnantes et vraiment parfaites. L'amour de l'artiste pour l'univers des Green Lantern et de Hal Jordan est bien connu (il renquille d'ailleurs pour le DC Rebirth). En résumé, un très bon comic-book qui fera le bonheur des fans dans cette réédition de Urban, 5 ans après celle DC Deluxe de Panini Comics. Cette histoire marque avec brio le début du run de Geoff Johns qui va crééer durant ces 8 années de travaux beaucoup de choses autour de l'univers du Green Lantern Corps. Toutefois, les lecteurs non-assidus de cet univers pourraient y être un peu perdus de part la complexité et le passif de la mythologie du "Corps" et de l'univers super-héroïque DC pré-New 52.
Un deuxième tome bien sympathique pour la série Suicide Squad. On voit la montée en puissance de Basilisk qui condamnera un membre de l'équipe. Adam a vraiement réussi le lancement de cette série. Ce n'est pas révolutionnaire, mais on prend un petit plaisir coupable à le lire. Profitez-en bien, il ne restera qu'un tome dans son run.
Depuis sa dernière mission désastreuse, le doute plane dans les rangs de la Suicide Squad : un traître, surentrainé par le leader de l'organisation Basilisk lui-même, aurait infiltré l'équipe de super-criminels dans le but d'éliminer Amanda Waller. S'agit-il d'Harley Quinn, déjà très perturbée par la mort de son poussin, Monsieur J ? Ou bien de Deadshot, dont le désir de sacrifice aurait pu être utilisé à d'autres fins ? Sur le terrain, la tension s'intensifie.
Contient : Suicide Squad vol2 : Basilisk Rising (#8-13)
Un deuxième tome bien sympathique pour la série Suicide Squad. On voit la montée en puissance de Basilisk qui condamnera un membre de l'équipe. Adam a vraiement réussi le lancement de cette série. Ce n'est pas révolutionnaire, mais on prend un petit plaisir coupable à le lire. Profitez-en bien, il ne restera qu'un tome dans son run.
Les scénaristes continuent de proposer des choses toujours aussi farfelues, avec une Harley Quinn toujours aussi cohérente dans sa personnalité. Toutefois, ce tome n’est pas vraiment fameux puisqu'on a ici des histoires courtes, qui n’ont aucun rapport entre elles et c’est vraiment dommage. On finit par s’y perdre. Les dessins de Darwyn Cooke et Stjepan Sejic sont toujours au top, et c’est bien là le seul point positif de ce tome. À lire si vous êtes fan du personnage et si les deux volumes précédents vous ont plu.
On suit les trubulations de Harley suite à sa rupture avec le Joker. Comme le début de la série, c'est frais et plutôt tourné vers un côté humorisitique. La première histoire du tome est très sympa, mais la suite a moins d'interêt. Il ne passe pas grand chose et les auteurs réutilisent les mêmes ficelles au fil des tomes.... Les dessins sont assez inégaux en qualité.On va voir ce que donne le prochain tome.
Harley était convaincue de pouvoir être à la fois la meilleure propriétaire de Coney Island, l'amante parfaite du séduisant Mason Macabre, une psychiatre émérite et une bénévole aux petits soins des animaux du refuge... Le challenge était peut-être un peu trop ambitieux pour la jeune femme, peu habituée à ne pas obtenir ce qu'elle veut quand elle le veut. La crise de nerfs est proche. Tous aux abris !
Contient : Harley Quinn vol.3 (#14-16) + Harley Quinn Valentine's Day Special #1 + Harley Quinn Holiday Special #1
COUVERTURE PROVISOIRE
Les scénaristes continuent de proposer des choses toujours aussi farfelues, avec une Harley Quinn toujours aussi cohérente dans sa personnalité. Toutefois, ce tome n’est pas vraiment fameux puisqu'on a ici des histoires courtes, qui n’ont aucun rapport entre elles et c’est vraiment dommage. On finit par s’y perdre. Les dessins de Darwyn Cooke et Stjepan Sejic sont toujours au top, et c’est bien là le seul point positif de ce tome. À lire si vous êtes fan du personnage et si les deux volumes précédents vous ont plu.
On suit les trubulations de Harley suite à sa rupture avec le Joker. Comme le début de la série, c'est frais et plutôt tourné vers un côté humorisitique. La première histoire du tome est très sympa, mais la suite a moins d'interêt. Il ne passe pas grand chose et les auteurs réutilisent les mêmes ficelles au fil des tomes.... Les dessins sont assez inégaux en qualité.On va voir ce que donne le prochain tome.
Avis (4)
AfA Staff MDCU
il y a 8 ans
Attention : chef-d'oeuvre ! Avec Authority et Planetary, Warren Ellis révolutionnait les comics et atteignait le statut de scénariste-culte. Planetary est un titre ambitieux narrant les tribulations de trois explorateurs du surnaturel. A chaque épisode correspond une enquête qui permet d'explorer un pan de la culture populaire et des univers fantastiques bien connus des fans, de Godzilla aux aventuriers des pulps en passant par les super-héros. Un régal d'intelligence magnifiquement illustré par un Cassaday très en forme. Une saga méta devenue un grand classique.
MajinLordX
il y a 8 ans
Planetary fait partie des comics les plus marquants que j'ai lu. Il est dans mon Top 10 je pense. C'est ultra-référencé et de manière très intelligente et pas artificielle, ce qui n'est pas toujours évident. Cette réédition était vraiment nécessaire.
demis27
il y a 4 ans
J'ai emprunté les deux tomes à la médiathèque, par curiosité, n'ayant rien lue sur le sujet. Et quelle claque. Je crois que je n'avais rien lu d'aussi bon depuis un paquet de temps. Que ce soit au niveau du scénario ou du dessin nous avons l'impression de voyager à chaque épisode dans un pan de la pop culture. Certaines références me sont familières d'autres un peu moins. Pour moi l'un des meilleurs comics toutes époques confondues.
arnaudk69
il y a 3 ans
Ca met un peut de temps à démarer, durant presque 200 pages les histoires et les personnages n'évoluent pas trop et d'un coup tout ce met en place. Mais heursement que je n'ai pas lu ça en fascicule, je n'aurais surement pas continué.