Après Marvel, DC se lance dans un univers Mecha. Et ce premier numéro pose plutôt bien les bases. On part de l'époque de la JSA, après la seconde Guerre Mondiale et on découvre pourquoi les mécha sont devenus courant. Et en parallèle, on suit le début de plan d'invasion de Darkseid qui sera viblement l'antagoniste de cette mini-série. Graphiquement, c'est correct sans plus, mais on est sur un début plus satisfaisant que celle de la concurrence. 

Conclusion de cette mini-série, qui sera certainement raccordée à la série principale, comme les différents one-shot déjà parus. On retrouve Liliana qui part à la recherche de sa protégée partie se réfugier chez Tezzeret. On a un mini affrontement entre les personnages, mais rien de mémorable si ce n'est que Liliana met en garde la nouvelle Planeswalker. Le plus intriguant est qu'on nous dit que c'est à suivre sur la dernière page... Reste à voir ce qu'il adviendra des personnages. 

Un nouveau numéro important où les événements précédents commencent à se lier. On a une meilleure perception de certaines scènes et on voit à quel point Ewing à penser son histoire. Ce qui rend le numéro un peu dur à suivre avec ces sauts dans le temps, mais très gratifiant dans la revisite d'anciennes scènes. Le cliffhanger final pose énormément de questions et on a hâte d’avoir les réponses dans le prochain numéro. Hitch est quasi-irréprochable, et ça fait plaisir de le voir aussi régulier au bout de 9 numéros.

Ce premier numéro pour célébrer les 60 ans d’Ant-man est très réussi en s’attardant sur chaque incarnation. On retrouve une ambiance Silver Age qui fonctionne particulièrement bien. L’auteur fait des clins d'œil à l’histoire d’Ant-man et l’exercice est fun à lire. Sans compter le fil rouge intrigant qui donne envie de poursuivre pour savoir où l’auteur va aller. Le dessinateur et le coloriste sont très bons et adaptent leurs styles à l’ambiance de l’époque.

N'ayant jamais rien lu sur ce Captain Marvel, il est assez dommage de voir que ce premier numéro est assez confus. On nous replace son histoire, ses liens avec Rick Jones, très présent lui aussi dans le numéro. Mais au delà de ça, on oscille encore entre passé et présent sans vraiment savoir pourquoi, on a des personnages en commun mais on a du mal à voir l'intérêt des flashback, si ce n'est pour un personnage qui semble être l'ennemi, mais c'est trop peu

Ram V prend la relève de Mariko Tamaki et entame son run avec une intrigue plutôt mystérieuse. On a une bonne scène d'action en ouverture, avec un Bruce qui semble avoir des soucis, une organisation secrète qui va venir mettre son grain de sel. Tout ça semble pas mal. Reste à voir où cela va aller car on a assez peu d'indices. Graphiquement par contre, c'est très bon.

Dernier numéro servant d’épilogue au précédent numéro. Ce dénouement en plusieurs scènes n’est pas très intéressant à suivre. Le rythme est lourd et c’est moins captivant à lire. Les liens avec Dark Crisis semblent un peu improvisés et ne s’y attardent réellement qu’à la fin. Bref, un numéro final décevant pour une série qui avait du potentiel.

Déjà (!) l’avant-dernier numéro du polar de Rick Remender. Le rythme est explosif et addictif à suivre. L’auteur n'épargne pas ses personnages et va là où on s'attend le moins. André Lima Araujo est une réussite aux dessins avec sa mise en scène et ses personnages expressifs. Seul bémol, c'est qu'on est peu d'explication sur les méchants. Espérons que le dernier numéro nous apporte des réponses là-dessus.

Nouvel arc pour préparer l'Event Armageddon Game. Les tortues sont bien écrites, chaque scène est bien trouvée et font sens. L’ajout de Shredder comme mentor est bien géré. Le dessin reste en particulier, mais on s’habitue.