Inutile. Au contraire du One-shot sur Batman, celui-ci est totalement inutile. Superman veut manger sa tarte au pomme en restant tranquille. Pourquoi lever le derrière de sa chaise pour sauver 3 pauvres humains, j'en ai rien à faire. Grrr, moi méchant, moi rebelle. Sérieusement, combien de fois on a droit à un Superman qui retourne sa veste, au moins depuis le New52: Superman contrôlé par Cheetah, par Doomsday, par je sais pas qui encore, sans compter le nombre de fois où c'est arrivé avant le reboot, y en a marre. Et encore, c'est pas la 1ère fois que ça arrive que des scénaristes utilisent les mêmes ficelles mais là, c'est fait sans saveur. C'était le changement le moins intéressant fait par Johns depuis le numéro 45 mais là, Manapul ferait mieux de rester aux dessins, qui d'ailleurs ici sont sans plus. Le problème, c'est que le but est de montrer ce qu'il se passe lorsque certains héros héritent de pouvoirs divins. Problème: Superman est déjà quasi-divin. Bref, économisez pour le numéro 46.
Un numéro en demi-teinte. On retrouve Superman pus puissant que jamais, et qui du coup est plutôt du mauvais côté de la barrière, comme s'il s'était levé du mauvais pied. La première partie du comics est vraiment pas top, on a connu Manapul plus inspiré à l'écriture. Heureusement, la fin rattrape le tout et montre que Superman sera sans doute un de ceux qui veulent perdre leur divinité contrairement à ce qu'on a vu de Batman la semaine dernière. Il n'y a malheureusement pas beaucoup plus à dire sur ce numéro qui se lit très très vite.
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