L’autre jour, je gardais mon neveu, qui était ce jour-là privé de télé. Tout se passait bien jusqu’à ce que, alors que je m’étais éloignée du salon deux minutes, je l’entende éclater d’un rire franc en s’exclamant « Mais il est trop bête Flanders ! », puis « Vas-y Bart, fonce ! ». Il regardait les Simpson, ce coquin !!!
NI une ni deux, je déboule dans le salon et entame un long discours sur la confiance, le respect, et le fait qu’en trichant sur sa punition il les brise tous les deux.
C’est là, que, perplexe, il me désigne la cause de son hilarité : les Simpson, oui… Mais la version BD !
Intriguée, car je connaissais avant tout les épisodes de dessins animés, je tourne les pages avec lui, et me mets à rire de bon cœur devant les histoires, toujours aussi drôles, de la joyeuse bande de Springfield.
Deux heures plus tard, lorsque ses parents sont rentrés, ils nous ont trouvés au même endroit, toujours dévorant en riant les pages si drôles de ces personnages qu’on ne présente plus. Nous n’avions pas vu passer le temps, et contrairement aux recommandations, j’avais totalement oublié de mettre le petit en pyjama et de l’envoyer se coucher !
Très contrariée, ma sœur m’a privée de télé…Mais entre nous, je m’en fiche : j’ai gardé les BD !

Alors qu’à Las Cruces, John Marshall enquête sur l’identité du lycanthrope qui massacre ses voisins, l’aveugle Jeremy Lester et la petite Sarah fuient Philadelphia pour Lancaster se demandant encore pourquoi les loups les ont épargnés. Quant à Malcom Spolding, ne supportant plus d’être l’esclave des loups de Riker’s Island, il échafaude un plan pour s’évader le jour où James Raven, le chef de l’une des plus puissante meute d’Amérique, leur rend visite…