Stargirl est proie à une crise d’adolescence, car elle se sent sous-employée au sein de la JLA. Le reste de l’équipe combat une «Trinité» d’androïdes sans pour autant retrouver la société secrète de vilains. Un plan est alors échafaudé pour infiltrer cette «Société». Et qui de mieux pour cette mission que quelqu’un qui est considéré comme une très grande voleuse. En trois numéros la JLA n’a rien à envier à la Justice League. C’est bon et bien dessiné. En bonus un back up sur J’onn J’onzz et Selina Kyle.
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