scénariste : Morrison Grant - dessinateurs : MAHNKE Doug, Jones JG, Pacheco Carlos
Les hordes de Darkseid ont infiltré pendant des mois la Terre et se préparent désormais à une attaque décisive qui va la faire tomber sous le joug du despote d'Apokolips.
Dépassés, les super-héros vont devoir s'organiser en poches de résistance afin de repousser l'invasion imminente, et les pertes vont s'avérer des plus lourdes dans les deux camps !
Contenu vo : Contenu : Absolute Final Crisis (FINAL CRISIS #1-7, FINAL CRISIS: SUBMIT #1, FINAL CRISIS: SUPERMAN BEYOND #1-2, FINAL CRISIS SKETCHBOOK, FINAL CRISIS #1 DIRECTOR'S CUT, BATMAN #682-683)
Pour ceux qui n'auraient pas lu les deux premiers tomes, aucune inquiétude à avoir, ils n'ont rien à voir avec le crossover Final Crisis que l'on retrouve ici dans son intégralité. DC s'est montre audacieux de confier l'écriture d'un de leurs plus important crossovers (ce qui était censé être là 3e et dernière Crisis). Et l'audace n'a qu'en partie payé puisque Morrison a fait son Morrison : complexe, difficile d'accès, intelligent à défaut d'être intelligible par tous, foisonnant de références. Les fans du scénariste seront ravis, les fans du trop rare JG Jones aussi mais les néophytes seront vite perdus.
On y est ! Ce troisième tome nous propose enfin l'evènement Final Crisis en lui-même, les sept numéros de Grant Morrison et J.G. Jones, et les quelques tie-ins qui sont parus en même temps. Un event assez dingue et passionnant, tellement l'univers DC s'est rarement retrouvé dans une situation comme celle-ci sous la botte de Darkseid et tellement le scénario foisonne d'idées, de personnages, de références et de grands moments marquants. Prévu comme la troisième crise de l'éditeur, ça n'a finalement pas eu la même portée et le même impact que les deux premières mais ce n'est pas forcément un mal, cela offre une ambiance bien particulière à cette histoire, qui m'a personnellement beaucoup marqué. Sûrement imperméable sur certains aspects pour les nouveaux lectures mais ce n'est pas une raison de passer à côté, il y a assez de choses pour offrir une bonne lecture compréhensible même si on n'a pas saisi toutes les références ou compris tout ce que le cerveau de Morrison propose. C'est à ne pas manquer pour les fans de DC Comics, selon moi.
Apres 2 tomes qui n’avaient aucun lien (merci Urban...) on a enfin la saga!
l’avantage, c’est qu’on a tout dans un seul album, la serie principale et les tie-in d’importance (Submit et surtout Superman Beyond, indipensable a la lecture)
On regrettera l’abscence des Tie In Resist, Requiem et Revelations que j’avais beaucoup aimé...
Sinon, que dire sur la saga??
Tres tres difficile d’accès, meme avec un lourd bagage DC...
Morrison a pris le parti de devellopper nombre d’intrigues hors champ, du coup on a souvent l’impression de rater des elements...
Graphiquement, c’est la valse des dessineux...
Jones est tres bon mais n’arrive pas a suivre le rythme, du coup Pacheco est depeché et souffre du meme constat...
C’est donc Mankhe, toujours fiable, et qui a realisé le tres bon Superman Beyond, qui fini la saga.
Cette troisième Crise de l'univers DC nous offre tout ce qu'on le demande à une histoire de cette ampleur ! De l'affrontement dantesque, un ennemi imposant et des enjeux impactant tout le Multivers ! Avec en plus un Grant Morrison à la barre, ça part dans tous les sens !
Après un Infinite Crisis qui se voulait classique sur le papier mais misant tout sur l'action et la confrontation entre différents personnages/mondes, nous avons ici droit à un scénario plus complexe et également quelques surprises concernant la destinée de certains héros connus de l'univers. Une Crise qui n'a certainement pas à rougir des deux précédentes Crises du DC Universe.
Tome 3, et en fait unique tome de final crisis puisque les 2 précédents sont inutiles (en plus d'être incompréhensibles.)
De plus en plus quand je vois Morrison je tente d'éviter la lecture : même avec un fort bagage DC cela reste globalement incompréhensible, l'histoire principale se perd dans des histoires annexes sans utilité et écrites certainement sous l'influence de drogues. L'histoire de base, avec une construction saine, aurait étté très bonne mais hélas se perd dans les méandres de Morrison, comme toujours avec lui.
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