Encore un bon numéro de Wonder Woman. On apprend des choses sur le Sear Group et l'intrigue avance bien. C'est toujours très plaisant à lire mais j'ai peur qu'on se retrouve à la fin du prochain numéro comme à la fin de l'arc "The Truth" avec un cliffhanger qui finit l'arc, plutôt qu'un vraie conclusion. Sinon chaque personnage est bien traité et apporte quelque chose à la série. La partie graphique est toujours excellente. Par contre, petit coup de gueule pour la couverture spoilante.
Un arc toujours bien supérieur à l'autre que nous propose Rucka, avec des éléments vraiment intéressants comme l'évolution de Diana dans notre monde, l'apport de Minerva ou encore le thème malheureusement très contemporain du terrorisme. Mais si l'intrigue et l'écriture des personnages sont de qualité, je m'attends tout de même à autre chose d'un Wonder Woman Year One que de passer la majorité du temps dans les bureaux de l'armée avec une intrigue qui tourne autour de ce thème. J'ai envie de voir Diana découvrir le monde, être plus approfondie, plutôt qu'une intrigue qui essaie de caser tous les éléments de la mythologie et va beaucoup trop vite. Preuve en est cet horrible cliffhanger qui fait penser à un médiocre comics tape-à-l'oeil, ce n'était vraiment pas indispensable. Mais finalement le vrai joyau de ce Year One c'est Nicola Scott, qui continue de faire des merveilles et de s'imposer sur le personnage comme les grands artistes du passé.
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