Un cinquième numéro remplit d'action et de suspens, à un rythme soutenu et dans une ambiance post-apocalyptique très appréciable. Après un numéro de transition assez moyen, Miller et Azzarello repassent une vitesse pour avancer à grand pas dans l'intrigue et nous offrent une narration assez accrocheuse, puisque l'on a l'impression que l'histoire peut partir dans tous les sens et que l'on a très envie de savoir ce que nous réserve la page suivante. On tombe un peu dans la surenchère à certains moments, notamment avec le cliff', mais ça fait un peu partie du truc et on se prend facilement au jeu. Les dessins d'Andy Kubert et Klaus Janson sont toujours bons et nous offrent des mises en scènes assez intéressantes, aidant grandement la narration. Ce troisième volet du Dark Knight manque un peu de profondeur et de finesse mais réussit parfaitement à divertir et faire prendre son pied au lecteur.
Le back-up de Miller quant à lui est une grosse blague, c'est ultra moche et ça ne sert à rien. C'est totalement passable.
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