Scénario: Vaughan – Dessin: Guerra Pia,Marzan, jr.
Une épidémie mystérieuse a décimé toute la population mâle de la Terre ! Toute sauf un jeune homme, appelé Yorick Brown, et son singe, Esperluette. Pourchassés par des groupements de femmes aux intérêts divers, Yorick et Esperluette partent sur les routes dévastées des États-Unis, sous la protection de la mystérieuse et mortelle Agent 355.
(Y the last man #1-10)
Déjà publié par Panini dans un format souple, revoilà Y The Last Man de Brian K Vaughan dans une nouvelle édition cartonné remplie de bonus. L'histoire est toujours aussi forte: Yorick est le dernier mâle sur terre et il veut retrouver sa copine à l'autre bout du monde. Commence alors un road-trip formidable ou il va croiser le destin de multiples personnages qui lui veulent plus ou moins du bien. Il y aura 5 tomes de cette édition.
Panini nous l'avais déjà offert (c'est encore trouvable mais des fois pas l'intégrale), c'est magique, les dessins sont assez spéciaux (plutot rude et réaliste, et une colo un peu fade je trouve), mais l'histoire nous transporte, le premier volume n'est pas le meilleurs, mais il à le mérite de mettre en place l'histoire.
Premier volume qui met en place cette histoire atypique ! Les dessins sont certes pas les meilleurs que l'on ait vu mais ils ont le mérite de bien retranscrire l'histoire et le scénario de Vaughan est vraiment très bon . Comme Khes il s'agit d'une de mes séries préférées . Vous pouvez y aller les yeux fermés !
Je me suis lancé dans la lecture d'Y le dernier homme du fait de l'effervescence autour de la série TV. Si je connaissais de loin le scénario de base (tous les hommes sur la planète, sauf un avec son singe mâle, meurent d'une cause inconnue), j'ai été très surpris du début du livre car les 2 premiers mois après la catastrophe sont carrément zappés. On échappe donc à beaucoup de scènes gores avec des monceaux de cadavres.
L'idée de base me hyppait beaucoup (raison pour laquelle j'avais acheté direct les 5 tomes). Et je dois dire que ce tome 1 me déçoit un peu. Le mec est très droit, limite caricatural, et les certaines femmes sont ridicules dans leur radicalisation (anti-mâle). Si je n'ai pas aimé les amazones, les habitantes du village de Marrisville m'ont bien plu. Et certains sujets abordés montrent quand même un beau potentiel (l'endoctrinement, la fidélité) alors que des pistes de sortie à cette crise commencent à apparaître.
Je n'ai pas envie de juger trop vite mais la série met du temps à démarrer.
Le dessin est bon sans être fou. Il sert bien le scénario et apporte une lecture aérée, facile et rapide.
Enfin, l'édition d'Urban est un peu avare en bonus. On a été habitué à plus de bonus, même si ce n'est pas l'essentiel.
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