Aux portes de la mort, Batman se cache pour essayer de se remettre de ses blessures et de la trahison de son frère d'armes, Kal-El. Loin de là, la bataille pour les Trois Royaumes s'enveniment et prend vite une tournure dramatique, alors que les ennemis se révèlent et que de sombres secrets se répandent comme le sang sur le champ de bataille... Les héros parviendront-ils à éviter à cette guerre l'issue la plus funeste ?
Contenu vo : Dark Knight of Steel #7-12
Conclusion (?) de cette maxi-série qui se finit sur un bilan mitigé malgré ses qualités. En plus des défauts habituels propre à l'auteur, si les quelques retournements de situation et réinterprétation de l’univers DC fonctionnent bien, la fin se fait sans trop d’éclat et fait appel à une suite peu nécessaire. Au moins, Yasmine Putri a pu assurer tous les numéros cette fois-ci qui sont toujours sublime, même si un peu moins beau sur les derniers numéros.
Suite et fin de cette maxi-série qui est suprenante. Tom Taylor continue de se faire plaisir avec les Elseworld chez DC comics et cet univers façon heroic-gfantasy fonctionne bien. Ce deuxième tome va avoir son lot de retournement de situation pour mener à la guerre des royaumes puis à un autre combat avec des ennemis surprenants. C'est assez halletant et surtout c'est plus simple de suivre la lecture qu'en VO où les épisodes ont été très espacés.
Une seconde moitié qui reste plutôt divertissante malgré une fin assez courte et peu développée. Je regrette un peu le côté expéditif de cette conclusion, surtout que je trouvais les premiers numéros prenaient le temps d'établir un univers intéressant.
Cela reste quand même agréable et assez spectaculaire visuellement parlant.
Sans parler de déception, cette deuxième partie n'arrive pas au même niveau que la première, mais je conseille quand même pour les fans d'Elseworld et de fantasy.
Si l'installation de cet univers était de qualité dans le premier tome, on a un Tom Taylor qui retombe dans ses travers de la surenchère avec des retournements dans tous les sens, certes plutôt cohérents, mais qui donnent une impression de "too much", là où une conclusion plus classique s'appuyant sur ce qui avait déjà été construit aurait sans doute était plus judicieuse. Heureusement, c'est joli. Et malgré tout divertissant.
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