Auteurs : Lee, Kirby, Buscema
Le Silver Surfer vole désormais dans sa propre intégrale ! Retrouvez la première apparition du héraut de Galactus dans les pages de Fantastic Four puis ses aventures en solo. Le Silver Surfer est l'un des personnages fétiches de Stan Lee. Après sa première apparition, réputée comme l'un des arcs fondateurs des comics modernes et signé par Jack Kirby, il vole en solo dans des épisodes illustrés par John Buscema. (Contient les épisodes US Fantastic Four (1961) 48-50 et Annual 5 et Silver Surfer (1968) 1-6, publiés précédemment dans les albums MARVEL OMNIBUS : SILVER SURFER et MARVEL CLASSIC : LES QUATRES FANTASTIQUES L'INTEGRALE 1966)
Immense classique qui a inspiré des générations entières et qui a eu un grand retentissement en France, bien plus qu'aux USA. On pourra soit s'émouvoir de l'humanité du Surfeur, soit s'agacer de ses pleurnicheries. Mais quel classique ! Espérons que Panini aura le bon goût de poursuivre la collection avec les graphics novels et avec la seconde série qui fit les beaux jours du mensuel Nova.
La première apparition du surfer d'argent dans le comics Fantastic Four était vraiment très bonne. Suite au succès de ce personnage, Marvel lance deux ans plus tard sa propre série et je dois dire que je suis déçut. La série est bonne mais j'en avais entendu tellement de bien que j'en attendais sans doute trop. Faire des épisodes de 40 pages permet de bien définir l'histoire prendre son temps et bien montrer ce que pense le Surfer de son environnement. Mais au dela de l'être persécuté et malheureux, je n'ai pas vu grand chose chez notre héros. Néanmoins les aventures restent d'un bon niveau et les dessins sont très bons
Silver surfer, ma première intégrale Old school, moi qui suis facilement rebuté par les « vieux » dessins j’ai été très agréablement surpris par le travail de John Buschema sur ce run du silver surfer. Les planches sont clairement magnifiques et même les premiers chapitres illustrés par Kirby dans les épisodes de fantastic four sont assez simpas ! (Buschema reste nettement au-dessus pour moi)
Coté scénario, Stan Lee livre une partie incroyable. Le héros est, de ses origines aux dernières pages du recueil, un individu qui comme beaucoup cherche à comprendre le sens de la vie. Norrin Radd à d’ailleurs pour cette vie un profond respect, fait preuve d’une empathie grandissante au fil des numéros notamment au vu de ses face à face l’opposant à divers « vilains » (ou entités cosmiques) le mettant à l’épreuve.
Privé de vivre avec sa bien aimé, le surfer de Stan Lee est un martyr, une figure christique s’y observe facilement sur certaines planches et dans certaines punchlines.
« la liberté doit être l’héritage éternel de tout être vivant » « de l’argent ! de loin la chose la plus futile de cette terre ! et pourtant, que de souffrances… que d’angoisses pour ceux qui en manquent » (Norrin Radd)
En conclusion :
De l’argent il va m’en falloir pour récupérer la fin de ce run exceptionnel dans l’intégrale volume 2 ! je veux savoir si le surfer mélancolique va réussir à s’échapper de la condition imposée par Galactus. Foncez tête baissée et n’ayez pas peur du OLD SCHOOL, c’est d’une narration de haute volée, et les planches sont de loin plus appréciables que certaines « bouses » qui sortent de nos jours. Ça se lit tout seul, mais prenez le temps de savourer ce tome car chaque page en vaut la peine, chaque réplique mérite réflexion, tant Stan Lee est éclairé et anticipateur dans ce récit.
Scénario *.*.*.*.*
Dessins *.*.*.*.*
Silver surfer, ma première intégrale Old school, moi qui suis facilement rebuté par les « vieux » dessins j’ai été très agréablement surpris par le travail de John Buschema sur ce run du silver surfer. Les planches sont clairement magnifiques et même les premiers chapitres illustrés par Kirby dans les épisodes de fantastic four sont assez simpas ! (Buschema reste nettement au-dessus pour moi)
Coté scénario, Stan Lee livre une partie incroyable. Le héros est, de ses origines aux dernières pages du recueil, un individu qui comme beaucoup cherche à comprendre le sens de la vie. Norrin Radd à d’ailleurs pour cette vie un profond respect, fait preuve d’une empathie grandissante au fil des numéros notamment au vu de ses face à face l’opposant à divers « vilains » (ou entités cosmiques) le mettant à l’épreuve.
Privé de vivre avec sa bien aimé, le surfer de Stan Lee est un martyr, une figure christique s’y observe facilement sur certaines planches et dans certaines punchlines.
« la liberté doit être l’héritage éternel de tout être vivant » « de l’argent ! de loin la chose la plus futile de cette terre ! et pourtant, que de souffrances… que d’angoisses pour ceux qui en manquent » (Norrin Radd)
En conclusion :
De l’argent il va m’en falloir pour récupérer la fin de ce run exceptionnel dans l’intégrale volume 2 ! je veux savoir si le surfer mélancolique va réussir à s’échapper de la condition imposée par Galactus. Foncez tête baissée et n’ayez pas peur du OLD SCHOOL, c’est d’une narration de haute volée, et les planches sont de loin plus appréciables que certaines « bouses » qui sortent de nos jours. Ça se lit tout seul, mais prenez le temps de savourer ce tome car chaque page en vaut la peine, chaque réplique mérite réflexion, tant Stan Lee est éclairé et anticipateur dans ce récit.
Scénario *.*.*.*.*
Dessins *.*.*.*.*
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