Alors là. Si je m'attendais à ça. La série avait démarré avec des délires spatiaux bien mis en images par Olivetti. C'était devenu drôle avec le temps. Mais, avec ce numéro, tout change. Jacinto retranscrit parfaitement l'ambiance plus sombre voulue certainement par l'auteur. On dirait que cet épisode n'a rien à voir avec les autres, tellement l'atmosphère est différente. Peut-être que ceux qui préfèrent une certaine "version" de Venom peuvent venir sur le titre. Ça va barder pour la suite.
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