Depuis ses origines en 1940, la Justice Society of America a accueilli de nombreux super-héros, prêts à tout pour défendre les plus démunis. Malgré tout, avec le temps, la vieillesse de ces héros a fait perdre de sa puissance à la JSA. Elle a su renaître de ses cendres plus d'une fois et aujourd'hui, c'est à une nouvelle génération de héros de renouveler cet espoir. Pour autant, n'est-ce pas étrange que la chute de la JSA commence toujours par la mort de Doctor Fate ?
Contenu vo : The New Golden Age #1 + Stargirl : The Lost Children #1-6 + Justice Society of America #1-3 + Stargirl Spring Break Special

  • BartAllen
    BartAllen Staff MDCU

    il y a 4 mois

    Le renouveau de la JSA se montre enfin alors que l'équipe a été très discrète ces dernières années chez DC Comics. Geoff Johns revient avec des idées sur les personnages. Le Winter Break Special n'est pas forcément à retenir ici, il remet en avant le personnagede Stargirl. The New Golden Age permet de lancer les autres série du tome avec un retour sur l'équipe et différentes incarnations. La série Lost Children est sympathique et se centre sur Stargirl et Red Arrow qui partent à la recherche des sidekicks des héros du Golden Age. Enfin, et c'est le plus dommage, on a seulement 3 numéros de la JSA, c'est-à-dire même pas un arc entier de la série, la faute à des retards constants. Cependant, la qualité de la série est là et l'intrigue autour d'Huntress et du vilain est prenante. 

  • Adrien L.
    Adrien L. Staff MDCU

    il y a 4 mois

    Geoff Johns revient sur sa série fétiche, la JSA ! Enfin, pour le moment, dans ce tome, c'est plutôt centré sur Stargirl, avec une mini-série très sympathique sur des sidekicks disparus des mémoires. Le gros morceau arrive avec seulement 3 numéros de JSA, et vous allez vouloir lire rapidement la suite ! Bref, l'album est une très bonne lecture, mais la JSA est vraiment prometteuse, et c'est dommage de pas en avoir plus.

  • ACTHAEON
    ACTHAEON Staff MDCU

    il y a 2 mois

    Ce premier volume est excellent. Il fait notamment la liaison entre Doomsday Clock et Flashpoint Beyond dont la fin était plutôt intriguante. Maintenant, il devient plus facile de contextualiser ce titre dans l'ère infinite / univers DC. Il faut néanmoins avoir certaines références pour saisir toutes les notions / subtilités abordées. Les aventures de Stargirl sont (sur)prenantes et mystérieuses ! Vivement la suite car la partie dédiée à la JSA est bien trop courte et nous laisse sur notre faim !

  • The Batman
    The Batman

    il y a 1 mois

    Ce 1er tome nous propose une aventure autour de Stargirl très rafraîchissante avec toujours ce lien avec tout l'historique de l'univers DC et son héritage comme sait si bien le faire Geoff Johns. On enchaîne ensuite avec les premiers numéros de JSA qui nous proposent une entrée en matière très alléchante à base de mini-crise multiverselle. Hâte de lire la suite !

The New golden Age

DC Comics One-Shots

Chapter 1: Lightning the Fuse

Stargirl: The Lost Children (2022)

Chapter 1: Legends Die Toge...

Justice Society of America (2022)

Chapter 2: More Fun

Stargirl: The Lost Children (2022)

Chapter 3: The Childminder

Stargirl: The Lost Children (2022)

Chapter 2: New Friends, Old...

Justice Society of America (2022)

Chapter 4: Losing Track of ...

Stargirl: The Lost Children (2022)

Chapter 3: Wartime

Justice Society of America (2022)

Chapter 5: Man and Woman of...

Stargirl: The Lost Children (2022)

Chapter 6: Young Justice So...

Stargirl: The Lost Children (2022)

La review du jour est un titre proposé par Urban Comics. Il s'agit de Dawn of Justice Society of America Tome 1 : Le nouvel âge d'or. Le numéro est écrit par Geoff Johns et est dessiné par un collectif d'auteurs. Il sortira le 26 janvier pour 30 euros. Il contient les titres US The New Golden Age #1 + Stargirl : The Lost Children #1-6 + Justice Society of America #1-3 + Stargirl Spring Break Special.

Depuis ses origines en 1940, la Justice Society of America a accueilli de nombreux super-héros, prêts à tout pour défendre les plus démunis. Malgré tout, avec le temps, la vieillesse de ces héros a fait perdre de sa puissance à la JSA. Elle a su renaître de ses cendres plus d'une fois et aujourd'hui, c'est à une nouvelle génération de héros de renouveler cet espoir. Pour autant, n'est-ce pas étrange que la chute de la JSA commence toujours par la mort de Doctor Fate ?

A l'époque, la plupart des super-héros avaient un jeune acolyte. Je pensais tous les connaître. Eh non !

On parle souvent du travail de Geoff Johns sur l'univers des Green Lantern. Mais bien évidemment, il n'a pas fait que cela. Un autre run de sa part particulièrement réussi concerne la JSA. C'est donc avec plaisir et une certaine curiosité que nous retrouvons des années plus tard le scénariste sur cet univers si atypique.

Pourtant, les premiers numéros sont assez déroutants et ce, pour deux raisons. La première est qu'à ce moment de l'ouvrage, on aurait pu intitulé ce tome "Dawn of Stargirl" plutôt que "Dawn of Justice Society of America". D'accord, c'est lui qui a créé le personnage en 1999 mais quand même... L'autre point est que le premier tiers de l'ouvrage est très flou au niveau de l'intrigue. Le récit est mal construit, le fil conducteur n'est pas si évident à suivre et le prologue et le numéro d'introduction n'aident absolument pas à sortir de cette confusion.

Par contre, une fois ces premiers numéros passés, nous nous retrouvons face à un récit plus posé, avec des personnages mieux exploités et à la finalité limpide. A ce moment-là du récit, on peut même dire que les défauts se comptent sur les doigts de la main. Nous n'irons pas jusqu'à dire que c'est du niveau du Geoff Johns d'il y a vingt ans sur la JSA, mais cela reste divertissant et efficace. Le thème même de l'ouvrage, à savoir l'oubli, est extrêmement bien exploité.

Je sais ce que ça fait de se sentir oublié.

Pour ce qui est de la partie graphique, elle est plutôt bonne. Il y a d'ailleurs une certaine continuité malgré le changement de dessinateurs. Entendez par là que les transitions entre les numéros se fait en douceur. Cette affirmation est, néanmoins, surtout valable pour les deux premiers tiers de l'ouvrage. La colorisation est honnête et certains designs de personnages sont à souligner. On pensera notamment à Baby Sitter.

En bonus, vous trouverez les biographies d'une poignée de personnages ce qui était, sans doute, le choix le plus judicieux pour cet univers.

En Résumé

 

LES POINTS FORTS

- Le thème de l'oubli
- Le fil scénaristique une fois les premiers numéros passés
- Le traitement des personnages
- Une certaine continuité graphique malgré le changement de dessinateur

LES POINTS FAIBLES

- Il vaut mieux aimer Stargirl
- Un début de récit très confus

 

4

Bonne lecture

Conclusion

Geoff Johns est de retour sur le titre JSA et cela fait du bien.