Un méta-humain avec les pouvoirs de Superman, mais dépourvu de toute humanité, a été lâché sur le monde. Pour stopper ce fléau, Harley Quinn, Peacemaker, Captain Boomerang et King Shark sont missionner pour baby-sitter — et au besoin exécuter — cinq nouvelles recrues mortelles au sein de la Suicide Squad ; cinq créatures sacrifiables nées d'une expérience gouvernementale secrète du nom de Blaze. Ils sont dotés d'incroyables pouvoirs... étonnamment transmissibles. Et quand un membre de l'équipe meurt, les autres deviennent plus puissants. Qu'est-ce qui pourrait mal se passer... ?
Contenu vo : Suicide Squad : Blaze #1-3

  • Kaez
    Kaez

    il y a 1 an

    Je l'attendais avec impatience ce retour sur du Black Label du trio Spurrier-Campbell-Bellair qui a fait ma (trop courte) joie sur une partie du dernier run de Hellblazer ! Eh bien c'est franchement pas mal ce petit Suicide Squad, mais je ne le recommanderai pas à tout le monde.
    Déjà, parce que malgré un casting premium de Squad (à un Peacemaker près, le même que celui du jeu Rocksteady à venir), Spurrier prend à contre-pied le lecteur en les mettant au second plan. C’est à travers les yeux de parfaits inconnus que nous les verrons donc évoluer. Le procédé fonctionne ici très bien, et parvient à nous rendre la team plus crédible et les membres connus plus charismatiques. Mais ça pourra dérouter ceux qui espéraient logiquement que les têtes d’affiche soient sur le devant de la scène.
    Ensuite, l'ambiance graphique est très réussie, mais certains choix de rendu visuel pour des super-pouvoirs (au pif : la super-vitesse) aboutissent à des actions un peu illisibles, voir franchement dégueulasses. Heureusement, il ne s'agit là que de quelques cases sur tout l'album (mais ça casse toujours l'immersion – et les gonades – d’avoir à "deviner" l'action au lieu d’en profiter).
    Si vous pensez ne pas être gênés par ces point alors foncez, car cette Suicide Squad est la meilleure que j’ai pu suivre depuis longtemps.