Le fléau Jack Napier est de nouveau derrière les barreaux, mais la sérénité est loin d'être de retour à Gotham, et encore moins au Manoir Wayne, où Bruce peine à retrouver équilibre et sérénité. Son pire ennemi n'a pas seulement ébranlé ses convictions et sa raison d'être, il a également durablement saccagé l'image de Batman et sa légitimité aux yeux des habitants de sa ville. La disparition d'Alfred n'est pas sans séquelle non plus, bien qu'elle laisse derrière lui un héritage inattendu : le journal d'Edmond Wayne daté de 1685, premier de sa lignée à s'être installé à Gotham et adversaire d'un certain Lafayette Arkham, dont les ossements ont été récemment découvert dans la cellule du Joker.
La suite de White Knight, bien que différente de son prédécesseur, fonctionne avec autant d'efficacité. L'histoire, déjà très bonne, est sublimée par le style de Murphy, qui réussit à proposer sa propre vision du Chevalier Noir. Et les rebondissements de l'histoire sont bien amenés, ce qui n'est pas toujours le cas !
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